FATac

Quelques "habitués" de Wikipedia, tels que @collectionneur pourront peut être indiquer si c'est une façon de rédiger "juste" et "neutre". Une question : Wikipedia intègre des fonction de calcul automatique d'age ou d'écart de date, ou bien c'est une information que le rédacteur/mainteneur de la page doit aller mettre à jour régulièrement ? Sinon, derrière chaque page de Wikipedia, il n'y a pas une page de discussion sur laquelle on peut poster des remarques ou indiquer des défauts dans la rédaction de la page ? Si oui, ça peut valoir le coup d'y demander ce qui vaut cette différence de traitement, de signaler que ça manque de neutralité ou bien d'y préciser que le premier vol du standard F1, c'est telle date (+age), et ainsi de suite pour chacun des standards, voire sous-standards. Cela me paraîtrait une bonne démarche avant de faire les modifications sur la page ou de lancer une guerre de révisions. Accessoirement, mettre ces dates de premier vols pour les F-15, F-16, F-22 ou F-35 risque de ne pas être franchement glorieux non plus. Quand aux autres eurocanards, ils ont une timeline similaire au Rafale (à part la mise en service plus précoce du Gripen). C'est étonnant d'utiliser un argument qui peut être retourné. A moins de vouloir crier au procès d'intention lorsque l'argument sera, effectivement, utilisé. En la matière, ce n'est pas la validité de l'argument qui sera retenue, mais l'intention dénoncée en réaction à son utilisation. Communication biaisée - presque du FUD. Si Gandhi avait raison, c'est la phase du "laugh" ou celle du "fight" ?

De ce qu'on m'en a dit, c'est le prestataire qui est inquiété, pour sa prestation, parce qu'elle est vendue au R-U. Le vendeur, lui, n'est que marginalement mis en cause. Après, il est aussi vrai que le marché du voyage est complexe, les hôteliers et restaurateurs étant parfois très intimement liés aux voyagistes, lesquels ont aussi des liens étroits avec les transporteurs. Et entre voyagistes, ils vendent les prestations des uns chez les autres, et la responsabilité des uns ou des autres est parfois difficile à établir, ce qui fait que les problèmes sont systématiquement gérés (quand ils le sont) au plus près de l'endroit où ils arrivent : hôtelier, agent local, agent aéroportuaire, etc. Et si ça ne peut pas être géré à ce niveau, ça remonte pour se perdre dans la jungle de l'organisation de l'industrie du tourisme ... Mais ce qui est pointé sur le comportement des touristes britanniques en Espagne m'a été directement souligné en Grèce cet été comme étant un véritable problème en train d'éclore.

A priori, la loi sur la protection du consommateur britannique le protège pour des achats qui ont eu lieu au Royaume-Uni, quel que soit le lieu où la prestation se passe ensuite. Le prestataire qui vend sur le marché UK se trouve obligé de se conformer au droit local qui couvre l'acheteur. Le britannique qui va au restaurant en Espagne et qui s'y intoxique n'est pas couvert par cette loi. Celui qui achète, depuis le R-U, son voyage avec la restauration incluse, lui, est couvert et c'est ce qui favorise cette fraude. D'où la parade de certains prestataires qui cessent de distribuer la restauration incluse dans les voyages achetés au R-U. Cela va forcer les britanniques qui veulent cependant cette prestation à l'acheter dans un autre pays de l'UE tout en n'étant plus couvert par le droit britannique de la consommation.

Quelques dizaines de kilogrammes (admettons une poignée pour simplifier), sur une masse à vide voisine de 10 t représentent une variation de l'ordre de 0,5%. Sachant que, là dedans, il y a des pleins de fluides (hydraulique, huile, gaz divers et caloporteurs) qui sont à des niveaux différents pour chaque appareil, cela ne me paraît pas exagéré. Enfin, la peinture et les apprêts peuvent, effectivement, représenter une partie de cette variation. Par le passé, j'ai eu à gérer la masse de peinture dans un devis de masse de navire. Les chiffres font frémir ... A ce titre, il serait édifiant de savoir la masse de peinture mise en oeuvre pour une livrée temporaire telle que celle du solo-display ou du Tiger Meet. Évidemment, cette masse totale tient compte de la portion "solvant" qui va s'évaporer, mais c'est un majorant qui peut permettre de se rendre compte des masses en jeu.

Certains tour-operators ont déjà annoncé la fin des offres "all-inclusive" en Espagne, en Grèce et en Turquie pour le marché britannique. Des citoyens de Sa Gracieuse Majesté ont objecté que l'offre ne pouvait pas être différenciée ainsi, au nom de l'Union Européenne dont ils sont encore membres pour 20 mois. Il semblerait finalement que non. L'offre peut être différenciée par pays. Mais rien n'empêche le ressortissant britannique d'aller chercher son voyage sur le marché d'un autre pays ... au risque, pour lui, de n'être alors plus couvert par cette loi sur-protectrice qui pousse aux abus.

