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FATac

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Tout ce qui a été posté par FATac

  1. Parce qu'un B-29 ne pouvait pas être opéré à partir d'un PA. Déjà que pour les B-25, ils ont pu décoller mais le retour n'était pas envisageable, alors pour du plus gros (B-17 / B-24 / B-29) ... autant laisser tomber l'aspect "bombardement stratégique" du combat contre le Japon, qui était quand même un sacré moyen de pression fortement dissymétrique.
  2. Belle démonstration. Inutile, cependant, car la dernière interrogation pose le fond du problème. En effet, parmi les appareils disponibles actuellement sur les marchés (intérieurs, pour le F-22, mondiaux pour tous les autres), lesquels sont incapables de se battre eux-même ? Et quels contraintes faut-il faire poser sur le combat pour qu'une opposition entre deux appareils identiques puisse déboucher sur une victoire franche ? Répondre à la première question permettra de savoir quels sont réellement les appareils NexGen. J'ai mon idée personnelle. ;-) Répondre à la seconde permettra d'avoir une idée des orientations et des améliorations à donner aux programmes pour arrêter d'avoir une guerre de retard : trouver un moyen d'imposer ces contraintes à l'adversaire, ou au contraire de se libérer de celles qui pèsent sur son propre camp. Je suis persuadé que lorsque les solutions seront trouvées, on verra du F-22 à l'export ... mais au rythme actuel, cela risque d'être du F-22 de seconde main car les solutions vont arriver après l'arrêt des chaines.
  3. L'ouverture de soute dégrade la furtivité, mais pour une durée très courte : 1 minute max pour les soutes latérales, le temps que l'autodirecteur du Sidewinder "sonne". Et moins encore dans le cas d'un accrochage au HMS (qui - à ma connaissance - n'équipe pas encore le F-22). Ceci dit, vu la taille du bestiau, s'il dégrade sa furtivité pour tirer un Sidewinder, il est déjà bien assez près pour un tally, donc c'est pas grave. Pour la soute à AIM-120, c'est 10 secondes max, l'ouverture. La séquence de tir, c'est du genre Tchac (open), Pouf (drop), Tchac (close), Vrouf (Ignition). Un AIM-120, tout comme un MICA, c'est pas furtif, mais ça ne signe pas comme une mule non plus. C'est pas gros, comme engin ... donc c'est pas gros comme SER. C'est un peu en composites, donc ça réduit la signature ... heureusement qu'il y a l'antenne pour donner un point lumineux. ;-) Je crois que le Spectra sera plus efficace que le RBE2 pour localiser un AIM-120 accroché et en approche (qui ne changera donc pas trop de secteur angulaire). Par contre, pendant le vol inertiel ... faut voir. Qui veut essayer ? :lol:
  4. Oui, oui ... Pour avoir bossé à la DCN, je sais qu'on serait capable de commettre la même boulette sur les deux. :lol: L'expérience, c'est ce qui permet de reconnaître une connerie la deuxième fois qu'on la fait. Çà n'empêche pourtant pas de la faire deux fois ... :lol: Non ... :'( :'( :'( en fait
  5. Pour ma part, je suis très partagé ... Comme tout français, je suis fier, hautain, méprisant et anglophobe, donc je vois ça d'un très mauvais oeil : se mettre à la botte des iouesse me révulse. Sinon, quand je redeviens raisonnable, je me rappelle que la France, membre fondateur, n'a jamais quitté l'OTAN, mais seulement son commandement intégré. Cela signifie que, si nous avons été un (plus ou moins) gros contributeur de troupes et de matériel pour l'Alliance Atlantique sur certains théatres (ex-yougoslavie, afghanistan), nous n'avions pas de moyens de donner de la voix, pas de poste de décision ou de commandement au niveau global de l'OTAN ... seulement au niveau local sur le terrain (et encore !). Donc, finalement, je me dis que, quitte à engager nos troupes, c'est quand même pas si mal de pouvoir influer un (tout) petit peu sur les aspects politiques de cet engagement.
  6. FATac

