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aviapics

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Messages posté(e)s par aviapics

  1. Dégommer la DCA à coup de missile de croisière: de un ça coute la peau des roustons

    Euh une batterie S-400 ce n'est pas un ZSU-23... il n'y en a pas beaucoup et ca vaut la peau des roustons... donc un MDC sur un S-400, c'est tout a fait logique, et meme fait pour ca. Sans parler que ca coute beaucoup moins cher que de risquer un Rafale pour ca. Qu'on fait les americains pour les defenses Libyennes? rase des SA-2 au Tactom...

    et de deux je doute que la France aligne jamais suffisamment des dits missiles pour ça.

    Ce n'est pas parceque l'on commande un petit lot "pour commancer" qu'on ne peut pas en racheter en fonction des besoins, c'est ce que l'on fait avec tous les armements.

    Quand au match Su-27/30/35 vs rafale ça sera pas non plus une partie de plaisir et on y laisserait fatalement des rafales là ou les F22 feront le ménage sans trop de casse.

    Comparer les Su, le rafale et le F22 c'est comme comparer une renault (Su), une volkswagen (rafale) et une Ferrari (F-22), certela volkswagen surclasse la renault, mais la ferrari est sur une autre planète

    La Volkswagen ne fait rien de mieux que la Renault mais le fait de facon plus agreable (depense inutile donc dans un contexte militaire)

    La Ferrari fait beaucoup de chose moins bien que les deux autres 99% du temps, pour beaucoup plus cher.

  2. Le Qatar et la Libye : http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/09/02/le-qatar-tire-son-epingle-du-jeu-libyen_1564056_3218.html

    Le Qatar tire son épingle du jeu libyen

    LEMONDE.FR | 02.09.11 | 13h58  •  Mis à jour le 02.09.11 | 14h06

    Petite pétromonarchie du Golfe, coincée entre les deux géants saoudien et iranien, le Qatar a su tirer son épingle du jeu dans la crise libyenne pour s'imposer comme un acteur incontournable sur la scène régionale et internationale. Outre son implication diplomatique, le Qatar a été le seul Etat arabe, avec les Emirats arabes unis, à participer à l'intervention militaire au sein de la coalition internationale coordonnée par l'OTAN. Un investissement moindre au regard des capacités déployées par les membres de l'OTAN, mais qui, sur le plan symbolique, s'est avéré au moins aussi déterminant.

    Le pari semble réussi pour ce petit Etat de quelque 12 000 m2, abritant 1,5 million d'habitants dont seulement 200 000 nationaux, surtout connu pour ses réserves gazières -les troisièmes plus importantes au monde-, ses fonds d'investissements, sa chaîne Al-Jazira ou encore l'organisation de la Coupe du monde de football en 2022. La réunion de Paris du 1er septembre sera l'occasion d'entériner le succès du positionnement qatari en Libye et de conforter son statut de puissance arabe émergente.

    L'EXCEPTION LIBYENNE

    "L'engagement du Qatar en Libye est cohérent avec sa politique étrangère qui consiste à promouvoir le pays hors de ses frontières géographiques pour être plus actif sur la scène internationale et y occuper une place de choix", analyse Ibrahim Sharqieh, directeur adjoint du Centre Brookings basé à Doha, la capitale qatarie. Depuis son arrivée au pouvoir en 1995, l'émir du Qatar, le cheikh Hamed Ben Khalifa Al-Thani, a eu à cœur de développer une diplomatie active dans la région pour compenser les faiblesses structurelles du pays.

    Toutefois, poursuit M. Sharqieh, "par le passé, le Qatar s'est davantage illustré par un rôle de médiation, comme au Liban, en Palestine, au Darfour ou au Yémen". Une implication qui s'est doublée d'une politique d'équilibre parfois taxée d'ambivalence, notamment dans le cas palestinien où il a, à la fois, maintenu des liens avec les mouvements palestiniens les plus radicaux et accueilli une représentation diplomatique israélienne.