En fait, ce n'est pas tout à fait décorrélé : c'est "j'aime" OU "upvote" OU "downvote". Il faut choisir ... désolé pour ceux sur les messages desquels j'ai fait l'essai avant de choisir la bonne option.

Deux options : - une erreur de copier-coller en reprenant un document précédent - une faute de frappe : 6 pour 9 au pavé numérique - faute que certains de mes collègues commettent régulièrement et ne détectent pas à cause d'une légère dyslexie (!). Dans les deux cas, il y a une faute critique de relecture, derrière ... mais Kovy veille !

Si c'était si simple ... La furtivité importante diminue la distance de détection et fait échouer le BVR lorsqu'elle est utilisée de manière symétrique par les opposants. Et qu'est-ce qu'il reste comme option lorsque la furtivité adverse et la nôtre ne permettent plus le combat BVR ?

Impressionnant ! On a les élus qu'on a choisi ... ou qu'on mérite ... Si l'on se trompe de cible, eux aussi le peuvent ... Un équipement comme celui-ci n'a pas à "tomber du parlement", mais à "remonter du front", être validé par des (hauts) fonctionnaires qui vont alors justifier le budget pour maintenir le projet ou l'équipement tout en présentant des alternatives afin d'éviter tout favoritisme ouvert. Quand les fonctionnaires qui doivent faire passer le dossier ne sont pas compétents, ne comprennent pas les contraintes du dossier ou sont plus intéressés par d'autres aspects comme on peut le voir sur le fil "Raidco" en section marine, il ne faut pas s'étonner que les parlementaires ne poussent pas les bons budgets pour les bons projets.

Surtout, dans un cas c'est un opérateur privé (USA) alors que dans l'autre, c'est un acteur étatique (Inde). Ca change suffisamment la perspective pour justifier un traitement différencié.

Sérieusement, qu'est-ce qui pourrait succéder à un tel couteau-suisse : Tout y est : lame fine, lame épaisse, décapsuleur, ouvre-boites, pointeau, loupe, ciseaux (pour le combat aérien), ... Il ne manque que le petit bouclier avec la croix ! Par contre, ce sont les résidus de poudre du GAU-8 qui salissent comme ça ?

Bah, en fait, c'est une sorte de poudre alchimique que tu jettes sur un avion de quatrième génération et qui le transforme en appareil de cinquième génération alors qu'il est dépourvu des autres attributs qui définissent ce stade commercial.

Cool ... j'ai pu retrouver les liens de ma signature ... ... Par contre, il y a intérêt à faire bon du premier coup ! L'éditeur de signatures est un peu capricieux, les liens s'insèrent à l'endroit du dernier lien inséré et il faut faire ctrl+z pour annuler, redéplacer le focus pour réussir à insérer ... et puis quand on revient en édition pour une correction, tous les liens ont disparu ... Et je découvre la possibilité de noter les sujets. Cela peut être bien pour les "petits sujets", mais difficile à gérer pour les sujets "fleuves" (Rafale ou F-35 par exemple) dont l'intérêt va fortement fluctuer dans le temps.

La régie me signale dans l'oreillette qu'un certain Mr Godwin se serait plaint qu'on ne pouvait pas faire confiance à nos amis d'Outre-Rhin pour les trucs sensés durer mille ans ... ---------------> []

Relis ... Ca leur ferait 60 à 70 ans de vie opérationnelle, selon le moment de leur livraison. Si, pour un bombardier lourd, un tanker ou un liner, c'est déjà énorme, alors imagine pour un chasseur ! Les T-33 boliviens vont approcher de cette limite, mais c'était des appareils de seconde ou troisième main et leur remplacement est prévu avec les K-8 Karakorum. J'imagine mal l'Allemagne afficher un tel manque de moyens et d'ambitions.

Si je comprends bien, maintenant le "j'aime" est décorrélé du "réputation +" (upvote) ou du "réputation -" (downvote) ?

C'est une question d'accent tonique. Après, il paraît que les parigots disent que les corses ne sont toniques que lorsqu'ils sont froissés ... C'est pas comme nous, les brezhoneg qui ne faisons que baragouiner ... -----------> []

Objection votre honneur ! Il devrait s'agir de deux Rafale EM. Les C étaient les 3 livrés en avril, convertis à partir de Rafale initialement prévus pour la France alors que ceux-ci doivent avoir été construits dès le début pour l'Egypte. Quelqu'un d'autre pour confirmer ?

