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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. J'ai autour de moi tout un tas de producteurs bio et locaux, dont le prix à l'utilisateur final est le meme que celui du pas bio en grande surface. En maraichage du moins. On a donc ici pas de surintensité GES. Quand ce n'est pas possible simplement prive toi...
  2. L'armée de terre russe est tres modeste en volume... Avant l'invasion 2022, on comptait 180000 dans l'armee de terre et 45000 dans l'aeroportee. Rien de bien massif a l'echelle d'un si grand pays. L'armee de terre Ukrainienne comptaient 190000 soldats en février 2022.
  3. Les USA ne cessent d'exliquer que la Chine va armer la Russie... Depuis que la Chine soutient officiellement la Russie. Et comme @Stark_Contrastl'expliquait si le conflit USA Chine ne necessite pas de char... Autant les envoyer en Ukraine.
  4. Pour prendre 5km ... on a vu pire trade.
  5. A mon sens tu as une mauvaise lecture choses. On va voir dans les prochains jours si la prise des reservoirs devant Tonenke se concretise. Mais si c'est le cas le coin ainsi fait est un vrai probleme pour tout le front a cette endroit aussi bien au nord qu'au sud. D'autant que dans le meme temps la menace sur le front nord vers l'Oskil semble de plus en plus concrete. Un front reactivé à si grande échelle ca va forcément obliger à choisir des zones à défendre et d'autres à céder. Le pire ici étant que malgré le narratif ukrainien, les russes ont arrêté de faire de la merde... ce qui complique largement les chosesv
  6. g4lly

    [Rafale]

    Un Shahed 136 est donné pour 1000 à 2000km ... il est de classe 250kg et coûte peanuts. Des drones de ce genre deviennent monnaie courante. Taiwan l'utilise en variante anti navire avec 1000km de portée https://en.wikipedia.org/wiki/NCSIST_Chien_Hsiang
  7. En Ukraine, la colère grandissante des soldats mutilés Selon l’association Pryncyp, qui défend les intérêts des invalides de guerre, près de 70 % d’entre eux ont financé eux-mêmes des soins médicaux. « Semi-aptes » ou blessés, ils espèrent peser sur le gouvernement. L’agression russe du 24 février 2022 est loin d’avoir détruit les bases démocratiques en Ukraine. Au cœur même de l’armée, une parole critique grandit contre les autorités sur le sujet sensible du soutien apporté aux soldats blessés. Ce mécontentement est diffus et inorganisé mais relayé par la société civile et certains membres de l’opposition. Parmi eux, le député Oleksiy Hontcharenko estime qu’« une nouvelle demande politique est née avec cette guerre. Un million de personnes mobilisées, plus les familles et les entourages proches, ça fait du monde, même si cela ne constitue pas encore une force politique capable de menacer le gouvernement ». Par un jour gris et neigeux de la mi-mars, à Kiev, dans l’un des centres de rééducation pour soldats ouverts par l’organisation de Viktor Pintchouk, homme d’affaires ukrainien, apparaît l’autre visage de la guerre. Au détour des couloirs surgit ce que les états-majors n’aiment guère montrer, les chairs meurtries et les yeux pleins d’effroi d’hommes et de femmes pour qui le temps s’est figé. « Nous sommes spécialisés dans le suivi des amputations, on peut traiter une cinquantaine de personnes en même temps, mais la liste d’attente est longue », confie Oleh (qui n’a pas voulu donner son nom), l’un des médecins de l’établissement. Sur un tapis roulant posé devant une large fenêtre, un homme marche sur deux prothèses chaussées d’une paire de basket. Ses deux avant-bras ont disparu. Ses épaules impriment le mouvement. Il n’a pas de mot pour dire ce qu’il ressent. Sur un brancard contre le mur, un autre soldat se sert du seul bras qu’il lui reste pour faire des tractions avant de s’en recouvrir les yeux comme s’il ne voulait plus voir le jour ou ceux qui se trouvent là. Sa jambe droite est inerte, la gauche n’est plus qu’un moignon. Gérer les conséquences psychologiques Dans la même pièce, Yevhen Serbin, 36 ans, sait qu’il ne marchera plus, mais son large sourire refuse d’abdiquer. Touché à la colonne vertébrale, le 31 octobre 2022, dans le Donbass, lors d’une percée ennemie, par une balle passée sous son gilet pare-balles, il attend depuis des mois que la commission médicale militaire se prononce sur son invalidité et son régime de protection. Pour l’heure, il touche sa paie de soldat. « Je