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FATac

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Tout ce qui a été posté par FATac

  1. Ok, flagrant délit de lecture diagonale. Merci de la précision.
  2. Ca, c'est l'annonce de la liquidation, fin janvier 2016. Cependant, il y avait l'annonce, début Avril, d'une reprise de certains titres par un autre éditeur (Sophia Communications). Pas de nouvelles, sur ce point ?
  3. FATac

    Le JSF menacé au Canada !!!!

    C'est moi ou c'est une analyse du coût final sur la base d'un objectif de production toujours intact (2457 appareils dont 612 pour les partenaires et 115 pour des clients exports, en FMS) ? Cela reste donc une prévision et peut s'avérer totalement déconnecté du coût réel final dont on ne sait, pour le moment, toujours pas grand chose puisque les quantités finales ne sont pas encore totalement affermies, tant aux USA que pour les partenaires qui se posent des questions. Tant que LM assumera les surcoûts qui lui sont imputés, cela limitera l'envolée des coûts, mais néanmoins, les reprises sur les appareils déjà produits devant être payées à parts égales entre l'industriel et le Pentagone et celui-ci n'ayant pas nécessairement la capacité/volonté à absorber une telle enveloppe supplémentaire, il est probable que cela se traduira par une réduction de cible du nombre d'appareils (pour rester à enveloppe budgétaire constante). Du coup, l'objectif de coût unitaire dérapera nécessairement, puisque la cible sera réduite pour le même montant global (ou le montant global sera augmenté d'un dépassement pour ces travaux, ce qui entrainera aussi une augmentation). C'est tout le problème de ce programme, qui n'est encore qu'un programme, plus qu'un réel produit : l'industrialisation n'étant pas encore maîtrisée, les coûts n'ont rien de réels et dépendent étroitement de la conduite du programme. Qu'ils soient "Fly away" ou globaux, trop d'incertitudes planent encore sur ces prix pour qu'ils paraissent être autre chose que ce qu'ils sont : des prévisions (que je suis tenté de qualifier d'optimistes).
  4. FATac

    Le JSF menacé au Canada !!!!

    Je ne crois pas, non. Pas ici ... ceux qui font la confusion se font généralement reprendre pour leur manque de rigueur. Après, certains persistent, mais ils sont connus pour ça ...
  5. FATac

    Le JSF menacé au Canada !!!!

    C'est un raisonnement que je ne comprends pas ... En effet, le F-35 répond au programme JSF, avec un J comme Joint (interarme). Le programme est donc global pour les trois versions. Qu'il y ait des différences de coût entre les versions est normal au vu des éléments différents présents dans chacune. Cependant la R&D doit être globalisée puisque la communauté maximale est recherchée. Ainsi, reporter la R&D spécifique à chaque version sur chacune d'entre elles est contraire à l'esprit initial du programme et revient à affirmer qu'il s'agit bien de trois programmes distincts. Nul doute que la Navy et l'USMC sont alors les dindons d'une farce qui visait initialement à plumer l'USAF. Ils se retrouvent en effet avec un avion qui leur coûte bien plus cher que prévu (puisqu'on leur reporte la R&D spécifique) et qui ne correspond pas à ce qu'ils veulent (ils sont rentrés dans le JSF uniquement parce qu'un unique appareil était prévu). S'ils avaient pu "échapper" au JSF, ils auraient spécifié un appareil bien différent.
  6. Ah, peut être pas en prototype ... encore que ... je vais vérifier. Néanmoins, le F-106A a atteint mach 1.9 a son premier vol ... il est vrai qu'il faisait suite aux F-102A et F-106 de définition ... Et sinon, le Rafale A a quand même tutoyé mach 1.3 à son premier vol, si j'ai bonne mémoire.
  7. FATac

    Le JSF menacé au Canada !!!!

