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FATac

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Tout ce qui a été posté par FATac

  1. Téléchargeable dès à présent sur Steam ou sur la boutique officielle (http://fr-focushop.gamesplanet.com/shop/wargame-european-escalation), avec déblocage dans 32 h. Par contre, pour mon mac, je vais devoir attendre encore. :-[
  2. FATac

    L'Inde

    J'avais survolé, j'avais pas tout vu. J'adore ... il y en a toujour à (re)découvrir ! Merci TMor :lol: Attendez vous au pire ... vous ne serez jamais déçu ! (plusieurs niveaux de lecture inside)
  3. FATac

    L'Inde

    C'est aussi le retour à une certaine forme de démarche tatcheriste. Elle aussi a fait appel à Bruxelles pour arbitrer en sa faveur, malgré sa prise de large atlantiste. On va bientôt entendre les anglais crier "We want our money back !" :lol: De toute manières, en matière de ventes d'armes, quasiment tout est permis, sauf la corruption et les commissions, non ?
  4. Ohm n'a pas supporté la remise en place : Rafale contre F-16 b60, il parie sur le F-16 et n'aime pas qu'on lui rappelle que le F-16 se prend des tôles face au -9 dont le Rafale est le descendant spirituel ... C'est vrai que c'est un pur accès de fanboyisme. C'est le coup d'un dash-9-fanboy ! Et j'adore comment OPIT est remis en cause sur l'augmentation de 5% de la veine d'air nécessaire au 9 t ... ce ne sont plus des œillères, mais des lunettes de soudeurs, qu'ils portent. Finalement, ils sont pires que nous ... nous avons pu nous montrer inamicaux, désagréables avec la contradiction étrangère, et c'est dommage. Eux se montrent carrément intolérants !
  5. Moi, je n'y suis pas ... mais ça me démange ... ce qui me retient encore, c'est que mon premier post serait amer, sur le sujet de l'éventuel subventionnement illégal du MMRCA par l'état français. Quant à la citation de glitter ... elle m'évoque une citation récente d'un des directeurs d'Orange (formé à l'école Anglaise, d'ailleurs) dans une affaire liée à l'accord d'itinérance signé avec Free Mobile alors que les trois opérateurs historiques faisaient front commun pour ne pas signer justement : Sinon, on peut répondre à ppp par cet aphorisme :
  6. FATac

    L'Inde

    Non, mais rien que par pitié vis-à-vis des Typhie-boyz dont l'espoir est entretenu à coup de grandes déclarations et de volonté politique de Cameron, il faudrait pouvoir frapper un bon coup et abréger leurs souffrances. =| Il faudrait pouvoir leur faire comprendre que là, c'est mort, que la fenêtre est fermée, que c'est de l'acharnement thérapeutique alors que l'issue est connue à 95%, et que le coût pour basculer vers les 5% de succès/survie est prohibitif face aux bénéfices supposés ou attendus. Je trouve criminel d'entretenir de faux espoirs de la sorte. =D
  7. FATac

    Le F-35

    Côté pratique : les pylônes en point 1 et 2 semblent les mêmes que ceux du Raptor, pour l'emport de bidons.
  8. FATac

    METAL STORM

    Ou plutôt vers "Divers/Technologie", non ?
  9. FATac

    METAL STORM

    Le mariage du Katioucha et de la chandelle romaine. :lol: La précision du dernier tir est supérieure à celle du premier ... à condition que le tube (qui s'allonge au fur et à mesure que les munitions en dégage) ne se déforme pas sous la chaleur liée à la cadence des tirs. Les gros problèmes prévisibles sont liés au chargement et à la cadence de tir : - Qui dit grosse cadence dit gros temps de rechargement (cas des katiouchas, justement). Des "tubes" de munitions pré-conditionnées aideront, mais ce n'est pas tout. - Qui dit grosse cadence dit gros gaspillage si le tir n'est pas précis : balancer 100 projectiles à côté ne sert à rien ; il est nécessaire de viser juste (ou à peu près juste, selon la dispersion). En gros, ça me parait bien en mode "piège", à usage unique. C'est un peu l'IED hi-tech ou la mine qui frappe à distance. Accessoirement, leur allumage électronique, il est EMP-resistant ?
  10. FATac