    [Rafale] *archive*

    Oui. ;) La preuve : Je suis tout à fait d'accord. Mais prendre ce point de vue signifie qu'il faut aussi admettre que cela puisse ne pas se vendre à l'export, puisque cela correspond aux besoins de la France qui ne sont pas forcément ceux de la Suisse, des EAU ou du Brésil. Nous avons construit un avion de compromis (entre ses missions, et sur la gestion du budget de la République), sans compromis (politique étrangère, commercial, export). Ceci-dit, si en plus il finissait par se vendre, ce ne serait que du bonheur ... sinon, tant pis.
  7. Pourquoi vouloir que les états unis redeviennent nos ennemis, alors qu'on recommence juste à être vraiment copains. ;-) Je me suis peut-être mal exprimé. Je ne cherche pas l'affrontement avec une marine qui a les capacités à nous briser l'échine. Je voulais juste souligner que nos effectifs ne permettent pas que l'on subisse un accident ou une perte en partant s'attaquer à un adversaire qui serait pourtant à notre mesure. Je ne cherche pas à jouer à celui qui aura la plus grosse ... marine. Je ne souhaite pas que nous ayons 50 bateaux (j'ai mis corvette/frégate/destroyer dans le même sac pour montrer mon ignorance crasse et le fait que pour moi, seul le tonnage change ... pas les missions ni le rang). Ce que je veux dire, c'est que le jour ou l'on a besoin d'aller faire pression sur un confetti de l'océan indien, ou d'une mer fermée quelconque, on est d'autant moins vulnérable que l'on a de coques crédibles susceptibles de remplir cette mission. Et les gesticulations de ce genre peuvent parfois se faire hors d'alliance ou de task-forces lorsque les intérêts divergent - et le passé de puissance coloniale peut les faire diverger. Si on n'a que 5 frégates, une seule se fait mettre hors de combat par une vedette incendiaire suicide, et on aura du mal à envisager d'y envoyer une des 4 autres. Ceux qui ont 50 destroyers, ils en envoient un autre, et voila. C'est pas ce qui s'est passé avec le Cole ? Bon, 50, pour nous, c'est overkill, et seule une super-puissance peut se le permettre.
  8. En mode pessimiste, je dirais qu'on ne s'est pas donné les moyens d'un affrontement, tout court. En effet, à l'occasion d'un acte isolé, de terrorisme ou manoeuvre audacieuse d'un SSK, d'une vedette lance-missile, d'un patrouilleur ou d'un pilote fanatique, nous pouvons perdre une part non négligeable de nos moyens - 15 à 30 % d'un coup. En effet, une action telle que celles dont ont été victime l'USS Stark, ou le USS Cole, même sans provoquer la perte nette du navire, peuvent le mettre hors de combat pour plusieurs mois. Or, une marine qui compte près de 50 corvettes, frégates ou destroyer peut en perdre un sur un acte isolé sans grosse décroissance capacitaire (-2%). Une marine qui en compte 5 est tout de suite impactée à un niveau inacceptable (-20 %). La réduction du nombre transforme finalement toutes nos unités en "Capital Ship". En cas de crise, ou de tension, nos commandants ne vont pas être à l'aise du tout à l'idée de manoeuvrer en eaux resserrées, là où la menace est la plus forte et le préavis le plus faible.
  9. Tout à fait d'accord sur la perception comme un "mini-Rafale". Pour moi, le -9, c'était une base de -5 (mk2 ?) avec la capacité Black-Shaheen en plus. Un intercepteur de qualité, Fox 3 grace au MICA, pouvant tirer du missile de croisière ou de l'anti-navire. En tant que mini-Rafale, le -9 était déjà polyvalent. Le F-16 block 60 me semble tout aussi polyvalent. Remplacer les -9 (très neufs pour certains) par des Rafales permettra de rester polyvalent. Voici une force aérienne aux besoins bien ambivalents ... :lol:
  10. Vu comment ils sont pétés de pétro-dollars, ce n'est pas une nécessité pour financer leurs autres programmes. C'est juste une bonne gestion responsable : on n'en a plus besoin, donc on les revend ... C'est très intelligent de leur part : vous voulez qu'on prenne votre dernier joujou, alors qu'on a déjà l'avant-dernier qui "fait la même chose" ? Débarrassez nous en ! Et puis 63 M2k-9, plus les 80 F-16 block 60/62, si on y ajoute aussi 60 Rafales, ça commence à faire beaucoup d'avions pour un pays gros comme un confetti (exagération inside, mais l'esprit est là). C'est pas idiot de se débarrasser du surplus. Là où je suis un peu perplexe, c'est que leurs -9 et leurs F-16 se marchaient un peu dessus : lesquels faisaient la supériorité aérienne et lesquels faisaient de l'attaque au sol ? Avec un Rafale aux capacités de combat anti-aérien renforcées, celui-ci ferait principalement du AA, laissant la mission d'assaut aux F-16 ... Je ne sais pas dire si cela ferait une opportunité pour transformer un avion "bon en tout" en "excellent chasseur", ou si cela serait un gachis de spécialisation d'une cellule "bonne à tout".
  11. FATac

