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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Disons qu'organiser la lutte armée contre l'occupant anglais c'est déjà une forme de terrorisme, du moins c'était le point de vu anglais ... et ça explique une part du fort antisionisme de la gauche anglaise.
  2. Avdivka est la derniere zone largement fortifié/fortifiable dans le coin derriere c'est beaucoup plus mou et couteux à défendre. Neutraliser la défense à Avdivka c'est soit forcer l’Ukraine à mobiliser plus de troupe sur ce secteur du front ... soit en faire une zone molle qui pourrait être exploité plus facilement qu'ailleurs. D'autant que la perte d'Avdivka laisse le flanc non protégé vers New York et Toresk.
  3. Tu scotomise ou quoi ... Cependant, sans revenir sur son rejet de l’entité sioniste et sans renoncer à aucun droit palestinien, le Hamas considère la création d’un État palestinien entièrement souverain et indépendant, avec Jérusalem comme capitale, selon les limites du 4 juin 1967, avec le retour des réfugiés et des déplacés vers les maisons d’où ils ont été expulsés, comme une formule de consensus national.
  4. Pour le moment ce n'est pas relayé par les chaînes libanaise qui ne parle que de bombardement israélien très localisé sur la zone frontalière. L'argument israélien c'est qu'ils auraient détecté une infiltration terroriste potentielle.
  5. Les chaînes libanaise parle de bombardement israélien seulement ...
  6. Sinon les algues vertes ca marche aussi ... il suffit de demander un peu d'aide aux agriculteurs.
  7. Ouaiiiiis on a qu'à auto déporté les palestiniens ... on les mets dans ton jardin ... tu pourras t'amuser avec, tu dois bien avoir un barbecue? ou ca te fera du bois de chauffage!
  8. Il faut comprendre qu’Israël a été construit justement par ces services. A la base ce sont des regroupement de mouvement terroriste - se revendiquant d’autodéfense - Haganah, Irgun et Lehi qui sont la base de la construction de l'état immédiatement après 47. C'est immédiatement après que ces mouvements paramilitaires clandestins on constitué finalement une "vraie armée" et les services de sécurité associé - qui à la base dérivait tous de la défense puisque l'état sortait d'une guerre avec les anglais pour enchaîner avec une guerre contre les arabes -.
  9. Sinon un camp d’entraînement pour Tashal ... histoire de préparer la libération de la Judée et Samarie.
  10. Des ruines à visiter ... ou on pourrait faire un parc d'attraction ou un zoo ...
  11. Pourtant selon le renseignement anglais les russes sont à cours de munition depuis mai 2022 ?!
  12. Avec Israël c'est encore plus compliqué puisque dans le coin il y a une énorme concurrence pour les ressource naturelle, non seulement l'eau, certes le foncier, mais aussi le pétrole ou le gaz ... ... d'ailleurs ca fait longtemps déjà qu'il n'y a plus en Israel de force politique défendant une solution à deux états. Le curseur c'est juste à quel vitesse la colonisation doit se poursuivre, et quelle place on laisse ou pas à quelques réfugié palestinien chez eux pour faire bonne figure.
  13. Quelques détails ici https://www.lepoint.fr/monde/le-hamas-dit-accepter-un-etat-palestinien-limite-aux-frontieres-de-1967--01-05-2017-2124020_24.php Le Hamas accepte un Etat palestinien limité aux frontières de 1967 Le Hamas islamiste palestinien a annoncé lundi soir, pour la première fois de son histoire, avoir modifié son programme politique, disant accepter un Etat palestinien limité aux frontières de 1967 et insistant sur le caractère politique et non religieux du conflit avec Israël. Le Hamas est considéré comme "terroriste" par les Etats-unis, l'Union européenne et Israël et nombre de ses dirigeants sont visés par des sanctions. En amendant pour la première fois en près de 30 ans ses textes fondateurs, dénoncés par beaucoup --Israël en tête-- comme "antisémites", il tente de revenir dans le jeu des négociations