    Moi, j'ai beaucoup de mal avec cet article d'AW. Le Pentagone et LM ne se sont pas mis d'accord sur un prix, mais sur un objectif de prix (target cost). Et dans le LRIP8, on n'y est pas encore : 33 x 94,8 M$ pour les F-35A 6 x 102 M$ pour les F-35B 4 x 115,7 M$ pour les F-35C Soit un total de 4200 M$. Il faut les 500 M$ de "advanced procurement" pour arriver aux 4700 M$. Ca couvre quoi ? LM assume les dépassements de coûts sur le LRIP7, mais les coûts de rétrofit des appareils non conformes des lots précédents sont partagés entre LM et le Pentagone ... pour 500 M$ chacun ?
  8. Ce qui fait mal, c'est de ne pas avoir acheté au plus bas. Après, le rebond est toujours possible. En bourse, il est plus facile de prévoir le passer que l'avenir d'une cotation. Mon banquier m'a toujours dit qu'en bourse, il fallait acheter au son du canon et vendre au son du clairon. C'est quand elle bataille ou va devoir prendre part à de grosses confrontation que c'est intéressant d'investir dans une entreprise. Le cours est chahuté et potentiellement bas. Quand l'apaisement approche, que les hostilités vont s'éteindre, il peut être intéressant de vendre quand le cours s'affole, soit à la hausse en cas de succès, soit à la baisse en cas d'échec. C'est une analyse simpliste mais qui a le mérite d'une efficacité modeste mais réelle pour celui qui veut gérer dynamiquement son portefeuille. Par contre, ça fait passer à côté des hausses qui suivent le succès, quand il y en a. Pour celui qui veut être tranquille, il laisse tout ça dormir dans un coin : il n'existe aucune période de 10 années consécutives qui ne dégagent pas une hausse pour n'importe quel portefeuille moyen et équilibré (ou n'importe quelle valeur d'agrégation type Dow Jones ou CAC 40).
  9. C'est courant pour un premier vol quand les objectifs sont de valider une formule ou des systèmes. Sinon, si ces systèmes ont déjà été éprouvés au sol, rien ne s'oppose à la rentrée du train, ce que plusieurs prototype ont bien dû faire pour être supersoniques à leur premier vol.
  10. FATac

    Le JSF menacé au Canada !!!!

    Il me semble pourtant que, si une telle vente pouvait se faire et qu'elle se fasse dans le cadre des FMS, alors ce n'est pas l'industriel qui fixe le prix "fly away", mais bien les politiques US et qu'ils peuvent alors répercuter une partie des sommes allongées pour la couverture des dépassements de R&D. Le prix Fly Away peut alors contenir une partie de ces coûts "non-recurrent" et le client se trouve bien à les payer, même si le tarif affiché est "recurrent.
  11. FATac

    Armée de l'air norvégienne

    Quand c'est urgent, c'est urgent. C'est pourquoi la Luftwaffe avait fait transporter de la moutarde par ses Typhoons ... http://www.freerepublic.com/focus/news/2259007/posts
  12. FATac

    Le JSF menacé au Canada !!!!