ne suis pas le seul à être dans le flou, des camarades ayant des handicaps identiques mais venant de bataillons différents ne seront pas traités de la même manière que moi. » Même avec son grade de commandant, il n’a pas assez pour faire vivre sa famille sans le salaire de sa femme. « Il ne faut pas traiter que les blessures, il va falloir aussi gérer les conséquences psychologiques, familiales et financières de la guerre, pendant des générations. » Pour ces trois combattants, l’armée, c’est fini. Pas pour Olga Chudna, 47 ans, qui compte bien retrouver son unité. Elle reçoit dans sa chambre. Chargée des premiers secours sur le front, elle a été touchée à la jambe, en avril 2022, près de Lyman, dans l’oblast de Donetsk, par des shrapnells alors qu’elle évacuait des blessés. Elle s’est engagée avec son mari déclaré, depuis, mort au combat. « Des membres de son unité l’ont vu prendre une balle dans la tête, mais ils ont dû le laisser sous le feu de l’artillerie russe. » Son fils aîné, âgé de 29 ans, a également pris les armes. « Système d’aide incohérent » Elle apprend à marcher sans béquilles et espère trouver un autre séjour de rééducation avant de se présenter devant la commission médicale militaire pour être déclarée apte. En attendant, elle révise des cours de mathématiques pour un examen. Elle peint des natures mortes. Et, guitare à la main, elle chante l’histoire d’amour impossible d’un soldat pour la femme d’un frère d’arme. « Je m’en sors, assure-t-elle, et je continuerai à servir mon pays, mais le gouvernement n’apporte pas le soutien qu’il devrait aux blessés, le système d’aide aux vétérans est incohérent. » Lorsque les soldats doivent se faire soigner à l’étranger, ce n’est guère plus simple. Yevhen Berdnyk, 40 ans, était dans les forces spéciales. Le 28 août 2023, sur le front de Zaporijia, une mine a coupé son corps en deux, ne laissant, aujourd’hui, qu’un tronc posé sur un tapis de sol dans une salle d’exercice du centre. Pourtant, il a le moral. Le 10 avril, il part au Minnesota, aux Etats-Unis, dans le seul institut fournissant les prothèses adaptées à son handicap. « L’Ukraine ne donne rien si vous sortez du pays pour des traitements, il me fallait 45 000 dollars [42 000 euros], mes amis, à Kiev, ont collecté la moitié et les Américains ont dit qu’ils compléteraient. » Masi Nayyem connaît bien cette problématique. Le visage de cet avocat porte les stigmates des blessures subies, en juin 2022, lorsque son véhicule a sauté sur une mine. Son énergie fait vite oublier son œil manquant, et de son expérience il a fait un combat en créant avec Lyubov Galan, une militante des droits civiques, l’association Pryncyp qui défend les intérêts des soldats blessés et vétérans. « Nous sommes encore tributaires du système soviétique des commissions médicales de l’armée, très bureaucratique, qui donne trop de latitude aux gens qui les composent, sans parler de la corruption », expose-t-il. La liste des griefs est longue. L’armée refuse de prendre en charge des maladies, comme l’épilepsie, que de nombreux médecins civils estiment être aggravées par les combats. « Je dois assumer seul le traitement de mon diabète et de mon ulcère », ajoute Masi Nayyem. Selon Pryncyp, près de 70 % des soldats ont financé eux-mêmes des soins médicaux. De même, seuls 20 % à 30 % des blessés sur le front ont obtenu, à ce jour, le « statut de combattant » qui donne droit à quinze jours de vacances supplémentaires, à des rabais sur les travaux de maintenance à leur domicile et à la gratuité des frais d’école et d’université pour leurs enfants. Près de 500 000 soldats pouvant y prétendre seraient privés de ces avantages. « Défaut de protection sociale » Le traitement réservé aux « semi-aptes », trop diminués pour retourner dans leur unité mais assez opérationnels pour rester dans l’armée, incarne cette gestion jugée défaillante. Faute de nouvelles affectations disponibles à cause des milliers de demandes, nombre de soldats « semi-aptes » attendent chez eux. Ils recevaient une indemnité comprise entre 20 et 35 euros par mois jusqu’à une loi de juin 2023 qui l’a élevée à 475 euros. Début avril, la mesure n’était pas encore généralisée et interdisait toujours de cumuler un autre travail. Devant le centre médical de rééducation et sanatorium d’Odessa, Oleksandr Kornigenko, 45 ans, chirurgien et président de l’une de ces