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ARPA

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  1. Je ne comprends pas le lien entre le rapport T/W sans utiliser la PC et la vitesse ascensionnelle maximale. Qu'est-ce qui justifie de ne pas utiliser la PC ?
  2. ARPA

    [Rafale]

    Le plus loin, c'est si l'autonomie du Rafale (ou de ses pilotes) se limite à 12 heures et qu'une vitesse plus importante permet de franchir plus de km. Évidemment, pour que ce soit possible en pratique, il faudrait plusieurs ravitailleurs et une opération presque aussi complexe que l'opération Black buck. Pour le plus rapide, ce n'est valable qu'avec des avions qu'on aura pris le temps de déployer. Des A400M ravitailleurs pourraient assez facilement être déjà déployés et se charger du dernier ravitaillement donc permettre aux Rafale de passer en supercroisiere dès l'avant dernier ravitaillement (pour se poser avant les A330MRTT donc gagner 30 minutes de vol). Si on rajoute que les pilotes de Rafale peuvent partir plus tard, on peut se mettre à calculer le temps de déploiement escale comprises. Lors d'une escale, les pilotes de Rafale pourraient arriver plus tôt et repartir plus tard. Si les pilotes de ravitailleur ne sont pas le facteur limitant (car double équipage, qu'ils peuvent dormir dans l'A330...) on pourrait gagner un peu de temps sur les escales et passer à une projection en 36 heures.
  3. ARPA

    [Rafale]

