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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. g4lly

    Crotale mistral et autre

    C'est fascinant ... nos Crotale NG doivent tenir jusqu'en 2026/2027 mais on en a déjà plus assez
  2. On a déjà eu une chevauché vers Kiev alors que l'armée russe était en pleine forme ... ça a fini en eau de boudin, et face à des troupes pas forcément d'élite. Depuis des semaines les ukrainiens citadelisent les villes importantes en essayant de créer des chaines de très gros point d'appui. Ce sont des position qui peuvent etre tenu par des troupes modestes, et modestement équipées.
  3. C'est sur que la France est absolument indemne de toute fortification
  4. La turbine fonctionne comme un broyeur ... ça aspire tellement fort qu'il n'y a pas moyen de filtrer sauf de très gros objets. Pour la "pompe" elle n'est pas graissé!!! c'est lubrifié par l'eau ... c'est une vulgaire hélice accroché à un arbre d'hélice traditionnel.
  5. Les approvisionnements se sont diversifiés Pour compenser la chute des livraisons de gaz russe, les Européens sont allés chercher d’autres fournisseurs. Les livraisons de GNL américain ont ainsi été multipliées par trois entre 2021 et 2023 et les Etats-Unis sont désormais le premier fournisseur de GNL en Europe et le deuxième fournisseur gazier tout court, derrière la Norvège, mais devant la Russie, l’Algérie et le Qatar. Ces pays ont certes permis à l’UE d’éviter des ruptures d’approvisionnement, mais ils ne lui ont pas pour autant fait de cadeau. « On va dire avec beaucoup d’amitié à nos amis américains, nos amis norvégiens : “Vous êtes super, vous nous fournissez du gaz”, mais il y a un truc qui ne peut pas marcher très longtemps, c’est qu’on ne peut pas payer, nous, le gaz quatre fois plus cher que vous vous le vendez à vos industriels », déclarait Emmanuel Macron, le 6 octobre 2022. Surtout, d’un point de vue géopolitique, cette stratégie n’est pas forcément la plus audacieuse : en se tournant très largement vers son partenaire américain, avec lequel elle a négocié des contrats à long terme, l’UE a créé une nouvelle dépendance dont certains redoutent les conséquences en cas de retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Enfin, les associations de défense de l’environnement regrettent le remplacement d’une énergie fossile (le gaz classique) par une autre énergie fossile (sous forme liquéfiée). D’autant que ce type de marchandise s’avère encore plus nocif pour la planète lorsqu’il s’agit de gaz de schiste, produit aux Etats-Unis par fracturation hydraulique – une méthode interdite en France depuis 2011. L’usage du solaire, de l’éolien et de l’hydraulique s’est accru Les Européens ont accéléré, à l’occasion de cette crise majeure, leur recours aux énergies renouvelables. La part du solaire, de l’éolien ou de l’hydraulique a également progressé dans leur consommation énergétique. Elle représentait 23 % en 2022, selon Eurostat, contre 21,9 % en 2021, et les Vingt-Sept, dans le cadre du pacte vert, qui doit leur permettre d’atteindre la neutralité carbone en 2050, ont prévu qu’elle s’élèverait à 42,5 % en 2030. Dans le domaine plus spécifique de l’électricité, la part des renouvelables est déjà montée à 44 % en 2023, d’après le cercle de réflexion britannique Ember. A l’inverse, celle du gaz diminue (16,8 %), l’éolien la dépassant pour la première fois, tout comme celle du charbon (12,3 %). « [En 2023], l’UE a été capable de produire, pour la toute première fois, davantage d’énergie à partir d’éoliennes qu’à partir du gaz », s’est félicitée, le 23 avril, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, devant le Parlement de Strasbourg, louant « une magnifique réussite ». Le recours croissant aux énergies renouvelables, s’il a l’immense mérite d’être bénéfique d’un point de vue climatique, crée aussi de nouvelles dépendances. Car la Chine domine largement la chaîne de valeur pour la fabrication des panneaux solaires, ainsi que pour les métaux stratégiques servant à construire les éoliennes et les batteries des voitures électriques. Les Européens, qui cherchent à relancer leur industrie verte, en ont bien conscience. Mais, à ce stade, ils n’ont pas encore trouvé la recette qui leur permettra d’éviter cet écueil. Le nucléaire connaît un regain d’intérêt Emmanuel Macron, qui avait deux semaines avant le début de la guerre annoncé son intention de lancer le chantier d’au moins six nouveaux réacteurs nucléaires français, a trouvé, avec l’invasion russe, de nouveaux arguments pour en faire