De ce qu'on m'en a dit, les 5 immobilisés ne le sont pas tous "faute de pièces". Certains le sont parce que c'est "normal" et qu'ils ont atteint une butée depuis leur dernier entretien au printemps et qu'il faut donc en passer par la visite et les changements de pièces "de précaution" qui vont avec. Les pièces sont disponibles, les mécanos aussi, mais l'avion passe la semaine "sur le flanc", et plus si l'on découvre autre chose à ce moment et que là, les pièces ne sont plus stockées d'avance. C'est aussi un des signes d'une flotte insuffisante ... Si en plein boom (normal) on tape sur les butées, c'est qu'il faut étoffer la flotte pour diluer la consommation de potentiel.

Canadair et Fire Boss ne visent clairement pas les mêmes événements. Ce sont des moyens complémentaires, et l'un ne peut pas remplacer l'autre. C'est plutôt vis-à-vis des Dash que je vois la plus-value de l'amphibie léger. Le marquage et le retardant, les Fire Boss peuvent faire. Les AT-802F sur roues peuvent probablement faire une partie du boulot des Dash et des Trackers, quitte à opérer par patrouilles sur les massifs, pour pouvoir concentrer les frappes ou au contraire les disperser. La frappe, c'est 3000 l d'eau (contre les 6000 l du Canadair). La granularité est plus fine, similaire à celle du Canadair en largage partiel. On pourra m'objecter que 2 Canadair en noria peuvent faire chacun un largage partiel (2 x 3000 l) pour dégager un axe, comme peut le faire une patrouille de Fire Boss, mais qu'après ça ils ont encore de la réserve contrairement aux Air Tractor, mais je dirais qu'il vaut mieux disposer de moyens variés permettant d'éviter de cramer trop vite le potentiel des moyens les plus lourds. Un Fire Boss, c'est une limite à 60 largages quotidiens. Le CL-415, c'est 100 - mais que ceux-ci soient totaux ou partiels. Je ne sais pas si la Sécurité Civile atteint parfois sa limite en France, mais je sais qu'en Croatie, ça a été un argument pour compléter la flotte de 6 Canadair avec 5 AT-802A et un AT-802F. Pour ce qui est de l'écopage, il faut 15 secondes à l'AT-802A pour prendre ses 3000 l, contre 12 au CL-415 pour le double. On voit bien que le facteur 2 joue sur tout (moteurs, équipage, capacité, débit), mais c'est aussi pour ça que de nombreux opérateurs les font évoluer par patrouille de deux, ou d'avantage si nécessaire. J'ai vu, hier, une noria de 5 Canadair en action (soit 70% de notre flotte actuellement disponible mobilisée sur un seul événement). J'ai aussi vu les espagnols faire la même chose avec leurs Fire Boss sur des incendies attaqués de manière précoce ou inaccessibles aux Canadairs (notamment dans une gorge). Encore une fois, il ne s'agit pas d'opposer (quoi que, si, vis-à-vis du Dash que je n'aime pas ...) mais d'avantage de compléter ...

Et puis ça dégage un peu la vue depuis la passerelle ...

Moi, faute de nouveaux Canadair ou d'une autre solution amphibie lourde disponible à court terme, je me demande pourquoi on continue de faire l'impasse sur l'amphibie léger. Une flotte de Air Tractor Fire Boss avec des pré-positionnement intelligents ou un peu de guet armé, et je suis persuadé que l'on peut traiter efficacement un grand nombre d'événements avant qu'ils ne prennent trop d'ampleur. Monomoteur, équipage réduit de moitié, capacité en eau de 3000 l, ça doit permettre de taper "juste" et de compenser une allonge et une vitesse moindre, d'autant que la maniabilité permet à la fois de coller plus au relief et d'écoper sur certains plans d'eau inaccessibles au CL-415. L'Argentine, le Brésil, le Chili, le Canada, et plus près de nous, la Croatie, l'Italie, la Macédoine, et l'Espagne ont sauté le pas. Il se dit que le Portugal pourrait suivre, vu les succès des AT-802A espagnols déployés chez eux lors des incendies catastrophiques de l'an passé.

J'ai pourtant un souvenir ému de https://www.renaultsport.com/Renault-Clio-V6.html Du pur concentré de sensations !

Probablement parce que ce n'est pas nécessairement optimal lorsque c'est monté "en rattrapage". Il vaut mieux les mettre d'emblée sur un bâtiment conçu pour. C'est le meilleur moyen pour avoir quelque chose qui "tienne" et qui n'ait pas de discontinuité liées à la géométrie sous-jacente créée à une époque où l'on n'envisageait pas ces solutions. Après, l'évolution des fréquences des sonars actifs et la petite taille de nos SNA sont deux facteurs qui limitent aussi l'intérêt de ce dispositif sur nos Rubis.

Splendide !