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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. https://www.courrier.am/fr/actualite/moscou-les-dirigeants-derevan-commettent-une-grave-erreur Moscou : « les dirigeants d’Erevan commettent une grave erreur » En milieu d'après-midi le 25 septembre, le ministère russe des Affaires étrangères a vertement répondu aux déclarations du Premier ministre sur les conséquences des évènements du Karabagh. « La responsabilité d'une telle évolution des événements incombera entièrement à l'Azerbaïdjan, qui a adopté une politique de nettoyage ethnique, ainsi qu'aux troupes de maintien de la paix de la Fédération de Russie au Haut-Karabagh », déclarait dimanche Nikol Pashinyan alors qu'il revenait sur la ratification du traité de Rome et justifiait la nécessité pour l'Arménie de diversifier sa recherche d'alliés en matière de sécurité nationale. Le Premier ministre réagissait aussi aux propos d'Evgueni Fedorov, député à la Douma d'État russe, qui lui-même ne déclarait rien de moins, au lendemain de l'agression azérie sur le Karabagh : « nous rétablirons le contrôle de ce territoire. Erevan reviendra à la position de notre réalité historique. Autrement dit, ce sera un position de gouvernorat ou autre chose ». « L’analyse des événements montre que les systèmes de sécurité et les alliés sur lesquels nous comptons depuis de nombreuses années se sont fixé pour tâche de montrer nos vulnérabilités et de justifier l’impossibilité pour le peuple arménien d’avoir un État indépendant. », s'est insurgé Nikol Pashinyan, ajoutant : «Nous appelons la communauté internationale à exprimer son soutien indéfectible à l'indépendance, à la souveraineté, à l'intégrité territoriale et à la démocratie de l'Arménie. Nous prendrons toutes les mesures pour protéger notre indépendance. À cet égard, il est nécessaire de transformer, compléter et enrichir les outils de sécurité extérieure et intérieure de la République d'Arménie, en coopérant avec tous les partenaires prêts à prendre des mesures mutuellement bénéfiques ». La réaction officielle de Moscou est tombée hier en milieu d'après-midi, brutale et défiante, s'en prenant directement au chef de l'État arménien. « L'allocution du Premier ministre de la République d'Arménie Nikol Pashinyan sur l'indépendance du 24 septembre 2023 contient des attaques inacceptables contre la Russie et ne peut que provoquer le rejet. Il s’agit d'une tentative de se dégager de sa responsabilité des échecs de la politique intérieure et étrangère, en rejetant la faute sur Moscou. Les dernières déclarations de Nikol Pashinyan confirment nos conclusions antérieures selon lesquelles les processus inspirés par l'Occident et soutenus par Erevan, destructeurs pour notre propre pays et nos relations alliées, ne sont pas de nature épisodique, mais systémique. Le chef du gouvernement a en effet admis que pendant tout ce temps la république se préparait délibérément à se détourner de la Russie. Les démarches, destinées à établir un nouveau vecteur – occidental – pour le développement de l’Arménie, sont justifiées de manière peu convaincante par de prétendues erreurs de la part de la Fédération de Russie et de l’OTSC. Dans le même temps, on oublie que nos États ont des intérêts largement similaires en matière de sécurité et de développement, et que les États-Unis et d'autres pays de l'Otan se sont fixés pour objectif non seulement d'infliger des dommages stratégiques à la Russie, mais aussi de déstabiliser notre espace eurasien commun. La Russie respectait toujours ses obligations alliées, respectait l’État arménien et n’a jamais placé la république devant un choix: avec nous ou contre nous. Moscou aidait et continue de fournir une aide à grande échelle à l'Arménie fraternelle dans les domaines de la sécurité, de l'économie et de la culture. En automne 2020, les efforts de la Fédération de Russie et du Président Vladimir Poutine en personne ont permis d’empêcher la défaite totale de l’Arménie. Si Nikol Pashinyan avait accepté une trêve quelques semaines plus tôt, la défaite aurait été moins grave. Enfin, l'activité courageuse des casques bleus russes au Haut-Karabakh, parfois au prix de leur propre vie, est une confirmation directe de l'engagement de la Russie à remplir sa mission extrêmement difficile dans l'intérêt de l'instauration de la paix entre les peuples azerbaïdjanais et arméniens, dont Nikol Pashinyan a choisi de garder le silence. Notre pays, malgré les signaux de plus en plus fréquents sur la création de difficultés artificielles pour les entreprises russes dans la république, poursuit fermement la voie du renforcement des liens économiques et d'investissement avec l'Arménie, tant au niveau bilatéral que dans le cadre de l'Union économique eurasiatique. Aujourd'hui, ils