commissions médicales militaires, jure qu’il s’efforce, avec les huit médecins militaires et civils qui l’entourent, « de suivre les souhaits des soldats ». En moyenne, sur dix cas, trois sont déclarés semi-aptes, un inapte, et les autres sont considérés comme valides. « Certaines indemnités sont injustes, admet le chirurgien, mais c’est une autre commission qui décide, si cela se traduisait en colère politique et sociale, ce serait une victoire pour l’ennemi. » Selon le député Oleksiy Hontcharenko, « des centaines de milliers de soldats sont concernés par ces dysfonctionnements ». La faute incombe souvent à l’absence d’un document, le « formulaire 5 », qui décrit les « circonstances du traumatisme primaire » et prouve le lien entre « la défense de la patrie » et la blessure. Cette pièce est délivrée par les commandants d’unité qui expliquent les retards par les contraintes de la guerre. De ce formulaire dépend aussi le paiement, en une fois, d’une indemnité liée à la blessure, à sa nature, au rang du soldat… Elle varie de 15 000 à 25 000 euros. « Ces problèmes nous ont convaincus de créer une coalition avec quatre autres organisations pour défendre l’idée d’une politique du vétéran auprès du gouvernement et du Parlement », lance Masi Nayyem, notamment, sur les questions de la prise en charge des soins et la numérisation des dossiers de chaque soldat. D’après le député Hontcharenko, « si le blocage par le Congrès américain des 61 milliards de dollars d’aide à l’Ukraine et la bureaucratie plombent le système, le refus du président [Volodymyr] Zelensky de signer les décrets de mise en application des lois votées en leur faveur, notamment celle sur la digitalisation, empêche aussi d’avancer ». Pour Lyubov Galan, 27 ans, l’autre figure de Pryncyp, venue au militantisme en 2013 avec la révolution de Maïdan, « le principal souci des soldats et vétérans réside dans l’accès au marché de l’emploi et le défaut de protection sociale qu’ils estiment dûe après leur sacrifice ». « Il existe, ajoute-t-elle, une multitude de structures dans le pays qui œuvrent pour améliorer le sort des soldats et des vétérans, au niveau national et local. » Réformer le système grâce au numérique Selon le député Oleksiy Hontcharenko, cette prise de conscience va conduire les soldats à s’engager dans la vie politique. « De nouvelles figures vont apparaître, mais, pour l’instant, dit-il, les élus traditionnels restent encore les principaux relais de leurs revendications. Tous les partis chercheront à avoir leur héros. Les sondages donnent déjà Zelensky à 32 % contre 67 % à Valeri Zaloujny [ex-chef de l’armée ukrainienne]. » En réponse, le gouvernement tente de réformer le système grâce au numérique et à la centralisation des procédures. La cheffe des forces médicales de l’armée ukrainienne, Tetyana Ostashchenko, a été évincée en novembre 2023. Le ministre de la santé, Viktor Liashko, assure que son pays étudie de près le modèle israélien de rééducation des anciens combattants et qu’il a, depuis juin 2023, augmenté l’enveloppe réservée à la rééducation de chaque soldat blessé, de 439 à 1 086 dollars, en fonction de la gravité de la blessure. Dans une arrière-salle du club UnderAir Fitness, situé dans les beaux quartiers d’Odessa, face à la mer, Oleh (qui n’a pas souhaité donner son nom), 47 ans, blessé une première fois en septembre 2022, près de Mykolaïv, essaie de réparer son dos, après une vilaine hernie et une épaule abîmée, à peine revenu dans son unité, en 2023. « Je suis cassé de partout, je ne pensais pas vivre tout ça, je ne vois aucun futur et je vais toucher moins que mon salaire de soldat. La colère monte. On ne se sent pas protégé. » De la grande salle voisine perce la musique tonitruante d’une séance où une quinzaine de jeunes femmes aux tenues multicolores s’activent sous les ordres d’une coach à la voix autoritaire. Oleksandr Pelin, l’un des responsables du club, explique que si les soldats blessés peuvent venir chez lui gratuitement, c’est grâce aux dons privés et à son activité. https://www.lemonde.fr/international/article/2024/04/03/en-ukraine-la-colere-grandissante-des-soldats-mutiles_6225649_3210.html
  8. g4lly

    [Rafale]

    Compte 300km, probablement nettement moins si le lanceur est à basse altitude et basse vitesse. Pour comprendre le Rampage, ce n'est autre que le missile sol sol Extra d'IAI, mais aéroporté.
