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FATac

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Tout ce qui a été posté par FATac

  1. FATac

    Le F-35

    Oui et non ... certes, le missile et son rail ne semblent pas représenter une charge énorme, mais ce point d'emport est celui qui maximise le bras de levier, et donc l'effet de cette dissymétrie "légère". Et puis on ne va pas commencer l'ouverture des configuration dissymétriques avec un bidon de 2000 l, quand même !! Faut monter en douceur, il y a le temps avant que le programme ne soit mur. ;)
  2. FATac

    Eurofighter

    Petit joueur ... Avec l'eurofighter, EADS pouvait assembler : - le design italien - la fiabilité allemande - le pragmatisme britannique - l'élégance espagnole Et finalement, ils ont obtenu : - le design britannique (!) - la fiabilité italienne (!) - le pragmatisme espagnol (!) - l'élégance allemande (!) :lol: ---------> []
  3. FATac

    [Rafale]

    Merdouille ! C'est pas la première fois que je me fais avoir sur jaune/orange/marron. Je vais devoir vérifier si je n'ai pas un problème de couleurs, moi. =(
  4. FATac

    [Rafale]

    Je ne sais pas ... Le porteur de martel passant devant, pour ouvrir le corridor en détruisant un radar de surveillance, les mig-23 auraient été bien en peine pour localiser et intercepter le raid (je rappelle l'autonomie quasi nulle des pilotes du PV dans ce domaine : ils étaient totalement aux ordres de la structure de contrôle/défense aérienne et considérés comme de simples "portes-missiles". Au cas où une formation s'égarerait cependant sur la route du porteur de l'AN52, l'unique R-530 pouvait faire baisser les têtes et s'égailler les intercepteurs, au moins le temps que la bombe passe. C'était risqué, mais raisonnable au vu de nos moyens.
  5. FATac

    [Artillerie navale]

    Des éléments de réponse : - l'auto-directeur du Sidewinder est probablement plus coûteux à produire que celui du stinger (15000 produits dans un cas, 70000 dans l'autre, il y a certainement des économies d'échelle) - l'auto-directeur du Stinger présente des évolutions intéressantes (la version POST, passive, avec analyse de contraste pour "déclutteriser" la cible sur un fond bruité) - l'auto-directeur du Stinger est très réactif, vues les conditions d'emploi de ce missile : tir en conditions très dégradées, à portée extrêmement courte, départ arrêté, etc, là ou le Sidewinder peut se permettre un tout petit peu moins réactif, vu qu'il bénéficie de la vitesse du porteur et d'un temps de vol généralement un peu plus long.
  6. FATac

    [Rafale]

    Ces photos ne me donnent aucun motif de doute. Les entrées d'air sont bouchées par des trappes qui sont "avalées" par le stato lorsque tout le booster à poudre est consommé. La bande de marquage jaune/orange me laisse croire que le booster et le carburant sont là. Il n'y a pas de marque bleue montrant des munitions d'exercice. La tête est certainement factice, parce que, bon ... pour un essai, depuis qu'on a abandonné les essais nucléaires atmosphériques ... une dummy suffira. Les MICA sont bons de guerre, ce qui colle aussi avec un exercice de cette importance : il ne faut pas que l'avion soit "capturé" par un tiers hostile qui pourrait alors s'en prendre aux secrets du missile et les analyser. Ce serait un casus-belli, mais en attendant, autant s'en prémunir avec une capacité de défense (et une bulle de sécurité bien maîtrisée autour de l'appareil porteur). Pour moi, pas de raison que ce soit faux.
  7. FATac

    [Rafale]

    Non, Raoul ! Tu ne feras pas de la frappe de saturation à coup d'ASMP-A lancés par quad-pack depuis un même Rafale ! :lol:
  8. FATac

    [Rafale]

    J'aime l'état d'esprit "passage en force" de la configuration pour l'exercice : un ASMP-A à délivrer, et 6 MICA pour empêcher les empêcheurs de délivrer en rond de nous en empêcher. En même temps, c'est un message. ;) Belles photos !
  9. FATac

    Mirage 2000

    Large, pour certains, à condition de passer les visites périodiques. Une VP menée à son terme avec succès garantit près de 1000 h de potentiel supplémentaire, soit 3 à 4 ans d'activité. Sauf qu'il faut des mécanos formés, pour ça.
  10. FATac