    [Rafale] *archive*

    Alors Pascal connaissait cette photo. :lol: S'agit il d'un cliché de départ (sans charge au point central) ou de retour de mission (avec la bombe du point central déjà larguée) ? Un peu de contexte sur la prise de vue pourrait aider à savoir ... de même qu'un autre cliché de la même série (les photos vont rarement toutes seules). Le numéro d'appareil permettrait de savoir s'il s'agit d'un appareil de St Dizier ou du CEV.
  12. Dans les rubriques "Armée de Terre", "Armée de l'air" et "Marine de Guerre", à chaque fois, dans la catégorie "Reste du monde", il y a un topic épinglé avec "Quizz" dans le titre. Je crois que ça correspond à ce que tu cherches. ;-)
  13. Je suis preneur aussi ... Sinon, les deux affuts de 12.5 sur chaque flanc de "péniche de débarquement", ce sont des armes du temps de paix - pour s'en servir quand il n'y a pas de menace en face - ou bien des postes pour candidat au suicide ? Vu comment les postes sont exposés, j'imagine que cela a plus un rôle Anti-Aérien et intérêt psychologique, plus qu'opérationnel.
  14. Je persiste ... En récupérant l'image et en fichant un gros zoom dessus, on peut, sans problème, placer des repères dans Gimp ou toshop sur les "limites" des zones où le bruit s'amplifie, ou s'atténue, donnant des carrés moirés ou au contraire "à-plat". Dans la zone du "recuit" du pneu, ça tombe tous les 8 pixels, en X de 264 à 320, et en Y de 784 à 816. Hop ... la segmentation de l'image en pavés de 64 px pour le jpeg est là. Ajoutons une FFT plus destructive que conservative, avec une compression à 60% de qualité, voire moins, et mise en difficulté par des textures granulaires (gravier, filet camo, poussière, etc.). Un moment, je me suis même demandé si l'image ne venait pas d'une vidéo en Motion-JPEG. A vouloir interpréter malgré tout la zone craquelée du pneu, je serai tenté de dire qu'il s'agit d'une face poussiéreuse du pneu qui a reçu un liquide gras et qui reflète la lumière du soleil qui donne en plein dessus : face interne du train, avec de la poussière de roulement et de freinage, ayant été aspergée d'huile de pont. Le tout, massacré par le traitement informatique ... Si, un jour, la photo sort en RAW ou avec une qualité supérieure, je suis preneur ! On pourra s'exprimer sérieusement sur l'incident.
  15. Le "recuit" ressemble quand même méchamment à du bruit JPEG lié à une forte compression de données. La dessus, ça va pas être facile de faire de la photo-interprétation ... on a toutes les chances de se planter, je ne m'y risquerais pas.
  16. FATac

    Avion de 5 ème génération?

