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FATac

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Tout ce qui a été posté par FATac

  1. Ah, la preuve ! Vers 40:00 ... un peu après.
  2. FATac

    Le F-35

    Trop facile, Pic', t'es pas en forme : être américain.
  3. Aucune inventivité ! C'était déjà dans un épisode de la série américaine Riptide dans les années 1980 : ils ont mis des grenades dégoupillées dans un pot de confiture, qui maintenait la cuiller en place, et les pots étaient largués de l'hélicoptère. Le bris du pot à l'impact au sol libérait la cuiller et percutait l'amorce, permettant à la grenade d'exploser ensuite (plutôt que durant la chute depuis l'hélico).
  4. FATac

    Le F-35

    La Cathédrale et le Bazar. C'est peut-être sur ces aspects que les Digital Century Series Fighters ont été envisagés pour succéder au F-35, avec une évolution incrémentale basée sur le Release early, release often.
  5. FATac

    Le F-35

    Pourtant, rien ne bouge :
  6. Ca, ça dépend un peu des banques. Si deux sont majoritaires (voire omniprésentes) dans le monde agricole, une seule semble vraiment montrer une expertise sur les métiers de l'agriculture (et ce n'est pas toujours la plus évidente). Toutes les autres sont larguées, proposent des produits que l'on pourrait qualifier de "produits d'appel", et font de la merde ensuite quand ils se rendent compte que, finalement, l'agri c'est difficile et que c'est en permanence au bord de la crise avec de gros besoins d'accompagnement.
  7. Bah oui, mais mes références datent un peu et j'étais habitué à voir deux flèches écartées pour stabiliser la chose, et rassemblées pour servir de barre de traction, le canon tourné vers l'arrière, pas vers la remorque. Ca ne tire pas trop sur le mécanisme d'amortissement du recul ? Il a un verrouillage pour une position "route" ?
  8. Utiliser le fût du canon comme barre de traction, je dois avouer que ça m'a heurté au premier regard.
  9. FATac

    Le F-35

    Après toi, je t'en prie.
  10. Bon d'accord. Un total de deux poignées de dizaines, en service. On retire les indisponibles et les victimes de la première frappe russe, il en reste une grosse poignée de dizaines utilisables. J'ai raison ou j'ai raison ?
  11. Qui parle de dispersion ? On parle d'une force aérienne qui regroupe à peine une poignée de dizaines d'appareils et d'une dizaine de bases, certaines très à l'ouest. Ces bases étant très vastes (héritage d'une large flotte soviétique), elles n'ont pas été rasées pour autant et les appareils pouvaient s'y trouver très naturellement "dispersés" "dilués", plutôt que regroupés comme les épaves de MiG 29 (empilées (!)) que certains se sont fait plaisir à afficher comme un succès de frappe.
  12. Ne seraient pas quoi ? Très Sympathiques ? Ca laisse de la place pour d'autres appréciations.
  13. Hmmm. Je ne sais pas si c'était une opération volontaire de déception, mais il me semble bien que les avions surpris au sol au premier jour de l'attaque russe étaient déjà des épaves en voie ou en attente de démantèlement. En gros, c'est un peu comme si un adversaire de la France frappait le parc à ferraille de Chateaudun et comptait les carcasses déjà désarmées dans son BDA.
  14. Pour ce que j'en sais, sur plusieurs territoires (Limousin, Pays de Loire, Bretagne), il y a plusieurs problèmes qui courent depuis plusieurs années : Problème de transmission des exploitations : certains agriculteurs, et notamment éleveurs, ont dû démembrer leurs exploitations pour pouvoir les céder à leurs successeurs qui n'avaient pas les moyens de reprendre l'ensemble d'un coup. Par conséquent, si celui qui a repris l'élevage a pu reprendre aussi les pâtures, il n'a pas nécessairement repris les champs nécessaires à l'alimentation hivernale. Ces champs, cédés à d'autres exploitants, ont vu tourner les cultures vers d'autres productions, entérinant définitivement le passage à l'achat d'aliments pour bétail pour les éleveurs - alors que cela aurait pu n'être qu'un passage temporaire faute de moyen à la reprise. Conversion au Bio : les éleveurs en bio qui n'ont pas, eux-mêmes, la production bio du fourrage hivernal ont toutes les peines du monde à acheter du foin bio. Variation de cours : pour les foins les plus protéinés (luzerne et légumineuses), le prix s'aligne sur le prix des autres fourrages protéinés (soja et tournesol). En conséquence, si les prix de ceux-ci dérapent (ce qui est le cas avec la crise en Ukraine), par rebond, le foin de luzerne risque de flamber aussi. Report sur d'autres productions : en cas de dérapage trop important des prix des foins les plus coûteux, ceux de moindre qualité, mais de moindre coût (prairies naturelles, Ray Grass Italien) reçoivent davantage de demande, en report. Les prix augmentent aussi et le report de demande ne fait pas baisser le prix de ceux de la luzerne puisqu'ils sont alignés sur les autres protéinés, quelle qu'en soit la demande. Approvisionnements locaux : s'il est accepté que l'aliment (industriel ou raffiné) pour bétail puisse venir de (plus) loin, ce n'est pas encore complétement dans les habitudes pour le foin. Et il n'est pas certain que la flambée du gazole soit un facteur de changement pour ce point - et ce n'est pas forcément souhaitable ni raisonnable non plus. À la fin, ces différents aspects provoquent des blocages, car les exploitants ne trouvent pas tous de foin à un coût supportable et une partie de la production ne trouve pas preneur - de source sûre (conseiller bancaire secteur agri) pour les régions citées.
  15. FATac

