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hadriel

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Messages posté(e)s par hadriel

  1. Le communiqué et des photos:

    https://www.knds.fr/actualites/nos-dernieres-actualites/nexter-une-societe-de-knds-eos-et-traak-remportent-lappel

    Citation

    Nexter et ses partenaires proposent un produit aujourd’hui absent de l’arsenal militaire français. Cette munition téléopérée aura une portée d’au moins 80km et une autonomie de 3h. Innovante par sa technologie de charge génératrice de noyau, la munition téléopérée sera capable de déjouer les défenses actives de véhicules blindés avant de percer leur blindage. Sa capacité de réutilisation lui permet également de réaliser des missions de renseignement grâce à une boule optronique détectant un véhicule à 15 km de jour et 3 km de nuit. Elle sera dotée de capacités de navigation en environnement contesté (brouillage) et pourra également être réutilisée lorsqu’elle n’a pas attaqué de cible. Grâce à un dispositif de décollage et d’atterrissage vertical (VTOL) et une solution performante d’armement et de désarmement de la charge militaire, l’opérateur pourra la récupérer facilement et en toute sécurité

     

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    40 CTA

    Il y a 4 heures, mehari a dit :

     

    Le truc noir sur l'avant, c'est censé être un radar? Si oui, pourquoi en mettre un maintenant (il y en avait pas avant) et pourquoi sur un seul côté? Aurait-on désormais décidé que le RapidFire avait besoin d'une conduite de tir?

    Ca a l'air d'être just eposé la comme ça avec un fil qui dépasse, je pense que c'est un petit écran pour les vidéos marketing. Sur une des vidéos du stand on voit que ça reflète beaucoup, comme un écran.

  2. il y a 7 minutes, wagdoox a dit :


    Ensuite la division drone/ avions ne tient pas, le nombre d'heure d'un drone n'étant pas le même que celui d'un avion. 
    On peut déjà supprimer 33% du temps d'entrainement par rapport aux avions, le reste dépend de la complicité et donc de la demande de maintenance du drone. 

    Ou alors la flotte est dimensionnée pour faire la guerre, pas des ronds dans le ciel.

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  3. Interview de l'ingé chef du SCAF:

    https://www.defense.gouv.fr/salon-du-bourget-dossier/scaf-est-bien-plus-quun-avion

    Citation

    Le Scaf est communément associé à un avion. Est-ce vraiment le cas ?

    Le Scaf est bien plus qu’un avion. C’est un « système de systèmes » dont le cœur est un avion de combat multirôle de nouvelle génération couplé à une armée de drones. Les plus petits pourront peser de 100 à 200 kilos et seront en mesure de voler en meute ou en essaim. Ils seront notamment utilisés pour la saturation des défenses, pour l’ISR (Intelligence, Surveillance et Reconnaissance) et pour la guerre électronique. Les drones les plus imposants pèseront jusqu’à une dizaine de tonnes et pourront également transporter de l’armement additionnel. Tous ces drones multiplieront les capacités de l’avion et seront interconnectés au sein d’un cloud de combat aérien. Le Scaf repose donc sur une stratégie de combat collaboratif lui permettant d’opérer dans les environnements les plus contestés à l’horizon 2040.

    En quoi le Scaf et ce combat collaboratif nous permettront-ils de gagner la supériorité aérienne dans la troisième dimension, celle des airs ?

    Dans la troisième dimension, le combat collaboratif, c’est être capable d’opérer, d’ajuster, de réorganiser un dispositif hétérogène composé de plateformes habitées et inhabitées. Les drones agiront comme des multiplicateurs de force. Les capteurs et les effecteurs (drones) seront mis en réseau via le cloud de combat. De son côté, l’intelligence artificielle raccourcira considérablement la boucle de décision. L’objectif est notamment d’intégrer un assistant virtuel dans le cockpit de l’avion. Il agira comme conseiller du pilote, qui pourra lui déléguer certaines tâches. Enfin, la furtivité sera également un avantage majeur du Scaf pour gagner cette supériorité aérienne et contrer les menaces futures.

    Où en est l’avancée du projet aujourd’hui ?

    La phase 1B a été lancée le 15 décembre 2022. Plus de 2 000 ingénieurs y travaillent à plein temps. Elle durera environ trois ans et permettra de concevoir les démonstrateurs. La phase 2 sera annoncée début 2026. Son objectif : développer et réaliser ces démonstrateurs, les assembler et effectuer leur premier vol d’essai en 2029. Lors de la troisième phase, qui débutera vers 2030, des campagnes d’essais en vol seront menées. En parallèle, , les systèmes opérationnels seront développés pour une entrée en service à l’horizon 2040.

    Qu’en est-il de nos compétiteurs dans ce domaine ?