    Mirage 2000

    Il y a peut être des raisons pour que ce ne soit pas déjà le cas, non ? ;) Je ne suis pas sûr que beaucoup de pilotes accepteraient de prendre le baquet d'un piège dont l'entretien et les visites sont faits par quelqu'un qui n'a pas forcément la qualification (l'approbation pour le faire, je ne doute pas des compétences), ni le détail et la maîtrise officielle des procédures. Il y a déjà eu des accidents pour un simple écart sur la procédure d'entretien/maintenance - les rapports du BEA sont fascinants sur ce point. Alors imaginer une formation qui ne serait pas formalisée sur un cursus complet, défini, arrêté et certifié au préalable ... ça me fait frémir. @Pascal certaines lectures en commun, certaines expériences aussi, ce qui amène, raisonnablement, à des conclusions similaires, ou au moins parallèles. Une culture peu ou prou similaire peut formater nos raisonnements selon le même schéma.
  11. FATac

    Mirage 2000

    Sauf qu'au sujet des F1, il me semble avoir lu quelque part qu'il n'y a plus de formation de mécaniciens sur cet appareil. Cela veut dire que le vivier actuel - réduit - va devoir être assujetti au type (ce qui n'est pas forcément conforme aux souhaits de carrière des aviateurs concerné), et que les départs naturels vont sérieusement entamer l'effectif au fil du temps. Resterait-il alors assez de mécanos en activité en 2016 ou 17 pour assurer le coup ? Et puis, avec quelques promotions au passage, on va avoir des équipes constituées entièrement d'adjudants au bout de quelques années ... Toutes les décisions ont des conséquences (les absences de décisions sont aussi des décisions).
  12. FATac

    Mirage 2000

    Bonne ou mauvaise nouvelle pour l'hypothétique upgrade des Mirage 2000D ? Les missiles Magic II ont vu leur durée de vie prolongée jusqu'en 2018. Du coup, l'autoprotection des D (et des N) est assurée (a minima) jusque là, sans mise à jour MICA.
  13. Un programme spatial se devant d'être méthodique, j'ai entrepris de tester mes modules un par un, du dernier étage vers la base ... Mon dernier étage, lancé du pas de tir, me permet d'atteindre une apogée à 114 km (il s'éteint à la limite de l'atmosphère). Si j'ajoute mon avant dernier étage, en tir tout droit, c'est "vers l'infini et au delà". Extinction à 70 km, et le dernier étage prend le relais sans avoir la résistance de l'atmosphère à surpasser. Avec un peu de pilotage (poussée "vers l'horizon" avec 1 moteur sur 4 à l'extinction des 3 autres qui ont un peu moins de carburant) cet assemblage permet déjà une mise en orbite à 70/360 km, avec la moitié du carburant restant dans le dernier étage (1,5/3 réservoirs de 500). Ca désorbite sans le moindre soucis, avec cette marge. Je fais ça sans le moindre booster ... et je n'ai pas encore commencé l'assemblage de mes faisceaux latéraux. J'ai deux trois étapes de ma séquence de séparation qui méritent une optimisation, mais c'est déjà bon. Prochaine étape, les faisceaux latéraux, étape suivante la boosterisation. Mais je soigne ça car je suis un gros malade du largage du poids inutile au fur et à mesure ...
  14. J'active le "Active SAS" avant même le décollage (touche T). Ca me garantit la tenue des paramètres de vol. Ensuite, pour évoluer, je le coupe, je bouge les trois axes comme je veux, et dès que l'horizon artificiel est dans la position qui me convient, je le ré-enclenche et il assure tout derrière ... plus geek que pilote. :lol: Je viens de tenter un monstre (sur une base à 9 moteurs + 9 boosters au premier étage, 4 étages + capsule en tout), avec des liens de structure dans tous les sens. Ca décolle bien, ça envoie du lourd ... le problème c'est que j'ai merdé le transfert de carburant des réservoirs de mon 3e étage ... j'ai du le larguer avec 3 pleins sur 4. Le 4e n'est pas suffisant pour une bonne montée, je termine avec 330 km en Ap, mais seulement 15 en Pe (donc ouverture du parachute et retour maison). Dommage, c'était prometteur, même si ça dandinait dans tous les sens.
  15. Pour ça, je crois qu'il va falloir que je reprenne les cours de mécanique ... pour comprendre comment transformer mon orbite elliptique en orbite circulaire, et mon orbite excentrée en orbite kerbalocentrée. Avant de viser la lune, il faudra que je pilote mieux mes orbites ... pour le moment, je suis, le plus souvent, en train d'orbiter dans un plan perpendiculaire à l'orbite lunaire.
  16. FATac