  9. Oui ... mais les nuages ne sont pas de la vapeur - qui est "transparente" - mais des micro gouttelette d'eau liquide. Ils contribueraient à 10% de l'effet de serre. la vapeur d'eau, sur laquelle les activités humaines n'ont que très peu d'influence directe mais qui contribue à l'effet de serre à hauteur de 60 %7,8. https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaz_à_effet_de_serre#Principaux_gaz_à_effet_de_serre La vapeurs d'eau et les nuages contribue à 75% de l'effet de serre natuel, le CO2 un peu de méthane etc. Nox Ozone contribuent au autre 25%. Cet effet de serre naturel sur lequel l'homme n'a pas prise, permet à la planete d'avoir une température moyenne autour de 15°C alors que sans elle serait plutot à -18°C. L'effet de serre dit naturel c'est 90% de l'effet de serre global si on ajoute la vapeur d'eau et les nuages plus les quel GES naturel. --- A cela s'ajoute l'effet de serre additionnel, celui qui apparait avec l'activité humaine. On retrouve les gaz émis par activités humaine, et différente précurseur ou réactif de la chimie atmosphérique, émis par l'homme. C'est sur ces émissions qu'on essaie de jouer pour éviter que la planete n'accumule trop de chaleur. On trouve du CO2, des CFC, du méthane, etc. etc. La part dite additionnelle représenterait autour de 10% de l'effet de serre globale. C'est sur celle ci qu'on à un peu prise - pas temps que ça en fait par que la chimie de l’atmosphère est une chienne -.
  10. Pour rappel la France s'est fait livrer 10 section SAMP/T ... 8 sont en EDSA sur les 4 bases concerné. 1 est disponible pour déploiement - en Roumanie par exemple - ... la dernière a été à moitié cédé à l'Ukraine - l'Italie à fourni la moitié manquante -. Dans le meme temps 200 Aster 30B1 ont été livré pour SAMP/T. Une partie à du rejoindre l'Ukraine. --- L’Italie s'est faite livré 6 sections, une moitié d'une est partie en Ukraine. --- Concernant l'Ukraine, l'Italie aurait cédé le Module Radar, le Module Énergie, le module d'Engagement - le poste de contrôle de la section - et peut être le Module de Commandement - le poste de contrôle du niveau du dessus qui permet de discuter avec le reste de la défense aérienne - d'une de ses batterie. La France aurait cédé 4 Module de Lancement.
  11. C'est un gaz à effet de serre !!! T'es un grand malade toi !
  12. Les mecs attaquent avec 36 tanks et 12 VCIs ... mais c'est une raréfaction des tanks?! Le plus intéressant c'est qu'il n'est pas impossible que malgré la perte de 12 tanks sur les 36 ... l'attaque soit une réussite tactique. Les troupes russes se trouvant aux portes de Yasnobrodivka, juste devant le réservoir, ce qui met Pervomaiske/Netailove et en cascade Krasnohorivka au sud, et tout l'arriere de Semenivka/Berdichy au nord.
  13. Israël prépare l'intervention au Liban ... c'est annoncé depuis un moment maintenant. Des que le sort de Gaza sud sera sceller Tsahal envahira le sud Liban comme à la grande époque. Et pour que ça passe crème il faut empêcher l'Iran d'aider le Hezbollah. Pourquoi une nouvelle opération Litanie, pour rapatrier les colons israéliens sur les colonies à la "frontière" du Liban.
  14. La GPMG 7.62 est déjà trop lourde pour emporter suffisament de munition ... d'ou le faible emploi débarqué des qu'on s'éloigne des véhicules, il suffit de voir la France en Afghanistan... Depuis des lustres on cantonnait la GPMG7.62 à un usage statique ou porté. La HMG12.7 et quasi jamais transporté à pied ... c'est trop couteux en ressource et l'emport en munition est ridicule. Elle est essentiellement portée ou en poste fixe, alimenté par des véhicules. --- Un GPMG 6.8 permettrait peut etre d'avoir un MG vraiment portable et utilisable à pieds même loin des véhicules avec suffisamment de munition. Et ce sans trop perdre d'effet ou de portée. On pourrait espérer en voir en équipement collectif dans les sections au moins une voir deux ... ça changerait de la Minimi qui n'a jamais effrayé grand monde à +600m. Le HMG 338 pourrait enfin permettre à l'infanterie de renouer avec des unité de mitrailleurs lourd indépendant d'un porteur. On aurait besoin ici que d'un 4x4 pour porter les munitions, l'équipage débarque et peut mettre en batterie un HMG à plusieurs centaine de mettre du véhicule, un ou deux fantassin servant à l'approvisionnement. Pouvoir coller un HMG n'importe ou à plusieurs centaine de mettre d'un porteur léger c'est quand même bien plus intéressant qu'un doucette accroché désespérément au RWS du Griffon à la mobilité douteuse et qui servira d'appeau à drone. Pour le maintient de HMG12.7 en RWS et autre coax sur de gros véhicule ... aucune idée ... moi j'ai toujours trouvé ça léger et j'ai toujours préféré l'autocanon de 20mm dans le rôle.