    Nous disposons de peu d’informations sur les projets de nos compétiteurs. En revanche, en ce qui concerne nos alliés, les Britanniques travaillent en partenariat avec les Italiens et les Japonais sur le Global Combat Air Program. C’est une approche similaire à la nôtre avec un avion, des drones et un cloud de combat. De leur côté, les Etats-Unis ont lancé le projet NGAD (Next Generation Air Dominance). Ils ont récemment communiqué sur le Collaborative Combat Air, un programme dont le but est de déployer un certain nombre de drones afin de compenser la diminution du nombre d’avions de combat. Américains, Britanniques et Français ont en fait une approche similaire du déploiement d’une force mixte composée de plateformes habitées et inhabitées, et interconnectées entre elles.

     

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  4. Il y a 12 heures, Mobius1 a dit :
    Il y a 14 heures, g4lly a dit :

     

    Pourrais-tu être plus explicites ? 

    Actuellement ce que je retiens du conflit concernant les mbt:

    Avoir beaucoup de plateformes pas chères pour faire canon d'assaut. Sachant que côté occidental en plus des sous la RH est limitante. On pourrait avoir une segmentation avec des 8x8 105 avec 2 hommes si possible pour l'appui feu, et un chenillé avec 140 pour la décision.

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  5. il y a 7 minutes, BPCs a dit :

    La nouveauté c'est

    Citation

    Selon cet amendement, 180 VBAE, cinq engins du génie de combat (EGC) et 2086 camions logistiques entreraient en service dans l’armée de Terre d’ici à 2030. Cinq ans plus tard, ces parcs s’élèveraient à 1440 VBAE, 125 EGC et 9466 camions. Si ces cibles seront certainement précisées en temps voulu, celle avancée pour le VBAE s’avère fiable, nous confirme-t-on de source militaire. 

    Retardée, la contractualisation d’une étude de faisabilité par l’OCCAR au profit de la France et de la Belgique interviendra finalement à l’automne prochain. Restent donc plusieurs mois pour converger sur une plateforme à la masse et au volume suffisamment contenus pour garantir la capacité amphibie et l’emport de jusqu’à trois exemplaires dans un A400M, nous explique-t-on. 

     

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  6. Il y a 4 heures, Scarabé a dit :

    La Marine manque de drone de grande andurance et ne cache pas sa volonté de densifier son dispositif outremer. Ce drone tombe à pic Je le vois bien avec une cocarde de l'aeéronaval sous les ailes. Et decoller de Lann-Bihoué ,Papeete, Noumea pour densifier les patrouilles dans notre ZEE. 

    D'ailleurs Lamigeon parle de leasing de Reaper pour la MN:

    Bon sinon je suis quand même un peu interrogé par le positionnement. Le créneau au niveau européen est quand même bien trusté par l'Eurodrone, les gros drone MALE il n'y en a besoin que d'un nombre limité en HI, et le cout principal doit être dans le système d'arme, pas dans la plateforme. Ils ont quoi comme expérience en intégration de systèmes complexes chez Turgis et Gaillard? Ca peut être une question pour toi @PolluxDeltaSeven

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  7. Il y a 8 heures, HK a dit :

     

    On peut tourner ca comme on veut, payer 5 milliards pour seulement 20-30% de disponibilité en plus, ca reste très très cher.

    L'engagement de la dispo du PANG c'est 65% (à combien de jours mystère). On devrait avoir 100% de disponibilité avec deux PA, par contre derrière il faut aussi pouvoir générer le reste du GAN 100% du temps, c'est pas forcément évident. C'est +35 points de pourcentage, mais en relatif ça fait +50%.

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  8. il y a 33 minutes, Coriace a dit :

     

    Maintenant la question est simple, comment accéder rapidement à cette capacité pour nous ? On sait frapper (mais le prix d'une roquette guidée et d'un AASM n'est pas le même) mais sait on écouter, analyser, frapper aussi rapidement que les Américains ?

    C'est prévu: remplacement des LRU et sections de guerre élec dans les régiments de mêlée.

  9. Bon en cherchant vite fait il y a l'air d'avoir un lien entre le diamètre optimal du col de la tuyère et le débit de masse, pour des histoires de pression dans la chambre:

    https://www.nakka-rocketry.net/th_thrst.html

    Du coup quand on passe sur la section sustainer, on a un débit de masse beaucoup plus réduit (le pain de poudre est attaqué par un bout alors qu'il est attaqué par le coeur dans le phase boost), du coup la tuyère n'est plus optimale si on ne fait rien.

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  10. Prends une tisane avant de poster. Il est évident qu'un missile produit en quantités 100 fois moins importantes va couter plus cher.

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  11. il y a 10 minutes, g4lly a dit :

    A priori oui ... C'est un peu la même chose sur Aster. La chambre les jets de pilotages avant proviennent tous de la même chambre ou les évents sont ouverts tour a tour en fonction du besoin de pilotage.

    Oui mais pour un DACS c'est différent, tu réduis la valve sur un temps court (typiquement sous la seconde) et tu la module rapidement pour répartir la poussée entre les différentes tuyères. Là je vois pas l'effet de réduire la valve, ça fait monter la pression dans la chambre mais les phases boost/sustainer sont à une échelle de temps beaucoup plus longue.

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