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FATac

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Tout ce qui a été posté par FATac

  1. FATac

    La Force aérienne suisse

    C'est pire que ça. C'est un peu comme une poule dans une compétition sportive, avec 4 participants et donc 6 matchs, les matchs étant gagnés par l'un des deux en opposition et rapportant les points comme les matchs de football du championnat selon le vainqueur ou l'égalité. Ainsi, on pourrait avoir, pour chacun des thèmes d'opposition (c'est une estimation personnelle, pas un cas réel d'évaluation) : Qualité du détecteur optronique : F-35 vs Rafale : égalité, 1 point chacun F-35 vs EF : victoire F-35, 3 points pour lui, 0 pour l'EF F-35 vs F-18 : 3 points F-35, 0 pour EF Rafale vs EF : égalité (oui, c'est possible d'évaluer ainsi alors que le F-35 bat l'EF mais pas le Rafale), 1 partout Rafale vs F-18 : 3 points pour le Rafale, 0 pour le F-18 EF vs F-18 : 3 points à l'EF Classement du thème : 1) F-35 à 7 pts, 2) Rafale à 5 pts, EF à 4 pts, F-18 à 0 pts Furtivité F-35 / Rafale : 3 pts F-35 F-35 / EF : 3 pts F-35 F-35 / F-18 : 1 partout (eh ouais ... on parle de l'ASH qu'est vachement mieux et qui fait jeu égal avec le F-35, si on veut) Rafale vs EF : 1 partout Rafale vs F-18 : 3 pts F-18 EF vs F-18 : 3 pts F-18 Classement du thème : F-35 (7), F-18 (7), Rafale (1), EF (1) Fusion des senseurs F-35 / Rafale : 3 pts F-35 F-35 / EF : 3 pts F-35 F-35 / F-18 : 3 pts F-35 Rafale / EF : 3 pts Rafale Rafale / F-18 : 3 pts Rafale EF / F-18 : 1 partout Classement : F-35 (9), Rafale (6), EF (1), F-18 (1) Allez, on somme ces trois items ... F-35 (23), Rafale (12), F-18 (8), EF (6) C'est assez facile de creuser des écarts énormes et de créer de véritables surprises. Et au lieu de l'attribution des points analogue au Football (défaite 0, égalité 1, victoire 3), on peut envisager une attribution analogue aux championnats de badminton (sans/objet ou forfait 0, défaite 1, égalité 3, victoire 5, avec éventuellement un bonus offensif pour les vainqueurs larges (+1 au gagnant) ou défensif pour les défaites de justesse (+1 au perdant). Le résultat est le même : on apporte une capacité de discrimination énorme, et d'autant plus que les sujets d'opposition sont bien choisis. Le "truc" c'est que la note n'est pas nécessairement linéaire, il y a des seuils, des paliers qui déclenchent la victoire par "élimination" de l'opposant qui ne peut plus "remonter". Et dans mon exemple ci-dessus, l'appareil qui gagnerait tous les matchs aurait 27 points à 0 pour celui qui perdrait tout, mais si les deux étaient systématiquement à égalité, ils n'auraient que 9 points chacun (soit 18 points à eux deux, évaporant ainsi une partie des points liés à la victoire. J'adore l'idée qui sous-tend cette méthode et les développements que cela permet. C'est une trouvaille de génie !
  2. Facile. C'est 95 sur 95. En effet, le F-35 est gagnant à 100 %. Mais si ça peut te faire plaisir, je peux t'accorder une marge d'erreur de 5 points pour que les chiffres coincident.
  3. Le pire, c'est que ceux qui ne font pas attention à la source peuvent toujours mettre le pied dedans ...