l’article sur la scène européenne. Des mois durant, la France a lutté contre l’Allemagne pour que l’atome puisse bénéficier des mêmes avantages que les énergies renouvelables. Elle compte aujourd’hui aller plus loin. A l’occasion de son second discours de la Sorbonne, jeudi 25 avril, Emmanuel Macron a appelé les Vingt-Sept à « assumer de construire l’Europe de l’atome ». Paris compte faire avancer sa cause en s’appuyant sur l’« alliance du nucléaire » qui rassemble, autour de la France, onze pays, dont cinq avec des réacteurs de conception soviétique (Bulgarie, République tchèque, Hongrie, Finlande et Slovaquie). Face à elle, un autre groupe informel – « les amis des renouvelables » –, qui rassemble treize pays, dont l’Allemagne, l’Autriche et le Luxembourg, ne compte pas se laisser faire. L’atome reste la première source électrique de l’UE (22,9 % au cours de l’année écoulée), malgré la fermeture, en avril 2023 des trois derniers réacteurs allemands. Pour Fatih Birol, directeur de l’Agence internationale de l’énergie, l’« abandon » du nucléaire par l’UE ces dernières années a constitué l’une de ses « erreurs monumentales » en matière d’énergie, comme il l’a répété, le 16 avril, à Bruges (Belgique), au Collège d’Europe. Le prix du gaz est retombé Après un emballement qui était d’ailleurs antérieur à la guerre, dû à une forte demande mondiale, les tarifs du gaz sont repartis à la baisse. Au premier trimestre, le mégawattheure s’échangeait à moins de 30 euros sur le marché de gros néerlandais, référence continentale. Soit dix fois moins qu’au plus fort de la crise, à l’été 2022. Outre des températures anormalement douces, « la consommation de gaz en Europe [incluant l’UE, le Royaume-Uni, la Norvège et la Turquie] est tombée en 2023 à son plus bas niveau en dix ans », explique l’Institute for Energy Economics and Financial Analysis, établissement américain, dans une étude présentée en février. Soit 452 milliards de mètres cubes en 2023, contre 472 milliards en 2014. Par ailleurs, compte tenu des investissements massifs qui ont été faits pour augmenter la production de GNL depuis deux ans, ajoute Ursula von der Leyen, « nous pourrions bientôt, au niveau mondial, passer d’un déficit à une abondance de GNL ». Ce qui pourrait tirer les prix vers le bas. A l’inverse, si la Chine, qui tourne aujourd’hui au ralenti, renouait avec des niveaux de croissance comparables à ceux d’avant-Covid-19, cela aurait un effet inflationniste. Si le Vieux Continent est donc parvenu à éviter le rationnement et à stabiliser les prix, il paye encore son énergie très cher, bien plus en tout cas que les Etats-Unis ou la Chine. « Les coûts de l’énergie continuent de peser sur notre compétitivité, notamment celle des industries à forte intensité énergétique », ajoute Ursula von der Leyen. Dans son rapport sur le marché intérieur, publié le 18 avril, l’ancien premier ministre italien Enrico Letta se félicite de l’unité dont les Vingt-Sept ont fait preuve dans la crise énergétique. Mais, passé l’imminence du danger, « il existe aujourd’hui un risque réel de (…) retour en arrière », de réglementations fragmentées et complexes dont se plaignent les industriels, poursuit-il. L’UE sait qu’elle doit à tout prix, si elle ne veut pas perdre la bataille des technologies propres, faire baisser le prix de l’énergie sur son sol. La Chine a déjà laminé une partie de l’industrie européenne et le précédent des panneaux solaires, qui l’a vue tuer toute concurrence alors que l’Europe faisait pourtant figure de pionnière au début des années 2000, est dans toutes les têtes. Quant aux Etats-Unis, ils tentent d’attirer les industriels européens, à coups de subventions massives, faisant craindre aux Vingt-Sept une vague de délocalisations. https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/05/02/sevree-du-gaz-russe-l-europe-dans-le-piege-de-l-energie-chere_6231076_3234.html