    Au fait, pour l'opération Heifara Wakea, on a un convoyage avec 3 bidons supersonique. Les Rafale avaient donc une configuration compatible avec la supercroisière. Est-ce que ça voudrait dire qu'avec un nombre suffisant de ravitailleurs déjà prédéployés, (ou déjà en vol sur le trajet), on pourrait envisager une projection encore plus lointaine ou plus rapide avec du convoyage supersonique ? Bon, les Rafale auraient déjà consommés presque 3 tonnes de carburant par milliers de km en nécessitant presque un ravitaillement tous les 1000 km, avec une vitesse plus importante il consommerait probablement compte encore plus, donc la distance/durée entre 2 ravitaillements risque d'être assez réduite. On a des données chiffrés sur la consommation en supercroisière ? Et est-ce que la supercroisière resterait possible avec 5 bidons supersonique ? (je poserai bien la question pour des CFT en plus, mais je ne suis même pas sur que Dassault le sache)
  4. Euh... de quoi on parle ? D'une simulation des années 60 qui devait servir à évaluer les performances du KC130F pour une version navalisé. (Les simulations informatiques n'étaient pas au top à l'époque) Il n'avait pas les ailes repliables... c'est logique pour un avion terrestre, pour la version navale la question pourrait se poser. Donc l'encombrement de l'avion de test sur le pont ne me paraît pas représentatif de l'avion navalisé. Par contre, les essais ont permis de trouver que la charge utile au décollage devenait médiocre. Je crois même que le C-2 faisait mieux. Les opérations sans utiliser les brins d'arrêt et surtout les catapultes entraînent une complication par rapport au reste du GAE. On a des C-2 qui ne sont pas les avions les plus lourd opérant d'un porte-avions ni ceux qui ont la plus grande envergure. Un maxi C-2, presque 2 fois plus lourd (45 tonnes au catapultage) 2 fois plus puissant (des TP400) et avec une envergure augmentée de 20% (je crois que le record actuel est de 31m pour un CATOBAR) resterait crédible. Les C-2 doivent pouvoir rentrer dans les hangars pour pouvoir être réparé... mais aussi voir surtout pour ne pas encombrer pendant plusieurs jours lors d'une traversée océanique. Avec un C2 à l'autonomie presque doublé, il sera rarement (jamais ? ) hors de portée d'une base terrestre. Il faudra ensuite voir l'intérêt de l'avion. Les C-2A ne servent qu'au transport. Le test du KC130F montre qu'une des missions d'un gros porteurs embarqués serait de servir de ravitailleur. Si le ou les 2 C-3A de 45 tonnes remplacent le double ou le triple de MQ-25 ou de F18 nounou, ils justifieraient leur place sur le pont.
  5. Si je me souviens bien, pour les (gros) simulateur à terre, c'est possible, mais pas pour celui en mer. Maintenant, je présume que c'est possible via la L16. Donc dans les zones couvertes, donc à relativement haute altitude, je ne suis pas sur que la Suisse soit couverte. Sinon une autre option des simulateurs Rafale depuis l'origine est de proposer des parties en réseau. Si la Suisse peut se relier aux (8 ?) simulateurs français mais aussi au grec (et croate ?), ça permet d'avoir assez de joueurs pour simuler tout ce qui pourrait être en l'air en Suisse. Enfin on pourrait presque ouvrir un sujet sur les simulateurs du Rafale, il y aurait beaucoup à dire. Pour la Suisse, je ne sais plus si on prévoit de leur vendre un simulateur ou juste des heures de simulation.
  6. C'est marrant, je trouve les arguments de LM assez pertinents. Mais pas pour le F-35... Si un avion est plus performant qu'un autre, il finit à coût équivalent par être beaucoup moins cher ou peu compenser son surcoût. En France la com de l'armée de l'air indiquait qu'un Rafale qui valait 3 mirage 2000 (pour un raid de haute intensité). En Suisse, Dassault a expliqué que pour une PO l'autonomie compte et permet de réduire le nombre d'avions nécessaires, 18 Rafale étaient plus efficaces que 22 Gripen. La facilité de pilotage associée à la simulation permet de réduire le nombre d'heure de vol d'entraînement donc devrait permettre des économies. Il y a quelques temps un CEMAA avait envisagé de ne faire voler certains de ses pilotes que 50 heures (d'entraînement) sur Rafale et le reste sur PC21 et simulateur. Je crois que ça s'est fait pour quelques pilotes et si ça ne s'est pas généralisé, c'est surtout parce qu'on avait besoin que ces pilotes fassent leurs quota d'heures en missions réelles (et sur Rafale) plutôt que sur PC21. Mais un autre pays pourrait calculer différemment. La réduction du nombre d'heures de vol (grâce au simulateur...) en temps de paix permet de réduire le nombre d'avions, mais uniquement si l'avion choisit peut offrir une très bonne disponibilité et être capable d'un pic d'activité pendant quelques semaines. Pour le cas Suisse, une dizaine de Rafale capable de faire chacun 350 heures par mois suffirait pour maintenir en permanence 2 patrouilles de 2 avions en l'air.
  7. On pourrait même espérer la trentaine d'avions pour remplacer les CASA (et les C130) En OPEX ou en outre-mer, ce serait une plate-forme assez légère et économique pour être y basé en permanence et pouvoir assurer des alertes (EVASAN, ravitaillement des HIL, transport léger...) qui coûteraient trop cher à faire avec l'A400M. Le PATMAR se retrouve avec des capacités aérodynamiques qui peuvent être assez intéressante pour un avion de transport léger au côté de l'A400M et ça permettrait de plus que doubler la série. Pour la partie AWACS, utiliser une cellule capable d'opérer d'un CVN permet de mutualiser les besoins AAE et MN donc d'atteindre une taille critique avec un peu d'export pour financer le développement d'un AWACS français. Le but ne serait pas d'augmenter le nombre de cellules dérivés du PATMAR, mais d'augmenter le nombre d'AWACS. Enfin avec des E-2D déjà commandé, je doute que la Marine souhaite des AWACS avant 2050 ce qui risque de ne pas être compatible avec le calendrier de l'AAE.
  8. Quand on parle d'ATL3, je fais aussi le rapprochement avec les EMALS des prochains porte-avions qui permettent d'envisager l'exploitation d'un avion de 45 tonnes. Une cellule de la classe des 50 tonnes pourrait profiter du marché presque sans compétition de l'avion embarqué. On pourrait avoir des dérivés PATMAR, AWACS, transport, ravitailleur ... On pourrait avoir une cellule assez bien adaptée pour des avions de missions. L'AAE sera intéressée par la version transport et ravitailleur en complément de l'A400M et même pour l'AWCAS, on aurait une cellule à mi chemin entre les E-2D (ou les Erieye) et les E-3F ou 737-AEW&C donc la question pourrait se poser. Mais il faudrait connaître le besoin. Un A400M PATMAR me paraît assez réaliste. 8000 km d'autonomie sans ravitaillement en vol, ça reste correct pour un PATMAR qui pourra voler plus lentement et bas que les avions à réaction. Si on se permet de modifier le fuselage, on pourrait gagner en masse et en finesse donc augmenter l'autonomie et la vitesse maximale sans impacter sa vitesse minimale ou sa maniabilité.
  9. ARPA