internationales, estiment les experts. Cette annonce, notent-ils encore, intervient à 48 heures de la première rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue palestinien Mahmoud Abbas, à couteaux tirés avec le Hamas. "Renouvellement" "Le Hamas est un mouvement vivant qui se renouvelle", a plaidé son chef Khaled Mechaal lors d'une conférence de presse à Doha. Mais, a-t-il dit, les principes demeurent. Le Hamas insiste sur le fait qu'il ne reconnaît pas l'Etat hébreu et un document rendu public évoque "la Palestine, du fleuve Jourdain à la mer Méditerranée". Mais dans le document, le Hamas estime qu'"un Etat palestinien entièrement souverain et indépendant dans les frontières du 4 juin 1967, avec Jérusalem pour capitale, (...) est une formule de consensus national". En inscrivant clairement qu'il accepte un Etat limité à la Cisjordanie, la bande de Gaza et Jérusalem-Est, le Hamas endosse les frontières déjà reconnues par l'Organisation de libération de la Palestine (OLP). Lui et le Jihad islamique sont les seules forces politiques palestinienne à ne pas appartenir à cette entité reconnue par la communauté internationale comme représentant l'ensemble des Palestiniens à l'intérieur des Territoires occupés. En outre, le document qui s'ajoute à la charte originelle de 1988, affirme que le Hamas est "en conflit avec le projet sioniste et non avec les juifs en raison de leur religion". Il prend par ailleurs ses distances avec les Frères musulmans égyptiens. Avec l'annonce de ces changements, le mouvement entend s'ouvrir au dialogue avec les autres forces palestiniennes mais surtout avec les capitales étrangères qui, jusqu'ici, refusent tout dialogue officiel avec le Hamas, qui contrôle depuis 10 ans la bande de Gaza. Le Hamas "se moque du monde" Israël a toutefois déjà répliqué qu'il n'était pas convaincu. Le Cogat, l'organe du ministère israélien de la Défense en charge des Territoires occupés, a estimé que le Hamas "se moque du monde en essayant de se présenter avec ce soi-disant document comme une organisation éclairée". "Ils creusent des tunnels pour mener des actes terroristes et tirent des milliers et des milliers de missiles sur des civils israéliens", a accusé David Keyes, un porte-parole du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu dans un communiqué. Le Hamas a combattu, aux côtés d'autres mouvements armés, à trois reprises l'armée israélienne à Gaza depuis 2008. "La question de considérer la charte de 1988 comme caduque fait débat depuis des années au Hamas. Pour ne pas l'abroger, un nouveau document a été rédigé pour établir les positions politiques du Hamas", explique à l'AFP Leïla Seurat, chercheur associée au Centre de recherches internationales (CERI). Pour cette spécialiste du Hamas, la reconnaissance des frontières de 1967 n'implique "pas une reconnaissance d'Israël". "La seule nouveauté, c'est qu'il l'inscrit pour la première fois dans un document propre au mouvement" qui vaut également pour sa branche armée, souligne-t-elle. Militaires et politiques sont régulièrement présentés comme concurrents au sein du Hamas. La récente élection à la tête du mouvement dans la bande de Gaza de Yahya Sinouar, un commandant militaire tenant de la ligne dure, a d'ailleurs fait redouter une escalade avec l'Etat hébreu. Le Hamas doit annoncer sous deux semaines le nom du successeur de Khaled Mechaal, qui incarne l'aile pragmatique et conciliante du Hamas et qui a joué, selon Mme Seurat, "un rôle fondamental" dans la rédaction du document présenté lundi. Le vainqueur pressenti est Ismaïl Haniyeh, sur la même ligne.
  14. https://fr.wikipedia.org/wiki/Plan_Madagascar https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_Ouganda Si les allemands n'avaient pas pris une branlée le probleme serait réglé depuis bien longtemps les "juifs" seraient tous tranquillou à Madagascar ou en Ouganda sur la plage au soleil ... ... C'est encore la faute aux anglais et au soviet tout ça!
