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Messages posté(e)s par FATac

  1. il y a 1 minute, gustave a dit :

    Je doute que l'on voit un jour des FS protéger un site SAM...

    Je suis d'accord avec toi... on ne les verra pas. :laugh:

    Blague à part, il est probable que, dans certains cas sensibles, une partie de la défense d'un site SAM soit assurée par l'un des CPA.

    Et on ne peut pas alors exclure que les personnels des CPA 20 et 30 soient épaulés de personnels du CPA 10, donc de FS...

    Le doute reste permis. :happy:

     

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  2. il y a 29 minutes, ywaDceBw4zY3tq a dit :

    c'est juste un façon de dire "on a pu s'approcher suffisamment prêt pour plastiquer le radar" ? 

    Oui.

    il y a 20 minutes, ARPA a dit :

    À priori l'équipement utilisé est un peu plus subtil pour faire croire un peu plus longtemps que la liaison n'a pas été coupée, mais ça reste assez basique.

    Non.

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  3. Il y a 7 heures, Boule75 a dit :

    mais sans même relever que c'est en anglais, que fout ce slogan sur un uniforme de fonctionnaire ?

    Bon, je ne suis pas expert, mais il y a de quoi balancer un peu entre toutes les positions extrêmes...

    Je suis parfaitement d'accord que l'uniforme, c'est l'uniforme.

    Pour autant, dès lors que l'on pose des zones de personnalisation, comme les scratchs à patchs, on s'expose à des personnalisations, justement.

    Maintenant, faut-il normer, encadrer, limiter, valider les patchs autorisés, je ne sais pas trop.

    Par ailleurs, sans position particulière sur la valeur symbolique de cette "thin blue line" et de son port, le slogan en anglais interpelle. Mais pour autant, il est la réponse la plus basique qu'il soit à un autre slogan sur le même acronyme, slogan qui m'a toujours heurté à un point que c'en est une gêne pour moi quand je le découvre en tags après une manif. "All Cops Are Brothers" répond directement au ACAB de "All Cops Are Bastards" de certains alter-tout.

    J'aurai préféré un "Au Contact Avec Bienveillance".

    En fait, comme toujours, c'est l'appropriation politique d'un symbole graphique qui fait tache d'huile et vient poser problème aux services qui pourraient, par ailleurs, recourir à ce symbole graphique de manière plus ou moins innocente.

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  4. il y a 50 minutes, Bechar06 a dit :

    Je m'interroge sur l'opportunité de diffuser ce genre d'info à un presque-tout-public  !    A&C devrait être sanctionné 

    Si l'information est sortie, c'est qu'elle n'est pas sensible.

    Après, je le rappelle, on est sur un exercice. Il y a donc un (tout) petit peu de surprise tactique, mais surtout beaucoup d'actions scriptées.

    En l'occurrence, je ne serais pas surpris du tout que cette action ait permis :

    • D'entrainer l'équipage du Mamba à son déploiement, son opération.
    • D'entrainer les forces spéciales à l'intrusion sur un tel dispositif.

    Et puis c'est tout.

    Il n'est pas certain du tout que :

    • L'escadron Mamba se soit entrainé à assurer la sécurité du périmètre - qui aurait, en réalité, peut être été assurée par les mêmes que ceux qui ont mené l'intrusion
    • Le dispositif électronique indiqué a une réelle utilité fonctionnelle, autre que de matérialiser l'intrusion

    Un exercice, c'est avant tout une histoire qu'on raconte...

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  5. à l’instant, Scarabé a dit :

    Ils auraient raison de reduire cette poche russe En plus ils pourraient tester le matos recu en situation de combat :dry:

    Objection votre honneur.

    Si, sur le fond, c'est un peu ma conviction aussi, par contre sur la forme, c'est bien plus contestable.

    D'une part, si quelqu'un devait s'occuper de la réduction de cette poche Russe, c'est essentiellement et avant tout la Moldavie qui devrait s'en charger, non ?

    Et par ailleurs, s'il est important pour l'Ukraine de se défendre d'une éventuelle incursion des troupes (réputées déclassées) russes de Transnistrie, est-il pour autant raisonnable de divertir pour une telle aventure des troupes qui pourraient faire défaut sur le front principal, qui reste quand même l'est du pays, du nord au sud.

    Enfin, pour Moscou, la Transnistrie n'est pas une région Moldave autonome, mais, depuis que cette volonté a été manifestée en 2014, un candidat déclaré pour rejoindre la Fédération de Russie. Comment le Kremlin réagirait alors à ce qu'il pourrait considérer comme une agression directe sur son territoire putatif.

