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Rob1

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Tout ce qui a été posté par Rob1

  1. Dans 58 minutes pour vivre (Die Hard 2), pour être précis. Avec ses méchants vaguement inspirés d'Oliver North et de Noriega =)
  2. Histoire & Stratégie n°14, avril-juin 2013 : L'opération "Iraqi Freedom", 2003-2004 Sommaire ici : http://www.dsi-presse.com/?p=5720. Pas de partie sur les FS apparemment (que voulez-vous, c'est mon dada) Malheureusement pas en rayon de mon point presse qui n'avait cette aprèm que DSI et DSI HS.
  3. Sauf que les ACARS peuvent être interfacés au FMS pour permettre l'upload de plans de vol et d'info météo en vol, depuis le sol. C'est ce que le gars a utilisé - aidé par le fait qu'il n'y ait apparemment aucune authentification des messages ACARS.
  4. Ca alors, Vladimir n'est pas impassible ?? :O
  5. Conférence du LCL Lecointre sur la reprise du Pont de Vrbanja : [dailymotion=480,360]xiog74_conference-du-lcl-lecointre-sur-la-reprise-du-pont-de-vrbanja_news?search_algo=2[/dailymotion]
  6. Rob1

    A-10 Thunderbolt II « Warthog »

    Selon ce qui se disait à l'époque (années 80s), son efficacité serait drastiquement réduite contre des cibles volant à moins de 90 m d'altitude-sol. Pour la guerre du Golfe de 1991, les Américains attribue la perte de leurs quatre A-10 à un SA-16, deux SA-13 et un SA-9. En regardant rapidement, je n'ai pas trouvé d'infos sur les arms qui ont endommagé trois autres A-10 qui ont pu rentrer à leurs bases mais qui furent ferraillés. En tout cas, les projets de replacer les A-10 par des YA-7F "Strikefighter" ou F/A-16 ont fini aux oubliettes après 1991.
  7. Ouais mais je trouve ça lourdaud quand même tous ces trucs qui demandent une inscription (j'ai dû faire de même sur Foreign Policy il y a peu). Ca n'a aucun intérêt évident à part voir ses données personnelles utilisées pour Dieu sait quoi. Dans le même genre, les divers trucs en ligne qui proposent un service "gratuit un mois" en démo (highbeam, remises & réductions, etc.) mais qui vont quand même exiger le n° de carte bleue à l'inscription et évidemment, encaisser si on ne pense pas à résilier à temps. La seule exception que j'ai noté c'est The Aviation Historian qui ne demande pas de n° CB pour passer à la caisse si l'achat fait 0 £.
  8. La DCRI a touché le fond avec Wikipédia, mais un syndicat policier creuse encore : Un syndicat de police évoque le filtrage de Wikipédia :lol:
  9. Rob1

    A-10 Thunderbolt II « Warthog »

    Parce que c'est très différent ailleurs ? Les avions européens ou soviets de l'époques étaient mieux conçus que le A-10 pour affronter la flak de la Troisième Guerre mondiale ? Les ZSU-23-4 ne sont a priori pas efficaces à moins de 90 m, les SA-7 semble avoir eu un taux d'efficacité faible pendant le Kippour. Je me demande s'il ne vaut pas mieux rester en TTBA plutôt que remonter et affronter les SA-6/8/9. Après, que ça n'aurait pas été une partie de plaisir et qu'il y ait eu 50% de pertes la première semaine, je veux bien le croire, mais je ne vois pas en quoi on peut reprocher aux Américains le fait qu'on s'attende à ce que les Russes ne se laissent pas faire. Et quelles alternatives vous proposez ? Si j'accumule ce qui est suggéré, il faudrait des avions non-furtifs volant à moyenne ou haute altitude
  10. Je ne risque pas d'être un défenseur des Talibans, mais il me semble que Kaboul était en bonne partie en ruine bien avant l'arrivée des Talibans. D'ailleurs cf. l'avant-dernière photo qui est datée de 1993.
  11. Pas sûr que ce soit tant les Talibans plutôt que la guerre civile qui en soient responsables.
  12. Rob1