    SEA DRAGON

    Globalement, je suis d'accord, Sea Dragon ne me paraît pas faisable. Après, sur les chiffres, je suis surpris qu'ils n'aient pas été assez séduisants pour qu'un "proof of concept" n'ait pas été mis en place. (et échoue ;)) En fait, je crois qu'ils en étaient aux audits (car ils ne croyaient pas ce qu'ils lisaient) quand les fonds ont été coupés et réorientés, entre autres vers la guerre du Viet-Nam. Enfin, 450 t à 150 km, c'est déjà équivalent à une Atlas V et ça ne part pas du niveau de la mer ... ça doit pouvoir monter encore, quitte à perdre de la charge.
  11. Un de mes amis, dans le Génie Civil, a eu l'occasion de plancher sur une étude de faisabilité pour de nouvelles routes en Russie - plutôt à l'Est de Moscou. Il était chargé de plancher sur le phénomène "Raspoutitsa". L'ampleur du phénomène est parfois telle que ses calculs lui indiquaient une nécessité d'empierrement de plus de 8 m de haut et 25 m de large à la base pour une chaussée simple au gabarit routier européen (7,6 m). Et encore, cela ne garantissait pas la stabilité de la route pour des véhicules de plus de 12 t ni pour des cadences de plus de 10000 véhicules légers/jour. Dans ses calculs, une route classique, construite comme nos nationales ou nos autoroutes avait toutes les chances de se noyer, s'immerger totalement sous le poids des véhicules, s'enfoncer de plusieurs mètres dans le "sol". Ses solutions étaient : - le drainage (virtuellement infaisable) - l'empierrement large pour augmenter la zone d'appui, diminuer la pression sur le terrain, et écarter l'eau, qu'elle ne submerge pas la route quand on appuie dessus. - la construction sur pilotis pour aller chercher un ancrage profond (pilotis longs, de 25 à 150 m selon les régions) ou bien sur lit de pilotis pour une chaussée "flottante" (façon fondations de constructions parasismiques au japon). Dans tous les cas, ses estimations étaient trop chères, sa boite a préféré ne pas répondre aux sollicitations pour des appels d'offres.
  12. FATac