font preuve d'une dynamique record, contribuant à la croissance impressionnante de l'économie arménienne et du bien-être des citoyens. La Russie plaide fermement pour le renforcement de l'espace culturel et éducatif commun avec l'Arménie malgré les tentatives de différents représentants arméniens d’entraver l'avancement des projets mutuellement bénéfiques dans le domaine humanitaire. Dans les affaires régionales, Nikol Pashinyan, au lieu de respecter l'accord entre les dirigeants de la Russie, de l'Azerbaïdjan et de l'Arménie de novembre 2020 visant à laisser la décision sur le statut du Haut-Karabakh aux générations futures, a succombé aux exhortations de l'Occident. Prague et Bruxelles ont décidé d'agir sur la base de la Déclaration d'Almaty de 1991, reconnaissant la souveraineté de l'Azerbaïdjan sur le Haut-Karabakh. Cela a fondamentalement modifié les conditions de signature de la déclaration trilatérale du 9 novembre 2020, ainsi que le statut du contingent russe de maintien de la paix. En raison de la myopie des dirigeants arméniens, il n'a pas été possible de mettre en œuvre un certain nombre d'accords dans le domaine du renforcement de la sécurité de l'Arménie. En particulier Nikol Pashinyan n'a pas signé la décision déjà convenue par tous les ministres des Affaires étrangères des six pays à envoyer une mission d'observation de l'OTSC dans les régions de la république limitrophes de l'Azerbaïdjan. La situation a également été exacerbée par le déni obstiné d’Erevan de la présence des forces armées arméniennes au Haut-Karabakh après le 9 novembre 2020, ce qui est devenu l’une des principales causes de la dernière escalade de septembre. L'accord conclu le 20 septembre grâce à la médiation du contingent de maintien de la paix russe sur le retrait des unités arméniennes restantes et le désarmement complet de l'Armée de défense du Haut-Karabakh avec le retrait des équipements lourds et des armes a révélé la réalité et créé les conditions préalables à une désescalade durable. En grande partie à cause de la position contradictoire des dirigeants arméniens, qui ont préféré se tourner vers l'Occident au lieu d'un travail rythmé avec la Russie et l'Azerbaïdjan, la mise en œuvre de l'ensemble des accords trilatéraux au plus haut niveau pour 2020-2022 est restée au point mort. Un temps précieux a été perdu, pendant lequel des progrès significatifs auraient pu être réalisés en termes d'accord sur un traité de paix, de délimitation de la frontière et de déblocage des communications régionales, qui seraient devenus des facteurs de sécurité supplémentaires pour l'Arménie. Il convient également de noter que lors des réunions susmentionnées de Prague et de Bruxelles sous l’égide de l'Union européenne, le Premier ministre arménien, tout en reconnaissant l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan, n'a pas évoqué les droits et la sécurité des Arméniens du Karabakh. Même aujourd'hui, nous ne voyons pas un grand intérêt de la part d'Erevan pour aider à résoudre les problèmes urgents au Haut-Karabakh - nous parlons de créer des conditions favorables au respect du cessez-le-feu, d'améliorer la situation humanitaire et d'établir un dialogue durable entre Bakou et Stepanakert. Cette approche irresponsable de l’équipe de Nikol Pashinyan a provoqué un mécontentement compréhensible au sein d’une partie de la société arménienne, qui s’est exprimé par des protestations populaires. Bien entendu, les allégations selon lesquelles elles auraient été inspirées par la Russie n’ont rien à voir avec la réalité. Le chef du gouvernement arménien doit être bien conscient que Moscou ne pratique pas de telles choses - contrairement à l'Occident qui est assez habile dans l'organisation de "révolutions de couleur", mais qui, par une étrange coïncidence, a choisi de ne pas remarquer les nombreux faits de persécution des manifestants par les autorités d'Erevan. Parallèlement, il est de notoriété publique que l'ambassadeur américain entretient des contacts étroits avec le gouvernement. Dans ce contexte, une véritable bacchanale antirusse s’est déroulée dans les médias arméniens clairement à l’instigation des autorités. Nous sommes convaincus que les dirigeants d’Erevan commettent une grave erreur en essayant délibérément de détruire les liens multidimensionnels et séculaires entre l’Arménie et la Russie et en faisant du pays un otage des jeux géopolitiques de l’Occident. Nous sommes convaincus que l’écrasante majorité de la population arménienne en est consciente. »
  2. Ils en ont très peu ... et en ont perdu quelqu'un en Ukraine ... après tout ce n'est qu'un char qui est aussi sensible au armement antichar que n'importe quel char. Sauf que lui est sensé etre encore plus au contact de l'infanterie adverse et donc de leurs armes AC.