  4. Oui, mais sans moyens ... Et il a perdu suffisamment de crédit pour être beaucoup moins bankable dans les médias généralistes. Et je ne doute pas que ses collaborateurs les plus tièdes seraient maintenant capable de le lâcher en rase-campagne s'ils sentent que leur carrière pourrait ne pas être entravée par un affront au vieux sage. La main passe ... D'ailleurs, si le vent tourne, les collaborateurs qui filment/montent/publient ses logorrhées vidéo pourraient se retrouver confronter à un choix : revenir à une ligne éditoriale propre à l'IHU-IM et pas nécessairement dédiée exclusivement à la parole de son Directeur continuer de suivre Didier Raoult, avec le risque de sembler suivre un gourou (en forme pour les jeux de mots, j'ai été tenté d'écrire un "suivre un gou-Raoult").
  5. Tiens, à la fin du mois d'aout, Didier ira Out ... https://www.nicematin.com/faits-de-societe/covid-19-au-coeur-de-la-polemique-didier-raoult-prendra-sa-retraite-a-la-fin-du-mois-daout-709072
  6. Hmmm ... sachant un peu comment fonctionnent les régies publicitaires, en recommandant des contenus en lien avec des visites passées, je ne veux vraiment, mais vraiment rien connaître de ton historique de navigation sur Internet.
  7. Ce qui nous ramène à la question initiale de @Teenytoon : Ce sont des "surplus" du Canada ? Qui se séparerait de 3 CL-415 en ce moment ? Et je ne crois pas qu'il y avait des "queues blanches" stockées chez Viking Air.
  8. Seule la victoire est belle. Il n'y a pas de médaille pour le second. Accessoirement, il convient quand même de se raccrocher à quelques fondamentaux : Chaque campagne est différente de la précédente et fait face à des enjeux différents - qui ne sont pas tous affichés. Les échecs passés ne présagent pas plus d'échecs futurs que les succès ne s'enchaînent. Les leçons sont tirées de chaque échec. Des succès aussi d'ailleurs. Aussi bien par l'avionneur que par l'agence gouvernementale qui pilote le projet. La pondération entre aspects politiques, aspects diplomatiques, aspects opérationnels, aspects techniques, aspects culturels et aspects affectifs est totalement imprévisible et seule une connaissance fine du marché permet d'espérer y avoir des chances. Généralement (à part EADS), on ne concourt pas quand on n'a aucune chance. Ça ne sert pas souvent à grand-chose de jouer les lièvres, on n'y apprend moins que dans les campagnes avec un peu plus de sincérité. La décision finale est et reste souveraine pour le pays acquéreur. Elle ne saurait être remise en cause sans que cela ne soit une forme d'affront (je repense à la perception par nos camarades Belges des réactions sur ce forum lors de leur choix). Et enfin, en cas d'échec, ceux qui sont légitimes pour être les plus amers sont ceux qui se sont investi sur la campagne ou qui travaillent sur ou autour de l'appareil. Tous les autres peuvent être déçus, mais ça n'en rend pas les débordements de rancœur acceptable. Leur vie quotidienne n'en dépend quand même pas. Donc attendons et profitons du "spectacle" d'une évaluation menée de manière apparemment exemplaire - et des tentatives des uns et des autres pour la bousculer. Nous verrons à l'issue vers quoi elle oriente, et nous n'avons à ce stade, aucune information consistante à ce sujet. Alors on boit frais et on se détend.
  9. Euh ... c'est une partie du pitch de Wolfenstein II : The new colossus. Un jeu vidéo ! Comment ça pourrait se retrouver comme une "information" ? Ça donne une idée du crédit à accorder à l'ouvrage ... (accessoirement, dans le jeu, Ronald Reagan est abattu, en 1964, par Adolf Hitler, furieux qu'il se soit adressé à lui en lui disant Mr Hitler, plutôt que Mein Führer )
  10. FATac