    SEA DRAGON

    Je ne sais pas pourquoi, j'ai du mal à y croire. L'idée est assez ancienne. Les avantages sont énumérés par stormshadow. Tout ça est fabuleux, mais pourquoi ne l'a t'on pas déjà fait ? Alors penchons nous sur les raisons de son rejet ou de sa non adoption ? Est-ce parce que les technologies des années 60/70 n'étaient pas mûres ? Je ne crois pas. Il n'est pas plus difficile de construire simplement en tôle d'acier de 8mm, que de mettre en place des structures complexes d'aluminium et de composite comme on l'a fait pour Saturn, Ariane, ou le Space Shuttle. La maturité de la technologie de construction n'est certainement pas en cause. Est-ce pour une question de performances ? Sur les chiffres annoncés, on a une masse au décollage de 20000 t pour une poussée de 360 MN (37000 tf). Saturn V plafonne à 3000 t environ, pour 34 MN, soit près de 6 fois moins lourde, mais 10 fois moins puissante. Le rapport poussée/poids est nettement en faveur du Sea-Dragon. Même chose en comparant avec une Ariane I 100 fois plus légère et au rapport poussée/masse à peine supérieur à 1. Sur le papier, les performances sont alléchantes, dès le décollage ... à condition d'être réalistes, tant sur la masse de l'engin en acier que sur les performances moteur. Est-ce pour une question de risques ? Côté propulsion, le gros risque est lié au stockage ou au remplissage du second étage à l'hydrogène liquide. Le LOX des deux étages ne pose pas réellement de problèmes moyennant quelques précautions. Le second aspect concerne éventuellement l'électrolyse de l'eau de mer pour obtenir Hydrogène et Oxygène liquides. Un CVN à proximité peut servir de centrale électrique, mais c'est courir un bien grand risque en cas d'incident sur la production des ergols. Une grosse explosion liée à l'Hydrogène, et on a perdu un CVN et pollué l'océan. A la limite, un SSBN est peut être plus pertinent comme générateur : une fois "branché", il s'immerge sous quelques mètres pour bénéficier d'un tampon d'eau pour amortir une éventuelle explosion (mais pas trop profond pour ne pas être brisé par l'onde de choc comme avec une charge de profondeur). Ceci dit, à l'époque, l'atome est encore roi. C'est de l'énergie "magique" et il n'y a certainement pas de retenue à son utilisation. Je ne crois pas que cela aurait freiné le projet. Enfin, le dernier risque, c'est la chute de ce gros boudin de 20000 t (c'est lourd, quand même : le poids de deux Ticonderoga ou deux croiseurs Colbert !). d'après les calculs, ça retombe, en condition nominale, à 290 km du point de lancement. En cas d'échec, ça retombe plus vite ... il suffit de donner la bonne zone d'exclusion. Côté risques, en dehors de l'Hydrogène, il n'y a pas grand chose susceptible de faire peur à l'époque. Alors ... quoi ? Il y a bien une raison qui a fait que le pas n'a pas été franchi. Pour ma part, je parierai sur la conjonction de 3 ou 4 blocages : - conceptuel : vous arrivez à imaginer un lanceur spatial lourd et gros comme un croiseur (maritime) ? 150 m de long et large de 23 m, plus le second étage de 18 m ! Vous concevez comment ce truc va s'arracher du sol et atteindre 1,8 km/s au bout de 80 secondes de vol ? Moi, pas. Et je crois qu'il y a 50 ans, personne n'y croyais non plus. Personne n'a donc voulu s'y lancer. - effets d'échelle et principe de réalité : de gros doutes portent sur la faisabilité d'un moteur unitaire aussi puissant. Il y a certainement des facteurs d'échelle qui vont tomber dessus et nécessiter des renforcement de structure qui vont l'alourdir au delà de ce que permettent les gains de puissance liés au gigantisme. En résumé, plus c'est gros, plus c'est trop lourd. - adéquation au besoin : à l'époque, on en est à essayer (pas toujours avec succès) de lancer des satellites pas encore trop gros et des capsules d'exploration assez minuscules - principalement pour limiter les risques car on ne sait pas bien ce qu'on va rencontrer (je vous invite, à ce propos, à redécouvrir les errements du programme Gémini, et les mauvaises surprises tant sur les sorties extra-véhiculaires que sur les rendez-vous orbitaux). Lancer 500 t d'un coup dans un environnement dont on ne connaît rien, c'est quand même risquer de tout perdre d'un coup. Les besoins de l'époque sont donc largement en dessous des promesses de ce lanceur. - autre chose ??
  13. FATac

