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Tout ce qui a été posté par ARPA

  1. ARPA

    Les Hawkeye français

    Avec le ravitaillement en vol, ça ne devrait pas être plus que 8 heures ? Les E2D japonais (à aile fixe donc avec des réservoirs plus important et une masse max plus importante) ont déjà 8 heures d'autonomie sans ravitaillement en vol. J'ai du mal à croire qu'il ne soit pas possible d'avoir assez d'huile pour plus de 8 heures. Et les pilotes français de Rafale peuvent faire jusqu'à 12 heures dans un mono ou biplace. Donc, on ne peut pas non plus dire que c'est l'absence de confort qui va limiter la mission.
  2. C'est la meilleure façon d'éviter les tirs amis, on attend de voir dans quel bar le pilote va faire son débriefing.
  3. ARPA

    Marine Grecque

    Opex360 en parle aussi : http://www.opex360.com/2020/12/16/pour-athenes-la-question-dun-achat-de-fregates-francaise-belhrra-est-encore-ouverte/
  4. ARPA

    MQ-25 Drone ravitailleur de la Navy.

    Je me demande si le MQ-25 a vraiment été conçu pour faire principalement du ravitaillement ou si c'est juste une première phase. J'ai l'impression que l'USNavy ne fait pas encore assez confiance aux drones (donc au MQ-25) pour leurs confier d'autres missions que le ravitaillement, mais ce sera l'évolution "naturelle" quand le MQ-25 sera un peu plus mature. Si le MQ-25 est performant en emportant une nacelle de ravitaillement, il "suffira" d'un nouveau standard pour qu'il emporte des missiles air-air (et servent de porte-missiles aux frégates ou E2) ou d'autres charges. La mission de ravitaillement en vol serait plus la mission "facile" pour permettre une mise en service "prématuré" plutôt que la mission définitive. On avait l'habitude d'avoir un bombardier qui se recycle en ravitailleur (les KA-3 et KA-6 par exemple) puis on a vu des avions "polyvalents" qui ont très vite assurés la mission de ravitailleur (cas du F18, mais aussi du Rafale, dès la fin du standard F1) mais pour la prochaine génération, on risque de directement commencer par cette mission.
  5. Un peu les 2. Depuis qu'il y a des missiles "tir et oublie" le chasseur léger a perdu la qualité du nombre. Un conflit entre 10 chasseurs lourds et 20 chasseurs légers 2 fois moins cher risque bien de se finir par la victoire totale des 10 gros chasseurs en infériorité numérique. Les pays intéressés par des chasseurs légers sont en réalité des pays qui n'ont pas les moyens d'avoir des chasseurs lourds. Donc on parle de micro flotte. Même avec une dizaine de clients commandant une dizaine de chasseurs légers, on n'arrive pas à exporter un nombre suffisant d'avions pour justifier son développement.
  6. Pendant la guerre de Kippour, Israël a été en partie sauvé grâce aux livraisons aériennes assurées par l'opération Nickel Grass qui a commencé par des rotations des avions long courrier israélien (civil, de la compagnie aérienne national) Pour le Qatar, les C17 permettent en cas de besoin de se faire livrer des blindés ou n'importe quel autre armement en urgence. On pourrait même envisager une "alliance" militaire avec un pays lointain (style le Nigéria, le Pakistan, la Turquie ... ou n'importe quel pays pauvre mais peuplé) qui fournira quelques milliers de soldats en cas de besoin. Mais la projection de ces soldats (vers le Qatar) doit être assurée par le Qatar.
  7. ARPA