    A-10 Thunderbolt II « Warthog »

    de mémoire c'est 4 ou 5 pour ODS (y compris des OA-10), et un seul pendant OIF.
  13. En fait je ne vois que deux avions japonais de l'époque équipés de moteurs en ligne : le Ki-61 Hien, et le D4Y Suisei "Judy". Les deux étaient équipés d'une copie du Daimler-Benz DB 601 (Ha-40 pour le Hien, Aichi Atsuta pour le Suisei), les deux ont eu des performances mitigées, les deux ont eu un dérivé équipé d'un moteur en étoile (Ki-100 et D4Y3).
  14. Cette "doctrine" a pas mal de points communs avec l'attitude américaine après le retrait du Viêt-nam : déploiements limités pour éviter tout enlisement (cf. Salvador 1980s, déploiement d'instructeurs militaires limité par le Congrès à 55 personnels), action en coulisse (aide logistique à Kolwézi)... Pour les drones en opérations d'élimination, on a des prémices assez sympa en 2001-2002 (tentative sur Hekmatyar, une frappe au Yémen). Pour les attaques informatiques, c'est secret, mais il paraît qu'il y avait déjà des ordinateurs Vax qui déconnaient quand les Soviets se les procuraient illégalement dans les années 80. Les opés de sabotage de matériel pour lutter contre la prolifération est un classique. Plutôt qu'une stratégie, c'est une utilisation à grande échelle de moyens existants pour palier à un manque d'entrain à faire de grandes opex.
  15. Je m'interroge sur la sélection (s'il y en a une) de lectures. Est-ce que vous consultez d'autres commentaires ou les notes sur Amazon ? Est-ce que vous choisissez délibérément des livres ayant de tels défauts ? Personnellement je recherche des avis, je regarde des extraits quand c'est possible (Amazon et Google Books) avant d'acheter.
  16. Hé bien, faut-il croire à la vision d'Oliver Stone selon laquelle cela aurait amorcé un retrait du Viêt-nam et qu'on aurait évité l'escalade de 1964-65 ? En revanche, les tentatives de liquider Castro auraient probablement continué plus longtemps.
  17. Rob1

    Helices ou réacteur?

    COIN * = Counterinsurgency (contre-insurrection) CAS = Close Air Support (appui aérien rapproché) * : je me demande comment les anglophones prononcent cela... co-ïne ?
  18. Rob1

    ECHELON

    Tiens, coïncidence, je viens d'apprendre que les États-Unis ont annoncé la fermeture prochaine de leurs deux principales stations terrestres d'interceptions de communications satellitaires, Yakima (État de Washington) et Sugar Grove (Virginie occidentale). La station de Yakima, officiellement appelée Yakima Research Station ("station de recherche") a été ouverte en 1971, dans un camp d'entraînement de l'US Army dans le Nord-Ouest des USA. Au départ elle était équipée d'une unique parabole qui écoutait les communications passant par les satellites Intelsat de 1ère génération en orbite au-dessus de l'Océan Pacifique. Le site de Sugar Grove, situé sur l'autre côte des États-Unis, n'a été développé qu'à la fin des années 70 pour faire face à l'introduction d'une nouvelle génération de satellites Intelsat, mais ses liens avec le renseignement électromagnétique remontent au milieu des années 50, lorsque la Navy avait compté y construire un radio-télescope destiné à intercepter les signaux soviétiques réfléchis par la Lune, puis en y construisant en 1962 deux antennes circulaires AN/FRD-10 pour en faire une station de communications (les FRD-10 sont généralement utilisées pour faire de la radiogoniométrie mais celles de Sugar Grove étaient dépourvues de l'équipement idoine). Les satellites Intelsat génération 4A et 5 innovaient en utilisant des faisceaux directionnels, alors que les générations précédentes "arrosaient" tout l'hémisphère dans leur champ de vision. Conséquence, alors qu'auparavant une seule station suffisait à intercepter l'intégralité des communications satellitaires passant par un de ces satellites (Yakima pour le Pacifique, et Morwenstow en Grande-Bretagne pour les Océans Atlantique et Indien), il fallait désormais avoir une station de chaque côté des océans pour intercepter les communications transmises par les faisceaux directionnels. Morwenstow pouvait toujours intercepter les communications émises vers l'est de l'Atlantique, mais pour celles émises vers l'Amérique, une nouvelle station était nécessaire. Sugar Grove était idéalement placée pour cela, à moins de 100 km de la station terrestre de réception satellitaire d'Etam, donc en plein dans la zone du faisceau. Sugar Grove devint opérationnelle en 1980. Depuis, plus de trois décennies sont passées, qui ont vu les volumes de communications internationales exploser - mais aussi le développement des câbles sous-marins à fibre optiques comme alternative de plus en plus rentable aux satellites. En 2001, selon un officiel de la NSA, seulement 1 % des communications mondiales passaient par satellite - et en majorité il s'agissait de communications américaines. Les cibles ont totalement changées, et obtenir les accès nécessaires aux réseaux fibrés a dû être une des principales préoccupation de la NSA et de ses homologues. La fermeture annoncée des deux principales stations d'interception satellitaires américaines marque sans doute la fin d'une ère technologique.
  19. mais quels boulets... en plus, l'essentiel de la page était en ligne depuis 2009 et plus rien n'y bougeait depuis juillet 2012.
  20. Rob1