  6. Sevrée du gaz russe, l’Europe dans le piège de l’énergie chère « Les défis économiques d’une Europe fragilisée » (3/5). Si le Vieux Continent est parvenu à réduire sa dépendance au gaz russe, il paye encore son énergie très cher face aux Etats-Unis ou à la Chine. Au risque de perdre la bataille de la réindustrialisation et des technologies propres. Les Européens ne peuvent pas dire qu’ils n’étaient pas conscients du problème. En 2006, 2009 et 2014, Moscou avait déjà interrompu ponctuellement ses livraisons de gaz, sur fond de différends avec le gouvernement ukrainien. Une « brutale prise de conscience », affirmait la Commission en 2014. Elle préparait alors une stratégie pour la sécurité énergétique, qui n’a manifestement servi à rien. Les Vingt-Sept ont continué à importer ce gaz russe, si abondant et si bon marché, qui a longtemps dopé la compétitivité de l’industrie allemande. Il aura fallu que la Russie envahisse l’Ukraine, le 24 février 2022, et leur coupe par la suite le robinet des gazoducs Nord Stream et Yamal pour que les choses changent. Emmanuel Hache, économiste à l’Institut de relations internationales et stratégiques, dénonce la « faillite » de l’Europe de l’énergie. Ce manque d’anticipation, les Européens l’ont payé très cher. Politiquement, d’abord : s’ils ont, pour le charbon et le pétrole, décidé d’eux-mêmes d’un embargo sur les livraisons russes, pour le gaz, ils se sont privés d’un instrument de sanction contre Moscou. Economiquement, surtout. Les factures d’énergie des ménages et des entreprises se sont brutalement envolées à des niveaux stratosphériques. Les Etats ont, en urgence, ouvert le portefeuille pour les aider à passer ce moment difficile, ce qui a affecté leurs finances publiques. De Paris à Berlin, en passant par La Haye ou Rome, les gouvernements ont surtout eu très peur de devoir, à l’hiver 2022-2023, rationner leur économie. D’autant qu’une bonne partie du parc nucléaire français était à l’arrêt, immobilisé par des problèmes de corrosion sur certains réacteurs. Berlin et Varsovie ont, dans l’urgence, décidé de remettre en service des mines de charbon, mais cela ne pouvait suffire. Les citoyens allaient-ils pouvoir se chauffer ? Les usines pourraient-elles tourner sans encombre ? A l’été 2022, l’Allemagne, qui redoutait plus que tout des ruptures d’approvisionnement, ramassait tout ce qu’elle pouvait trouver sur les marchés, faisant s’envoler encore un peu plus les cours pour ses partenaires européens. A Bruxelles, les conseils des ministres de l’énergie se sont succédé pour essayer d’éviter le pire. Finalement, après des nuits de négociations, les Vingt-Sept se sont entendus sur un plan de riposte, qui, deux ans plus tard, a porté ses fruits. Réduction de la consommation de gaz, diversification massive des approvisionnements, achats de gaz en commun, remplissage des réserves de stockage, levée des contraintes réglementaires pour faciliter la montée en puissance des énergies renouvelables : aucun angle d’attaque n’a été ignoré. Quelle est la situation, aujourd’hui ? Cinq grands constats s’imposent. Les importations de gaz russe poursuivent Les Européens importent encore du gaz de Moscou. Car les Russes ont interrompu seulement leurs livraisons qui passaient par Nord Stream et Yamal, pas les autres. Les gazoducs Brotherhood (qui passe par l’Ukraine et alimente l’Autriche et la Hongrie) et Turkstream (par la Turquie, notamment à destination de la Bulgarie) continuent ainsi de desservir l’Union européenne (UE). Surtout, les Vingt-Sept ont augmenté leurs achats de gaz naturel liquéfié (GNL) russe. Ces importations par navire représentaient 13,5 milliards de mètres cubes en 2021 et sont montées, en 2023, à près de 18 milliards de mètres cubes, selon un rapport publié, le 19 avril, par l’Agence de coopération des régulateurs européens de l’énergie. La France reçoit à elle seule 29 % de ces livraisons, ce qui en fait le deuxième pays de destination derrière l’Espagne (37 %). « Malgré les beaux discours, dans les faits, il existe encore des contradictions dans les politiques européennes », convient Phuc-Vinh Nguyen, chercheur pour l’Institut Jacques Delors. C’est un fait, l’Europe ne s’est pas totalement débarrassée du gaz russe. Mais, même si un pays comme l’Autriche reste massivement dépendant des livraisons de Moscou, l’UE, dans son ensemble, a bel et bien été contrainte de réduire drastiquement ses approvisionnements. En 2023, les importations de gaz livré par Moscou s’élevaient à près de 43 milliards de mètres cubes – soit 15 % des importations de cet hydrocarbure par les Vingt-Sept –, contre plus de 155 milliards de mètres cubes (45 % des importations gazières) en 2021, avant la guerre. La Suède, la Finlande et les Etats baltes militent aujourd’hui pour un embargo sur le GNL russe. Mais les sanctions nécessitent l’unanimité des Vingt-Sept, et leur proposition ne fait, pour l’heure, pas consensus. Certains pays, à commencer par la Hongrie, refusent de se priver d’une ressource qui reste chère. D’autant que Kiev a annoncé son intention de ne pas renouveler l’accord sur le transit du gaz entre l’Ukraine et la Russie, qui avait été conclu en 2019 et doit expirer le 31 décembre.
  7. g4lly