    Pour les US : - 5e génération = notre dernier bébé à nous. - 4e génération = tous les derniers bébés de chez partout ailleurs. Plus sérieusement et malgré que ces définitions ne soient pas consensuelles, la 4e génération est celle des avions avec des capacités de combat à longue portée (> 20 km, généralement dans la tranche des 50/100 km), massivement intégrés en réseau, naturellement instable et co-pilotés par ordinateur et CDVE. La 5e génération se traduirait alors principalement par l'ajout de la furtivité (au sens EM, mais aussi IR avec refroidissement des gaz chauds, supercroisière pour éviter d'allumer tous les AD de missile en passant full-AB pour une évasive, etc.). Certains y mettent aussi la poussée vectorielle, voire les antennes radar actives, mais je crois que ce n'est pas significatif pour définir cette génération ... et cela tendrait à augmenter le nombre de prétendants à une génération 4.5 : des avions de 4e génération avec des artifices de 5e ... Pour mémoire, la 1ere génération est celle de l'apparition du jet et se caractérise par un usage similaire à celui du warbird à hélice classique, la vitesse en plus. La 2e génération franchit le mur du son et tire les premiers missiles AA, même si ce sont encore des lampes à souder principalement munies de canons. La 3e génération utilise le massivement radar et voit le missile utilisé comme arme principale. Dans tous les cas, il existe des intermédiaires ... le Tomcat, par exemple, serait un 3e génération, par sa conception, avec des atouts de 4e, par son armement (Phoenix) ... Un 3.5, quoi ... déjà. Les premiers F-16 ou les Mirages 2000 sont des pré-4e génération ... et ont évolué franchement vers la 4e au fur et à mesure des chantiers (derniers blocks et -5 ou -9). Le Rafale est bien 4e génération, tout comme le Super-Hornet. La 5e génération n'a de représentants qu'aux USA pour le moment ... ce sont donc eux qui en définissent le contenu.
  17. Son entrée en service était prévue pour le milieu des années 90. Il est normal que 15 ans plus tard, il soit obsolescent. Ce qui compte, dans ce cas, c'est la daté prévue d'entrée en service, pas la date effective. Le produit était prêt à temps ... le budget n'y était pas, ce qui explique le délai de mise en service. A défaut d'être une habitude, ce type de gestion des programmes pourrait devenir une tradition ... >:(
  18. FATac

    [Rafale] *archive*

    Je viens de vérifier les cotes. Effectivement, le M-88 est plus petit que les F-404/414 (3538 mm de long pour 696 de diamètre, contre 3912 x 889 pour les GE). Par contre, le gabarit est le même entre 404 et 414. Le changement M-88/F-404 n'a, évidemment, aucun intérêt - je me suis mal exprimé si j'ai laissé croire qu'il y en avait. Par contre, le changement M-88/F-414 aurait pu se justifier pour ce type de contrat. Les dimensions ont parlé ... le Rafale A était pas mal plus gros que les B/C/M. Il ne doit plus y avoir la place de reprendre cette famille de moteur. Quant au problème politique, je crois qu'il aurait été d'avantage Franco-Français, avec un accroc dans le partenariat Dassaut/SNECMA - encore que SNECMA collabore avec GE par ailleurs. Côté politique internationale, les US sont assez pragmatique pour préférer une vente d'un moteur à eux sur un avion français plutôt que pas de vente du tout, surtout lorsque le pays acheteur est aussi un pays "allié". Mais, bon ... je range l'idée dans son carton, ECO est arrivé ...
  19. L'idée mérite d'être défendue ... mais je ne le ferai pas ... j'y suis même plutôt hostile, et pour plusieurs raisons : - Il faudrait redévelopper une version du M51 pour largage avant de repartir en chandelle vers sa trajectoire ballistique, ou un ASMP-AA (Allonge Agrandie) - Le compatibilité entre un lanceur aéroporté de missile intercontinentaux et d'armement conventionnels ne va pas être évidente. La rentabilité de la conversion non-plus. - Une dissuasion doit être opérationnelle H24, prête à tirer. C'est pour cela que je ne considère plus notre composante aéroportée comme de la dissuasion, mais comme une arme tactique ou pré-stratégique, au même titre que les anciens missiles Pluton et Hadès. L'arme de dissuasion est par excellence, prête à frapper à tout moment, pas en alerte à 15 minutes ... C'est l'absence de délai d'action qui dissuade. Le nucléaire tactique ou pré-stratégique est caractérisé par l'usage principal en première frappe. Le nucléaire dissuasif par sa capacité de seconde frappe (c'est mon avis, et je le partage) - Je ne suis pas particulièrement chaud à l'idée d'avoir, en vol ordinaire au dessus de la métropole, un avion transportant une ou plusieurs têtes nucléaires "hot", et de lourds missiles avec des ergols pas forcément gentils-gentils en cas d'incident. - La durée de vie de cet appareil ne me parait pas si élevée que ça. S'il est (s'ils sont, il en faut plusieurs) en vol permanent, le potentiel va partir rapidement et on va vite se retrouver avec des chantiers de mise à niveau, de restauration de potentiel au bout de 15 ans ... En fait, cela en fait un appareil un peu équivalent des E-3 : vol permanent, il en faut assez pour assurer la couverture H24 tout en ne les usant pas trop et en laissant le temps pour les cycles de maintenance. - Quant à la protection assurée par les chasseurs au dessus du territoire métropolitain, elle me parait limite pour un truc qui sera, finalement une grosse baleine et la cible prioritaire d'un éventuel raid d'interdiction du feu nucléaire. Sans compter que si j'étais une puissance nucléaire voulant faire disparaitre cette menace ... j'emploierais peut être un moyen nuke pour le faire, un peu comme les missile "AIR-2 Genie" ... à un ou deux kilomètre près, au niveau du guidage, l'A-3X0 doit certainement se prendre une grosse claque thermonucléaire. Je préfère voir nos (maigres) chasseurs actifs ailleurs, plutôt qu'à protéger une cible indéfendable. - C'est un projet pour dans 10 ans, au mieux ... en attendant, tous nos SNLE-NG seront en place, et on aura - j'espère - entamé la définition de la génération suivante.
  20. FATac

