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Messages posté(e)s par Rob1
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Bon, retour aux discussions sur les opérations militaires.
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Il y a 2 heures, Hirondelle a dit :
En principe, ça devrait lui valoir une visite nocturne de la seal team six, non ?!
Quand même pas...
par contre Prigojine est déjà inculpé depuis début 2018 pour son rôle dans l'ingérence dans les élections US de 2016.
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Il y a 17 heures, gustave a dit :
1- A part les US qui ont surtout accédé à une source intérieure (probablement des interceptions cyber) tout le monde estimait les préparatifs russes insuffisants, ce qui s'est avéré vrai...
Pourtant tout le monde a été surpris que l'Ukraine ne tombe pas en quelques jours... y'a un bug dans le raisonnement là.
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Le 31/10/2022 à 23:48, mgtstrategy a dit :
mouais, bof. Tout va bien mme la marquise quoi... A croire que tout est au beau fixe.
ca fait tres opération de comm....
Je me suis dis un peu la même chose il y a quelques mois à propos d'un autre article du même média...
Évidemment la DGSE ne peut pas dire grand chose, mais pendant qu'on n'a que cette comm' qui ne dit rien, j'entends le MI6 se vanter d'avoir contribué à démanteler le trafic nucléaire d'Abdul Qadeer Khan, ou les Néerlandais d'avoir été les premiers à repérer le hacking russe du comité du parti démocrate US en 2016...
Et même pour parler des choses courantes au lieu des réussites exceptionnelles, j'ai toujours trouvé les bons mémoires d'anciens de la CIA comme Bob Baer ou Milton Bearden dix fois plus instructifs que n'importe quel bouquin français.
Bon, j'idéalise peut-être trop nos voisins, la DGSE a dû être bonne dans Serval, sur notre zone "historique" (ex-empire en Afrique et Proche-Orient), et côté technique quelques papiers de la NSA montraient que celle-ci estimait ses capacités.
Le 03/11/2022 à 11:57, mgtstrategy a dit :J'adorerai en savoir plus sur les nageurs de combat de la DGSE. Ca c'est pas un sport de masse, comme dit @pascal... Ca doit etre un job / mission de fou !
Il ne doit pas y avoir grand-chose de publié à ce sujet depuis les retombées du Rainbow Warrior, mis à part quelques publireportages dans des magazines pour booster le recrutement... Peut-être le livre d'Alain Mafart ? (pas lu pour ma part)
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Il y a 4 heures, Valy a dit :
Je suis étonné que les Brits avancent des accusations aussi graves avec des conditionnels (j'imagine qu'ils ont quand même des sources)
Ce n'a rien d'anormal, en regardant rapidement avec les quelques communiqués précédents, tout ce qui n'est pas prouvé formellement (pertes comptabilisées, discours public, données factuelles sur un système d'armes...), c'est une estimation au mieux probable.
D'ailleurs dans le communiqué que tu cites, il y a littéralement un likely à chaque phrase.
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Il y a 2 heures, olivier lsb a dit :
ça me parait nouveau, on n'avait pas ces problèmes avant non ?
Même chose pour moi hier quand j'ai voulu poster l'article de Challenges, j'ai galéré et j'ai dû éditer mon truc au moins 5 fois...
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
Pouet
RévélationUkraine, Chine, Sahel, Iran : Voici les vérités de la DGSE et de la DGSI
Pierre-Henri de Menthon le 31.10.2022 à 11h01
Les patrons de la DGSE et de la DGSI se sont prêtés à un exercice de communication inédit en tenant sur la scène d'un théâtre une longue conversation en présence de journalistes, de diplomates et...d'espions. Extraits choisis.
Le 20 octobre dernier au soir, au théâtre des Sablons (Neuilly-sur-Seine), c’est entrée libre. La salle n’est pas tout à fait pleine pour assister à la conférence sur "le renseignement, de la Seconde Guerre mondiale à nos jours". Les historiens Olivier Forcade et Olivier Wieviorka nous plongent dans les entrailles de la France libre et du Bureau central de renseignements et d’action, dont le fondateur était André Dewavrin (1911-1998), qui fut également conseiller municipal de cette ville. Pour la deuxième table ronde, Bernard Emié, lointain successeur de Dewavrin (plus connu sous le nom de colonel Passy), monte sur scène accompagné de Nicolas Lerner.