    Au cours du printemps arabe, le Qatar a semblé maintenir ce jeu d'équilibriste. "Dans les autres révoltes, il a conservé une certaine neutralité si l'on s'en tient aux déclarations officielles, notamment celles du ministre des affaires étrangères, discrètes dans les cas égyptien et tunisien", explique Barah Mikaïl, directeur de recherche Afrique du Nord et Moyen-Orient à la FRIDE, un think tank européen basé à Madrid. Et même si "le Qatar n'en pensait pas moins, au niveau diplomatique, il a souvent fait le choix de la médiation en invitant l'ensemble des protagonistes à venir négocier, sur son territoire, une sortie de crise", poursuit-il. Comme dans le cas du Yémen notamment, où le royaume a participé à la médiation initiée par le Conseil de coopération du Golfe, dont il est membre depuis sa création en 1981. Dans d'autres cas, comme en Syrie, il a choisi la prudence, à l'instar du reste de la communauté internationale.

    UN TOURNANT DIPLOMATIQUE

    "Depuis ce soulèvement, cela a changé : il est ici question de soutenir une partie contre une autre". Et, le Qatar a rapidement choisi son camp en se faisant le promoteur auprès des pays de la Ligue arabe de la résolution 1973 des Nations unies autorisant l'intervention étrangère, votée le 17 mars, et en reconnaissant, le 28 mars, le Conseil national de transition, organe politique de la rébellion libyenne. "L'implication du Qatar a permis l'intervention, en lui donnant une légitimité qui avait fait défaut, par exemple, dans l'intervention en Irak", commente M. Sharqieh.

    "Le Qatar a, cette fois, pris un risque, mais c'est un risque calculé", renchérit Ibrahim Sharqieh. Selon lui, le calcul était simple au regard des chances élevées de voir réussir la révolution et du risque humanitaire, considérant que Kadhafi était "prêt à raser Benghazi". Pour Barah Mikaïl, "les événements tunisien et égyptien ont indiqué la voie du changement engagé au sein du monde arabe, ce que le Qatar a très bien compris et a voulu montrer sa participation à ces changements positifs".

    Il demeure que "le Qatar a finalement accentué ou fait valoir un tournant dans son positionnement diplomatique, au travers de sa participation à des opérations militaires et en optant pour une telle démarche dans un pays arabe", poursuit M. Mikaïl. Le Qatar a mis à disposition cinq des douze avions militaires, de type Mirage 2000, dont il dispose. Outre sa participation active à des opérations humanitaires, "il y a de fortes chances que le Qatar soit allé jusqu'à participer aux bombardements", estime le chercheur. Et, ajoute-t-il, "sans parler d'intervention militaire directe, il a formé des rebelles pour garantir leur avancée sur le terrain", leur fournissant notamment des missiles antichar et du carburant.

    Une stratégie militaire qui s'est doublée d'un soutien économique, mais également d'un appui médiatique, par le biais de la chaîne Al-Jazira, fondée à Doha en novembre 1996 grâce à des fonds du royaume qatari. "La chaîne Al-Jazira a pris le parti de se focaliser sur les manifestations libyennes pour montrer le fort malaise. Elle a exprimé une posture que le gouvernement ne voyait pas d'un mauvais œil", commente Barah Mikaïl, qui estime que "l'agenda d'Al-Jazira est greffé sur l'orientation du gouvernement". C'est également au Qatar que s'est installée la chaîne de télévision Libya Al-Ahrar, fondée par les rebelles libyens et financée en partie par le royaume.

    UNE STRATÉGIE PAYANTE

    L'affaire libyenne lui a permis de consolider ses liens diplomatiques et militaires avec les puissances occidentales dont il est un allié proche. Le royaume accueille, en effet, le centre des opérations aériennes américain ainsi que l'Etat-major avancé du Centcom et dispose d'armements à 80 % français. Et, sur le plan régional, "le Qatar a réussi le pari de s'afficher comme l'accompagnateur des changements dans le monde arabe, en défendant des principes nobles tout en doublant son action d'une consécration diplomatique et du renforcement de ses propres intérêts", résume Barah Mikaïl.

    Car ses intérêts sont avant tout diplomatiques. "L'objectif du Qatar est de promouvoir le pays et de prendre un rôle plus actif dans le système international, notamment en Afrique du Nord car avec la chute du regime de Hosni Moubarak en Egypte, le pays ne peut plus jouer son rôle de leadership dans le monde arabe et le Qatar entend jouer ce rôle", analyse Ibrahim Sharqieh.

