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Taurus

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Messages posté(e)s par Taurus

  1. Bon, mon simili-avion a pas l'air d'inspirer grand monde  :-\

    Il s'agit d'un STOL, et la compagnie est basée à Tyumen. Si personne ne trouve je donnerais la réponse à la fin de la semaine.

    Je dois dire que si j'en avais deviné la nationalité, pour les détails je sèche encore. :|
  2. M. De Crem a une nouvelle fois indiqué qu'il n'achèterait en aucun cas les 22 AIV des tranches optionelles dans la version équipée d'un canon de 90 mm, qu'il juge "non utilisable" en raison de l'absence d'interopérabilité de ce calibre avec les armées alliées.

    Problème d'interopérabilité

    Le ministre avait annoncé en janvier 2008, peu après son entrée en fonction, son intention de revoir le contrat d'achat des 40 AIV (18 ferme et 22 en option) dans la version "Direct Fire" (DF), équipée d'une tourelle de type LCTS90 dotée d'un canon de 90 mm et construite par la société Cockerill Maintenance and Ingénierie (CMI). Il juge ce calibre insuffisant pour assurer la sécurité du personnel et incompatible avec ceux en service dans les armées des pays alliés, qui utilisent du 105, voire du 120 mm.

    D'autant que CMI a dans son catalogue la CT-CV qui tire toutes les munitions 105 OTAN et qui s'adapte sur les concurrents du programme AIV.

    Le choix du 90mm n'était pas le plus judicieux. En plus des problèmes d'interopérabilité et de diminution du calibre par rapport au Léo, ce choix rend inutile les stocks de 105mm actuels. :rolleyes:

  3. Merci Gibbs, j'ai trouvé quelques infos sur la structure des unités d'infanterie anglaises. Ce n'est pas aussi précis que le topo de Clairon mais c'est un début.

    De plus, sur le site de l'Army j'ai noté l'existence du LASM. Il semble que mes impressions n'étaient pas si fausses et qu'il manquait une arme de soutien au sein des unités d'infanterie. =)

    Enfin, deux fils proche des préoccupations de celui-ci ont récemment été lancé sur le forum:

    Un sur le M-202 Flash, fil que je me permet de compléter avec ce lien.

    Et un sur une un Amerikansky RPG-7. Je me permet ici de d'ajouter que contrairement au RPG-7 et au Carl Gustav, le Panzerfaust 3 n'est pas rechargeable. De plus, un RPG-7 pèse sans munition environ 6,3kg contre 9,5kg pour le Carl Gustav M3.

  4. Il y avait aussi le YC-14, qui devait en son temps remplacer le C130...

    http://en.wikipedia.org/wiki/Boeing_YC-14

    Exact. ;)

    Qui plus est, il est présenté dans le cours que j'ai posté. Comme quoi j'avais bien fait de préciser "A ma connaissance".

    Sinon, je voulais dire que seul les russes (et Honda) avaient dépassé le stade de l'expérimentation. =)

    Pour le Kawasaki C-X, j'ai toujours pensé que le Japon ne pouvait pas exporté de matériel militaire. :-[ En tout cas le "grand" frère C-X, le C-1 n'avait pas été exporté en son temps. A noter qu'il existe une version STOL expérimentale de ce dernier, l'Asuka.

    Enfin, pour moi, rien ne pourra faire aussi bien que le Breguet Br 940/941, l'ADAC à la française. 8)

  5. Joli design, mais il aurait peut être mieux valu positionner les réacteurs au dessus des ailes comme sur l'An-72

    A ma connaissance seul les russes ont positionné des turboréacteur au dessus des ailes. Cette modification n'est pas anodine et ne s'improvise pas. Positionner les moteurs au dessus des ailes pose des problèmes aérodynamique et mécanique.

    La NASA a bien étudié le concept avec le QSRA (NASA-715), un C-8A modifié Buffalo, mais la solution n'a pas été retenu pour le C17.

    Ensuite pour le C390, je ne crois pas me tromper en disant que l''aile provient d'un ERJ 190.