    Génie

    Étonnant de conserver le bloc tourelle plutôt que de monter une casemate basse.
  8. Non du tout c'est guidé ... donc leurrable/brouillable. Au delà de 4km on arrive pas à anticiper suffisamment les mouvements ou avoir la précision pour faire but de manière assez consistante. Hors on ne sait pas faire de fleches guidées ... donc on choisit le missile-fleche, dans lequel le guidage est facile à implémenter.
  9. A mon sens les deux technos sont complémentaires pas concurrente. Le missile est guidé et peu disposer de solution anti APKS ... comme des sous munition pour des leurres. En tirant de loin sur désignation externe avec une trajectoire quasi-LOS ... tu peux intervenir avant même le contact. La flèche elle n'est pas leurrable et instantanée à mettre en œuvre, de plus le gros canon permet l'appui direct HE relativement bon marché.
  10. Visiblement c'est un produit phytosanitaire, utilisé comme gaz de combat pendant la première guerre. A priori c'est utilisé comme poison pour commettre des meurtre aussi, vu qu'on en trouve à la campagne pour lutter contre les parasite - effet fongicide et insecticide -. A priori c'est encore largement utilisé en agriculture donc ça se trouve facilement.
  11. pendant ce temps la les Russes ont conquis Arkhanhelsk ... Les combat devraient se déplacer au nord vers Kalynove. A l'ouest d'Ocheretyne les combats se sont déplacé devant Novoaleksandriivka.
  12. La tourelle laser a migré de l'engin "3D" vers l'escorteur "autocanon" étrange. Le machin se retrouve super exposé comme ça ...
  13. Parce qu'il y a des gaz de combat autorisés?!
  14. g4lly

    Drone aérien

    Ici un modèle high subsonic ... servant d'intercepteur réutilisable.
  15. g4lly

    Drone aérien

    C'est pas particulièrement rapide pour un turboréacteur, les drones électrique à hélice peuvent voler aussi vite ...
  16. Un incident au catapultage n'attendant pas le nombre des année ni la météo ... si?
  17. C'était une proposition ... ça a été mise en service? --- Marines have taken 5 systems to Afghanistan. However the feedback from the field is not what's expected. Here is an excerpt from DefenseTech: A senior crew chief explains that the controller/targeting station takes up too much room in the cabin (three seats) and needs devotion of a crew chief’s entire attention to running the system. “And you’d better have a strong stomach,” the gunny said. “Because sitting sideways and trying to keep that thing on target looking at the screen will make you pretty sick.” Ref: Helfrich, T., M., Young, D., L., "Arming the Osprey, Summary of Developmental Testing, of V-22 Interim Defensive Weapon System", US Air Force T&E Days, 2010. Plus the added weight of 360kg's is also restricting the payload capacity of the aircraft.
  18. g4lly