Spectacle inouï de voir les directeurs respectifs de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) et de la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) converser sur la situation en Ukraine ou la surveillance de nos mosquées. Sans beaucoup de filtres, si ce n’est celui de messages à faire passer à un public truffé de diplomates (et d’espions?) en poste à Paris. La présence de l’ambassadeur de Turquie permet ainsi aux deux hommes de remercier publiquement les services secrets de ce pays, grâce auxquels plusieurs attentats ont été déjoués en France.
Complicité affichée entre services
Mais revenons au détail de la discussion entre les deux chefs des services secrets, relancée de temps à autres par deux de nos confrères, Daniel Bilalian et Christian Malard, des habitués du Cercle international de Neuilly, organisateur de l'événement. Bernard Emié qui cultive un humour très décalé, se réjouit d'abord de la qualité de l'assistance, "sans doute truffée d'espions" et résume en quelques mots la mission de la DGSE: "contribuer à la sécurité de la France et à son influence dans le monde". Une mission dont l'exercice est une gageure "dans un pays très naïf avec des élites insouciantes". Une expression que son confrère de la DGSI reprendra à son compte, précisant que "les espions dans la salle ont bien sûr été identifiés!" L'humeur, on le voit, est presque badine sur la scène du théâtre des Sablons, les deux énarques affichant sans cesse leur complicité de "Dupont et Dupond".
Leurs points communs sont nombreux, notamment une certaine admiration pour "l'excellence du renseignement anglo-saxon", mais Nicolas Lerner insiste sur une différence fondamentale entre la DGSI et la DGSE: "nous n'avons pas de service clandestin". L'un et l'autre insistent aussi sur le fait qu'ils sont "au service" du politique, et d'ailleurs bien contrôlés, notamment par les parlementaires (la députée Constance Le Grip, vice-présidente de la délégation parlementaire au renseignement est présente dans la salle). "Nous travaillons en association avec le politique, on peut bien avoir notre petite idée, mais c'est le politique qui décide" explique Bernard Emié.
Le recrutement des traitres est efficace
Bien sûr, Bernard Emié n'est pas très disert sur cette partie de son activité. Mais il insiste sur le fait qu'à côté de "moyens technologiques extraordinaires", le renseignement humain reste primordial: "Il faut recruter des traitres, c'est très important, on obtient un maximum de choses ainsi". "A la DGSI, le renseignement humain a aussi sa place aux côtés de la technique et du traitement des données", rebondit Nicolas Lerner. Selon lui "sur 69 attentats déjoués ces dernières années, 67 l'ont été grâce au renseignement humain".
Le premier sujet international abordé est bien sûr la situation en Ukraine. Avec un plaidoyer pro domo du patron de la DGSE. Alors qu'un journaliste laisse entendre que nos services secrets auraient "découvert l'invasion russe à la télévision", Bernard Emié qualifie cette affirmation de "ridicule". Suit un dégagement selon lequel les mouvements de troupes auraient bien été identifiés, et que le scénario d'une attaque de Moscou était bien sûr la table. Mais la DGSE, à la différence d'autres services, aurait aussi décelé que l'Ukraine avait des capacités de "première résistance" plus importantes qu'anticipées généralement. Du coup la probabilité d'une invasion par la Russie est peut-être apparue trop irrationnelle, peu plausible. Petit mea culpa, et Emié enchaine rapidement. "On a un des meilleurs renseignements du monde, on est en tout cas dans le Top 3, arrêtons de nous culpabiliser. En tout cas, contribuables de Neuilly rassurez-vous, avec nos budgets, vous avez un bon retour sur investissement!" Applaudissements.
L'affaire ukrainienne est aussi suivie de très près par la DGSI. "Le flux migratoire de 4 à 5 millions de réfugiés au sein de l'Union européenne" est pour Nicolas Lerner un événement considérable. Les migrations vers l'Ukraine, beaucoup plus rares, sont aussi surveillées de près. "Des centaines de personnes ont rejoint le théâtre de conflit, il faut les suivre dans la durée, y compris et surtout quand ils reviennent". Autre sujet de préoccupation, les livraisons massives d'armes, dont il va falloir surveiller à l'avenir une éventuelle "prolifération" sur le territoire national. Sur le qui-vive, donc, le patron de la DGSI, même si "la France n'est pas en guerre". Par contre "la Russie l'est, et nous sommes exposés, il faut surveiller son influence".
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RévélationLa relation avec la CIA? "Juste dingue"
Alors que le journaliste Christian Malard lance quelques piques bien françaises contre les Etats-Unis, d'Obama, de Trump ou de Biden, Bernard Emié temporise aussitôt. "Il faut distinguer relations diplomatiques et politiques et relations entre services, nous avons très bien travaillé avec la CIA, même du temps de Trump, Gina Haspel était une grande directrice". Et le patron actuel, William Joseph Burns? Un type formidable qu'Emié connait depuis longtemps: "On travaille très bien avec la CIA, les choses marchent du feu de Dieu, ce qu'on fait ensemble est même disons-le, juste dingue".