    Eurofighter

    Les belges confirment. Leur dernière "victoire aérienne" a été obtenue par un mécanicien avec son F-16 au sol grâce au canon.
  10. Est-ce que le coût du "porteur" est significatif par rapport à celui du système d'armes ? À l'achat et en exploitation ? Quand on compare le coût d'un P-8 et celui d'un 737, on peut considérer que la cellule est négligeable. Si une cellule spécifique permet d'optimiser les performances du système d'armes, ça peut vite être rentable. À mon avis, on peut justifier de développement et la construction d'une petite série d'ATL3. En plus dans 30 ou 50 ans, quand l'industriel ne voudra plus soutenir un P-8 exploité uniquement par les armées, l'industriel (éventuellement étatique) continuera de soutenir notre cellule spécifique. On a moins de mal à exploiter des C160 que des DC8 (ce qui fait qu'on a abandonné le Sarrigue et conservé les Gabriel) Ensuite si on a un ATL3, la question pourra se poser d'en dériver un "A200M" (comme les américains ont fait un C-2 à partir d'un E-2)
  11. Le terme de A200M est utilisé pour parler d'un petit A400M, mais vu qu'il s'agira d'un avion nouveau, je ne vois pas ce qui impose le choix du constructeur. On pourrait mettre en concurrence Airbus et Dassault pour faire un avion de 50 à 70 tonnes assez proche des caractéristiques des C-130J et P-3 (plus gros que les C160 et ATL2) avec éventuellement une motorisation imposée avec 2 TP400 (donc des capacités tactiques grâce aux hélices et la possibilité d'aller à grande vitesse) Si le besoin est d'une vingtaine de PATMAR pour la Marine et d'une trentaine en version fret pour l'AAE, on n'aura même pas besoin d'un gros partenaire pour lancer le programme.
  12. ARPA

    Le F-35

    Vu que ce n'est pas LM mais les USA qui vendent via les FMS éventuellement à pertes, le prix réel n'est pas forcément significatif pour la Suisse. Mais les USA vont devoir se rattraper et montrer la facture aux EAU ou aux allemands...
  13. C'est un peu l'équivalent du "garde à vous" des Allemands. La traduction littérale n'a pas trop de sens. Je ne me rappelle plus exactement des conditions, mais ils n'arrêtent pas de le dire lors des mouvements de sections.
  14. Si on calcul, la distance entre Fort de France et Papeete est à peine plus importante que celle entre St Dizier et la base de Travis. Passer par les USA permet de faciliter l'opération, d'avoir un trajet exotique au-dessus des pôles, de s'entraîner avec les US...
  15. ARPA

    [Rafale]

