FATac

Tant que les vaccins sont multi-injection, le rapport entre le nombre de premier injectés et de double injectés est un bon critère d'analyse de la maturité de la campagne de vaccination (en terme de processus). Après, le rapport entre le nombre d'injectés et la taille de la population est le signe d'un effort particulier, mais c'est surtout la marque d'une disponibilité en volume des produits de vaccination, plus qu'un signe d'efficacité. Ce sont, finalement, deux métriques différentes et l'idéal est de les maintenir hautes toutes les deux.

Avec une écluse pour préserver le caractère unique de ce lagon d'eau douce ?

Bien sûr ! Mais sur un outil stratégique comme celui-ci, il semblerait logique que l'on assure une activité quotidienne suffisante pour détecter tout défaut d'une part, permettant une surveillance de nos emprises mondiales d'autres part, tout en évitant de flirter avec les limites du système. Utiliser une capacité disponible (et renouvelable puisque la mémoire est libérée pour de futurs clichés lorsque les précédents sont transmis ou trop vieux) n'implique pas un gaspillage. C'est juste ce que je voulais souligner.

Mais qu'est-ce qu'on gaspille ? On ne déroute pas les satellites pour passer au-dessus, on profite des passages "naturels". On ne gâche pas de pellicule depuis qu'on est passé au numérique. On ne pioche pas spécialement dans les ressources énergétiques puisqu'elles sont disponibles de toutes manière. On ne consomme pas plus de bande passante pour transmettre les photos, elles font partie du flux continu de données. Nul doute que si on marque un intérêt spécifique sur une autre zone qui a, alors, besoin d'une sur-couverture, alors les clichés de Clipperton seront un peu moins nombreux. En attendant, ça permet d'effectuer une surveillance régulière, d'éviter les mauvaises surprises, d'entrainer les moyens et les opérateurs avec un traitement permanent (pour ne pas dire routinier). Et quand le satellite passe par là, que peut il faire d'autre ? Est-ce que ça a un intérêt d'être en pause à ce moment-là ?

200 clichés pris ne signifie pas 200 clichés analysés. La multiplicité des clichés permet de lever les ambiguïtés apparues sur ceux qui sont étudiés. C'est l'avantage d'avoir des clichés verticaux au survol de la zone, des clichés obliques au passage au voisinage ou lors de l'approche de la zone, etc. Et sinon, selon la focale des prises de vue, il faut tapisser plus ou moins de clichés pour avoir la vue d'ensemble ... Bah ... à cet endroit-là non, pas trop.

Le C-64, c'était mon rêve. J'ai dû me contenter de faire mes armes sur un Oric-1. Et j'ai encore un Téléstrat en parfait état de marche.

Rien dire, bien faire et laisser braire ...

A la limite, ce fork a-t-il encore sa place en section Armée de l'Air ??

Je peux déjà te raconter ce que je faisais en assembleur du 6502, cadencé à 1 MHz, dans 48 ko ... J'étais bien mieux équipé que mes copains qui faisaient du Z80, certes à 3,25 MHz, mais avec seulement 1 ko, parfois 16 ... Et mon premier ordinateur portable était un canon XO7. Mais je m'amuse bien plus avec mes Raspberry Pi qu'avec mon PC. La puissance n'est pas tout.

C'est assimilable à un échosondeur ou c'est autre chose ?

A la base, nous sommes d'accord. Mais pour autant, je nuancerai ... On en est là, justement parce qu'on a perdu la culture de l'OS. Les modes (de développement, de gestion, de management, etc.) ont conduit à une convergence des Systèmes d'Exploitation pour en faire des cathédrales monolithiques, des ensembles logiciels qui font papa-maman et bien plus que la simple gestion du matériel que l'on leur demande de gérer. C'est cette convergence fonctionnelle et l'inflation du code qui en résulte qui crée les difficultés et le coût de maintenance, tout en multipliant les axes et en augmentant la surface d'attaque. En cela, la philosophie des OS "à modules", tels que GNU/Hurd ou les noyaux Mach était - pour moi - bien plus pertinente pour ce type de marché. Un OS simplifié, épuré, fournissant le support essentiel pour faire tourner un automate à états finis dont tous les états sont parfaitement maitrisés, cela reste largement à la portée de beaucoup de nos entreprises, et avec la possibilité de conserver des équipes de maintenance pour un coût raisonnable, voire la possibilité de les employerés sur de nouveaux projets de le même veine. Evidemment, ils n'auront pas la joie de valoriser leurs certifications MVP en .Net, C# et autres Windev avec les nanas en maillot de bain sur la 4e de couverture des revues d'informatique (je ne caricature pas). Mais ils connaitront le plaisir d'avoir une maîtrise, un contrôle absolu sur leur code et leurs productions, pas de n'être qu'un rouage qui emploie un canevas écrit par d'autres pour pondre un obésiciel dysfonctionnel et dont les 4/5 du code ne seront jamais utilisés pendant la vie opérationnelle du produit. Optimisation, minimisation, simplification ... J'ai toujours préféré un assemblage pertinent de systèmes simples pour résoudre une tâche complexe, plutôt que la construction d'un édifice complexe pour adresser la même complexité.