    Ravtaillement en vol

    Quelques informations concernant le ravitaillement en vol. Dès l'origine, le ravitaillement s'est fait entre avions de même type : - en 1923, un biplan DH-4B a été ravitaillé par un autre biplan similaire. - en 1948, les B-29MR stratégiques américains pouvaient être ravitaillés par des KB-29M spécialement convertis. Sauf qu'un bombardier, convertit en ravitailleur, offre beaucoup plus de carburant qu'un chasseur dans cette mission. Si les armées aériennes (AdlA, USAAF puis USAF) n'ont pas de problème pour mettre en oeuvre de gros avions ravitailleurs, ce n'est pas la même chose pour les avions embarqués sur porte-avions, d'où le développement des nacelles de ravitaillement Douglas ou Intertechnique. Le ravitaillement par un chasseur est donc une préoccupation essentiellement de marin. Chez nous, cette mission est supportée par le Rafale, qui reprend ce flambeau des mains du SEM qui lui-même le tenait de l'Étendard IV M. Aux USA, S3 Viking, KA-6 (variante de l'intruder) ou Super-Hornet peuvent le faire. Les Rafales terrestre n'ont pas spécialement d'intérêt à cette mission, en supposant que la logistique pourra plus facilement leur fournir un KC-135 ou un C-160 NG qui pourra ravitailler toute la patrouille sans tomber lui-même à court de carburant. Pour la mission Nuke, la vulnérabilité du KC-135 est réputée accessoire (à tort ou à raison, peu importe) car le dernier ravitaillement n'est pas sensé avoir lieu "sous le feu". Il se fait à l'abri, avant que les avions ne plongent pour leur "run" de pénétration nucléaire. Quant à doter les Mirage IV de cette possibilité, c'était brider un de ces superbes oiseaux à un vol subsonique en attendant le rendez-vous, ce qui ne diminue pas spécialement la vulnérabilité par rapport à un KC-135. Et encore une fois, un Stratotanker bien placé pouvait compléter les pleins de 2 ou 3 Mirage IV avant que ceux-ci ne s'éparpillent vers des destinations différentes. Un Mirage IV ravitailleur ne ravitaillerait certainement qu'un seul bombardier. Dans ce cas, autant utiliser TOUS les Mirage IV dans leur mission principale, et utiliser un tanker spécialisé moins cher et moins complexe uniquement pour sa mission principale à lui aussi.
  14. FATac

    Marine Danoise

    De ce qu'on en voit, je trouve que ces bâtiments sont de parfaits bâtiments de surveillance et d'intervention : des patrouilleurs de luxe avec une capacité de contôle/visite/intervention assez poussée (hangar jusqu'à 2 hélicos, 2 zodiacs dans les flans, 2 LCP dans le ventre, et la capacité pour en loger plus, ou pour y ajouter un/des semi-rigides). Si on ajoute à ça un vrai armement pour faire la guerre, c'est vrai que c'est un peu bizarre comme concept, pour nous.
  15. FATac

    [Rafale]

    La forme générale des MICA et les traitements de leur cellule les rendent déjà extrêmement discrets. Les MICA-IR sont réputés ne faire varier la SER que d'un pouillème largement au delà du premier ou du deuxième ordre, ce qui n'est pas significatif. Pour les MICA-EM, ils sont réputés un peu plus "réflexifs" (l'antenne, peut être), mais sont souvent sur des rails où ils contribuent bien moins à la SER que s'ils étaient en bout d'aile. Sinon, je persiste à penser les efforts de recherche et d'amélioration bien mieux dirigés s'ils portent sur la furtivité ou l'annulation active, que sur la furtivité passive. Cela sera plus durable, plus adaptable aux changements de l'adversaire. Par contre, rien n'interdit de quand même exploiter les solutions les plus simples pour diminuer la part active, mais cela ne doit pas être la priorité. Tout est question de compromis.
  16. FATac

    [Rafale]

    Au passage, c'est quoi les grosses antennes rectangulaires sur le pylône en arrière plan ? Une forme de radio-balise ?
  17. FATac

    [Rafale]

    C'est le NOSA, ou c'est le système d'arme - genre "le bombardier" qui prend la main sur les commandes du B-17 lors de la visée finale du "Bomb Run", mais en plus moderne, avec plus de degrés de liberté et une gestion temporelle en plus ? Si "ceux qui savent" peuvent en parler, ça m'intéresse.
  18. FATac

    [Rafale]