    [Rafale] *archive*

    Euh ... si je me souviens bien, le Rafale A avait été lancé avec des GE F-404 en attendant la disponibilité des M-88. Il a volé avec deux F-404, puis un seul, puis aucun. Pour que l'adaptation du M-88 se passe bien, de deux choses l'une : - Soit la cellule du Rafale A avait des réserves structurelles pour permettre l'adaptation à un moteur différent, avec les passages de fluide et de cablerie qui changent. - Soit le M-88 reprend largement les cotes et les points de passage des réseaux du F-404. Le F-404 poussait 78 kN, mais il en a été tiré, depuis, le F-414 qui en pousse 20 de plus dans les mêmes cotes et le même gabarit. D'où ma question : les éventuelles réserves structurelles du berceau-moteurs ont elles disparu dans la cure d'amaigrissement qui a conduit du Rafale A au Rafale B/C/M, ou bien reste t'il possible d'intégrer un GE F-404/414 sur un Rafale à un cout/délai raisonnable ? Peut être est-ce une question pour rien car un délai de développement de 3 ans est peut être compatible avec les exigences opérationnelles émiraties ... seul le coût et le financement du programme poseraient alors problème.
  21. FATac

    Rafale en Grece?

    Soit autant que le Rafale avec 3 bidons de 2000 l ! Génial ! Euh ... comment on remplit ?
  22. Ca se passe pourtant en Europe. Je doute que les services de sécurité des bases aériennes US roulent en skoda. =D
  23. FATac

    Rafale en Grece?

    Un incendie majeur, qui embrase tout ce qui reste à bruler dans le Péloponèse après l'été dernier, façon Australia'09. Sinon, un vraquier/chimiquier chypriote (par exemple) peut toujours noyer l'un ou l'autre des archipels égéens dans une mélasse toxique en provenance ou à destination de la Russie caucasienne ...
  24. Mais alors ... comment ferait-on pour amener le plateau d'Albion à l'Ile Longue, pour son IPER ? :lol: Plus sérieusement. Les silos ont été murés et laissés à l'abandon. La remise en service exigerait quasiment une reconstruction. D'autant qu'il faudrait les adapter aux M51, plutôt qu'à nos MBIC de l'époque ... La construction avait duré 5 ans ... La fin de l'immobilisation du Triomphant ou la mise en service du 4e SNLE-NG seront plus rapides que cette option. A la limite, je préfèrerais un retour en ligne de l'Inflexible ... bien que cette option ne me paraisse pas beaucoup plus viable : reconstituer un équipage, le réentrainer, traiter les obsolescences qui sont à l'origine de sa mise au rancard, etc.
  25. FATac

    F-22

    Des peintures low-viz, des formes ou des silhouettes inhabituelles, pas faciles à observer au premier regard, etc. Pour l'aspect visuel, les SEM envoyés à Kandahar en gris low-viz sont un cas d'école : très difficiles à accrocher du regard (en plus d'être simplement petits). Comme G4lly l'a dit mieux que moi, la traduction par "suppression" n'est pas adaptée. Et réduire le bruit, c'est possible. deux options, pour commencer au moindre effort : - Augmenter le taux de dilution des moteurs en "noyant" les gaz chauds et rapides, bruyants, dans une masse plus fraiche et moins accélérée. - La supercroisière ... bah oui, à mach 1.5, le bruit vient après l'avion, ce qui le rend Low Observable phoniquement pendant son approche. Après ... c'est un autre problème.
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