Quelques objections, quand même : On parle de catapultes, de F-18 et de LHA sur un fil USAF. Je sais que c'est le point d'orgue d'un HS qui s'épanouit depuis plusieurs posts, mais quand même ... Une configuration légère d'un F-18 est-elle vraiment une configuration opérationnelle (par rapport à ce que pourrait faire un F-35B, un AV-8B+ ou même un OV-10 depuis la même plate-forme ? J'ai du mal à visualiser l'EMALS comme moins contraignante que les catapultes à vapeur. Elles ne sont, déjà, pas adaptables à tout type de navire, ne serait-ce qu'au regard de la consommation électrique. Et par dessus tout, elles ont quand même des contraintes assez sévères, très différentes de celles des catapultes à vapeur, mais à mon avis assez importantes pour se montrer quasi-rédhibitoires en rétrofit d'une plate-forme existante. Si l'on monte des catapultes sur des LHA, vous n'envisageriez pas d'y ajouter des brins d'arrêt aussi ? Tant qu'on y est, un pont oblique faciliterait les opérations aussi. Mais, mais, mais ... ça n'a pas un petit air de déjà-vu comme évolution de plate-forme ?

Par le passé, Thales - du temps où il y avait Thomson dans sa raison sociale - avait ce genre de velléités et les compétences associées. Mais dans la mesure où c'était un poste de coûts sans réels profits associés ((immédiatement valorisables en dividendes), les personnels concernés ont été priés de trouver d'autres débouchés professionnels. J'ai croisé la route d'un ingénieur spécialisé RTLinux qui regrettait amèrement l'extinction des projets le concernant ...

Pour moi, le Hornet legacy est un super Hornet. Les versions E/F/G ne sont que des Super-Bug ...

Sinon, doit-on prendre pour argent comptant une capture d'écran datant du 20 janvier 2019 à 08:06 ? Ce que l'on voit est il un écran réel, live, ou bien une image statique, un fond d'écran ou une image de test injectée/affichée pour valider le bon fonctionnement des périphériques d'affichage ? Je dis ça, je ne dis rien, hein ...

Non. C'est politique : ta boite n'a pas souhaité payer l'extension du support. C'est le support gratuit qui est définitivement terminé depuis janvier 2020. Sinon, Windows 7 reste un très bon système, pas loin d'être un des meilleurs de Microsoft. Et comme tous les systèmes Microsoft, il peut se montrer très stable (sans écran bleu) lorsque son environnement matériel est parfaitement maîtrisé. A la limite, Microsoft fabriquerait (assemblerait) des PC, à l'image de Apple et de ses Macintosh aux composants choisis, il est probable qu'on arriverait au même niveau de stabilité revendiqué. Accessoirement, le support (public/gratuit) des premières versions de Windows 10 est déjà abandonné, et les versions 19** seront abandonnées d'ici mai 2021 pour la gamme pro. Il y a une version active, et seulement deux anciennes versions maintenues ... il faut donc impérativement faire les mises à jour majeures de W10.

Dans le domaine de la sécurité aérienne, je n'ai pas les éléments qui permettent de faire l'appréciation de la situation. Pour la légitime défense, il n'y a même rien à justifier puisque c'est déjà cadré par la loi. Il n'y a pas de dérogation. (je rappelle que la légitime défense a pour but de faire cesser un danger mortel immédiat et persistant, pour soi ou pour autrui, faute d'autres moyens mieux adaptés. Ainsi, abattre un agresseur qui n'est plus en position de menace immédiate n'est pas un acte de légitime défense)

Toute dérogation a toujours sa justification. Tout le monde n'est pas habilité à justifier une dérogation, mais personne ne peut jamais déroger sans motif.

Si je comprends bien si le Pentagone signe un contrat PBL, cela permettra au F-35 d'avoir ce coût à l'heure de vol comme objectif. Vue la propension du pigeon à overshooter toutes ses cibles, est-ce que ça a encore un sens de lui fixer des objectifs ?

T'as oublié la petite ligne en bas de la carte "Piochez dans la caisse de communauté jusqu'à obtention du montant nécessaire"

Alors que tout le monde sait que la France n'a pas de MiG. Les trottinettes étant déjà réservées au Scooter de Heinemann, que reste-t-il comme surnom désobligeant pour nos vénérables diesels ? French Vache-qui-rit fighters ?

Les meilleures : les gaufres parisiennes !

Ca non plus, en fait, ça n'a rien d'étonnant. Parmi une infinité de mutations, seule une portion est viable, et une fraction de celles-ci apporte un avantage évolutif. Plus la population est élevée, plus le nombre de mutation survenant est grand, et plus la convergence des variants résistants à des chances de se produire, sous la même pression évolutive. La pression de sélection est aussi un concept que nous devons à Darwin.

Nous sommes parfaitement d'accord. C'est juste Casus Belli qui, dans son tweet, dit : "Les avions français ont fait demi-tour dès que les avions russes ont approché" ce qui est une présentation déformée et hystérique d'une situation banale dont il ne sait (et ne comprend) visiblement rien.

En quoi est-ce une provocation ? Malgré le lien que l'auteur tente de faire, il n'y a aucune preuve (ni même aucune chance) que le demi-tour fait par les avions français soit lié à la présence d'avions russes - pas plus que les Tu-22, 95 ou 160 russes ne font demi-tour quand ils sont rejoints par les PO occidentales.