    Il y a autant de "types" de biplace qu'il y a de spécificités dans les modèles, dans les doctrines des forces aériennes, etc. Si on prend quelques cas emblématiques : - Typhoon T.2 de la RAF : T pour "Trainer", il s'agit d'appareils de conversion opérationnelle - F-14 Tomcat : le "passager" est un WSO (Weapons & System Officer). Il gère capteurs et armement. - F-4 Phantom : pareil. Le WSO était même parfois qualifié de "Radariste" ou "Opérateur Radar", seulement (par analogie avec le rôle des "passagers" de F-89 Scorpion, entre autre) - Mirage 2000 D ou N : Le second membre d'équipage n'est pas que "Navigateur". Il est NOSA : Navigateur / Officier Système d'Armes. Il gère la route, les points de passage, les timings, la délivrance des munitions et les contre-mesures. Dans beaucoup de cas, le "pilote" en place arrière a aussi un rôle de vigie, de veille à vue, en partage avec le pilote de place avant : chacun son secteur pour éviter de se faire piéger en cas de mailloche.
  19. FATac

    [Rafale]

    Une petite nouvelle du Rafale Marine : Durant Harmattan, les Marins sur Raf' ont mené toutes leurs missions de nuit "à vue" avec OSF et Damoclès. Y compris les recos ou la mission avec tir de Scalp. En effet, seuls les pilotes de SEM étaient certifiés JVN et les procédures d'emploi pour Rafale n'étaient pas encore écrites dans l'Aéronavale. C'est corrigé depuis, les procédures sont définies, éprouvées, et l'entraînement JVN vient de commencer (décembre dernier, je crois) à Landi. Qu'en est il dans l'Armée de l'Air ?
  20. FATac

    L'Inde

    Le prix unitaire à la production, en France, est de 101 M€ (selon la cour des comptes). Le prix total du marché indien, divisé par le nombre d'appareils, donne un prix unitaire de 80 à 87 M€. Allez ... disons un prix moyen à 84 M€. Sauf que 108 appareils seront produits en Inde. Ca ne fait certainement pas gagner 20 M€ par appareil, mais il y a quand même certainement un impact non négligeable sur le coût - pas seulement de main d'oeuvre, mais aussi de fiscalité locale et autres charges diverses.
  21. Côté RAF, j'ai entendu une rumeur concernant le mécontentement des aviateurs vis à vis du Storm Shadow. Le missile de MDBA n'aurait plus la cote outre manche, à cause de nombreux défauts constatés, tant à l'exercice qu'en opération durant Ellamy. A tel point qu'il est préconisé d'utiliser des Tomahawks lancés de la mer, plutôt que des Storm Shadow amené à proximité par avions, lors de l'entrée de théâtre en cas de nouveau conflit.
  22. FATac

    [Rafale]

    L'éclairage par le dessous n'a rien d'évident car les spots au sol peuvent aussi constituer une gêne avec un éblouissement direct des mécanos (on regarde plus souvent ses pieds que le plafond). Pour avoir travaillé (cablage électrique) en haut d'une échelle avec des spots au sol pour éclairer le plafond sur lequel j'intervenais, c'est aussi assez inconfortable. Après, la multiplication de points lumineux d'intensité plus faible peut être plus pratique que 3 gros halogènes de chantier. ;-)
  23. FATac

    [Rafale]

    Sinon, c'est où ce magnifique show-room ? L'incrustation des spots dans le sol, etc. cela donne vraiment une impression d'espace dédié à l'exposition. Même si je me dis que, pour la maintenance, ce ne doit pas forcément être mal non plus : ça libère la main qui tenait la maglite. Ils ne laissent aucune protection, aucun cache, aucune goupille en expo ?
  24. FATac

    Achat suisse

    Juste pour détendre l'atmosphère, et parce que je sens que certains frôlent l'apoplexie avec les nouvelles du Rafale depuis 15 jours et après 3 ans de quasi immobilisme douché en novembre dernier ... En France, à 1 étoile, ce n'est pas un général. C'est le shérif. :lol:
  25. Que certains d'entre nous ont été odieux avec ceux qui apportaient un semblant de contradiction ... Dommage. Nous autres gaulois, ne pouvons pas supporter une attitude au delà de la stricte mesure si elle ne suit pas notre opinion.
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