    Page 15 (juillet 2009)
  16. On ne parle pas d'un article de presse écrit par un journaliste plus ou moins influencé, mais juste d'un message de propagande écrit par un anti-nucléaire. Il ne faut pas prendre cet article (écrit en anglais et en français) comme représentatif d'une pensée allemande ou espagnole. On parle du F-35... donc sera intégrée dans 3 ans ... (en années F-35, donc même pas sur que ce soit avant la date de retrait de service prévisionnel des F-16 et Tornado en Italie, Belgique ou aux Pays-Bas) A priori, il s'agirait des 2 points sur lesquels on n'envisage pas de négocier. Tout le reste serait "négociable", mais ces 2 contraintes font partie de la base de notre demande.
  17. Théoriquement, avec l'UE, la France est déjà un allié officiel de la Finlande.
  18. Euh la Chine s'est loin de nos îles. On va avoir du mal à déployer une vingtaine de Rafale, mais ils auront encore plus de mal à déployer de quoi motiver l'envoi d'une vingtaine de Rafale. Rien que 3 Rafale, c'est des raids avec 18 AASM. Ils vont avoir de la casse. Même face à leur porte-avions, je ne suis pas sur qu'on ait besoin de plus d'une dizaine de Rafale.
  19. Pour le redoutable, il s'agit d'une version modifiée, raccourcie de plusieurs mètres qui servaient à la partie nucléaire, puis rallongée avec une partie de la coque du SNA n°7 ou 8 pour former un ensemble représentatif. Il ne doit plus rester grand chose de dangereux
  20. ARPA

    [Rafale]

    Si on joue au con et qu'on refuse par principe de dépenser pour le NGF un centime de plus que les espagnols ou les allemands, on va avoir du budget pour autre chose. Si nos partenaires veulent une répartition identique (de la charge de travail) pour les 3 pays, je suis d'accord, mais uniquement s'il y a aussi une répartition identique (des dépenses) pour les 3 pays. On risque d'aboutir à une sorte de Jaguar, on l'a utilisé, mais on a aussi acheté du mirage (et SuE) qu'on a exporté. D'ailleurs le Jaguar aurait dû être navalisé et a servi de vecteur nucléaire.
  21. ARPA

    [Rafale]

    Ce qui expliquerait beaucoup de choses comme une répartition 1/3 1/3 1/3 de la charge de travail. On prévoit en 2040 de produire 2 avions. La valeur sûre française et pour faire européen le NGF. À la place des autres partenaires, je commencerai à m'inquiéter. On annonce clairement que si tout se passe bien, la France choisira entre NGF et Rafale, on n'a même pas besoin d'un plan B de l'industriel pour avoir un plan B opérationnel.
  22. Ils ont du confondre avec le Rafale ...
  23. Honnêtement, 20 Rafale en mode OPEX (donc avec une activité variant entre 1000 heures par ans et 350 heures par mois) c'est énorme et ça représentera plus d'activité Rafale que la métropole. Ce sera surdimensionné pour n'importe lequel de nos territoires outre-mer. On va les déployer en Polynésie ou à Nouméa pour montrer qu'on peut les déployer partout sur terre, pas pour dire qu'on peut faire une guerre intensive depuis ces îles. Le message sera vraiment que si un allié (Japon, Corée, Malaisie, Inde, USA...) a besoin d'aide face à un ennemi puissant, on peut le renforcer en quelques jours.
  24. En effet. Maintenant sur un raid de 12 heures qui consomme presque 30 tonnes par Rafale, est-ce que ça change grand-chose d'avoir 3750 L (1250L les bidons) ou 6000L en bidons ? Puis pour la suite de l'exercice, ce sera plus marrant d'être léger pour jouer avec les F22. J'ai l'impression qu'ils n'ont vraiment pas optimisés les ravitailleurs. Des ravitailleurs (même léger comme les A400M ou KC130J) au départ ou à l'arrivée auraient pu consommer beaucoup moins de carburant que s'il faut faire tout le trajet. Et un ravitaillement en vol des ravitailleurs (option pas encore financé pour nos phoenix) aurait aussi pu optimiser la gestion du carburant. Accessoirement, pour le trajet retour, il devrait y avoir une escale de plus et un ravitailleur de moins. Vu qu'on a économisé 9 heures sur le cahier des charges, on pourrait se permettre une escale de plus.
  25. ARPA

    Achat suisse

    C'est normal que le F-35A soit plus puissant que le F-18E ? Je l'aurais plutôt noté 10% moins puissant ...
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