    Aéronavale et l'avenir

    Dans l'article, ils citent les Rafale M nounou, KC130, A400M et A330MRTT comme ravitailleur français. Pour l'A330MRTT, si c'est une information (et non une erreur comme chaque fois qu'on lit que nos A330MRTT peuvent ravitailler les A400M) c'est peut-être parce que les E2D ont une envergure bien plus réduite que celle des A400M.
  8. Sans compter les années sous l'eau qui comptent triple pour la retraite. Donc une retraite à taux plein au bout de 15 ans de carrière, à 40 ans donc...
  9. Normalement le F4 devrait impliquer une modernisation du calculateur des M88. On pourrait donc espérer (surtout si un client export le demande) une légère augmentation de puissance. Cela va faire 25 ans que le M88 fournit 75 KN, techniquement on doit pouvoir augmenter cette puissance (si on le souhaite) En intérêt opérationnel, augmenter la puissance de 10% pourrait permettre d'envisager de faire presque la même chose pour la masse max (passage des 24,5 actuels au 27,2 qui ont été envisagé il y a quelques années, même si ce n'est pas directement lié à la puissance des moteurs) ce qui est presque indispensable pour crédibiliser les configurations avec CFT et le point 3 d'ouvert. Dassault a vendu le Rafale à la France en expliquant qu'un Rafale valait 3 mirage 2000 (-5 et D). Par rapport 2000-9, il faudra attendre une configuration avec CFT et des missiles en point 3 pour pouvoir dire qu'un Rafale vaut 3 mirage 2000-9.
  10. D'après Wikipedia, c'est 55 pour les 2 K15 du CDG. Pour un seul réacteur, mais avec un double équipage... ça me paraît cohérent. Ça fait aussi partie du cycle de recrutement. S'il faut 330 spécialistes (30 par navires et 11 navires) avec une carrière moyenne de 15 ans "opérationnel", ça fait un roulement de 21 spécialistes tous les ans.
  11. ARPA

    Boeing

    Ce serait un prétexte pour qu'il réclame un parachute doré. Je ne suis pas sur qu'ils le méritent mais ils auraient raison de demander au moins une prime de risque.
  12. Je doute que la réponse soit publique. Ou alors on va te répondre, à une cadence suffisante et à une profondeur suffisante. Enfin, si tu trouves la réponse, ou même juste la preuve que nos SNLE peuvent tirer plusieurs missiles (c'est évident, mais je crois que ça n'a jamais été vérifié) je suis preneur. Les physiciens nucléaire sont des militaires formés en interne. Même s'ils ont des primes, on est très loin du prix d'une recharge de réacteur qui va se compter en centaines de millions d'euros tous les 10 ans. Je ne vais pas dire que c'est négligeable pour la trentaine de physiciens par réacteurs, mais ce n'est pas la plus grande partie du prix.
  13. On pourrait aussi compter deux fois la France. La Marine dès 2001 mais l'armée de l'air seulement en 2005. Ce qui fait qu'avec les rumeurs sur la mauvaise disponibilité du MiG-29K, l'Inde pourrait aussi devenir le 5ème client export pour du Rafale M. Sinon, vu le temps indien, une vente d'occasion serait même envisageable. Une première livraison "rapide" de 6 avions (plus ce sera compliqué pour la Marine) est acceptable peu après la signature et presque autant qu'ils veulent en 2024 ou 2025 au début de la prochaine IPER du CdG (c'est dans longtemps, mais en temps indien, ça laisse juste le temps de se décider, pas de construire des avions)
  14. ARPA

    Aéronavale US

    Je crois que les israéliens peuvent encore le faire sur leurs F16. Enfin de là à le généraliser... les décollages avec JATO vont logiquement coûter beaucoup plus cher que sans. Ils sont inenvisageables depuis un PA, ou même depuis une piste utilisée régulièrement vu les dégâts que ça doit faire. En cas de besoin, il doit être possible de trouver un chasseur relativement STOL. Le Rafale décolle en 400m, c'est presque la norme. On est loin de la guerre froide ou les JATO permettaient de passer de plus de 2 km à quelques centaines de mètres.
  15. ARPA

    AASM

    On se croirait presque sur une présentation du Typhoon...
  16. Les fusées israéliennes sont (étaient ? ) tirées dans l'autre sens. Enfin là, l'objectif ce n'est pas une mise en orbite, juste d'atteindre un point lointain. Donc la rotation terrestre ne sert à rien. Pour la France, nos simulations de tir sont toujours vers l'Ouest, de la métropole à nos eaux territoriales aux large de la Guyane, des Antilles ou de St Pierre et Miquelon. Ça ne veut pas dire qu'on s'entraîne à viser le Brésil, les USA ou le Canada.
  17. ARPA