  15. On se demande bien pourquoi le Hamas a été justement instrumentalisé - par Israël et ses soutien - pour mettre à mal la si gentille OLP --- Concernant le prise de position très mesuré du Vatican ... il faut bien se rappeler que la situation des chrétiens de Palestine n'a rien à envier à celle des arabes - techniquement musulman, on dit arabe juste pour noyer le poisson - de Palestine, ils sont soumis à la même oppression. --- Concernant les juifs non israéliens on peut voir que les réactions sont bien moins tranché que chez les gentils "catho" du forum ... https://fr.timesofisrael.com/ces-juifs-americains-qui-manifestent-contre-israel-suite-aux-massacres-du-hamas/ Ces Juifs américains qui manifestent contre Israël suite aux massacres du Hamas NEW YORK – Alors que la plupart des organisations juives américaines se sont mises en mode urgence ce week-end pour organiser des rassemblements pro-israéliens, tous les Juifs américains n’ont pas regagné la « tente communautaire » en ce qui concerne le soutien à l’État juif en guerre. Dimanche, alors que beaucoup étaient encore en train de méditer sur la nature et l’ampleur des massacres perpétrés par le Hamas, samedi, qui ont fait plus de 1 300 morts israéliens et plus d’une centaine d’otages à l’issue d’une offensive aérienne, terrestre et maritime redoutablement organisée, le groupe juif d’extrême gauche IfNotNow a opté pour un positionnement radicalement différent. « Nous ne pouvons pas et ne dirons pas que les actions d’aujourd’hui des militants palestiniens ne sont pas provoquées », peut-on lire dans la déclaration d’IfNotNow, organisation fondée en 2014 pour protester contre l’aide américaine à la défense israélienne, en référence aux terrorisme palestinien. « Chaque jour de plus sous le système d’apartheid israélien est une provocation. Le siège de Gaza est une provocation », dit le communiqué. En ce qui concerne les civils assassinés dans les attaques de samedi, IfNotNow a déclaré : « Leur sang est sur les mains du gouvernement israélien, du gouvernement américain qui finance et excuse leur imprudence, et de tous les dirigeants étrangers qui continuent de fermer les yeux sur des décennies d’oppression palestinienne, mettant en danger les Palestiniens et les Israéliens. » Ces déclarations reflètent une certaine réalité des campus universitaires, où les activistes des deux bords du conflit israélo-palestinien luttent pied à pied, explique l’historienne Sara Hirschhorn, professeure d’études israéliennes à l’Université Northwestern. Il y a eu un changement radical parmi les jeunes sur le soutien à Israël, avance-t-elle. « Il y a un changement générationnel parmi les jeunes Juifs américains milléniaux qui est signifié dans cette déclaration [IfNotNow], et cela suggère qu’il y a des changements d’attitude ici », a déclaré Hirschhorn au Times of Israel lundi. Sara Hirschhorn, auteure et historienne. (Autorisation de Sara Hirschhorn) Sur de nombreux campus, souligne Hirschhorn, « on demande aux jeunes Juifs de laisser leur sionisme à la porte de la cause progressiste. S’ils entendent de leurs pairs que le sionisme représente le fanatisme, l’injustice et le racisme, pourquoi prendraient-ils fait et cause pour Israël ? » Aux États-Unis, le soutien juif à Israël a commencé à s’éroder il y a de cela une cinquantaine d’années, estime Hirschhorn. Bien que les raisons de la désunion d’aujourd’hui soient variées, un nouvel élément s’est ajouté l’an dernier, dit-elle. « L’actuel gouvernement israélien et certaines de ses politiques ont été un véritable électrochoc et une source de crainte pour les Juifs américains, en particulier pour ceux qui commencent à se demander si la relation entre Israël et la diaspora repose sur des valeurs communes », explique Hirschhorn, ajoutant que de nombreux étudiants juifs étaient « profondément attachés aux valeurs progressistes et à l’activisme ». « Les Juifs de Harvard pour la libération » On voit beaucoup de keffiehs autour du cou des étudiants de l’Université Harvard depuis dimanche, dit au Times of Israel Alex Bernat, étudiant en première année en génie électrique et informatique. Le Comité de solidarité avec la Palestine de Harvard a lancé le mouvement « Keffieh Thursday » à Harvard bien avant les attaques de ce week-end, de sorte que Bernat était habitué à voir environ « 10 ou 20 » personnes portant le keffieh les jeudi. Le Comité de solidarité avec la Palestine de Harvard tient son « Jeudi Keffieh » hebdomadaire en soutien à la Palestine. (Crédit : Facebook) Malgré tout, ce dimanche, Bernat s’est dit « choqué » de voir tant de personnes de sa connaissance porter un keffieh, jusqu’à des camarades de classe. « Harvard est un environnement très toxique pour les questions liées à Israël ou pour les étudiants juifs, et les massacres du Hamas de ce samedi ont fait ressortir des sympathies pour le terrorisme