    Enfin, c'est aussi l'option adoptée pour le Kawasaki C-X et hérité de son "grand" frère le C-1.

    bonne lecture:Some High Lift Aerodynamics, Powered Lift Systems

  6. Les Rafale F1 n'ont jusqu'ici vraiment servi que de plastrons pour défricher le terrain en faveur des versions F2 et F3. En clair c'est une présérie qui n'a pas dit son nom ; ceci dit ils ont démontré les perfs aérodynamiques et la manoeuvrabilité de l'engin, ce qui a permis dés 2002 d'impressionner les pilotes de F18 de l'US Navy lors de "dogfight" simulés ;)   

    Ils ont aussi eu le mérite de tester et de valider l'emploi du Rafale en opération sur le CdG. En gros ils ont permis à l'aéronavale de se faire la main sur cette nouvelle machine.

    C'était mieux que les Crusaders  :lol:

    Surtout pour les riverains  :lol:

    En tout cas les F1 ont pas mal volé. Quand je vivais encore en Bretagne j'en voyais une paire par semaine voir plus. ^-^

  7. Merci Clairon pour le topo sur l’infanterie française et son soutien. ;)

    Il serait intéressant de le comparer aux modèles US, britannique, russe et autres. Le problème c’est que je ne sais pas où trouver ces infos pour les unités contemporaines.

    Finalement, on ne sort jamais de l’éternel dilemme Puissance de feu/Protection/Mobilité. Si j’ai bien compris aujourd’hui pour l’infanterie l’accent est mis sur la mobilité et la protection. Même si la puissance de feu connait un accroissement certain. Comme le note Gibbs c’est autant un problème d’effectifs que  de maîtrise des pertes.

    De plus, la mobilité de l’infanterie est limitée par celle de ses armes d'appui et leur protection. Facteurs qui ne s’appliquent pas à l’appui aérien (hélico et avion) et l’artillerie lourde.  En effet, ceux-ci ne ralentissent pas l’infanterie car ils n’ont pas besoin de rester à son contact. De plus, ils ne sont seulement menacés que par des systèmes Sol/Air et de l’artillerie de contre-batterie, aujourd’hui tout deux absent des zones d’engagement.

    Donc si l’on analyse le rôle des armes d’appui de l’infanterie:

    -Les mitrailleuses lourdes fixent l’ennemi. Elles peuvent en plus traiter des cibles « peu durcies », comme des véhicules, des  habitations.

    -les lances roquette et les missiles anti-char des compagnies ou des bataillons, en plus de traiter les blindés, traitent les nids de résistance et les positions retranchées.

    -L’artillerie et le support aérien traitent les concentrations de troupe et les cibles dures.

    De plus le soutien peut venir d’unités blindé ou de groupe de support d’infanterie avec des snipers, des mitrailleuses, des mortiers ou des missiles.

    Enfin, de nouvelles questions de ma part: :rolleyes:

    -Ne pensez vous pas que les missiles de type Fire and Forget comme le Javelin sont limités pour l’appui ? En effet, l’autodirecteur IR  pourrait ne pas accrocher la cible voir accrocher des unités alliés.

    -Pourquoi il n’y a pas d’équivalent au RPG dans les armées occidentales, un lance roquette multi-usage « léger » ? L’AT4 et le LAW sont à usage unique et le SMAW est lourd (7,52kg pour le lanceur et 4,3-6,9kg pour la roquette)

    -Que pensez vous qu’il soit plus judicieux pour les missiles anti char, développer de nouvelle tête HE, à fragmentation ou encore thermobarique, ou rendre les têtes HEAT plus polyvalente comme la charge K1A des Hellfire II ?

    Encore merci,

    PS : Je n’avais pas vu que ce sujet était aussi abordé ici : g4lly, Nos soldats en Afghanistan, Avril, 2009, lecture intéressante en tout cas. Notamment sur les problèmes de distance d'engagement et de porté pratique. ;)

  8. Je ne vois pas trop où est le problème.

    Encore une fois je n'ai pas réussi à clairement exprimer ma pensée. :-[

    Ainsi, je ne pense pas qu'il y est un véritable problème d'appui rapproché. J'ai juste été surpris par le recours quasi systématique à l'aviation et à l'artillerie. Or pour moi l'utilisation de tel moyen est un risque, risque d'autant plus grand que les engagements se font à courte porté. Et comme le dit g4lly ceci entraine de lourdes chaines logistique et de commandement à gérer.