    AASM

    C'est à se demander pourquoi on se contente de seulement 2 charges lourdes en temps normal. Et avec des CFT, on pourrait envisager la même autonomie avec 4 AASM1000. Sinon il est possible que cette configuration triple permette de valider simultanément la configuration simple qui sera utilisée sur PA et la double qui sera utilisée à grande distance.
  18. ARPA

    Armée de l'Air hellénique

    Je ne suis pas sur que le raisonnement de l'armée de l'air peut s'appliquer à la Marine. L'armée de l'air doit assurer une série de missions de "seconde" ligne. C'est presque un choix d'avoir des avions "low-cost" pour s'occuper de ces missions. Pour la marine, tout le PA donc tous ses Rafale M risquent de se retrouver en première ligne. On risque donc de payer la modernisation des M de F3 vers F4.2 alors qu'on ne le fera pas pour les B/C. Pour l'armée de l'air, la revente d'occasion va permettre de justifier une augmentation du nombre d'avions "performant" alors que pour la Marine ce sera juste une opération financière (on "économise" la modernisation et gagne du potentiel, mais il faut racheter l'avion neuf) Sinon concernant les ventes export, je ne suis pas sur que ce soit pertinent de leur attribuer un standard français. Ils ont des capacités "proches", mais ça reste une version spécifique. Pour la Grèce et la Croatie qui sont des alliés de l'OTAN et de l'UE et qui auront (enfin j'espère, ce n'est pas signé) des occasions, il s'agira d'un standard vraiment très proches du standard français, mais pour les autres pays, je ne suis même pas sûr qu'on vende le Rafale avec la L16 (par exemple)
  19. Faut dire que ça va faire 20 ans qu'on négocie la vente de Rafale aux EAU. Donc qu'un ministre français aille au EAU pour parler de la vente de Rafale n'est pas très significatif. Le sujet doit être évoqué à chaque passage, c'est probablement le sujet de conversation "officiel" qu'on signale, mais ce n'est pas forcément le plus important vu le niveau de coopération militaire qu'on a. Il y a 10 ans, j'aurais misé sur les EAU dans les premiers clients export du Rafale. Maintenant ce contrat me paraît très loin d'être garanti.
  20. Entre la Grèce, la Croatie, la Finlande, l'Inde (×2), l'Indonésie, la Suisse, les EAU, l'Égypte... les américains vont avoir du mal à être présent partout pour nous bloquer. Bon, si on essaye partout, on risque aussi de ne pas avoir les moyens d'être assez présent. L'Indonésie pourrait plus nous servir de diversion pour que les américains soient moins présents en Europe que de véritable marché.
  21. ARPA