et autres choses désagréables », explique Bernat, qui dirige la Conférence de Harvard Israël depuis deux ans. Bien que Bernat n’ait, semble-t-il, pas vu d’étudiants juifs avec un keffieh ce dimanche, l’organisation « Harvard Jews for Liberation » de l’université a attiré l’attention des médias internationaux avec une déclaration condamnant Israël, publiée au cours du week-end. Présentée comme une « déclaration conjointe des groupes de solidarité avec la Palestine de Harvard sur la question palestinienne », la déclaration appelle à l’action pour protéger les Palestiniens des « représailles coloniales ». Rassemblement des « Juifs contre Israël » à Brookline, dans le Massachusetts, le lendemain du meurtre de 1 200 Israéliens par le Hamas, le 8 octobre 2023. (Crédit : Réseaux sociaux) Selon la déclaration, publiée par le Comité de solidarité avec la Palestine (PSC) de Harvard, la riposte d’Israël à l’assassinat de plus de 1 300 civils et soldats « requiert une position ferme contre ces représailles coloniales. Nous appelons la communauté de Harvard à prendre des mesures pour mettre un terme à l’anéantissement des Palestiniens », peut-on lire dans la déclaration. Selon Bernat, la majorité des étudiants juifs de Harvard soutiennent Israël. Dans la foulée de la déclaration anti-israélienne publiée par le CPS, Bernat a publié une lettre ouverte de soutien à Israël qui dénonce les 32 groupes de Harvard cosignataires de la déclaration du PSC en soutien au Hamas. « Dans l’ensemble, ici, la communauté juive est incroyablement unie », assure Bernat, ajoutant que les dirigeants des campus Hillel et Chabad se sont joints à la lettre, signée jusqu’à présent par plus de 3 500 personnes. Selon Bernat, natif de Chicago, Harvard Jews for Liberation est une « émanation » de Jewish Voice for Peace et IfNotNow, et non une organisation née sur le campus. Des militants de Jewish Voice for Peace à Bryant Park, New York. (Crédit : Réseaux sociaux) Jewish Voice for Peace (JVP) a été fondé en 1996 par des militants anti-Israël, parmi lesquels Tony Kushner et Noam Chomsky. Semblable aux organisations sionistes J Street et AIPAC, JVP est un mouvement national avec des militants recrutés parmi les étudiants des campus. Hier, JVP a publié une note de blog demandant au gouvernement américain de « prendre sans délai des mesures pour retirer les financements militaires à Israël et tenir le gouvernement israélien responsable des violations flagrantes des droits de l’homme et de ses crimes de guerre contre les Palestiniens ». « Des souffrances palestiniennes incommensurables » Alors que des milliers de Juifs et soutiens d’Israël affluaient aux rassemblements et veillées organisées dès samedi soir, des Juifs américains ont utilisé leur notoriété pour dire haut et fort qu’Israël était responsable des massacres du Hamas. « Il ne peut y avoir de retour au statu quo ante de l’occupation indéfinie en Cisjordanie et du siège de Gaza, ce contre quoi les Palestiniens luttent depuis longtemps », a écrit Joshua Leifer, rédacteur en chef de Jewish Currents. Célèbre sur les réseaux sociaux anti-Israël, Leifer a dit que ce mois-ci resterait dans les mémoires en raison du « génocide » perpétré par Israël à Gaza, et non en raison des massacres du Hamas. Joshua Leifer, journaliste et rédacteur en chef de Jewish Currents (Domaine public) « Contrairement à ceux, à gauche, qui ont rapidement salué l’attaque du Hamas comme le premier acte d’ouverture d’un possible soulèvement, il est plus probable qu’on s’en souvienne comme d’un acte suicidaire qui entraînera presque certainement des souffrances palestiniennes incommensurables », a écrit Leifer. Hirschhorn estime que des déclarations comme celles de Leifer ou d’IfNotNow ne sont « ni favorables à la solution à deux États ni contre le terrorisme », comme elle s’en est ouverte au Times of Israel. Elle a en effet dit « ignorer si IfNotNow, personnellement ou professionnellement, se considère comme faisant partie de la communauté ». « Je ne suis pas certaine de leur position sur ces questions ni de la manière dont ils se perçoivent ». Lundi soir, IfNotNow a tweeté que certains de ses membres avaient perdu des « proches israéliens » dans les attaques de samedi. Cependant, poursuit le tweet, les militants palestiniens devraient être « terrifiés pour leurs proches à Gaza, qui n’ont nulle part où aller, au moment où les dirigeants utilisent notre douleur comme arme pour appeler au génocide ». La déclaration publiée dimanche par IfNotNow a placé le groupe au-delà des « limites » fixées par les Juifs américains traditionnels, a déclaré Hirschhorn. Dans l’opposition, J Street, fondée en 2007 pour protester contre le soutien américain à la présence d’Israël dans les Territoires contestés, a publié une déclaration condamnant le Hamas. « Nous sommes consternés de voir que certaines