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  6. 2/6

    Révélation

    Reconstituer l'assaut lancé par Moscou

    Avant d'être le nom d'une bataille, Hostomel est une ville d'à peine 17 000 habitants, située dans la périphérie nord-ouest de Kyiv. Une banlieue résidentielle qui jouxte Irpin et Boutcha, deux villes qui renvoient depuis à des massacres . L'endroit abrite l'un des trois aéroports de la région, habituellement réservé à des vols de fret et au constructeur aéronautique ukrainien Antonov, qui y a établi son siège. Ce site stratégique n'est pas une base militaire. Au moment de l'invasion, une centaine d'hommes de la garde nationale ukrainienne (équivalent de la gendarmerie), accompagnés d'un faible nombre de défenses antiaériennes, y sont affectés. La majorité des forces ukrainiennes sont déployées dans le Donbass, où le renseignement de Kyiv s'attend à affronter le gros de l'offensive. Sans soupçonner, malgré les avertissements de Washington , la percée éclair que tentera Moscou vers la capitale ukrainienne.

    C'est donc cet aérodrome que l'état-major russe décide de cibler pour tenter de prendre l'Ukraine de vitesse, et de capturer Kyiv en quelques jours. Yohann Michel, chercheur à l'International Institute for Strategic Studies (IISS), souligne qu'à l'époque, «la plupart des analystes pensaient que les troupes russes [amassées au nord, à la frontière biélorusse] n'étaient pas suffisantes pour prendre Kiev, et que ces hommes n'étaient probablement pas assez formés pour ce qui aurait été un combat urbain difficile et long dans l'une des plus grandes villes d'Europe. [...] Il aurait fallu que toutes les troupes russes soient concentrées sur cet assaut, et encore. [...] Une capture éclair de Kiev était en réalité la seule chose qui était réalisable pour eux».

    L'objectif n'est pas seulement militaire. Vladimir Poutine compte prendre la capitale par surprise, exécuter les dirigeants ainsi que l'élite ukrainienne (listée dans des documents des services de renseignement russes) , avant de mettre en place un gouvernement fantoche. Ce plan, que les chercheurs interrogés décrivent, a minima, comme «optimiste» quant à ses chances de réussite, et décorrélé des réalités du terrain sur certains de ses aspects, consiste donc en une opération choc censée paralyser la résistance ukrainienne, et permettre un basculement vers une simple contre-insurrection en moins de dix jours.

    Un an après, de nombreuses vidéos permettent de reconstituer l'assaut aéroporté lancé par Moscou. Des caméras, accrochées aux casques de plusieurs parachutistes suréquipés , ont enregistré les préparatifs des troupes russes dans les bases biélorusses, puis le trajet au-dessus des forêts du nord de l'Ukraine. Plus loin, autour du réservoir d'eau du nord de Kyiv, des soldats et civils ukrainiens ont filmé les vols des dizaines d'hélicoptères filant depuis la rive Est en direction des pistes d'Hostomel. Les traînées étincelantes qui jaillissent continuellement des appareils russes d'attaque ou de transport sont des leurres. Des signatures thermiques qui cherchent à tromper les missiles antiaériens. Parfois sans succès : plusieurs hélicoptères russes sont ainsi abattus au-dessus du Dniepr, avant même d'arriver à Hostomel. Retour ensuite aux images russes, qui montrent chaque instant du débarquement de ces centaines de VDV (acronyme russe utilisé pour désigner les parachutistes de Moscou) sur le tarmac d'Hostomel.

    La majeure partie de la force d'attaque russe, la renommée 45e brigade Spetsnaz, réussit à atteindre l'aéroport, en perdant néanmoins plusieurs hélicoptères autour du site. L'un des hommes dont on suit le trajet dans une vidéo fait vraisemblablement partie de la deuxième ou de la troisième vague d'assaut, nombre de ses camarades étant déjà éparpillés sur l'aéroport. On entend assez peu d'échanges de tirs en dehors de ceux filmés, et les cibles que les soldats engagent ne sont pas visibles. Ce qui est cohérent avec les témoignages ukrainiens publiés dans la presse, selon lesquels les troupes de la garde nationale ukrainienne se seraient alors retirées sans subir de lourdes pertes. Les Russes prennent possession des bâtiments, consolident leurs positions, notamment avec des lanceurs antichars Kornet ou des mortiers. Face à la caméra, l'un des soldats de Moscou attache ensuite un drapeau russe (3'13) sur le toit de la tour de contrôle, alors qu'une explosion retentit.

    L'image des couleurs russes hissées au-dessus de l'aéroport fera la joie du ministère de la Défense russe, ainsi que des nombreux milblogueurs pro-Kremlin (une galaxie d'influenceurs militaires qui oscillent du commentaire à l'analyse). La séquence est aussi photogénique que symbolique de la victoire éclair à laquelle aspire Moscou. Elle cadre mal, cependant, avec l'incertitude qui va régner à Hostomel le reste de la journée.

     

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  7. il y a 18 minutes, Bechar06 a dit :

    Avis ?   From https://twitter.com/top_force/status/1627981414753792002?