    Ces ce constat qui me fait m'interroger sur les armes aujourd'hui utilisées par l'infanterie pour son soutien. Plus particulièrement je me demandais de quelles armes dispose les unités d'infanterie pour engager des ennemies retranchés ou des positions fortifiées.

    J'ai pris l'exemple de l'Afghanistan et des reportages Koss Kemp pour introduire mon sujet. Cependant ma question n'est pas limité à ce théâtre d'opération.

    En gros j'aimerais avoir un point sur les armes utilisées par les unités d'infanterie pour leur appui. Ainsi répertorier les types d'équipements existant leurs répartitions et leurs dotations au sein des compagnies et bataillon d'infanterie. Cependant, comme le matériel n'est pas grand chose sans une doctrine d'emploi j'aurais aimé ajouter ce récapitulatif les conditions et tactiques d’emploi de ces armes. De plus, j'espérais étendre les débats au futur proche. =)

    En tout cas loin de moi l'idée d'armer tout les biffins d'une Mini voir d'une ANF-1, je suis bien conscient des limites d'un tel surarmement. ;)

    Enfin, j'avais bien noté l'existence des "Fire Support Group" (FSG) ainsi que surpris par leur utilisation de Javelin par ce dernier.

    J'espère avoir été plus clair.

  9. En visionnant les pérégrinations de Ross Kemp en Afghanistan j’ai été surpris par l’appui envers l’infanterie. Plus particulièrement j’ai été étonné de l’absence d’armes de soutien au niveau de la compagnie voir du bataillon.

    A mon avis ce manque d’arme d’appui au sein des unités d’infanterie est problématique. En effet, dès qu’elle est bloquée l’infanterie doit faire appel à l’aviation ou à l’artillerie. Situation qui entraine des risques de « friendly fire » durant des engagements à courte portée. De plus l’appui est limité par la porté de l’artillerie et les délais des frappes aériennes.

    J’ai aussi été frappé par l’emploi de Javelin pour traiter des bâtiments. Je me suis même demandais (et me demande encore =|) s’il n’existait pas une tête HE pour le Javelin.

    Je suis convaincu que l’utilisation d’armes d’appui par l’infanterie aux échelons les plus bas n’est pas inutile :rolleyes:. La seconde saison ne fait que conforter ma penser. En effet, l’on peut y voir l’emploi de RPG pour l’armée afghane ainsi que de LAW et de mortier par l'infanterie britanniques. Un encart dans le dernier DSI (n°47, avril 09) intitulé « Vers une évolution de l’appui ?» confirme encore plus mon opinion sur l'appui rapprochée de l'infanterie.

    J'aurais cependant quelques questions. Ces dernières sont :

    - Quel sont les équipements aujourd’hui utilisés par l’infanterie pour engager de l’infanterie protégée ou des blindés léger? Grenades à main, lances grenade (HK79, M79, Milkor MGL Mk.1, LGI, Mk19…), mitrailleuses lourde (Browning M2…), mortiers d’infanterie (60, 81), fusils de sniper, lances roquette avec différent type de charges, à fragmentation (Pzf 3 BKF), incendiaire (M202 FLASH (roquette M74)), thermobarique (RPO, AT-14 / 9K135 Kornet), ou encore interchangeable (RPG7, RPO, Matador, Mark 153 SMAW, AT4), missiles...

    - Quel sont les conditions et modes d’emploi de ces armes?

    - Quelles évolutions sont prévisibles, autant des armes que de leur emploi (PAW-20, LW50MG, XM307 ACSW…)?

    D’avance merci pour vos réponses. ;)

  10. Le système de mise à l'eau des Gowind à été choisi pour la rapidité de mise à l'eau des embarquations aprés que DCNS ait collaboré avec les commandos marine de Lorient, pour faire de l'anti-piraterie c'est primordial.

    Je vois bien l’intérêt de telles rampes. Je ne parlais pas d’utiliser le dispositif de grue proposé pour la FM400 mais juste de déplacer le pont d'envol. ;)

    La hauteur de ces dispositifs serait un problème comme le note g4lly. C’est pourquoi j’avais mentionné le problème de centre de gravité engendré par une élévation du pont d’envol. Cependant, contrairement à g4lly je ne trouve pas cette élévation rédhibitoire. Je suis d’accord qu'avec un hangar pour hélicoptère il y aurait des problème mais pour un hangar dédier à des UAV il faudrait voir.

