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  1. il y a plein de solution, l'hydrogene pour les véhicules lourds/navire, la pile à combustible, mais il faut la volonté politique pour s'y mettre, les constructeurs s'accrochent autant qu'ils peuvent au moteur à essence/diesel. il suffit de voir les suv qu'ils sortent. les hybride/electrique sont réservés au client haut de gamme.

  2. Frappes contre l'Iran: bras de fer entre Trump et le Congrès

    https://www.lepoint.fr/monde/frappes-contre-l-iran-bras-de-fer-entre-trump-et-le-congres-06-01-2020-2356371_24.php

    Citation

     

    Les élus démocrates au Congrès américain, seul habilité à déclarer la guerre, veulent limiter les pouvoirs militaires de Donald Trump qui, comme la plupart de ses prédécesseurs, a lancé des interventions à l'étranger sans l'aval des parlementaires.

    Ce débat récurrent a été relancé après la mort du général iranien Qassem Soleimani dans une frappe américaine vendredi près de Bagdad, qui fait craindre un conflit ouvert entre Téhéran et Washington.

    Que dit la Constitution ?

    La section 8 de l'article 1 de la Constitution américaine donne au Congrès le pouvoir de "déclarer la guerre", mais la dernière déclaration formelle date de la Seconde Guerre mondiale.

    Après la guerre du Vietnam, et malgré le veto de Richard Nixon, les parlementaires ont voté en 1973 la "War Powers Resolution" pour contraindre le président à obtenir un vote du Congrès pour toute intervention militaire de plus de 60 jours en cas d'"hostilités".

    George W. Bush avait ainsi obtenu une très large "autorisation d'utiliser la force militaire" après les attentats du 11 septembre 2001, et une autre résolution l'avait autorisé à intervenir en Irak en 2002.

    Elles n'étaient pas limitées dans la durée.

    Ce sont ces deux résolutions qui constituent, de façon controversée, la base juridique des opérations américaines en Irak et en Syrie contre le groupe Etat islamique (EI).

    Quels droits pour le président ?

    En pratique, les présidents américains ont lancé des opérations militaires ou des invasions terrestres au nom de leur autorité - également constitutionnelle - de commandant en chef des armées ou dans le cadre d'alliances internationales.

    Ils se sont souvent contentés d'informer le Congrès de leurs interventions militaires.

    Bill Clinton (déploiement militaire en Bosnie-Herzégovine en 1995 et frappes aériennes en Yougoslavie en 1999) avait bénéficié de la division du Congrès, incapable de voter un texte autorisant ou interdisant ces opérations.

    En mars 2011, Barack Obama avait été critiqué pour les frappes américaines contre les troupes du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi. En 2015, il avait soumis un projet de nouvelle résolution pour formaliser la guerre contre les jihadistes en Syrie et en Irak mais le Congrès, à majorité républicaine, n'avait pas donné suite.

    Le cas Trump

    Avant d'entrer en politique, Donald Trump avait taclé Barack Obama en 2013 pour avoir lancé des opérations sans autorisation.

    Mais en 2017, il a relancé le débat en ordonnant, sans l'aval du Congrès, des frappes contre des bases militaires syriennes.

    En 2019, il a subi un camouflet après le vote par les deux chambres d'une résolution exigeant l'arrêt du soutien américain à la coalition militaire saoudienne dans la guerre au Yémen, à l'exception des opérations visant les groupes jihadistes. Donald Trump a usé de son droit de veto.

    Le raid contre Soleimani

    M. Trump a informé le Congrès de la frappe contre le général Soleimani moins de 48 heures après le raid, comme le prévoit la Constitution.

    Selon le conseiller à la sécurité nationale, Robert O'Brien, cette frappe est "pleinement autorisée" par la résolution votée en 2002. Mais le chef du Pentagone Mark Esper avait souligné l'année dernière que cette résolution ne permettait pas au président de "mener une guerre" contre l'Iran.

    Le sénateur républicain Lindsey Graham, fidèle soutien de M. Trump, a tweeté lundi que "la dernière chose dont l'Amérique a besoin, c'est 535 commandants en chef", en référence au nombre d'élus au Congrès.

    Pour Jack Goldsmith, professeur de droit à Harvard, "la glorification" de la fonction présidentielle et le laisser-faire parlementaire ont permis cet énorme usage discrétionnaire de la force "qui peut facilement mener à des guerres massives".

    Les démocrates, qui contrôlent la Chambre des représentants, vont déposer cette semaine une résolution visant à limiter les pouvoirs militaires de Donald Trump. Mais le texte a peu de chance d'être approuvé au Sénat, contrôlé par les républicains.