    La Force aérienne suisse

    C'est toujours le cas. La méthode ne sert jamais qu'à donner un vernis d'objectivité et à dépersonnaliser le choix pour limiter la responsabilité individuelle des décideurs ("acteur du choix, mais pas responsable", l'étape qui suit le "responsable, mais pas coupable"). Attention, ce n'est pas le processus Suisse que je critique ici, mais la procédure générale qui se trouve derrière quasiment toutes les sélections à enjeux. Dès qu'il y a un candidat préféré (qu'il soit "naturel", "local", "privilégié", "évident", "unique", ou perçu comme "meilleur"), les critères de sélection sont logiquement tournés pour faire en sorte qu'il termine devant (ou éventuellement tellement proche de la tête que son passage devant son concurrent peut être facilement justifié). Là, la méthode AHP facilite encore cette démarche habituelle en creusant les écarts en fonction des points de vue et des orientations de la cellule d'achat, ce qui fournit un écart encore plus incontestable que d'habitude. Moi, je trouve ça très bien joué. La méthode n'est, à mes yeux, qu'un cache-sexe blindé pour ceux qui n'ont pas le courage de "mettre leurs couilles sur le billot" et de faire un vrai choix. D'un choix quasi-arbitraire, elle fournit l'illusion d'un choix éclairé, sans pour autant apporter la lumière. Je dois avouer que je suis très tenté d'en user, moi-même, au moins dans les grands principes, pour bousculer de prochains marchés qui vont me passer entre les mains et sur lesquels j'aimerai enfin semer quelques graines de doutes plutôt que de voir les éternels soumissionnaires continuer à les remporter sans réelle remise en cause.
  11. Pour la comparaison masque/slip, j'avais vu passer une illustration comparant le masque à un pantalon imperméable, et la transmission du virus à une miction. Résultat des courses : Deux personnes sans pantalon imperméables peuvent se pisser mutuellement dessus. Pas bien ! Une personne avec un pantalon imperméable ne pourra pas pisser sur l'autre, mais celle sans pantalon pourra toujours lui pisser dessus. Moyen bien, car celle avec pantalon pourra toujours être éclaboussée, elle n'est que partiellement protégée de l'autre (qui est, qui plus est, exposée à tous les anti-pantalons). Si les deux portent le pantalon imperméable, aucune ne pourra pisser sur l'autre et les risques d'éclaboussures sont réduits, essentiellement à l'exposition aux anti-pantalons). Il est bien évident, comme le souligne @Henri K. que si le robinet déborde de l'écran, l'efficacité de ce dernier est nulle ...
  12. FATac

    La Force aérienne suisse

    Ça, ça veut dire que les informations, on s'en fout, c'est le feeling de l'évaluateur qui fait la décision.
  13. Si l'on veut rester rigoureux, il me semble que ce n'est pas la vitesse des gaz, seule, qui rend la poudre plus avantageuse. En effet, si la vitesse des gaz augmente, leur pression diminue tant que l'on raisonne dans le même volume ou pour la même quantité de matière. C'est, en fait, essentiellement par la quantité de gaz générés que la chasse à poudre s'avère plus avantageuse que la chasse au gaz comprimé. Un générateur à poudre, du fait de son côté quasi déflagrant, produit énormément plus de gaz que la moindre réserve, même à haute pression, n'est capable de fournir. Plus de gaz, dans un volume équivalent, va fournir un effort de détente supérieur, permettant la chasse d'un objet plus lourd, ou bien une chasse à plus grande profondeur (contre des pressions supérieures). Finalement, c'est bien la vitesse qui compte, mais c'est celle de génération des gaz, pas celle d'éjection. C'est la vitesse de remplacement de la poudre par ses gaz de combustion, dans le volume contraint qui compte.
  14. Je viens de découvrir cette bande annonce. Je dois avouer que je suis assez tenté ... et que le regard d'une réalisatrice, donc un regard féminin, sur une institution perçue comme exclusivement ou excessivement masculine, ça peut dépoter pas mal.
  15. Je croyais que la production de celui-ci n'avait pas encore été lancée, faute d'un volume de commande suffisant ...
  16. FATac