    Enfin, je ne vois pas en quoi l'augmentation du profil de la corvette serait un « anciens design ». Elle serait juste moins furtive visuellement ainsi que vis à vis des radars. Pourrais-tu préciser ta pensée g4lly? :rolleyes:

    edit: Le fait que les opérations soient visibles de la plate forme hélico et de la passerelle(en plus d'une liaison radio) augmente la sécurité de celles-ci à l'embarquemenr/débarquement ainsi que la géstion d'éventuels "pirates" qui ne sont pas attachés(si le RIB/barque chavire ils boivent la tasse à coup sur donc pas de mains attachées).

    Ces contraintes supplémentaires expliqueraient cette configuration. Merci d’avoir pointé ce détail.

    Pour la mise a l'eau de drone sous marin les modele action et combat sont équipé de porte de coupé spécifique précu pour opérer ce type de robot.

    Mon idée pour les drône était principalement pour le déminage. Je pars du postulat qu’utiliser une corvette de 1000t pour du déminage est plus judicieux qu’avec une « quasi frégate » de 2000t.

    Apres pour les modification des cales ... a priori tout est possible tant que ca rentre dans l'encombrement. Rien n'interdit de mettre un traine sonar a la place d'un zodiac.

    C’est ce que voulais entendre. Merci P4 et g4lly pour vos réponses ! Après est ce que c'est pertinent? =)

  11. J'aurais 2 petites questions au sujet des rampes de mise à l'eau installées sur les Gowind:

    1-Est-il imaginable de placer le pont d'envol au dessus des rampes?

    Image IPB

    Cette installation est déjà présente sur le concept FM400

    Image IPB

    Je penses bien que l'espace libéré ne permettrait pas l'installation d'un hangar (sauf peut être pour des UAV). Néanmoins la place libéré pourrait être utilisé pour du stockage, des cabines ou de l'armement. Les seules limites que je vois sont l'élévation du centre de gravité et l'augmentation de la surface.

    2-Est-il imaginable de remplacer l'une de ces rampes par d'autre équipement?

    Je m'inspire ici du concept modulaire des LCS et des MEKO. Il serait imaginable de câbler ces deux emplacements pour accueillir différents équipement:

    -sonar à immersion variable

    -"flute"

    -drones sous-marin

    -poseur de mines

    -etc.

  12. Je pense qu'il n'existe pas de solution basée sur l'acquisition d'un seul type d'appareil. Il existe bien la paire AN124 et C17 mais je vois mal la France acheter étranger maintenant.

    De plus, il n'est pas nécessaire d'acheter les appareils pour combler un vide temporel. Un mix locations, affrètements et partenariats Public/Privée serait plus économique à long terme.

    Mon idée est la suivante:

    - continuer d'affréter des AN124 pour le transport stratégique lourd.

    - acheter des A330/340 (même d'occasion).

    - louer/acheter des CN-235 et C130

    Il n'est pas économique d'acheter des AN124/C17 en petit nombre. Cependant, il serait économique d'acheter et utiliser ces "lourds" dans un cadre européens. L'European Airlift Coordination Cell (EACC) pourrait regrouper ces avions de transport. Ainsi, en centralisant les besoin européen un nombre économique d'appareil pourrait être acquis. De plus, cette structure pourrait même survivre à l'entrée en service de l'A400M.

    Ensuite les A330/340 pourraient être utilisés comme avion de transport pur dans un premier temps. Ensuite ils seraient convertis en MRTT pour pallier au retrait des KC135. Ils pourraient même être affrété une compagnie privée à l'image du contrat FSTA anglais.

    Enfin, même si les CN-235 et C130 n'ont pas les capacités de l'A400M en matière de transport stratégique, ils les ont en parti pour le tactique. Comme ces machines sont déjà utilisé par l'AdA, les coûts en personnel et infrastructures seraient moindre qu'avec des appareils entièrement nouveaux.

  13. Une version embarquée du F-22, j’ai souvent entendu parlé de cette idée et je l’ai certainement eu quelque fois. La question est de savoir si la NAVY l’a eu aussi. :rolleyes:

    Si l’article pose de bonnes questions sur la faisabilité d’une telle adaptation, il en oublie certaines. Par exemple, il faudrait traiter les moteurs, la cellule et surtout le revêtement à une utilisation en atmosphère salin. Il n’inclut pas non plus les coûts des équipements et modifications des bases et des portes avions nécessaires à l’emploi de ce nouvel appareil.