     

     

    House to debate limiting Trump’s military actions against Iran

    https://www.defensenews.com/congress/2020/01/06/house-to-debate-limiting-trumps-military-actions-against-iran/

    • Merci (+1) 1
  3. Trumpy va pas être content

    L'armée américaine annonce à l'Irak se redéployer en vue d'un retrait

    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/l-armee-americaine-annonce-a-l-irak-se-redeployer-en-vue-d-un-retrait-20200106

    Citation

     

    L'armée américaine a indiqué lundi soir au numéro deux du commandement militaire irakien «repositionner» les forces de la coalition antidjihadistes dans le but d'«un retrait de l'Irak de manière sécurisée et efficace», dans une lettre dont l'AFP a pu consulter une copie.

    Deux responsables militaires américain et irakien ont confirmé à l'AFP l'authenticité de cette lettre signée du général William H. Seely, commandant des opérations militaires américaines en Irak.

    «Nous respectons votre décision souveraine qui ordonne notre départ», ajoute la missive, au lendemain d'un vote au Parlement exhortant le gouvernement à expulser les troupes étrangères d'Irak après l'assassinat du général iranien Qassem Soleimani et de l'homme de l'Iran en Irak, Abou Mehdi al-Mouhandis, vendredi à Bagdad.

     

     

  4.  

    Incendies en Australie. L’aide internationale arrive au compte-gouttes

    Les autorités ont rappelé 3 000 réservistes en attendant que l’aide internationale se concrétise et, surtout, s’intensifie pour venir à bout des incendies en Australie.

    https://www.ouest-france.fr/monde/australie/incendies-en-australie-l-aide-internationale-arrive-au-compte-gouttes-6678822

    les premiers pompiers américains

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    les logisticiens

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  5. Je pense que c'est trop tard pour des appels au calme, je crois que ca va prendre le chemin de la guerre

    Exacerbation des tensions entre Téhéran et Washington, appels au calme

    https://www.lepoint.fr/monde/exacerbation-des-tensions-entre-teheran-et-washington-appels-au-calme-06-01-2020-2356367_24.php

    Citation

     

    Les appels à la désescalade se multiplient lundi, sur fond d'affrontement verbal entre Washington et Téhéran, où une marée humaine en deuil a exigé de venger le général Qassem Soleimani, tué par un raid américain à Bagdad.

    Alors que le président américain Donald Trump a menacé samedi de viser 52 cibles iraniennes, son homologue iranien Hassan Rohani l'a sommé lundi de ne "jamais menacer la nation iranienne".

    Le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, après une réunion extraordinaire, a appelé Téhéran à éviter "davantage de violence et de provocations" tandis que la France a estimé que l'Iran devait "renoncer à des représailles" contre Washington.

    Les chefs de la diplomatie de l'UE doivent eux tenir vendredi une réunion sur la crise entre les deux pays ennemis, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, les ayant appelés à suivre "la voie de la pondération".

    Sur un autre front, l'Iran a annoncé une nouvelle réduction de ses engagements contenus dans l'accord international conclu en 2015 pour garantir la nature purement civile des activités nucléaires iraniennes, un pacte désormais presque vidé de sa substance.

    "L'Iran n'aura jamais d'arme nucléaire !", a rétorqué sur Twitter M. Trump, dont le pays s'est retiré unilatéralement en 2018 de l'accord. Encore parties au pacte, les Européens ont dit "regretter profondément" l'annonce iranienne sur la levée de toute limite sur l'enrichissement d'uranium.

    A Téhéran, les rues étaient noires de monde pour honorer Qassem Soleimani, figure charismatique et très populaire en Iran, tué vendredi avec son lieutenant irakien et huit autres personnes près de l'aéroport de Bagdad.

    Retenant difficilement ses larmes, le guide suprême Ali Khamenei a présidé une prière des morts devant les cercueils contenant les restes de Soleimani, d'Abou Mehdi al-Mouhandis, numéro deux du Hachd al-Chaabi (paramilitaires irakiens pro-Iran) et de quatre Iraniens.

    "La dernière fois que je me souviens d'une telle foule, c'était aux funérailles il y a 30 ans de l'imam Khomeiny", fondateur de la République islamique d'Iran, a déclaré à l'AFP Maziar Khosravi, l'ex-chef du service politique du quotidien réformateur Charq.

    Estimée à "plusieurs millions" par la télévision d'Etat, la foule a alterné entre recueillement et tristesse, explosant parfois de colère aux cris de "Mort à l'Amérique", "Mort à Israël".

    Riposte "dévastatrice"

    Des drapeaux américains et israéliens ont été brûlés, tandis que la foule appelait à venger Soleimani, chef de la Force Qods, chargée des opérations extérieures des Gardiens de la Révolution et architecte de la stratégie de l'Iran au Moyen-Orient.