    Le Canada ne finance pas le surcoût lié à l'ensemble du programme. Par contre, il devra payer les ajustements de prix unitaires liés à la distribution de ce surcoût d'ensemble sur la globalité de la flotte construite afin d'assurer l'équilibre du programme. Je crois que c'est ce que Seb24 a traduit par une formule à la fois concise et facilement confuse pour ceux qui ne lisent pas toutes les lettres. ;)
  13. Je n'arrive toujours pas à me faire une idée correcte de la taille de cet appareil. Il semble d'une taille intermédiaire entre les F2 et F-15 qui lui servent de chase-plane (on ne le voit qu'avec le F2 mais le passage que font, ensemble F2 et F-15 avant le décollage donne l'échelle). Par contre, lorsqu'il passe devant des hangars à 1:00, il y a un F-86 en pot de fleur à l'arrière plan, et celui-ci parait énorme ...
  14. Bah pourquoi ? Notre armée n'est pas habituée à avoir du matériel tout le temps en panne ? On m'aurait menti sur leurs moyens de maliens ? --------------------> []
  15. On ne peut pas opposer franchement les stratégies, pas plus que les limiter à ces deux seules options. De toutes manières, ce que l'on met en bourse ne doit pas être liquide. Il ne faut pas avoir besoin de ce que l'on a placé. On dénoue ses positions en fonction de sa stratégie propre, sur le long terme, pas en fonction de microvariations qui sont des altérations habituelles du cours. Après, quand tu as acheté des actions à 1100 € (exemple arbitraire), et que l'achat t'a coûté 16 €, que tu verse 50 € par an de droits de garde, c'est sûr que si tu regarde le titre tous les jours et que tu le vois à 1050 € en tendance baissière, ça peut ficher le bourdon ... mais comme tu n'as pas besoin de cet argent, tu le laisse en place, tu empoche ton ticket de dividendes annuels de 12,50 € par action (4 actions payent alors tes droits de garde) ... et tu vérifie mensuellement le cours de ta valeur ... et dans 1 an, 2 ans, 5 ans, 8 ans, tu le trouves à 1400 € et tu vends ... Suivre le cours quotidien n'est pertinent que si tu cherches le meilleur moment pour vendre. Mais c'est pour chercher le meilleur écart, le moment opportun, pas pour maximiser la plus value à court terme. Sinon, le cours mensuel est largement suffisant pour accompagner les grosses tendances. Les gens qui suivaient vraiment le cours quotidien, avec une grosse pression, étaient ceux qui géraient le marché à terme : tu achetais ou tu vendais dans le même mois, au cours du jour, et les débits/crédits étaient passés en fin de mois. Cela permettait d'acheter le 10 du mois à un cours, de revendre le 25 à un cours supérieur, et de ne rien avoir à débourser pour cet achat puisqu'en fin de période, la vente couvrait l'achat. Ce système était vicié, facteur de crise et de spéculation et est en passe de disparaître totalement. Pour le reste, raisonne en industriel, plus qu'en financier : acheter des actions, c'est s'engager sur un projet auprès d'une entreprise. Quelle est la valeur de ton engagement si tu mets les voiles à la moindre baisse de cours ou dès que tu as empoché une somme suffisante en plus value ? Une des bonnes stratégies d'investissement (quand on a de l'argent disponible ET confiance dans un titre), c'est d'investir régulièrement, d'étoffer petit à petit le portefeuille en augmentant le volume lié à un titre de confiance. Ainsi, on accompagne la montée du titre, même si les nouveaux achats sont un peu plus chers, et surtout on profite de tous les moments bas (et il y en a toujours). Quand l'objectif de l'investissement est accompli (souvent sur une durée), on vend le paquet avec une plus value moyenne qui reste conséquente ... et quand le paquet est important, il provoque une fluctuation à la baisse qui permet à certains d'en profiter aussi pour relancer la hausse ensuite ... Quoi qu'il en soit, le cours de bourse reste la conjugaison des actions sur le titre de tous les acteurs, vendeurs ou acheteurs, et de leur sensibilité aux fluctuations ou aux informations. Ca ne demande qu'à partir en excursion alors que le système déteste ça (l'instabilité est facteur de risque).
  16. FATac