A écouter les deux hommes les relations sont presque aussi idylliques avec les services secrets turcs. Coté DGSE, on parle de "résultats incroyables", et de "rôle positif". Coté DGSI, Nicolas Lerner loue la contribution de la Turquie à la "lutte anti-terroriste". L'ambassadeur Ali Onaner, assis au premier rang, peut boire du petit lait. La menace terroriste justement, le patron de la DGSI estime qu'elle est toujours là, même si elle est "différente et plus diffuse qu'il y a quelques années". Dans la droite ligne d'Emmanuel Macron, dont il est très proche, Nicolas Lerner estime que les récents attentats -notamment trois d'entre eux perpétrés en 2020- révèlent plus d'une "idéologie séparatiste que d'une idéologie terroriste". Avec une frontière du passage à l'acte "difficile à anticiper". "Environ 6.000 individus sont suivis pour radicalité, et entre 50 et 60 lieux comme des salles de prière posent problème" détaille le patron de la DGSI. "Il y a un gros de travail de dialogue avec les Etats, qui souvent financent des structures qu'ils ne connaissent pas vraiment" complète le directeur de la DGSE.
Inquiétudes en provenance de Syrie et d'Irak
"La capacité de projection depuis un territoire extérieur est en baisse, poursuit Lerner, mais il existe toujours une menace du côté de la Syrie et de l'Irak." Le Sahel paraît potentiellement moins dangereux du point de vue de la sécurité intérieure, car "les groupes terroristes n'attirent pas". Rien à voir avec les 1400 citoyens français qui avaient rejoint les rangs du "proto-Etat islamique". Le chef de la DGSE est un peu plus précis, les zones à risque étant "le nord-est de la Syrie et le Nord de l'Irak". D'éventuelles "zones de projection", sur lesquelles il convient d'être "vigilant". Concernant les mouvement terroristes au Sahel, Bernard Emié les comparent à un "cancer, qui descend et ronge l'Afrique", la prochaine zone à risque étant le Golfe de Guinée. Quant au "proxy de Moscou" qu'est la société Wagner, son premier objectif est selon le chef de la DGSE "de faire du business". "Il faut les avoir à l'oeil, les contrer, ils utilisent des techniques de base propres aux services. Organiser une manif à Bamako ou avoir de l'influence sur les réseaux n'est pas très compliqué, et ce avec un petit budget." Autre mission de la DGSE, pour éviter tout risque de projection terroriste: "Infiltrer et démembrer les filières de migrants". Par exemple pour protéger le Niger, qualifié "d'Etat responsable et sérieux".
La Chine, responsable et menaçante
On ne terminera pas le tour d'horizon sans aller faire un tour en Iran, avec sa bombe. "Ils progressent mais ils n'y sont pas" explique le responsable de la DGSE. A moitié rassurant tout de même: "Il faut être vigilant, il s'agit d'un pays proliférateur et potentiellement menaçant". Puis vient la Chine. Alors que les deux journalistes n'hésitent pas à parler des visées impérialistes de Xi Jinping, Bernard Emié calme le jeu. "Vous parlez d'un partenaire majeur d'un point de vue économique et politique, d'un membre permanent du Conseil de sécurité, d'une puissance responsable, il s'agit certes d'un système politique différent, mais il faut le respecter".
Une fois tout cela dit, on ne peut pas affirmer que le patron de la DGSE fait preuve de naïveté: "Nous sommes en alerte, la pénétration chinoise est très importante en France". Et de se montrer satisfait, par exemple, d'une "prise de conscience". Notamment sur le dossier de la 5G ou de la dépendance industrielle. Coté DGSI, on se réjouit aussi que "le coeur de nos réseaux télécom ne soit pas livré à une puissance étrangère". Nicolas Lerner, tient le même discours sur la Chine que Bernard Emié. D'abord rassurant: "La Chine n'est pas qu'une menace, c'est aussi des opportunités industrielles et techniques". Puis inquiétant: "C'est aussi un concurrent, et à moyen terme une menace stratégique par rapport à laquelle il ne faut pas faire preuve de naïveté". Selon lui, "beaucoup de récentes cyber-attaques ont un mode opératoire chinois".