    "Stupide Trump (...) ne pense pas qu'avec le martyr de mon père, tout est fini", a lancé sa fille, Zeinab.

    "Notre riposte doit être dévastatrice", a renchéri un Iranien de 61 ans, dans la foule.

    Le cercueil de Soleimani a ensuite été transféré vers la ville sainte chiite de Qom pour une cérémonie, et sera mis en terre mardi à Kerman (sud-est), sa ville natale.

    L'Iran officiel a promis une "riposte militaire", une "dure vengeance" qui frappera "au bon endroit et au bon moment".

    Donald Trump ne fait rien pour apaiser les inquiétudes internationales. Si l'Iran fait "quoi que ce soit, il y aura des représailles majeures", y compris contre des "sites culturels" iraniens, a-t-il encore menacé dimanche.

    Lundi, l'Unesco a rappelé que Washington a ratifié deux conventions protégeant les biens culturels en cas de conflit.

    M. Trump a aussi évoqué la possibilité d'imposer des sanctions "très fortes" à son allié irakien après le vote dimanche par le Parlement à Bagdad d'une résolution demandant le départ des quelque 5.200 militaires américains d'Irak.

    L'assassinat de Soleimani est survenu après une attaque inédite de l'ambassade américaine à Bagdad par des pro-Hachd pour protester contre un raid américain visant ces paramilitaires. Cette frappe ripostait à des tirs de roquettes sur des installations en Irak abritant des Américains, dont un a péri fin décembre.

    A Bagdad, des officiels irakiens et responsables du Hachd défilaient lundi dans une mosquée en hommage à Soleimani et Mouhandis. Une petite foule piétinait à l'entrée un portrait de M. Trump.

    Et le leader chiite irakien Moqtada Sadr a menacé le président américain d'un nouveau "Vietnam", dans un tweet.

    "Priorité" au nucléaire

    Dans ce contexte explosif, l'Iran a annoncé dimanche la "cinquième et dernière phase" de son plan de réduction de ses engagements sur le nucléaire, affirmant qu'il ne se sentait plus tenu par aucune limite "sur le nombre de ses centrifugeuses".

    Mais Téhéran continue de se soumettre volontairement au programme d'inspection particulièrement draconien de l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA), mis en place après l'accord conclu avec Pékin, Washington, Paris, Londres, Moscou et Berlin.

    A Vienne, l'AIEA a dit être "au courant de l'annonce" iranienne et souligné que ses "inspecteurs continuent de mener des activités de surveillance" en Iran.

    Depuis mai, l'Iran s'est progressivement affranchi d'engagements nucléaires en représailles au retrait des Etats-Unis qui ont rétabli des sanctions contre Téhéran.

    Paris, Londres et Berlin ont appelé "l'Iran à retirer toutes (ses) mesures non conformes" au pacte. Moscou a pressé tous les pays engagés dans l'accord d'en faire une "priorité" et de s'assurer de leur mise en application.

    Par cet accord, l'Iran a accepté de réduire drastiquement ses activités nucléaires, de façon à prouver qu'elles n'ont aucune visée militaire, en échange de la levée d'une partie des sanctions internationales qui ont asphyxié son économie. Mais le retour des sanctions a plongé le pays pétrolier dans une violente récession.

    Pour les observateurs, l'Iran reste "très prudent" en évitant de dénoncer frontalement le texte, ce qui laisse une ultime marge de manoeuvre pour tenter de le sauver.

    La crise entre Washington et Téhéran a dopé les cours du pétrole et fait trembler les Bourses mondiales. L'or, traditionnelle valeur refuge, est monté à des niveaux jamais vus depuis 2013.

     

     

  6. Sur AD ainsi que dans le reste du monde, nous sommes plus que des spectateurs, Il  semble clair qu'aucun des deux belligérants voudra reculer et acceptera de perdre la face, personne peut arriver à se mettre entre les deux pour jouer les médiateurs, cela fait 40 ans qu'ils se cherchent des poux, on va peut être assister à la conclusion d'un épisode et le début d'un autre.