    [Tigre]

    C'est une amélioration du principe des réservoirs auto-obturant ... en appliquant la même méthode que sur les pneus anti-crevaison/autoréparants. J'avais entendu dire que c'était assez pesant, comme technique, et que la tolérance était assez faible (petits impacts, uniquement, et pas trop nombreux pour ne pas consommer toute la résine). Visiblement, ça a muri.
  17. Bon, ça y est. Je maitrise à peu près la mise en orbite excentrée, avec des apogées entre 1100 et 3000 km et des périgées entre 55 et 250 km. 55 km au périgée, je ne croyais pas que ça tiendrait ... n'ayant plus de carburant, j'avais largué tous les étages et envoyé le parachute en espérant que ça ferait une désinsertion propre, eh bien l'équipage a tourné pendant 5 jours avant que je n'arrête tout. Foutue mécanique celeste. En fait, la planète semble plus petite, avec une atmosphère et une gravité inférieures à la terre. Les vitesses à prendre en compte sont donc bien loin des vitesses connues sur terre. J'orbite entre 1,5 et 2,5 km/s. Sur terre, cette vitesse fait juste retomber loin. Maintenant, je gère mieux mon pilotage, mes séquences d'étages ... Avec 3 et/ou 4 étages, je peux arriver en orbite avec assez de carburant restant pour se désinsérer après une dizaine de révolutions et faire un splashdown propre. Je pourrais poster le détail de mes fusées qui marchent. Par contre, je n'atteindrait pas la lune avec ça. Il va falloir apprendre à les faire grossir.
  18. FATac

    Photos SNA et SNLE

    Chaque choix a des avantages et des inconvénients. Le choix effectif est toujours une question de compromis (coût/efficacité/entretien/...). Nos contraintes, à 5 soum +-1 ne sont pas les mêmes que pour des flottes de 20+ ; nos choix non plus.
  19. FATac

    Photos SNA et SNLE

    Les tuiles sont un revêtement. Un revêtement n'est pas forcément constitué de tuiles. Les tuiles sont des éléments de taille assez réduite, de forme homogène (toutes la même, ou deux ou trois formes, maxi) de façon à faire un pavage qui épouse la forme du sous-marin (quitte à les découper dans les zones de raccord, comme quand on fait du carrelage le long des murs. Un revêtement peut être constitué de tuiles, de panneaux (plus grandes dimensions), d'un enduit ou d'une peinture, tout est possible.
  20. FATac

    Photos SNA et SNLE

    Les SNLE de la classe "Triomphant" ont un revêtement anéchoïque. Pas besoin de tuiles, donc. Pour les SNA Rubis, quand je vois l'espèce de gros "rivetage" sur le massif et le haut de la coque, j'ai tendance à croire qu'il s'agit de la fixation de panneaux anéchoïques aussi.
  21. Mon premier essai (2 étages à carburant liquide, sans anneaux de séparation, avec un booster collé dans l'alignement et qui a été cramé par le moteur du premier étage) a été le meilleur avec 20 km d'altitude. Depuis, je ne suis jamais monté aussi haut, mais je sauve l'équipage à chaque essai. J'ai des trucs plus stables depuis que je gère la symétrie des boosters ou des ailerons, mais ça finit toujours par tournicoter - j'ignorais les touches de pilotage (j'ai "skipé" les tutos). Il faudra que je ré-essaye ma dernière fusée en la pilotant ... j'avais un truc très puissant, dont les boosters ne chauffaient pas, mais qui s'était retourné comme une crèpe vers le sol à partir de 5000 m ... je n'ai sauvé l'équipage qu'en déclenchant la séparation du 1er étage, les moteurs du 2e, la séparation du 2e, le moteur du 3e, sa séparation, et le lancer de parachute en séquence très rapide.
  22. FATac