    ECHELON

    Tiens, ce fil m’avait échappé... je sais que c’est du déterrage que je fais, mais je n’arrive pas à me retenir là. Déjà l’éthique et la légalité sont deux choses différentes. Or la plupart des opérations de ROEM (renseignement d’origine électromagnétique) sont effectuées depuis le propre territoire du pays espionnant, ou l’espace, ce qui est parfaitement légal. Quant à l’éthique, je me demande bien quel code d’éthique empêcherait la DGSE à se livrer à des écoutes à but économique alors qu’elle s’est fait choper à recruter des espions chez Texas Instruments et IBM. Et pour ce qui est des pratiques américaines, les publications anti-Echelon sont curieusement aveugles sur la séparation formellement bien établie entre public et privé aux États-Unis. CIA et NSA ne peuvent faire de l’espionnage économique qu’à but défensif: repérer si des entreprises étrangères recourent à la corruption, à l’espionnage industriel, ou présentant des risques de proliférations d'armements. Elles ne manquent en revanche pas de renseigner leur gouvernement dans le cadre des négociations internationales d’Etat à Etat, comme lors du GATT ou des accords avec le Japon sur les droits de douanes. Allez voir les exemples cités à propos d’Echelon dans les rapports du Parlement Européen : Airbus en Arabie saoudite et Thomson-CSF au Brésil ne se sont pas fait doubler parce que leurs concurrents auraient ajusté leurs prix, mais bien parce que les USA ont mis les gouvernements locaux face à leurs preuves que certains hauts responsables acceptaient des dessous-de-table. J’ajoute par ailleurs que le seul pays ayant à ma connaissance instauré des protections de la vie privée de ses citoyens dans ses SR extérieurs est les Etats-Unis.
  21. Il parle de l'argent qui revient dans des achats ou contrats avec des entreprises françaises. Ce qui n'exclut pas le reste. Donnée qui m'avait fait bondir dans cet atlas : la somme de l'aide au développement par habitant donnée à l'Afrique (comptée depuis que l'aide existe) est trois fois supérieure à la moyenne d'aide au développement du tiers-monde... et l'écart de développement de l'Afrique et du reste du tiers-monde augmente :O
  22. Selon l'Atlas de l'Afrique de Stephen Smith, 60% des fonds de développement donnés aux pays africains reviennent dans les poches françaises.
  23. C'est ce qu'il y a de bien avec les Américains, les noms sont très standardisés et assez logiques. En France ils sont sans doute logiques, mais où chaque constructeur fait sa sauce dans son coin. Le système de l'Air Force est très intuitif. Une lettre pour un rôle, suivi d'un numéro attribué au fur et à mesure, le seul aspect aléatoire est que certains appareils connaissent un grand succès et deviennent célèbres (P-47, P-51), et d'autres non. Pour la marine américaine, on a une lettre ou deux qui indiquent le fonction au début : F = chasseur, SB = Scout Bomber (reconnaissance-bombardement), TB = Torpedo Bomber (bombardier torpilleur), PB = Patrol Bomber. A la fin, on a une lettre qui indique le constructeur : F = Grumman, Y = Consolidated, M = Eastern Aircraft (division de General Motors), U pour Vought. Et entre les deux, un nombre attribué dans l'ordre. A noter qu'on ne met pas le 1. Donc le FF est le premier chasseur construit par Grumman acheté par l'US Navy, le F2F est le deuxième, le F3F est le troisième etc. C'est assez simple une fois qu'on a compris le truc. Mais le système n'est pas aussi intuitif que celui de l'USAF et qu'on peut s'emmêler les pinceaux entre F4F et F4U qui sont deux avions différents. Et inversement, les TBM sont des TBF Avenger construits par Eastern Aircraft, et les FG sont des F4U Corsair sous-traités à Goodyear.
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