    Le successeur du CdG

    Je pense que c'est parce qu'un porte-avions avec moins de 6 Rafale, c'est vraiment beaucoup moins performant qu'un gros PA. Sur les 6 Rafale, il faudra en conserver 1 pour assurer la mission nounou. Vu que c'est une mission "vitale", qui pourrait être encore plus souvent nécessaire qu'avec des PA classiques disposant d'une surface de pont et de parking plus importante, il faudra donc en conserver 2 pour palier une éventuelle indisponibilité. On sera donc bloqué à des raids de 4 avions si on peut supporter une ponté de 5 avions (avec un sixième encore présent sur le pont). En pratique, on n'aura pas une disponibilité de 100%, une disponibilité de 85% laissera un Rafale HS (peut-être au dernier moment) donc on se retrouvera avec seulement 3 Rafale de disponible pour un raid. Il sera presque impossible de planifier des opérations nécessitant un raid de plus de 3 avions. Ensuite, j'ai peur qu'il ne soit pas économiquement raisonnable d'avoir une catapulte pour seulement 3 avions. On risque donc de devoir envisager des décollages STOBAR, probablement depuis une piste assez courte et peut-être même depuis un navire relativement lent. Donc les avions devront se limiter à une masse au décollage relativement réduite. Si on veut faire un raid un minimum loin, il faudra donc prévoir un ravitaillement en vol post décollage. On se retrouve donc à déployer un porte-avions léger pour organiser un raid de 2 Rafale M. Et évidement pendant qu'on organise notre raid, on a aucun avion de disponible pour assurer la défense aérienne de la flotte. Un porte-avions STOBAR dérivé d'un navire amphibie risque d'être limité des raids très peu performant. Pour ça, un PA STOVL serait plus performant vu qu'il permettrait de ne pas avoir besoin de prévoir une nounou vu qu'il n'y a pas de risque d'imprévu à l'appontage. Donc avec 6 F35B, on pourrait planifier un raid en autonomie de 5 F35B. Alors qu'avec 6 Rafale, on se retrouve presque limité à 2 Rafale. Le porte-avions léger STOBAR (ou CATOBAR) limité à 6 Rafale n'apportera pas un véritable gain opérationnel. L'armée de l'air pourra faire presque la même chose avec ses ravitailleurs et en opérant depuis une base éloignée. De ce point de vue, il ne sert à rien. Bon, on peut aussi réfléchir différemment. Si le porte-avions léger opère en complément d'un autre PA ou pas trop loin des ravitailleurs de l'armée de l'air, la question de la nounou pourra être mise de côté et on retrouve les 5 ou 6 Rafale de disponibles. Mais dans cette situation, le porte-avions léger permet "juste" d'économiser des heures de vol mais n'offre pas de capacités. On peut aussi se dire que des raids de 2 avions, c'est la norme pour les détachements de l'armée de l'air. Donc qu'un PA se limite à cette capacité, c'est déjà énorme.
  22. C'est un avis qui se défend, mais suivant les circonstances, je ne le partagerais pas forcement. Pour reprendre : Le besoin de longs arrêts techniques : C'est vrai, mais c'est du détail vu qu'on a plusieurs PA donc qu'on peut planifier ces arrêts techniques sans avoir d'imprévus. Et si on parle d'une vraie double propulsion (un réacteur et un moteur conventionnel) on a la possibilité en temps de guerre de ne pas faire la recharge du réacteur et de se contenter d'un PA qui sera donc bloqué à la moitié de sa puissance. Et si on parle d'un réacteur à l'image de ceux des Ford, il n'y a pas besoin d'arrêts techniques pour le réacteur. En caricaturant, pour les américains c'est un argument presque du même niveau que de dire que l'avantage du nucléaire est d'avoir une liberté de mouvement que ne permet pas un navire classique (à voile) La complexité de la sûreté nucléaire : En fait, c'est presque un avantage. On a 10 SNA et SNLE qui ont besoin de spécialistes atomiciens. Pouvoir ne pas limiter les contraintes nucléaires aux sous-marins mais pouvoir les partager avec quelques navires de surface (pas des dizaines, mais les 2 ou 3 navires amiraux) permet de crédibiliser la filière. La nécessité de ravitailler le porte-avions : Bah, comme tous les porte-avions. Les porte-avions conventionnels ont besoin tous les 3 jours d'un ravitaillement pendant X heures, les porte-avions nucléaires ont besoin d'un ravitaillement toutes les semaines pendant X/2 heures (il faut plus de carburant avion, mais pas de carburant pour le PA) et avec un porte-avions hybride, on va avoir besoin d'un ravitaillement toutes les semaines pendant X heures (voir moins). Le coût : c'est vrai, mais presque 2 fois moins qu'un vrai PA nucléaire et on économise des millions en carburant, probablement une grosse partie du surcoût. Des performances plus réduite : uniquement par rapport aux nucléaire. Mais de toute façon la vitesse de croisière d'un PA nucléaire se réduit à celle de son escorte donc un PA mixte limité à 20 nœuds en tout nucléaire sera aussi rapide qu'un PA 100% nuc. On peut débattre, mais je doute qu'on puisse se convaincre sans avoir de vrais chiffres et en restant sur des données publiques. Et même avec des données pertinentes, ça dépendra vraiment des circonstances (on prévoit une pénurie de carburant ? une crise du nucléaire ? une période calme pendant nos IPER ? une collaboration avec les PA des autres pays pour compenser les indisponibilités...) Cela dépend aussi énormément du réacteur nucléaire. Si on prend un dérivé d'un réacteur de SNLE ou SNA, très silencieux et très performant, mais hors de prix et très compliqué à exploiter, on va aggraver les inconvénients. Mais on pourrait aussi utiliser un dérivé d'un mini réacteur civil comme ceux qu'on propose pour alimenter des îles. On se retrouverait avec un réacteur un peu moins performant (surtout pour les variations de puissance) mais avec en bonus la possibilité de continuer à s'en servir à quai pour revendre de l'électricité. Dans ce cas, le navire nucléaire contribuerait même favoriser notre exportation de mini réacteur nucléaire.
  23. ARPA