    Armée de l'air Russe

    Incendie sur le moteur tribord. Lorsque l'incendie est suffisamment développé, la portance de l'aile sous laquelle il se développe est singulièrement réduite. Il y a bascule de ce côté. Et la bascule sur le flanc s'accompagne d'un double effet, d'une part de lacet qui fait alors piquer le nez, et potentiellement d'un effort excessif sur la structure affaiblie par la chaleur, ce qui se traduit par (on ne sait pas encore, mais l'enquête le dira peut-être) des ruptures structurelles ou des blocages de commandes irréversibles. Le feu a toujours été, et reste encore, l'ennemi numéro 1 de toute embarcation, qu'elle soit maritime ou aérienne. S'il se développe, c'est très vite irrémédiable. S'il n'y a pas extinction rapide, ce n'est quasiment jamais possible de voler avec de manière prolongée. Il faut vite aller au sol tant qu'on peut encore choisir comment faire (et accepter un peu de casse, car l'autre issue c'est la casse totale). R.I.P.
  17. A part ça, on a aussi de la bonne polémique locale bien de chez nous : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/ça-na-servi-à-rien-la-colère-du-père-dun-militaire-français-mort-en-afghanistan/ar-AANpQX4?ocid=BingNews Là, je ne suis pas d'accord. Nos 89 militaires tombés là-bas n'ont pas, mais pas du tout, "servi à rien". Ce serait confondre l'acte (l'action) et son but (le résultat). Justement, nos militaires morts en service, ainsi que tous ceux qui y ont été blessés, l'ont été pour ouvrir une parenthèse à une partie de la population afghane. Ce n'est pas rien, et je suis persuadé que, une fois sous le joug des taliban, certains Afghans sauront s'en souvenir, voire les honorer. Sans ces sacrifices, les Afghans auraient connu 20 ans d'arriérisme ininterrompu. Beaucoup, âgés de moins de 40 ans pour la plupart n'auraient pas la moindre idée de ce qu'ils perdent en ce moment. S'il faut tirer, de toute crise, un possible espoir, aussi ténu soit-il, moi j'espère qu'une partie de la génération qui aura grandi libre de 2001 à 2021 aura, finalement des ambitions pour son pays et que le ver (de la liberté et de la démocratie) est déjà dans le fruit (de la rigueur religieuse et de l'autorité rétrograde des taliban). Pour en revenir à nos militaires, il est dommage que leur sacrifice n'ait pas débouché sur une issue plus positive, mais il n'en reste pas moins que, aux ordres de la France, ils sont allés, eux, jusqu'au bout de leurs idéaux, au point de n'en pas revenir.
  18. FATac

    [Rafale]

    Et puis le M a aussi son échelle rétractable intégrée, dont ne disposent pas les B/C.
  19. Et un peu question de leçons (de crises précédentes) aussi. (j'ai résisté au jeu de mot "question d'honneur, de leçons" car il est hors de propos ici puisque nous montrons notre savoir faire à bon escient).
  20. Regarde n'importe quel walkaround du M et du C, et regarde simplement la position de la contrefiche, accrochée bien largement derrière le pivot sur le M, et beaucoup plus près de celui-ci sur le C (et le B). La structure à laquelle sont repris les éléments de l'atterrisseur fait partie du "chassis" et celui-ci est issu soit du B (pour le C), soit du M. Même si c'est industriellement et conceptuellement inexact, dans l'idée, le principe, j'ai parlé de greffer un cockpit de C sur un chassis de M. Pas une pointe avant. Je peux envisager que "l'espace" soit distribué de la même manière "dans le trou", parce que c'est plus simple à concevoir, mais clairement, la structure n'est pas la même (et justifie le surpoids de la variante). Mais même ça, je n'ai mes entrées ni chez Dassault, ni sur des bases aériennes/aéronavales pour le vérifier. Et je doute de la confiance que l'on peut accorder aux kits et maquettes, quand je vois les erreurs communes sur des modèles bien plus répandus.
  21. FATac