  15. Le nuages est forcément volumétrique ... c'est toujours comme cela. Parfois tu peux essayer de le rendre un rideau mais c'est une complexité additionnelle. En général quand t'es pas trop con tu obtiens l'effet d'un épais brouillard sur plusieurs centaines de mètre d'épaisseur, ça rend toute observation aérienne impossible. Le problème c'est le contrôle du vent. En cas de fort vent le brouillard devient très difficile à alimenter dans le temps. Mais on a toujours su faire des écran et autre brume ou brouillard artificiel, et parfois les maintenir plus de 15 jours comme couverture à l'échelle d'une tête de pont aussi large qu'une grande ville italienne. Il faut juste s'en donner un peu les moyen ... c'est à dire du diesel du diesel et encore du diesel ... plus quelques centaine ou millier d'obus WP pour produire chez l'ennemi en cas de vent défavorable.
  16. Des ville entieres sous un brouillard rendant l'observation aérienne impossible http://tothosewhoserved.org/usa/ts/usatsc03/chapter08.html
  17. Du tout on a su le faire pendant des année aussi bien lors de la première que de la seconde guerre mondiale, aussi bien à terre qu'en mer ... c'était courant dans le combat naval par exemple. https://www.facebook.com/watch/?v=373253653409558
  18. Il existe des solutions. Les russes aurait pu entretenir un brouillard artificiel sur la zone en question ... c'est juste qu'on ne souhaite plus s'en donner les moyens. https://www.facebook.com/watch/?v=373253653409558
  19. Ils sont en pleine décompensation, c'était leur phase maniaque
  20. Il est assez difficile de dissimuler une arme nucléaire. Le rayonnement fuit et donc deviens facilement détectable. Il y a des réseau de détecteur notamment autour des nœud de communication de cible sensible etc. etc. C’est un grande crainte des états disposant d'une dissuasion, qu'un adversaire dispose la première frappe sous forme dormante près des cibles. Il y aurait peu de parade et l'identification du commanditaire serait compliquée, donc la seconde frappe aussi - contre qui ? -, et donc ça rendrait la dissuasion sans intérêt.
  21. C'est une forme de mythologie ... pour repousser l'usage qui fait peur on l'affuble de tout les caractéristique les plus repoussante. D'un coté on aime le coté absolu de l'arme nucléaire qui nous défend, la dissuasion qui serait un bouclier absolu. D'un autre l'emploi de l'arme fait tellement peur, qu'on se raconte des histoires pour se convaincre qu'elle ne sera pas employer. C'est un vulgaire problème psychologique comme souvent.
  22. L'effet blast et rayonnement initial est assez contenu. Contre une force tres concentré comme le 6 juin 1944 ca peu avoir du sens. Sauf que depuis qu'on connait la menace d'arme puissante, on ne procede plus de conentration de force. Et donc la concentration de puissance du nucléaire tactique est peu intéressante, et pleine de contrainte. On a rapidement préféré développer des solutions d'interdiction conventionnelle, comme le minage à distance via fusée ou bombe, les sous munition, etc. etc. dont la "vulnérance" est bien plus durable. Il suffit de voir l'effet d'un simple champ de mine face à l'offensive de printemps.
  23. La question s'est posé pendant la guerre froide, on soupçonnait le PaVa d'assembler des bombes atomique directement au USA, probablement dans les enceintes diplomatique. Il se trouve qu'USA et URSS n'était pas en guerre donc le problème s'est résolu en douceur. Mais pour les USA c'était le seuil de riposte nucléaire MAD, une fois ceci établi l'URSS à rapidement fourni des éléments expliquant que le problème potentiel n'était plus un problème.
  24. A mon sens on pourrait voir une réorganisation vers le bas permettant aux fantassins l'utilisation d'arme à plus longue portée. La GPMG 7.2 passerai en 6.8 quelques choses La HMG12.7 passerai en 338 Norma Mag On aurait deux armement assez facile à porter et à mettre en œuvre à pieds ... et qui bien sur peuvent prendre place sur un véhicule. Tout ça sans perte de portée ou d'effet terminal. en 6.8 on à une mitrailleuse de 6kg ... en 338NM une mitrailleuse de moins de 10kg.
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