    Rafale payload is amazing: 2 Meteor (long range, fox 3), 6 MICA (medium-range, EM: fox 3, IR: fox 2), 1 SCALP-EG (long-range cruise missiles) and 9 smart glider (guided bombs)

     

    rafale23.jpg

    Oui.

    L'abus de Twitter nuit gravement au cerveau. :rolleyes:

    Je compte 12 munitions pouvant être des SmartGlider sous la maquette de Rafale, pas 9.

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  8. il y a 48 minutes, HK a dit :

    Plutôt plus tard que prévu… vu qu’il n’y a pas longtemps le retrait des Mirage 2000-5 de Luxeuil était prévu pour 2027-28. Donc là si on dit 2032 cela veut dire que les M2000-5 devront tenir encore 3-4 ans.

    Je n'ai pas la même lecture.

    L'article lié par @Scarabé indique :

    Citation

    « Je sais que la pérennité de la base est un sujet d’inquiétude pour le territoire et ses élus. Et c’est bien naturel, sachant la force des liens qui unissent la base de Luxeuil au territoire », a ensuite continué la ministre. Or, a-t-elle ajouté, « je peux aujourd’hui […] annoncer que la base de Luxeuil a été choisie pour être équipée de Rafale après 2030. »

    Plus précisément, le « déploiement d’un premier escadron est prévu à compter de 2032 ». Ce qui peut vouloir dire qu’un deuxième pourrait suivre par la suite. En outre, « préparer l’avenir, se conjugue au présent », a ajouté Mme Parly. Et d’annoncer également que « d’importants travaux seront entrepris pour moderniser la BA 116 et en améliorer la sécurité. »

    J'en comprends :

    • Qu'après 2030 - mais potentiellement dès 2030, la BA de Luxeuil pourra recevoir des Rafale de façon ordinaire, et pas juste de passage.
    • Que la forme permanente de ce déploiement, avec un escadron résident, est prévue pour 2032.
    • Que la base d'Orange voit 2 ans de travaux, du départ des 2000 RDI à l'accueil d'un escadron de Rafale
    • Que la base de Luxeuil n'a pas de raison de connaître moins de travaux, et qu'on annonce justement d'importants travaux.

    Pour moi, un retrait des 2000-5 en 2028 reste la cible, suivi d'au moins 2 ans de travaux, jusqu'en 2030 pour le minimum minimorum, et potentiellement jusqu'en 2032 pour la version "full option" et accueillir un escadron de Rafale (ou plus) avec des installations définies de manière optimale.

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  9. il y a 25 minutes, KPLX a dit :

    L'offensive d'hiver russe est en cours.

    Les ukrainiens tiennent le choc pour l'instant.

    Si ce n'est pas faux, je ne suis pas certain que ce soit pleinement vrai pour autant.

    il y a 25 minutes, KPLX a dit :

    Côté russe:

    Le recours aux blindés, et notamment aux MBT semble marquer le pas.

    Il n'y a pas eu de seconde tranche de mobilisation

    Les pertes humaines sont considérables (pour ne pas dire intenables)

    Les différents analystes tablent sur le fait que les russes sont au maximum de leur possibilités actuelles.

    Cela rend l'éventualité d'une grosse offensive de printemps assez hypothétique.

     

    Côté ukrainien:

    Ils font du combat de retardement, et font subir aux russes une attrition importante.

    Les quelques tentatives de percée russes qui ont été anéanties montrent qu'ils sont bien renseignés et armés pour ce type de combat.

    Les unités tournent fréquemment.

    Pour moi, s'ils arrivent à constituer en parallèle une force suffisante d'ici avril ou mai, ce qui est en cours (incluant le matériel en cours d'acheminement), il est permis un petit espoir d'un retour de l'initiative de leur côté d'ici pas trop longtemps.

    Je me garderai bien de conclure tout ça, sur la base de sources à l'objectivité partisane, et avec des experts qui sont, finalement, assez éloignés du terrain pour tenir des raisonnements globaux que la réalité peut venir contredire à tout moment.

    Je suis assez prudent pour ne pas prendre pour argent comptant certain de ces points :

    • Le recours aux blindés qui marque le pas - est-ce que ce ne serait pas plutôt leur mode d'utilisation qui changerait ?
    • Les pertes humaines russes considérables - selon les revendications adverses.
    • Les unités ukrainiennes qui tournent fréquemment - j'ai eu des retours sur une forme d'épuisement moral lié à une absence de perspectives et une rotation au front très/trop fréquente. Certains soldats ukrainiens qui sont au charbon appellent à élargir la mobilisation des arrières pour fournir de nouveaux combattants et alléger l'effort qui leur est demandé afin de pouvoir tenir dans la durée.

     

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  10. La capacité de ravitailleur des C-160 NG n'était pas utilisable qu'en vol.