    Une ambition diplomatique qui doit beaucoup à son positionnement géographique, entre les deux ennemis traditionnels que sont l'Arabie saoudite et l'Iran. "Le Qatar a besoin de se protéger car leurs relations peuvent connaître à tout moment une escalade et affecter le Qatar", analyse Ibrahim Sharqieh. Jusqu'à présent, la petite pétromonarchie a réussi à maintenir de bonnes relations avec les deux géants et à jouer le rôle de médiateur, non sans quelques tensions. Notamment avec l'Arabie saoudite. Selon Barah Mikaïl, "depuis 15 ans, le Qatar a l'ambition a minima de compter au rang de l'Arabie saoudite sur la plan diplomatique". Or, "en se promouvant sur le plan régional, le Qatar exerce une compétition de facto avec l'Arabie saoudite", estime Ibrahim Sharqieh.

    Mais, la dynastie des Al-Thani a également quelques ambitions économiques, notamment dans le secteur pétrolier où la Libye est un producteur majeur. "En fournissant du carburant aux rebelles, les Qataris ont fait savoir qu'ils détenaient un savoir-faire pétrolier à mettre à disposition des Libyens. Peu de pétrole est exploité en Libye : le Qatar s'est donc mis en posture de médiateur pour écouler le pétrole libyen", analyse Barah Mikaïl. Le Qatar se positionne ainsi pour la période de reconstruction, faisant valoir ses atouts et boostant ses perspectives. En offrant 400 millions de dollars aux Libyens lors de la réunion du groupe de contact sur la Libye, le 5 mai, le Qatar attend certainement un retour sur investissement, estime M. Mikaïl. Il pourrait en effet bénéficier de la reconstruction du pays pour s'imposer dans l'exploitation du pétrole et du gaz libyens, mais aussi renforcer ses positions en Afrique.

    par Hélène Sallon

  3. Excuse moi, je travaille dans une de ces entreprises francaise qui vend en Chine, et on vend a tour de bras une techno que les chinois ne maitrisent pas, depuis des annees et a des administrations comme a des boites "privees".

    Faut pas non plus croire tout ce qu'on te raconte a TF1.

    La R&D on la paiera qu'on en vende au Bresil ou pas... Avant que le Bresil soit capable de fabriquer eux meme des Rafales...

    Je suis de ceux qui pensent que les pessimistes ont raison parce qu'ils n'ont pas de mauvaises surprise, mais il faut quand meme garder les yeux ouverts et faire preuve d'un minimum d'objectivite.

  4. Et les missiles de croisiere ca sert a quoi?

    Par ailleurs rien ne prouve que le F-35 soit mieux adapte a la mission SEAD que le Rafale. La furtivite ce n'est pas tout...

    Le F-22 pour des Su-27/30/35... j'espere bien qu'on n'a pas besoin de F-22 pour se fritter avec des avions concus dans les annees 70 quand meme.

    De meme le Rafale est largement capable contre eux.

  5. Rien ne dit que ce partenariat stratégique a encore les faveurs et la volonté de le prolonger pour Roussef .Car c'est une décision qu'on attend d'elle sur l’avion choisit qui sera commandé en trois tranches, 36 avions d’ici 2011/12, 50 avions en 2015/16 puis selon les réserves financières une dernière tranche d’une trentaine d’avions entre 2020 et 2025.On parlait d'un marché de 100 à 120 avions, on l'oublie souvent car on se focalise trop sur la première tranche de 36 et on occulte parfois les besoins de la Force Aérienne Brésilienne (FAB) qui prévoit toujours de remplacer ses avions de combat F-5EM/FM (version E/F modernisée) d’ici à 2014.

    Cette première tranche s’inscrit dans un cadre financier de près de 3 milliards de dollars et l’ensemble de cette acquisition devrait atteindre les 8 milliards de dollars (acquisition de 110 à 120 avions).Donc cela veut dire pour nous que le GIE Rafale et non simplement Dassault Aviation et/ou l'Elysée doivent TOUS être en adéquation et symbiose pour remporter ce marché.

    Tiens voila la reponse de Philippe dans le post sur le Rafale au Bresil. 120 avions ca te semble suffisant?

  6. Mais c'est bien pour ca que je parlais d'adequation des besoins.

    On n'a pas a faire face a un conflit Haute Intensite, il y a la dissuasion pour cela.