    De plus, les deux exemples utilisés ne sont pas, à mon sens, très pertinents. En effet, le Rafale avait été dès le début imaginé comme un appareil embarqué (comme le F-35C). Ensuite, le Su-33 est un appareil STOBAR à « trois plans porteurs »et non un appareil CATOBAR sans canards.

    Enfin, dans la même veine que cette idée de remplacer le F-14 par un F-22N. Que pensez-vous d’une version ASM du V-22 pour remplacer le S-2? Une plate-forme hybride pourrait réunir les avantages de l’hélicoptère et de l’avion pour la lutte ASM.

  14. Je suis bien d'accord avec toi; plus le fait qu'il soit bi-réacteur, qu'il ai des ailes médianes, qu'il soit mono-dérive; et que l'empennage de queue soit apparement implanté plus bas que les ailes........ ben je cherche encore!  :lol:

    Ça me console, je ne suis pas le seul à n’avoir que des idées. =)

    Je m’étais aussi orienté vers russe ou chinois mais je ne trouve pas. Le J-8 ne colle pas au niveau du pied de dérive et de la position des plans. Moralité je sèche mais ne baisse pas les bras.

  15. Je crois c'était un problème d'optique et non de capteur. Mais c'était bien un traitement de donnée qui avait permis d'utiliser Hubble avant sa réparation. Cependant, c'était plus du traitement de l'image qu'une réparation par le software.

    Sinon, les corrections logiciel ont leurs limites. Elles ne feront pas grand chose contre une perte de mémoire ou de circuit d'alimentation. Cependant, c'est aussi pas ces corrections logiciel que l'on peut switcher des fonctionnalités d'un équipement a un autre. Ainsi, même endommagé un satellite peut conserver une certaine utilité. Mais on s'éloigne du sujet, non? Quoi que l'on parle de la proie et non du prédateur.

  16. Le cout du materiel envoye dans l'espace ne permet pas toujours de multiplier par deux ou trois les instruments, et parfois on prefere meme corriger de facon logicielle des "economies". C'est par exemple le cas de certains satellites type Formosat.

    C'est vrai, d'autant plus qu'en orbite basse il y a moins de problèmes de radiation et de décharges. L'ATOX et les débris sont les agressions les plus sévères à ces altitudes. Il y a donc moins de raison de blinder et de doubler des auxiliaires.

    De plus la durée de vie de ces satellite est assez courte. Il est donc plus pénalisant de doubler physiquement des équipements que pour des satellite en orbite MEO ou GEO.

    Enfin, même sans le détruite mais en l'aveuglant ou brouillant il est possible de se protéger de ces espions spatiaux. Je pense même que ces technologie sont plus économique est simple à mettre en œuvre. Mon sentiment est que les missiles anti-satellite et les satellites tueurs sont des prolongement d'études d'interception d'ICBM, de satellite manœuvrant et autres têtes nucléaires. Mais ce sentiment reste une intuition car je ne connais pas assez les ramifications des projets US, chinois et consorts. :rolleyes:

  17. Toutes ces menaces ne sont pas efficaces à 100% et il est possible de diminuer la vulnérabilité.

    - composants en doubles

    - réfléchir à la disposition des composants

    C'est déjà le cas. La principale menace d'un satellite est sous environnement. Il est soumis a des rayonnement, des décharges électrique, des débris et d'autres contraintes. Par conséquent, un certain nombres des composants d'un satellite sont doublés. Les seuls qui ne le sont pas sont les équipements scientifique (où militaire) et quelques autres. Les composants et circuits doublés (voir triplés) sont disposés pour limiter les pannes simultané.

    Ensuite, mettre miroirs pour dévier des lasers n'est pas envisageable. En effet, le contrôle thermique d'un satellite est réalisé par son enveloppe. Il y a déjà des miroirs mais ils servent de radiateurs. La surface qu'ils occupent est calculée pour garder une température stable à l'intérieur du satellite.

    Enfin, Cerise est le parfait exemple que même sans missile l'espace est dangereux. Et puis suivant les versions c'était un accident 100% européen.

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