  7. c'est passé presque inaperçue compte tenu des événements  Iran et ghosn

    La France dispose de 12 canadair et 8 tracker disponible, l'Australie n'a pas répondu

    Macron propose à l'Australie l'aide de la France face aux incendies

    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/macron-propose-a-l-australie-l-aide-de-la-france-face-aux-incendies-20200105

    Incendies : Macron propose une "aide opérationnelle immédiate" à l'Australie

    https://www.lexpress.fr/actualite/monde/oceanie/incendies-macron-propose-une-aide-operationnelle-immediate-a-l-australie_2113493.html

  8. il y a 18 minutes, Kelkin a dit :

    Je ne doute pas que les think-tanks et médias américains tournent à plein régime pour y voir une action de l'Iran (après tout, Mike Pence il n'y a pas longtemps à accuser l'Iran d'être responsable du "9/11"...) mais je pense qu'ici on a plus de discernement que ça.

    je suis tout à fait d'accord, ces attaques ne sont certainement pas liées à l'iran, mais les USA pourraient être encore plus inciter de faire un exemple avec l'iran et lui permettrait d'envoyer un message aux autres, cela attise des flammes supplémentaire sur les tensions qui sont déjà très élevées.

    Ca commence à sentir l'odeur du napalm au petit matin.

    « L'Iran n'aura jamais d'arme nucléaire ! » affirme Donald Trump

    Téhéran a annoncé dimanche son intention de s'affranchir de toute limite sur l'enrichissement d'uranium. Une menace qui a fait bondir le président américain.

    19910527lpw-19910528-article-iran-nuclea

    https://www.lepoint.fr/monde/l-iran-n-aura-jamais-d-arme-nucleaire-affirme-donald-trump-06-01-2020-2356327_24.php

    Citation

     

    Le bras de fer continue entre Téhéran et Washington. Donald Trump a haussé le ton ce lundi pour répéter qu'il ne laisserait pas l'Iran se doter de l'arme nucléaire. La veille, il a menacé l'Iran de « représailles majeures » en cas d'attaque iranienne contre des installations américaines au Moyen-Orient, mettant très fortement en péril l'accord nucléaire, déjà compromis par Donald Trump. Ce lundi, Donald Trump a donc réagi directement à ces annonces en affirmant sur Twitter que « l'Iran n'aura jamais d'arme nucléaire ». Il multiplie les messages menaçants envers la République islamique depuis l'élimination, dans un raid américain à Bagdad, du général iranien Qassem Soleimani.

    Donald Trump a décidé en 2018 du retrait unilatéral des États-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien conclu en 2015 entre la République islamique et les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni et Russie) plus l'Allemagne.

    Dans ce texte, qui ne tient désormais plus qu'à un fil, l'Iran acceptait de réduire drastiquement ses activités nucléaires, de façon à prouver que celles-ci n'ont aucune visée militaire, en échange de la levée d'une partie des sanctions économiques internationales qui asphyxiaient alors son économie. L'Iran a cependant une nouvelle fois répété dimanche qu'il était prêt, en cas de changement de politique de Washington, à revenir à l'application pleine et entière de ses engagements.

     

     

  9. ca doit encore énerver Trump

    Un militaire et deux sous-traitants américains ont été tués lors de l’attaque jihadiste d’une base au Kenya

    http://www.opex360.com/2020/01/06/un-militaire-et-deux-sous-traitants-americains-ont-ete-tues-lors-de-lattaque-jihadiste-dune-base-au-kenya/

    il y a 7 minutes, herciv a dit :

    Et la réunion de l'o.t.a.n ce matin ça donne quoi ?

    trop tôt pour le savoir, va falloir attendre demain

  10. il y a 4 minutes, Shorr kan a dit :

    Les seules que je vois s'impliquer directement c'est les Egyptiens. Mais pas sûr qu'ils soient capables d'avoirs l'allonge suffisante, hors aviation.

    Aussi, la légalité est du côté Turc et ça vaut son pesant de cacahuètes.

    avec un petit coup de main des russes, ils s'installent une base egyptienne à benghazi  en négociant avec haftar

  11. lls savent que cela va ouvrir la porte à Trump, mais l'accord est carbonisé

    Tensions en Iran : la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni appellent à la «désescalade»

    Téhéran a affirmé dimanche 5 janvier vouloir se soustraire de l'accord sur le nucléaire de 2015. Macron, Merkel et Johnson ont appelé les leaders Iraniens à renoncer.

    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/tensions-en-iran-la-france-l-allemagne-et-le-royaume-uni-appellent-a-la-desescalade-20200106

  12. il y a 6 minutes, nemo a dit :

    Les tazus se torcherons le c... avec une protestation de l'ONU. La balle est dans le camp Irakien mais avec l'influence qu'on les pro-iraniens je vois mal comment on échappera à un retour de l'occupation et donc de la guerre civile. Faut dire que l'Irak n'avait pas été un désastre au même point que l'Afghanistan... Qui pari que dans les 5 ans on a un retour de Daesh?

    Au début oui, mais le dossier sera ouvert sur la table de l'onu, c'est a cause du veto de la France qu'ils ont depuis une dent contre la France. cela à son importance aux yeux des nations.

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