    Crotale mistral et autre

    Je ne veux pas savoir ce que vous, pompiers, mettez dans les corps, même à l'étranger !
  16. FATac

    Crotale mistral et autre

    Je viens, à cette occasion, de découvrir que la cocarde (ronde ou carrée) de la Sécurité Civile correspondait, en fait, à l'insigne international de la défense civile. J'ignorais qu'il était normalisé à l'international (et, effectivement, d'un bleu plus clair que le noir-bleuté vu ici).
  17. Non, ça ce sont les Argentins, Môssieur !
  18. FATac

    L'Inde

    On a déjà discuté de cette vidéo, sur ce fil. On passera sur les aspects combinaison de vol, port du casque et du masque... mais surtout, cette vidéo apporte la preuve que l'AASM est un missile et laisse sous-entendre que le AA voudrait dire Air-Air (genre Air-Air Smart Missile) .
  19. Et la France a, ces 10 dernières années, un déficit en foin. Pour certains, le recours au grain, ou aux tourteaux de céréales, en complément est devenu une obligation, pas un choix pour un meilleur rendement.
  20. FATac

    L'Inde

    Oui, et heureusement : 2500+ kg, 8,4 m, 60 cm ... ça passait encore moins !
  21. Pour avoir été durablement en contact avec des opérateurs de l'EFA, notamment pour l'entrainement au Pilotage Aquatique de celui-ci, je peux affirmer qu'ils ne tenaient pas vraiment à utiliser leurs engins sur une coupure humide "chaude". Que ce soit en mode ponton ou en mode barque, le pilote y est exposé de chez exposé et la manœuvre de l'engin, même bien entrainé, nécessite une concentration certaine pour ne pas faire de conneries (c'est gros, lourd, avec une certaine inertie même si un surplus de puissance vient parfois neutraliser celle-ci). Leur option "idéale" consistait donc à chercher un endroit "calme" pour passer. Par contre, la plate-forme et la possibilité d'articuler les 2 parties de chaque rampe (celle avec flotteur et celle sans) permettait d'envisager de passer "au dessus" d'une berge mal pavée, ce qui permettait, dans la mesure du raisonnable, de ne pas avoir besoin de chercher une plage ou une cale - même si c'était mieux pour limiter la longueur.
  22. FATac

    L'Inde

    Euh... Sérieux ?? Il n'y a pas un pylône du Tejas où ça passe, un machin de 1500 kg pour 5 m de long et 50 cm de diamètre.
  23. Je remets ici (où c'est peut être plus approprié) une réponse faite sur l'un des fils relatifs à l'Ukraine. Hmm... Je ne veux pas jouer les oiseaux de mauvais augure, mais attendez-vous à des très fortes augmentations du prix des produits agricoles français dans les 6 prochains mois. Ce ne sera pas uniquement lié à la guerre en Ukraine ou aux phénomènes économiques provoquant l'inflation actuelle, mais bien à des éléments climatiques. Côté fruitiers, la nouure n'a pas spécialement bien pris dans de nombreuses régions, et on s'attend à des baisses de rendement de l'ordre de 40 à 50% sur les pêches, prunes, cerises et pommes. Côté maraichage, on entre dans une période critique ces deux prochaines semaines : que les chaleurs débouchent sur des perturbations orageuses, et les cryptogames et autres parasites ravageurs vont sabrer les rendements estivaux. Enfin, dans certaines régions, les niveaux de nappes phréatiques sont déjà au plus bas et les arrêtés d'interdiction de prélévement sont déjà pris, parfois de manière très extensive. Ainsi, dans les deux sèvres, sur certains bassins, l'interdiction va jusqu'à l'interdiction de l'arrosage des jardins potagers et les prélévements d'irrigation agricole sont limités radicalement (ultime niveau avant leur interdiction totale). Pour ce qui est des viandes, entre la grippe aviaire qui a touché les couvains et les centres de reproduction de Vendée (50% de la reproduction nationale), et le coût des aliments en hausse vertigineuse (qu'il s'agisse des aliments pour volaille, bovins, porcs, etc.), et un rendement des foins en chute libre ces dernières années... Certaines chambres d'agriculture dénoncent (encore) les accords de prix avec la grande distribution, car les coûts de production pourraient faire plus que doubler.
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