    Hydrogène Blanc

    La commission est son propre lobby qui se sert et finance des relais d'opinion tel que T&E pour vendre le projet de la commission. La commission, du moins l'ensemble des fonctionnaires qui y décide quelques choses est une institution assez particulière, dont les projets sont assez éloignés des soucis du commun, et qui pousse son propre agenda depuis des lustres maintenant. Pendant des années elle ne décidait que de sujet assez subalterne et surtout à des échéances très lointaine et tour le monde s'en foutait. Sauf qu'elle a pris de plus en plus d'importance à mesure des traités et que maintenant ses projets à la con on un effet bien plus fort et rapide sur le quidam. C'est la que ça coince. La commission n'a pas changé dans son agenda. C'est juste que dorénavant il percute plus durement la vie courante du commun. L'idée derrière tout ça c'est que la métropolisation de l'Union, métropolisation vivement souhaitée pour lutter contre le pouvoir des états et développer une forme de régionalisme économique, est incompatible avec le véhicule individuel, notamment du fait d'un urbanisme inadapté et peu adaptable, et du manque de foncier disponible - à la différence des USA par exemple -. Donc la fin de l'automobile individuelle est vu comme un passage obligé pour le développement fonctionnel de la métropolisation de l'Union, et donc une plus forte production de richesse par l'augmentation des opportunités lié à la concentration. Donc la fin de véhicule ICE n'est qu'une étape ... à terme la mobilité individuelle sera censitaire comme à Londres par exemple. Du moins dans et aux abords des métropole.
  19. Ca fume de la vapeur jusque la navette tout le long de la course de la catapulte ... et ici absolument rien. Soit l'avion à juste fait un touch and go ... soit c'est un montage. Le Pedro sanglé c'est pareil ... ca ne se passe jamais comme ca lors d'un catapultage ... le Pedro est en vol avec le plongeur pret à se mettre à l'eau. Et je doute que l'engin assurant la prise de vu serve de PEdro à ce moment là.
  20. https://www.defense.gouv.fr/marine/actualites/nh-90-ameliore-son-systeme-detection-marine Le NH-90 améliore son système de détection sous-marine Le système de détection d’anomalies magnétiques MAD-XR[2] conçu par CAE permet de disposer sur hélicoptères d’une capacité de détection anti-sous-marine déjà présente à bord des ATL2 : un contact au MAD permet de confirmer la présence d’un sous-marin en immersion par mesure des perturbations du champ magnétique. Après une campagne de relevés magnétiques sur Panther et Caïman réalisée en juillet 2023, le CEPA/10S[3] a mené à bien l’intégration du MAD-XR sur Caïman avec le soutien de la direction technique de la DGA. L’installation de ce nouvel équipement a été facilitée par l’utilisation du Système Parallèle d’Acquisition de Données du Caïman, lui-même conçu par le CEPA/10S pour collecter les données à bord de l’hélicoptère. Durant la semaine du 15 au 19 avril, plusieurs vols d’expérimentation ont été réalisés afin d’évaluer les performances de ce détecteur sur des cibles d’opportunité. Les résultats obtenus sont très prometteurs et permettent d’envisager un passage à l’échelle dès que la modification sera approuvée par l’autorité technique. Le CEPA/10S participe à l’acquisition et au développement des capacités de demain. Il héberge l’AÉROLab et travaille en relation étroite avec l’état-major de la Marine, la DGA, les centres d’expertise et flottilles de l’aéronautique navale. [1] cellule dédiée au développement de projets d’innovation de l’aéronautique navale [2] Magnetic Anomaly Detection Extended Role [3] Centre d’expérimentations pratiques et de réception de l’aéronautique navale
  21. Pas un poil de vapeur sur le pont non plus ... c'est plus que louche.
  22. g4lly

    FREMM Italie

    On va voir si ça résiste au réel et à l'expérience du Yémen ou des arabes en slapette arrive à largement perturber le trafic international voir menacer des navires de combat en pleine mer. Oooops capitaine on doit rentrer au port on a été attaqué une fois et on a plus de munition ...
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