organisations, commentateurs ou politiciens trouvent des excuses, des justifications voire des raisons de se réjouir de ces crimes atroces commis contre des Israéliens », dit le communiqué de J Street, publié lundi. Photographie du « mur de résistance » de la « Semaine contre l’apartheid israélien » de l’Université Harvard en 2019, à Cambridge (Massachusetts). (Crédit : Réseaux sociaux) Le groupe J Street de Harvard est affilié à Hillel et s’est jusqu’à présent abstenu de publier des déclarations sur les massacres du Hamas. Non content de soutenir le groupe J Street du campus, ces 15 dernières années, Harvard Hillel a accueilli des conférenciers de « Breaking the Silence », vétérans de Tsahal qui « révèlent au public la réalité de la vie quotidienne dans les territoires occupés ». Confiné par les « Standards of Partnership » de Hillel International, le groupe Harvard Hillel n’a pas été en mesure « d’ouvrir la tente » au mouvement « Open Hillel », qui souhaite « ouvrir le débat sur les campus autour du conflit israélo-palestinien ». Pour Hirschhorn, un des traits caractéristiques du judaïsme – sur les campus comme en dehors – est l’ouverture à la diversité des points de vue et au dialogue. Mais, regrette-t-elle, les déclarations de groupes comme IfNotNow ou JVP troublent et bouleversent un grand nombre de Juifs américains. « C’est le moment de se rassembler en tant que communauté », dit Hirschhorn. « Nous devrions autant que possible faire en sorte de garder la tente ouverte, avec des limites qui doivent être rappelées avec force dans des moments comme celui-ci, lorsque des civils sont tués dans des circonstances atroces. »
  16. Pourquoi s'apaiser? Pour aider Israel a déporter les palestiniens?! Le Hamas ne sort pas du chapeau... et a été instrumentalisé pour scinder le soutien palestinien à l'OLP. Et sa raison d'être, en tant qu'émanation des frères musulmans c'est bien de restaurer une palestine musulmane dans les frontieres grosso modo de la palestine pré 47. Dans ce cadre il n'y a aucun apaisement envisageable puisqu'on est en fait en pleine guerre civile, et qu'il n'y a plus aucune volonté coté israelien de mettre en place deux etats. Coté palestinien le seul espoir c'est de retarder la déportation ai cas ou un jour le vent tourne. Il a bien tourné pour les juifs apres 2000 ans...
  17. C'est possible, et ca se fait ... mais c'est pas idéal. Non seulement les types d'obus n'ont pas forcément la même balistique, et plus tu tire loin plus ca se voit, mais en plus selon le prix des obus, tu te retrouve a consommer des obus couteux que des obus bon marché. Les APFSDS sont assez couteux. Il y a aussi le problème des collatéraux, les APFSDS ne s'autodétruise pas ca les rend vulnérant très loin meme au delà de barrière assez dures.
  18. La doctrine israélienne c'est que les otages ne sont plus des cibles "civiles", si on les sauvent tant mieux, sinon tant pis. C'est une logique qui se défend dans le sens ou ca rend inutile la prise d'otage à priori.
  19. Les frontières de 67 sont celle d'un armistice entre états arabes ... pas entre Israel et la Palestine ... la seule frontière qui vaille pour la Palestine serait celle de 47 proposé par l'ONU qui intègre dans sa proposition un état Palestinien. Pour le reste la Palestine se considérera toujours occupé ... et à juste titre du point de vu palestinien. D'autant que les événements vont tous dans le sens d'une déportation de fait des palestiniens pour laisser la place au colons israélien aussi bien en Judée, Samarie qu'à Gaza.
  20. Ou c'est toi qui vit dans le déni ... au choix.
  21. On leur reproche quoi au Azerbaïdjanais d'avoir résister à l'envahisseur Arménie et d'avoir recouvrer leur frontières?!
  22. Les choses n'arrivent pas par hasard. Tu ne te lève pas un matin brutalement en te disant que tu vas aller tuer un enseignant ... ... après l'occasion fait souvent le larron, et alimenter un thème déjà à la une peut apporter plus de visibilité à l'action. Psychologiquement il faut souvent un déclencheur pour le passage à l'acte violent, la goutte du vase ... peut être que les images de violence ont été la goutte de ce vase. https://www.lepoint.fr/societe/une-centaine-d-actes-antisemites-recenses-en-france-depuis-l-attaque-du-hamas-contre-israel-12-10-2023-2539078_23.php
  23. Il ne s'agit pas de légitimer quoique ce soit ... il s'agit de ne pas intérioriser un seul point de vue. C'est pas un problème de qualificatif qui ne dépende que de ta morale et de ta vision du conflit ... c'est un problème de victoire et de défaite. Si tu vois les colons israéliens comme l'oppresseur ... ca devient une cible naturelle. Et pour le fait qu'égorger quelqu'un soit pire ou mieux que de lui jeter une rocket sur la gueule ... la aussi c'est purement de l'intériorisation d'une certaine morale occidentale.
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