    La Force aérienne suisse

    La prévision est un exercice difficile, surtout quand ça concerne l'avenir.
  22. Pour la dernière partie, je suis d'accord. Pour le début, il faut en discuter, mais je risque de m'inscrire en faux !
  23. FATac

    Le F-35

    Hmmm ... Ce ne serait pas un peu Clausewitzien par hasard ? En touts cas, ça a été repris par le Maréchal Foch dans sa pensée doctrinale : La concentration des efforts est un des trois principes de la guerre attribués au Maréchal Foch et adoptés, depuis, comme pierres angulaires de la pensée militaire française. Conceptuellement, il s’agit de faire converger les vecteurs de sa puissance vers un même point à moment et en un lieu choisi. En focalisant ainsi la force, l’effet attendu est de provoquer un changement décisif du déroulement de la bataille. La concentration des efforts consiste donc à imaginer puis à mettre en œuvre un ensemble d’actions convergentes destinées à modifier les équilibres, le rapport de force, dans le but de vaincre l’adversaire. (https://www.penseemiliterre.fr/concentration-des-efforts-et-rapport-de-force_193_1013077.html) C'est juste que le Mozaic Warfare y ajoute quelques dimensions. Sur l'espace plan du champ de bataille, augmenté de la dimension temporelle, ce concept y ajoute la troisième dimension spatiale, pour commencer, mais aussi celle, parallèle, des Technologies de l'Information, voire toute autre dimension pertinente au moment de la friction. Pour moi, ce Mozaic Warfare est un concept où chaque effecteur ne traite qu'une petite partie, une tesselle, de la grande image, la mosaïque. Je le comprends, finalement, comme une forme de "combat cloisonné" mais ramené à l'échelle tactique, voire-même de l'escarmouche, alors que c'est quelque chose qui est plus familier des niveaux stratégiques. Mais je peux me tromper. Les concepts fumeux peuvent toujours être interprétés de multiples manières, et ce, même quand ils sont bien expliqués.
  24. C'est, effectivement, HS sur le fil du Tempest, mais il faut retenir qu'il n'y a, en gros, que 2 versions du Rafale, pas 3. Il y a le M d'une part et le B d'autre part. Le C étant, grossièrement, constitué d'un châssis de B sur lequel est monté un cockpit de M. Le N aurait pu être obtenu en greffant un cockpit de B sur un châssis de M. Donc, non. Aucune des parties du train du M ne peut être remplacée par des parties de train du B dont la structure même est différente avec des reprises d'efforts positionnées différemment sur un châssis qui n'est pas identique.
  25. FATac

    Le F-35

    Je m'en doute bien ... Mais pour la minute linguistique, la formulation "tu n'es pas sans savoir que" est déjà condescendante car, elle rappelle l'autre à ses bases qu'il semble avoir perdues alors que celui qui le dit reste toujours solide sur ses appuis. Il y a donc, déjà, un glissement vers une dissymétrie de l'argumentation et le germe d'un discrédit de l'opinion "adverse". Involontaire, souvent, agacé, parfois, mais réèl néanmoins. Maintenant, remplacer "savoir" par "ignorer", c'est ajouter du pédantisme puisque l'un sait, et en fait étalage (comme je le fais actuellement, hélas), alors que l'autre ignore et a besoin d'être éclairé. Les formulations positives sont tout à fait équivalentes, sans ce côté dévalorisant de la négation : Tu sais bien que ... Fait figure de rappel, tout en indiquant que la position est partagée. Mais tu sais bien que ... C'est la même chose en accentué. Tu ne sais peut-être pas que ... Marque, effectivement, un niveau de connaissance différent et est à utiliser avec parcimonie dans un contexte comme la discussion écrite avec des interlocuteurs dont on ne sait pas ce qu'ils savent réellement (d'où le "peut-être" qui rend la locution moins pédante et plus prudente). Tout est dans la nuance ...
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