    Et pour aller casser les fesses d'un dictateur, on a ce qu'il faut et des allies lorsque c'est plus gros.

  7. En France on tente de viser une certaine adequation entre les besoins, les moyens et les resultats, aux USA on essaye juste d'avoir la plus grosse...

    Pour cela les USA s'inventent des menaces et surtechnologisent tout. Au final ils se retrouvent avec des moyens toujours plus (trop) faible en nombre, un nombre incalculable de projets qui s'effondrent, une technodependance qui finit par leur couter cher et une pensee startegique qui s'est deplace de l'etat-major vers les dirigeants des entreprises d'armement.

    Est ce vraiment le bon exemple?

  8. Je ne vois pas ce qui le rendrait impossible a creer, par contre les moteurs au centre et les rotors au bout des ailes vont imposer de lourds et complexes arbres de transmission, d'autant plus lourds et complexes si ils sont synchronises.

    La formule rotor de sustentation + rotor de propulsion existe deja, donc ca ne me semble pas un soucis non plus. De meme si les 2 moteurs visibles sur le dessus sont les seuls dispos, il faudra egalement transmettre la puissance a l'arriere.

  9. De plus le Bd-200 ne serait qu'un complément de la flotte canadair ... les canadair continuant a œuvrer dans les endroits resserrés et les BE-200 la ou il y a besoin de beaucoup d'eau.

    Les premiers Canadairs vont etre a remplacer dans pas si longtemps que ca...

    Dans certains environnements c'était un gros problème (là où les plans d'eau utilisé sont des lacs) mais en France où nos appareils pompent de toute façon dans la méditerranée ça avait été considéré comme sans réelle importance.

    le lac de St Cassien est regulierement utilise par les Canadairs, alors c'est vrai la mer n'est pas loin, mais elle n'est pas non plus toujours plate, et les feux c'est souvent par Mistral... donc les lacs sont tres aprecies car moins sensibles au vent et au clapot. St Croix est plus simple car contrairement a St Cassien, il n'est pas coupe en deux par un pont.

    Par ailleurs a Marseille les Canadairs ecopent dans le port pour la meme raison, sera-ce toujours possible entre les grues et les navires? Il semble que oui.

    etc...

    Ensuite c'est pas tout de pomper de l'eau, il faut parfois aller la larguer precisement en fond de vallee...

    Quelques jolies photos (y compris Ste Croix et le port de Marseille) :

    http://pics-aeronef.discutfree.com/t6695-bereiev-be-200-en-ecopage-sur-l-etang-de-berre

  10. C'est bien ce que je dis, tu n'as pas lu l'article cite au dessus...

    En l’occurrence, le ministre de la défense britannique a indiqué que la prochaine révision de 2015 permettrait d’éventuellement revenir sur la décision de 2010, permettant de laisser le Queen Elizabeth en service. Il y a, toutefois, un « hic » : si la SDSR indique que le bâtiment en service serait un CATOBAR, équipé de catapultes et de brins d’arrêts, la décision de quitter la configuration STOVL (Short Take-Off, Vertical Landing) est intervenue trop tard pour le Queen Elizabeth.

    Résultat, seul le Prince of Wales en sera doté, transformant la tête de classe en un porte-hélicoptères de 65 000 tonnes – une mesure critiquée par la Royal Navy - et le MoD britannique semble confirmer le fait qu’il soit trop tard pour rétrofitter les bâtiments avec les catapultes.

  11. Ceci dit il n'y avait pas un problème d'efficacité du Be200 par rapport au bon vieux CL415 ??

    (A§C avait évoqué il y a 2 ans des essais conduits je crois par les grecs montrant que s'il embarque 2 fois plus d'eau qu'un CL415 il mettait 3 fois plus de temps à faire ses rotations entre la zone de recharge et la zone d'incendie, d'où au final une moindre efficacité)

    Euhhh... il est plus rapide alors ca m'etonne un peu.

    Je m'inquiete plus de sa capacite a evoluer dans des environnements plus serres (vallees) ou a ecoper sur des plans d'eau courts.

  12. Sans compter que c'est bien ecrit que ces kits ne sont pas permanent et donc probablement assez simple a mettre/enlever.

    Par contre, a l'inverse de Chris, je suis absolument certain qu'il y a la clim a bord. Je ne pense pas que les americains aient un quelconque materiel sans clim.

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