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hadriel

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Messages posté(e)s par hadriel

  1. Le 24/03/2023 à 12:19, Gibbs le Cajun a dit :

    Je pense qu'à terme la capacité à neutraliser voir détruire du drone passera surtout par une capacité à avoir une triangulation exacte pour repérer la position de l'équipe qui opère sur un ou plusieurs drones .

    A terme les drones seront autonomes ou presque, au pire ils enverront juste une image pour demander l'autorisation de tir à une humain.

  2. Le 22/03/2023 à 22:04, Lordtemplar a dit :

    2 Sea Venom/ANL + 2 bombes guidees sur pylones externes, et une soute qui peut loger 4 torpilles legeres

    "According to available rendering each wing is fitted with two underwing stations that in the image are armed respectively with a guided bomb on the inner pylon and an MBDA Sea Venom/ANL antiship missile on the outer one. In the video the P-6 MPA underbelly flexible bay was shown capable to accommodate up to four lightweight torpedoes."

    Pas assez contre un SNA nous dirait Pic. Faut compléter sous les ailes pour arriver à 6 ou 8.

     

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  3. Le 18/03/2023 à 21:31, Patrick a dit :

     

    • soit un design préliminaire de Vmax
    • soit un remote carrier supersonique furtif réutilisant les études de Dassault sur le sans dérive
    • soit une étude centrée exclusivement sur lesdits LEVCON et particulièrement sur leur capacité à offrir de la stabilité en roulis lacet et tangage, réalisée au profit du design Airbus

    C'est pas VMAX, pas assez d'angle sur les ailes pour Mach 5.

    C'est pas forcément un monomoteur, le tube en dessous ça a l'air principalement pour loger la perche qui tient le modèle. Ca me laisse penser que ce qui est testé c'est vraiment l'avant, ie les LEVCON. Pareil, l'absence de cockpit c'est peut-être juste pour enlever un paramètre dans l'histoire.

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  4. Il y a 9 heures, g4lly a dit :

    Hforce proprose un bras de support un un "pylônes" pour deux ATGM sur H145M ... Le bidule est déjà opérationnel avec du Spike ... Je ne vois pas pourquoi tu pourrais pas même n'importe quel autre ATGM similaires en masse ou encombrement.

    Sur la plaquette y'a un bras avec 4 missiles. 8 ATGM ou 4 ATGM + 1 pod 12 roquettes ça peut être intéressant.

    La question c'est vu le petit format de la bestiole, à quoi elle sert quand elle ne sert pas d'hélico d'attaque?

    A noter que de notre coté nos 80 H160M ALAT pourraient emporter des roquettes guidées laser et des MMP/MHT avec assez peu de modifications. La RGL avec une maneuvre pitch up avec tir au bon angle comme font les russes ça doit porter assez loin.

  5. Il y a 5 heures, Hirondelle a dit :

    C’est sûrement l’alliance qui les motive le plus dans le bouzin, un genre de remède contre une violente angoisse qui les étreint quand ils voient la Chine évoluer et se comparent à elle.

    Complètement, sinon ils auraient initié des discussions avec la France pour convertir le programme Attack en Barracuda. Et sous la menace d'annuler le programme pour aller chez les US on aurait dit oui. Et ensuite ils seraient allés négocier avec les US et les Brits voir si l'herbe est plus verte ailleurs.

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  6. Citation

    Elisabeth Borne joue-t-elle à la roulette russe avec la sécurité de la France ? Les arbitrages de Matignon vont fortement irriter les armées et les industriels de l'armement. Ce sont également des arbitrages qui sont en complet décalage avec le contexte actuel de crises et de tensions à l'international. Ce sont en outre des arbitrages de Matignon qui décrédibilisent la vision ambitieuse portée par Emmanuel Macron. Enfin, ils ne montrent pas aux alliés et partenaires de la France la volonté de réarmer les armées au bon niveau. « Ces 413 milliards ne permettent pas de dessiner à eux seuls le nouveau visage de nos armées pour le siècle qui commence mais ils amorcent un investissement inédit, un changement profond qui sera ensuite irréversible », avait estimé le 20 janvier Emmanuel Macron. La mèche a donc fait long feu...

    Selon des sources concordantes, la Première ministre Élisabeth Borne a donc rendu fin février des arbitrages financiers concernant les annuités budgétaires de la future loi de programmation militaire (LPM), qui court sur sept ans (2024-2030). Des arbitrages envoyés dans la foulée à l'Élysée, qui n'a pas, semble-t-il, exprimé son point de vue. Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'Élisabeth Borne, qui n'était déjà pas favorable à la trajectoire de la LPM arbitrée par le président à 413 milliards d'euros, a quelque peu saboté la stratégie de remontée en puissance des armées concoctée difficilement par son ministre des Armées, Sébastien Lecornu. Contacté par La Tribune, Matignon n'a pas donné suite à nos sollicitations.

    Une hausse de 3 milliards par an jusqu'en 2027 ?

    Selon ces mêmes sources, Élisabeth Borne a tranché en faveur d'une hausse de trois milliards d'euros par an jusqu'en 2027. L'actuelle LPM prévoyait une augmentation de trois milliards d'euros en 2024 et 2025. Le budget des armées s'élève à 43,9 milliards d'euros en 2023. Si le budget du ministère des Armées augmente de trois milliards d'euros sur la période 2024-2027 (quatre ans), il atteindra seulement 55,9 milliards d'euros. Un montant qui n'atteindra pas encore l'annuité moyenne de la future LPM, qui s'établit à 57,1 milliards d'euros par an (400 milliards sur sept ans, hors recettes extra-budgétaires). Avec les recettes extra-budgétaires, la moyenne des annuités de la LPM devrait s'élever à 59 milliards d'euros.

    Les armées travailleraient actuellement sur cet échéancier budgétaire pour bâtir les besoins capacitaires des armées et les priorités politiques dans le cadre de la future LPM. D'autres sources avancent que la hausse ne serait que de deux milliards d'euros par an en 2024 et 2025 mais ce n'est pas la tendance. Quoi qu'il en soit, c'est trop peu. Car cette hausse devra absorber les programmes déjà lancés mais aussi les programmes nouveaux dont celui Service national universel (SNU), qui va coûter très cher au budget des armées. Sans oublier l'inflation. Résultat, la majeure partie de l'effort de défense serait reportée après 2027. Soit au mieux à la toute fin du quinquennat d'Emmanuel Macron, soit après. Des sources contactées par La Tribune assurent que la marche budgétaire de 2027 ou de 2028 s'élèverait alors à 5,5 milliards d'euros.

    Au prochain chef de l'État de tenir les engagements d'Emmanuel Macron. La ficelle est pour le moins grossière. Pour autant, les armées pourraient trouver un allié, qui pourrait remettre l'église au centre du village. Un rôle taillé sur mesure pour le Sénat et son président Christian Cambon et un de ses franc-tireurs Cédric Perrin. Car on voit mal le gouvernement dégainer le 49.3 pour faire passer une loi telle que la LPM.

     

  7. L'USAF montre ce que peut donner un mix NGF/remote carriers. POur le NGAD ils veulent 200 aviosn pilotés et 1000 drones:

    https://www.thedrive.com/the-war-zone/200-ngad-fighters-1000-advanced-drones-in-usafs-future-plans

    200 c'est quand même très peu comme cible en début de programme, c'est la taille de la flotte de F-22 après toutes les coupes.

    Et les 1000 drones ne sont pas "sacrifiables", mais "abordables":

    https://www.thedrive.com/the-war-zone/affordable-mass-concept-driving-air-forces-new-advanced-drone-initiative

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