    Cette capacité en faisait une espèce de couteau suisse expéditionnaire que ne permettaient pas les C-135FR, plus performants, mais moins adaptables, et surtout en nombre très limité et priorisés vers les FAS.

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  11. il y a 1 minute, MIC_A a dit :

    Bon, si on suis ton raisonnement, on mets le curseur ou dans le temps : La grande Catherine, le tsar, Napoléon, Staline ?
    Car quasiment tous les pays ont été confronté aux envahisseurs et flux/reflux de ces derniers et d'autres après eux au fil des siècles qui ont façonné les frontières et donc les territoires d'aujourd'hui de fait ou avec des traités !

    Ben... s'agissant d'un pays (l'Ukraine) dont le nom veut littéralement dire "Les marches", c'est-à-dire "Région frontière d'un état", dont on peut supposer que l'identité propre a, de tout temps, été niée par les encombrants voisins qui se le sont disputés, je ne suis pas certain que le raisonnement ait la moindre once de fondement.

    Partant de là, que dire... :rolleyes:

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  12. il y a 53 minutes, Ciders a dit :

    où sont les restes du prince Potemkine

    Hmmm... Par ailleurs, la statue du Prince Potemkine n'a pas été emportée de Kherson par des soldats russes ? Ah, si...

    Alors, c'est quoi ? Une dégradation du patrimoine culturel ukrainien ? Une récupération par les Russes d'un patrimoine spolié par les Ukrainiens ? Si c'est un territoire russe, pourquoi les Russes ne l'y ont ils pas laissé et protégé ?

    J'ai décidément du mal avec le relativisme qui met sur un pied d'égalité le vol pur et simple d'un côté, avec le démantèlement conservatoire, qu'il s'agisse de biens matériels ou d'éléments du patrimoine culturel.

    Il faut admettre que la phase aigüe du conflit, l'irruption des Russes sur des territoires qui n'étaient pas disputés jusqu'à présent, ne peut que conduire à une phase de détestation, probablement pour 1 à 2 générations. Que cette détestation se manifeste par un rejet culturel n'est pas confortable, mais n'est pas anormal non plus. En psycho-trauma, elle fait partie du processus de reconstruction post-traumatique. L'interdire reviendrait à réamputer la victime. Il convient juste d'en modérer les effets et les manifestations pour que cela ne devienne pas une contre-oppression supplémentaire.

    Il y a 11 heures, Wallaby a dit :

    C'est le paysage qui est classé.

    Si on peut démonter la Tour Eiffel, la mettre dans des caisses, sans que Paris ne perde son classement UNESCO, c'est la preuve que la protection ne protège rien.

    On va tempérer un peu...

    Le classement fixe des objectifs de préservation, de restauration et de conservation. C'est alors un "devoir de l'humanité" de tout mettre en oeuvre pour protéger. Un devoir n'a jamais protégé efficacement, ce n'est qu'un engagement qui peut, à tout moment, être victime de forces supérieures (qu'il s'agisse des forces de la nature ou bien d'une volonté humaine de destruction).

    Et le classement est généralement plus précis qu'un simple "paysage". Il décrit des éléments particuliers, typiques, qui rendent le site classé unique. Autant les escaliers Potemkine peuvent en faire partie, car ils ont un caractère architectural propre et ont fait l'objet de représentation au sein d'autres oeuvres culturelles. Autant une statue en particulier, à laquelle peut être substituée une autre statue, a peu de chances de rentrer dans le détail du classement. L'aménagement de la place où est érigée cette statue, la ventilation des espaces pour définir le paysage, tout cela peut être protégé pour limiter les altérations, mais la statue en elle-même peut-être "amovible", notamment s'il est envisagé de la déplacer dans le but revendiqué de la protéger. L'effet bonus de ce déplacement pouvant aussi être de priver des adversaires d'un symbole.

    Quant à la Tour Eiffel... tout ce qui est excessif est insignifiant. Est-ce vraiment la peine de se battre contre un épouvantail ?

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  13. Il y a 7 heures, Wallaby a dit :

    Et c'est à ça qu'on a donné le statut de patrimoine mondial de l'UNESCO ! Quelle blague !

    Quelqu'un a le détail de ce qui a été classifié au patrimoine mondial de l'UNESCO, à Odessa ? Il y a autre chose que le caractère architectural et les escaliers Potemkine ?

    Et par ailleurs, la statue n'a pas disparu ni a été détruite. Elle a été retirée de l'endroit où elle était mise en valeur et est destinée à rejoindre un autre lieu d'exposition, moins ostensible, dans un musée. Cela signifie que l'on souhaite conserver l'oeuvre artistique, que l'on accepte l'héritage historique, mais que l'on refuse le symbole et le culte qui pourrait lui être voué.

    Où est la blague ? :dry:

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