  3. Le probleme c'est dans la manière ... à partir du moment ou ta diplomatie va à l'inverse de la diplomatie des pays dans lesquels tu fais la guerre contre ses "opposants" ... ça finit forcément par coincer.
  4. Un exemple trivial ... Au Mali on a empêché le dialogue entre les loyalistes et les séparatiste ... en arguant contre l'avis du pouvoir malien que c'était tous des djihadiste, tous des terroristes et qu'il n'y avait rien à discuter avec eux. Le raccourci opposant égal terroriste islamiste ... était une facilité pour rester faire la guerre sur place plutôt que d'essayer de trouver d'autres solutions. Pas forcément que ce soient les bonnes, mais aux moins c'étaient celle que les locaux voulaient essayer. Dans le virage US de divers états du coin il faut se poser des questions sur la manière dont on les traite aussi. Le Maroc qui vire sous alliance US ca interroge par exemple ... Et l'argument à la con de @prof.566 c'est pas notre faute, on est les meilleurs, et la seule raison qui fait qu'on s'en prennent à nous c'est parce que nous serrions les colons historique me semble un bon moyen de refuser de se poser les vrai question ... ou a t on merdé. En psychologie on appelle ca un comportement d’évitement. Et ton argument nous expliquant que c'est un épiphénomène est du même acabit.
  5. C'est un peu plus pour les tube mortier long en tourelle. Pour le tir direct il suffit de voir l'ukraine. Les compartiments de terrains de plus de 2000 semble pas etre si courant. Et un canon de char en 105 n'envoie pas beaucoup plus loin de l'explo en LOS. Apres idealement le mortier fait le feu NLOS au plus proche et le char 105\120 fait l'appui direct au contact en conjonction avec les autocanons - weapon carrier ou char leger ou vci -. L'interet de mortier en tourelle c'est la polyvalence preference artillerie.
  6. Il exista cela, pas acquis par l'armée française mais probablement testé. La tourelle TA-20 est ancienne ... ici sur Panhard M3. Je doute que les bitube sur affut fixe de l'AdlA aient été boulonné sur le toit de VAB.
  7. Les annonces ... mais avant de faire rentrer le site d’extraction en prod puis la sidérurgie lourde qu'il y a derrière pour transformer le minerais en métal industrialisable ...
  8. Le systeme défensif est en général organisé en au moins trois ligne de défense. La première ligne au contact direct de l'ennemi. A chaque instant tu peux être attaqué. Les abris d'infanterie sont assez sommaire, puisqu'on passe son temps à guetter l'ennemi La seconde ligne sert d'appui à la première. Elle ne rentre dans le combat que si la première ligne est en difficulté, ou seulement comme appui feu, via les mitrailleuse et les mortier de tranchée. Les abris d'infanterie et les poste de combat sont plus confortable, plus profond voire largement enterré, on est moins sur le qui vive puisque qu'on est protégé par la première ligne et qu'on aura donc du temps pour se mettre en ordre de combat. La troisième est dite de réserve. Sert à soutenir les lignes de l'avant avec des troupes fraiche, des munitions, etc. Accessoirement elle sert de ligne de repli aux autres lignes le temps d'une contre attaque ou d'une retraite. Les abris sont confortable, normalement l'approvisionnement est bon, on peut se reposer puisqu'on ne participe pas activement aux combats. Au delà des position d'infanterie on à les postions d'artillerie ...
  9. Il me semble que l'AJAX est de base à 40/42t ... je pense qu'il faut ajouter un kit dessus pour passer en niveau 5 ... mais on est loin de 25/30t des Jaguar Griffon VBCI.