    F-22

    Surtout que Franquin était un méga-fan de voitures, de belles carrosseries américaines et ne manquait jamais une occasion de mettre une belle calandre ... qui date, forcément. Sinon, pour recoller à l'aspect "Défense", dans Spirou et Fantasio, vous avez quelques éléments de datation qui sont quand même assez présents : - Jeep et Bazooka dans "Spirou et le Robot", et un tank de surplus, repeint en rouge, dans je ne sais plus quelle aventure de la même époque (Franquin) - Thompson .45 et BAC Camberra dans "Le dictateur et le champignon" (Franquin) - Des trucs chinois dans "Le prisonnier du Bouddha" (Franquin) - Un peu de matériel (et des F-86 Sabre, si je me souviens bien) dans "Le Voyageur du mésosoïque" (Franquin) - Quelques PM et une allure de secte très 70s/CIA dans "Tora Torapa" - Centre nucléaire des Monts d'Arées dans "l'Ankou" (Fournier) - Militaires divers dans "Du cidre pour les étoiles" (Fournier) - Matériels divers dans "Virus" (Tome et Janry) - Une paire de F-15 dans "L'horloger de la comète" (Tome et Janry) Et il y en a d'autres.
  23. FATac

    construction navale

    Bon, on va essayer d'être clair et synthétique ... La construction navale est la manière d'assembler les futurs constituants du navire, de manière à obtenir un flotteur, autonome en flottaison, voire en propulsion, que l'on va, ensuite, armer - c'est à dire équiper avec tout ce qui est nécessaire à la mission du navire (hôtellerie/hébergement, chaînes de détection et de communication, appareils de manoeuvre, armes et munitions, ...). Cette construction se fait, traditionnellement, en assemblant une charpente (membrure) que l'on habille ensuite d'une peau (bordé ou bordage à l'extérieur, vaigrage à l'intérieur). Progressivement, cette dualité charpente/peau a cédé la place à une construction par blocs et par caissons, ce qui a débouché sur les méthodes actuelles de construction par "anneaux". Le top du top, sur les anneaux de frégates ou de sous-marin étant d'assembler des anneaux déjà équipés, déjà "armés". Cet assemblage, bien sûr, se fait "au sec". Ce travail au sec peut s'organiser de différentes manières : - sur une cale, c'est à dire une rampe inclinée menant à l'eau. La partie aérienne est la "cale sèche". Le problème est alors que le travail se fait "en pente", ce qui est assez inconfortable. - dans une forme, c'est à dire dans un bassin que l'on peut fermer et assécher. Là aussi, on parle aussi parfois de "cale sèche", même si c'est moins adapté - dans un dock flottant, ou sur un radier immergeable par ballastage. Dans tous les cas, le navire est construit en étant posé sur une structure de support destinée à éviter qu'il ne tombe ou ne bascule : les tins ou lignes de tins en dessous, et des clefs, sur les côtés, pour rapporter les efforts de bascule vers les murs du bassin. S'agissant des "formes", c'est à dire des bassins asséchables, on est limité en taille de navire par les dimensions du bassin - aussi bien pour la construction que pour l'entretien/réparation. Eventuellement, il peut être possible de construire ou réparer plusieurs navires simultanément dans un grand bassin. S'agissant du Charles de Gaulle, sa construction a commencé en 1989, dans le bassin N°9. Ses lignes de tins étaient centrées dans le bassin, ce qui a permis la construction du gros du flotteur sans soucis, avec notamment assez de place autour du navire pour pouvoir à volonté tous les éléments du chantiers, entre les murailles. Ensuite, la construction ayant bien avancé, en 1992, il a fallu mettre la coque à l'eau une première fois afin de décaler les lignes de tins. En effet, les encorbellements - dissymétriques - ne pouvaient pas être construits dans cette forme trop petite. Le navire a été déplacé de 3 m sur le côté, si ma mémoire est bonne. Ainsi, l'encorbellement a pu être mis en place, tandis que sur l'autre bord il n'y avait plus guerre de place entre le mur du bassin et la muraille du navire. Le PAN a, ensuite, définitivement quitté le bassin en 1994, pour être achevé à quai et pour son armement. Les finitions réalisées ensuite lui interdisent tout retour dans les bassins de Brest, à moins d'agrandir ceux-ci pour accueillir le navire tout en ayant la place de passer les engins de chantier autour. Le bassin fait, certes, 315 m de long, alors que le CdG ne fait "que" 261 m, mais le plan du navire ne permet pas d'exploiter la pleine longueur de la forme - sans compter qu'il faut de la place libre, aux abords de la porte (du bateau-porte en l'occurrence), afin de manoeuvrer celle-ci lors des mises au sec et des mises en eau. Est-ce que ces éléments te permettent d'y voir plus clair ?
  24. On dirait l'arche des Kerguelen (effondrée depuis assez longtemps)
  25. FATac

    L'Inde

    Conventionnellement, la surface alaire comprend aussi le "rectangle" entre les ailes. D'aileurs, l'illustration sur Wikipedia ressemble fort à un Mig-29.
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