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Il y a 5 heures, collectionneur a dit :
J'ai été étonné de la façon dont le commando rentre par la fenêtre du bus
Je l'ai postée pratiquement que pour ça... ça semble clownesque à première vue, n'empêche que ça a l'air sérieusement répété et en fin de compte, on passe de zéro à quatre gars dans le bus en trois secondes.
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« Le plus grand humoriste du monde »
« Il a tourné la Russie entière en une plaisanterie »
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Carey Schofield, The Russian Elite: Inside Spetsnaz and the Airborne Forces (1993)
Fini celui-là, et je suis plutôt déçu, surtout à cause du décalage entre ce que j'espérais, et ce que j'ai eu en fin de compte.
Carey Schofield est une journaliste britannique qui a profité de l'ouverture de l'URSS à la fin des années 80 pour faire une plongée dans l'armée soviétique, étant la première occidentale à avoir visité pas mal d'installations (elle a aussi tiré de ça un livre plus général, Les secrets de l'armée rouge, édité en français), dont plusieurs brigades Spetsnaz. Je l'ai acheté pour cette vision de l'intérieur, surtout concernant les Spetsnaz, car je trouve toujours qu'il n'y a rien de très substantiel à leur sujet.
Premier regret, sur 244 pages de texte il n'y a qu'environ 35 pages qui parlent des Spetsnaz, la grosse majorité étant donc sur les VDV. Ensuite ce qu'il y a est assez superficiel, il y a peu d'informations factuelles qui soient utiles. Maintenant je comprends pourquoi j'avais souvent vu ce titre mentionné, mais beaucoup moins cité/exploité comme source.
J'ai la flemme de faire une vraie présentation, disons que le livre permet de se plonger dans les évènements récents de l'époque (l'invasion et la guerre d'Afghanistan, les espoirs et déceptions de la perestroïka, le putsch d'août 1991, et les crises successives aux périphéries de l'empire où les paras étaient envoyées) vus par les soldats (surtout les officiers) des VDV. Avec aussi un B.A.-ba de la conscription ou du parcours d'officier.
L'ouvrage a le ton d'un reportage, dans l'immédiateté, et qui donc perd vite son intérêt avec le temps. Cette impression est renforcée par les 21 pages du "qui est qui" des officiers paras (j'ai aussi retenu d'une autre critique les propos louangeurs sur Pavel Gratchev... moins de deux ans plus tard, il tombait en disgrâce pour la catastrophique 1ère guerre de Tchétchénie).
Un peu d'humour russe pour positiver :
CitationLorsque je suis allée pour la première fois à Tchoutchkovo, on m'a tendu, peu après mon arrivée, une mitrailleuse et dit de tirer sur une cible. Ensuite, on m'a invitée à essayer le parcours d'assaut, et le "parcours du razvedchik (éclaireur)", un autre parcours d'assaut avec du feu, de la fumée et d'autres fioritures. J'ai maladroitement fait le parcours, pour montrer que j'étais prête à essayer, à tout le moins. J'ai été un peu surprise par tout cela, mais j'ai supposé que c'était leur façon d'accueillir les gens. Plus tard dans la visite, j'ai découvert ce qui se passait.
"On nous a dit que vous étiez capitaine dans le SAS [Special Air Service]. Il est clair pour nous maintenant que vous n'avez jamais servi dans une unité de l'armée. Nous ne pouvons pas le rapporter, sinon nous aurions l'air de dire que les chefs nous ont envoyé des informations erronées. Nous dirons donc qu'à notre avis, vous n'êtes certainement pas plus qu'un capitaine."
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Je ne suis pas convaincu que ces DSA étaient forcément inférieures à celles en Ukraine, notamment dans le cas de la Serbie.
Mais comme toi et vince24 le disaient, de toutes façon ce n'est pas pertinent si on ne tient pas compte du cadre d'emploi de l'appareil.
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Il y a 18 heures, olivier lsb a dit :
J'ai l'impression que ça fait quelques années que des espions du GRU ou du FSB sont grossièrement identifiés voir arrêtés. En revanche, rien ces dernières années sur le SVR et les illégaux. Pure impression, mais j'ai le sentiment que le SVR continue de former une élite à part dans l'univers du renseignement Russe.
Un gars de Beliingcat disait récemment qu'ils n'avaient pas de "point de départ" style les suspects pour Salisbury ou Navalny qui leur permettrait de chercher des caractéristiques dans leurs bases de données pour y identifier les gars du SVR.