  10. Pour supporter sans faiblir du 30x173 ADSPFS-T - on est à 120mmRHA - ou des shaped charge type PG7V ... il faut du niveau 6+- ca dépend de l'inclinaison, si c'est bien incliné le niveau 6 suffit - ... et ça donne ça en IFV https://en.wikipedia.org/wiki/VN20
  11. C'est le principe des canon basse pression des IFV soviétique ... servir de lance bombe en tir direct et indirect, obus de 16/7kg équivalent d'un obus de char, jusqu'à 4000 à 6500m selon la masse du projectile. Associé à un autocanon performant de 30mm ... on a un engin particulièrement polyvalent pour l'appui au contact. Dans le cas de l’Ukraine l'engin peu servir à déployer de manière très souple et durable des écrans de fumée qui couvre les assaut mécanisé par exemple. Chose qu'on ne peut pas faire autrement - les moyen moderne n'aide pas ici - ... sauf avec des MO120 tracté assez vulnérable. Même si l'opposition char et ATGM n'est pas la principale menace pour les ukrainiens lors de le offensives - à priori le souci le plus important sont les mines -, opérer sous un sérieux couvert de fumée épargne bien des soucis.
  12. Ca fait un moment que le comportement de la France en Afrique n'est plus approprié aux aspirations locales ... en ce sens c'est un échec à maintenir des relations constructives. Un défaite plus ou moins dans le sens ou l'influence qu'on perd d'autre la gagne, la Russie, les USA la Chine, les états du Golfe Persiques etc. Mais dans une certaine mesure ce qui se déroule aujourd'hui n'est que le fruit d'un long processus de décolonisation mal fagoté, et de désintérêt pour l'Afrique par les autres partie - USA, Russie et Chine - précédemment. Depuis que l'Afrique est devenu à nouveau un centre d’intérêt - dans le rivalité USA Chine par exemple - on se retrouve avec pas mal de concurrent ... et on a pas grand chose à offrir de plus que de vieilles casseroles. Il suffit de voir le comportement des USA en Afrique pour comprendre le décallage.
  13. A priori ils ont mis en service des variantes à plus longue portée de leurs drones "lancet" ... je ne sais pas trop si la limitation venait de l'énergie ou des com' mais ca à changé. Pourles com' on peut penser à l'usage d'un relai sur un autre drone, ici celui qui fait le cible par exemple. Pour l'énergie une nouvelle architecture interne, avec plus de volume pour les batterie ou des batterie plus "dense". Ce qui est surprenant c'est le niveau de protection des avions ... aussi bien en Ukraine qu'en Russie ... ... Certes contre les armements guidé type SDB c'est pas super efficace ... mais contre le reste du spectre ça réduit quand même beaucoup les risques. Ici rien de ça ... alors qu'ils sont déployé relativement proche de l'ennemi.
  14. Souvent on ne s'interesse pas au contenu mais juste aux metadonnées du transfert ca peu suffire à qualifier des communication.
  15. C'est surtout le comble de l'hypocrisie...
  16. On parle bien du demi dieu acclamé ici par tous et servant les interets de tout un tas de politiques et d'industriel francais En gros si on l'a laissé faire c'est qu'a un moment ca nous arrangeait bien, le clouer au pilori aujourd'hui pour ca c'est alors assez hypocrite pour le dire gentiment.
  17. Parce qu'on faisait du business avec la Russie?
  18. Si la foule attaque l'aeroport tu propose quoi? Tendre l'autre joue?
  19. Arreté? Sur quelle incrimination pénale?! Ce point de vue est d'autant plus cocasse que l'occident à trés largement recyclé les nazis et autre ss sous prétexte de nécessité pour lutter contre les soviets. Ici ce qui est malheureux ce n'est pas qu'un vieux SS soit retraité au Canada, mais que son engagement dans la SS soit célébré comme rempart aux soviets/russes. Le plus terrible c'est que ce n'est pas plus surprenant que ca.
  20. Techniquement ce n'est meme pas un ennemi ici.
  21. On voit assez peu d'émigrés hongrois en fait, et pas mal de retour. Il y a eu un mouvement post adhesion mais qui s'est vite essoufflé, voire inversé. Les conditions économiques plutot favorable en Hongrie limite beaucoup l'émigration de travail, et la fiscalité est particulièrement avantageuse. Immobilier tres bon marche pas d'impôt sur les successions etc.
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