    Mirage 2000 D

    Tout à fait, d'où la sensation qu'il leur faut 3 fois plus de temps qu'à d'autres (au moins) pour le même processus. ;) Et cela ne compte pas leurs actions à contretemps ni le fait que les autres ne font pas nécessairement, non plus, chaque chose en son temps. Le chemin critique, en Inde, ressemble plus au labyrinthe de Minos qu'à un itinéraire dans le métro parisien. Mais là n'est pas le sujet ...
  17. Tu es actionnaire depuis combien de temps ? Que sur Dassault ou tu as d'autres valeurs pour équilibrer les risques ? Contrairement à Pic, les points de vue financiers que j'ai reçu (je suis assez proche d'une salle de marchés) sont à la conservation du titre, en dormant dans le portefeuille.
  18. Parce que l'agenda des investisseurs n'est pas nécessairement le même que celui des politiques, des industriels, des autres acteurs du dossier. Pourquoi aurait il du progresser hier ? Il y avait une forte demande ? Non. Il y avait peu de vendeurs ? Oui, mais un peu plus que de demandeurs, d'où un cours qui se tasse. Aucun motif purement boursier ne justifierait une hausse du titre hier ... quant aux motifs extra-boursiers, il n'y a pas non plus d'indicateurs qui justifieraient une ruée sur le titre. Les tendances sont bonnes (au pire, -5% à 1an, au mieux +50% sur la même durée, avec une tendance raisonnable dans les +20% ce qui est déjà énorme et justifie une recommandation à l'achat). Cependant, rien ne justifierait une hystérie sur le titre actuellement. Et la bourse n'est pas l'unique ni le fidèle reflet de l'activité d'une entreprise. C'est biaisé par les stratégies et les attentes des investisseurs qui sont rarement les mêmes que celles des entrepreneurs et des industriels (sinon certains groupes ne seraient pas obligés de désindustrialiser, de vendre les bijoux de famille, pour servir les dividendes attendus).
  19. FATac

    Mirage 2000 D

    Tiens, c'est l'occasion de briller en société avec un aphorisme qu'on vient de me rapporter comme indien (même si je le soupçonne d'être, en fait, chinois) : On peut en tirer toutes les conclusions que l'on veut sur le "temps indien". ;)
  20. FATac

    F-22

    On peut aussi envisager de ne pas lier les signaux les uns aux autres - éviter de raisonner "post-hoc". Le principal signal d'une relance de la chaine de F-22 n'est pas "le F-35 ne peut pas le faire", mais tout simplement "on n'a pas assez de F-22". Je rappelle que 700+ étaient prévus, que la commande a été dégonflée dans un contexte de pacification globale mais que les tensions repartent à la hausse, justifiant un retour à des niveaux plus élevés. Quand on envisage aussi que sur les 200- produits, 1/3 n'est pas aptes aux actions de première ligne, la flotte de combat ne représentant que 2/3 de l'effectif et n'étant pas disponible à 100%, on peut envisager d'avoir besoin d'appareils supplémentaires pour pouvoir gérer les crises à venir, non ? Dans ce contexte, le JSF/F-35 est un paramètre d'une autre équation, pas forcément liée à celle du F-22.
  21. Les éléments que j'avais en tête indiquaient plutôt un disque d'effets de 1500 km pour une explosion à 4/500 km d'altitude. Sous 200 km, il semble qu'il y ait une zone "morte" où l'EMP ne se développe pas de manière aussi efficace. Mais même 500 km de diamètre, à 100 km près, c'est suffisamment "baveux" pour, au choix, affecter largement des voisins OU permettre de placer des moyens dans les zones frontalières pour une reprise d'activité (ou des représailles, avec les moyens nucléaires envoyés hors du territoire, comme des SNLE). Si l'on est DEJA dans le cadre d'une guerre nucléaire, c'est vrai qu'on s'en fout un peu que cela déborde ... mais on est sorti du contexte de dissuasion. Il faut savoir, c'est avant ou après l'ultime dégelée que l'on envisage l'assaut à l'IEM ? Une 4L ou une mobylette démarrera toujours après une IEM. La plupart des engins de chantier aussi. Les voitures modernes, avec calculateur d'injection, beaucoup moins. Néanmoins, il restera pas mal de moyens disponibles pour agir - bien plus que l'on croit, en fait. L'anarchie ne sera pas vraiment longue. Comme dans les autres catastrophes, des leaders locaux émergent toujours très vite - dans les minutes qui suivent - pour organiser la survie du groupe auquel ils appartiennent. Ce sera la même chose. Et s'il y a du flottement, ce sera davantage sur quelques luttes de pouvoir lors de la reprise en main par un état "de droit", mais même là, certains s'effaceront devant l'autorité reconnue - laquelle aura alors le volume critique pour s'imposer à ceux qui lui résistent, quitte à employer des moyens d'exception. De plus, même si tout ce que je fais sur une journée habituelle disparaît, ces journées post IEM ne seront pas des journées ordinaires. Tout le monde sera occupé à autre chose que ses occupations habituelles. Notamment à se reconfigurer pour faire face à la crise - tout comme après une inondation ou un tremblement de terre, d'ailleurs. Les gens ne reprennent pas le cours ordinaire des choses juste après la fin des secousses. Les survivalistes peuvent réagir immédiatement à ce genre de crise puisqu'ils y sont préparés. Le reste de la population a besoin d'un temps d'adaptation. Mais potentiellement, tous les individus peuvent devenir survivalistes si leur survie en dépend, justement. Or, sans destructions massives, le temps d'adaptation va être disponible - 3 jours, le temps que les données périssables soient consommées, que les stocks de couvertures de survie soient épuisés et les populations rassemblées, ça permet largement d'organiser la suite, même en l'absence de moyens électriques/électroniques pour cela. Les organisations humaines vont très vite se décentraliser, se féodaliser, se morceler pour assurer leur avenir immédiat, puis dès que possible elles se ré-agrégeront pour plus d'efficacité, et on reviendra à une situation évoluée.
  22. A la base, la dissuasion nucléaire est basée sur le fait que l'on risque une destruction immédiate (et un peu cumulée dans le temps, en complément) mais limitée. Les pays voisins peuvent être atteints par des retombées éventuelles mais s'ils ne sont pas étroitement solidaires de la "victime", leur réaction risque de se limiter à un haussement de sourcils et à une réprimande officielle. Par contre, si l'on utilise une dissuasion basée sur de l'IMP, la zone d'action étant difficilement contrôlable et beaucoup moins circonscrite que la surface de souffle et de chaleur d'une bombe A/H, les voisins vont aussi voir une partie de leur territoire replonger aux années 50/moyen-age/age de pierre. Et ça, je doute qu'ils le laissent faire sans de sérieuses représailles. Au final, si c'est contre un pays voisin, c'est une dissuasion qui ne marche pas parce que c'est suicidaire (on est touché aussi), et si c'est contre un pays lointain, il faut envisager de viser aussi tous ses voisins pour éviter de se prendre un truc désagréable en retour. C'est sûr que ça dissuade aussi de s'en servir ...
  23. Actuellement, il perd 16 €, soit 1,21% de sa valeur - sur la journée - et se retrouve à son cours d'il y a exactement 1 mois. Il y a eu 1366 titres échangés sur la journée, soit 0,01% du capital. Ce sont quand même des valeurs très très faibles et qui permettent difficilement d'en tirer des conclusions définitives. Surtout quand les autres indicateurs boursiers, les agrégateurs type CAC40 ou Dow Jones sont assez moroses, proches de 0% d'évolution.
  24. FATac