En revanche, il doit y en avoir parmi les "diplomates" expulsés. Exemple avec la récente grosse expulsion des Pays-Bas : https://nos.nl/nieuwsuur/artikel/2448337-here-is-what-we-know-about-the-russian-spies-in-the-netherlands
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il y a 39 minutes, gustave a dit :
C'est peut-être surtout que le A-10 n'a guère affronté de telles défenses sol-air, et que son emploi s'est surtout adapté à des conflits sans menace sol-air.
Golfe, Bosnie, Kosovo quand même.
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Corée du Sud :
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Le dernier petit théâtre des opérations avec une histoire qu'on ne peut inventer qu'en Union soviétique :
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Le 24/10/2022 à 23:13, Ciders a dit :
A voir si je suis encore frais, j'ai passé une journée à l'hosto vendredi et ça m'a bien fatigué.
Bon ben moi je me traîne un microbe depuis quelques jours, rien de bien méchant mais un peu fatiguant, à voir aussi du coup
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Il y a 3 heures, Ciders a dit :
Si ça ne se fait plus aujourd'hui, c'est que la Russie n'en a plus les moyens.
De temps en temps y'a des Tu-95 qui se baladent dans l'ADIZ de l'Alaska... plus comme dit plus haut les balades d'appareils des forces stratégiques au large de l'Europe de l'Ouest.
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il y a 12 minutes, Skw a dit :
Je me demande si le terme "release" n'est pas plus ouvert comme terme, puisque le tir pouvant résulter d'un déclenchement volontaire ou d'un épisode accidentel. Alors que le terme "fire" suppose davantage, du moins dans mon esprit, un acte volontaire. Mais je peux me planter.
Exact
CitationThe use of the term “released” means it’s not immediately obvious if the missile in question was fired cleanly from the rail, or if it somehow broke loose and fell away unguided and/or unpowered.
Quant à ma part, je suis moins sûr de ce que j'avais dit. En tout cas dans le dico OTAN on précise toujours "fire or release" quand ce n'est pas exclusivement de l'air-sol
Citation____AWAY : Weapon indicated has been fired or released.
http://nato.radioscanner.ru/files/article140/brevity_words_app7e_.pdf
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il y a une heure, Paschi a dit :
J'avais lu l'article sur le site de la BBC et ce qui m'avait parut bizarre, c'est le terme utilisé. Ils ont écrit "A missile was released from a Russian aircraft" et pas "A missile was fired from a Russian aircraft". Bon après c'est de la sémantique mais cela m'avait quand même laissé dubitatif.
Il me semble que "release" est le terme couramment en aviation mili pour le tir de toute arme externe.
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J'ai vu cet article sur la GE russe être recommandé deux ou trois fois, mais je ne l'ai pas lu : https://spectrum.ieee.org/the-fall-and-rise-of-russian-electronic-warfare
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il y a 4 minutes, Boule75 a dit :
Que lui arrive-t-il donc, à ce "district scolaire" ? (Et qu'est-ce qu'un district scolaire au passage ?)
C'est dans un de ses écoles qu'a eu lieu un massacre en mai dernier (19 enfants et 2 institutrices tuées). Avec la police locale qui a glandé une heure et demi dans le couloir pendant que des gosses dans les deux salles de classes concernées téléphonaient aux urgences.
Un district scolaire c'est une zone administrative comme un comté ou une municipalité, avec certaines autorités, dont sa propre police en l'occurrence.
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Y'en a déjà un qui n'a pas attendu...
Pour ceux qui nous ont rejoint après la grande époque des IRL des salons du Bourget, une IRL(pour in real life) est une rassemblement de forumeurs à un évènement. Les intéressés se mettent d'accord sur la date, l'heure et si on se fait un restau avant/après.
J'ai changé le titre pour avoir plus de visibilité. Alors, qui est intéressé ?
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il y a 37 minutes, Fusilier a dit :il y a 51 minutes, CortoMaltese a dit :
L'Espagne va fournir des batteries anti-air Hawk à l'Ukraine. Encore une arme emblématique de la guerre froide qui va peut être finalement affronter le matériel contre lequel il a été conçu.
Cela été signalé quelques pages plus haut. Mais, un Hawk a déjà abattu un T 22 (je crois que c'était un 22) Hawk Fr au Tchad contre un TU Libyen.
Ainsi que pendant la guerre d'usure, celle du Kippour, la guerre Iran-Irak, la défense du Koweït lors de l'invasion de 1990...
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
dans Politique etrangère / Relations internationales
Posté(e)
Ca ressemble en effet à ces blockhaus préfabriqués à l'utilité improbable dont j'ai entendu parler sur twitter il y a quelques temps :