    Aéronavale US

    Il reste à connaitre la distance de décollage. Pour un F35C qui n'a pas forcément le plein complet (il pourra se ravitailler sur un KC130J et surtout il s'agit d'une mission tactique, donc pas besoin d'un raid lointain) ça pourrait ne pas être plus long que la distance d'atterrissage avec brins. Bon, en complément du brin, une sorte de tremplin permettant de réduire de presque 30% la distance de décollage serait utile. Maintenant s'il faut déployer une piste de 2400 m pour faire se poser un avion en 300m puis pour pouvoir ensuite le faire ensuite décoller en 1500 m, oui, c'est ridicule. C'est pour ça que je suppose que les 2400 m ne sont pas représentatif et qu'il est possible de décoller court, que c'est l'atterrissage le plus contraignant.
  24. ARPA

    Aéronavale US

    A ce que j'ai compris, la piste OTAN de 2,5 km est juste une piste d'entraînement. Ils ont vérifié au cours de cet exercice qu'ils peuvent opérer sur quelques centaines de mètres. Dans l'exercice, le F35C se pose ultra court puis se ravitaille sur un KC130 et il peut redécoller presque aussi vite. Cela veut dire qu'on pourrait opérer des F35C depuis n'importe quel base (équipée) capable de recevoir un avion STOL comme le KC130. Avec les VTOL, on peut opérer depuis un héliport en centre ville. Vu qu'on a besoin d'un gros soutien logistique, ce n'est pas forcement très opérationnel. Il faut pouvoir opérer depuis un site facile (et rapide) à ravitailler. On se retrouve finalement à opérer depuis une piste qui est assez longue pour des avions de transport tactique. Donc il "suffit" de rajouter un système de brin d'arrêt (et des fusée JATO ?) pour pouvoir opérer ces avions depuis cette même piste. Sinon quelqu'un a des précisions sur le "brin d'arrêt mobile" M-31 ?
  25. Il est évident qu'avec une propulsion mixte, on a les avantages et les inconvénients des 2 solutions. On peut arrêter de réfléchir après voir vu qu'il y a les inconvénients des 2 solutions. Maintenant, il y a aussi les avantages des 2 solutions si on arrive à les exploiter. Le premier PA assure une disponibilité (à un mois) de 80 ou 90%. On est presque à 100% de disponibilité hors IPER. Sans escorte ou avions supplémentaires, le 2eme PA ne changera rien à la disponibilité du GAN. Hors IPER, en exemple récent, un PA2 nous aurait été utile lors d'Harmattan pour relaver le CDG, mais il n'aurait permis de rajouter que quelques jours de missions pour le GAN. Sans escorte ou avions supplémentaires, le PA2 nous sera utile uniquement pour remplacer le PA1. Donc le PA2 sera utile 10 à 20 % du temps pendant les IPER du PA1 et hors IPER (des 2 PA) il n'augmentera la "disponibilité" du GAN que de 10%. En gros, le PA1 qu'on paye 5 Md€ nous sera 5 fois plus utile que le PA2 lui aussi à 5 Md€... Si on a du mal à justifier politiquement le coût du PA1, ça va être 5 fois plus dur de le faire pour le PA2.
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