    Le F-35

    Le propre de l'arbitraire est d'être, justement, déconnecté des réalités. C'est davantage pour une illustration et un ordre d'idée (j'ai arrondi pour l'exemple à partir d'une valeur de 12G lue au sujet du MB Mk16 du Rafale).
  25. FATac

    L'Inde

    Je l'ai vu. Mais le cours seul n'est pas suffisant pour apprécier la situation. Le cours s'est cassé la gueule début février, avec de gros volumes échangés. Depuis, il remonte progressivement avec des échanges plus modérés. La tendance baissière d'aujourd'hui n'est rien quand elle joue sur 250 titres ... Et la fixette sur le cours tend à faire prendre de mauvaises décisions, à faire de la gestion à court-terme sur les plus-values. C'est une démarche de boursicoteur, pas d'investisseur. L'investisseur, lui, va limiter les mouvements (qui coutent), de manière à diluer leur coût dans la tendance à long terme et les amortir avec les dividendes. En bourse, celui qui attend (avec un portefeuille diversifié pour amortir les mauvais choix) est toujours gagnant globalement par rapport à ceux qui passent leur temps à échanger pour empocher des plus-values en pariant sur les cours (pour quelques uns qui gagnent beaucoup, beaucoup perdent un peu et tous ceux là rendent les cours moins lisibles). La bourse est un système communiste (!) basé sur le long terme. Mais on est HS ...
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