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Rob1

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Tout ce qui a été posté par Rob1

  1. Rob1

    Le F-35

    Réduction du taux de virage soutenu, et augmentation du temps pour accélérer de mach 0,8 à mach 1,2. Pour les trois variantes. Turn performance for the US Air Force's F-35A was reduced from 5.3 sustained g's to 4.6 sustained g's. The F-35B had its sustained g's cut from five to 4.5 g's, while the US Navy variant had its turn performance truncated from 5.1 to five sustained g's. Acceleration times from Mach 0.8 to Mach 1.2 were extended by eight seconds, 16 seconds and 43 seconds for the A, B and C-models respectively.
  2. Suite au message de Mat dans le sujet Mali : ça m'a fait me demander... Il n'y a aucune base britannique en Afrique ? Pas forcément dans le même coin, mais dans des pays comme le Kenya... ? Plus largement, alors qu'on a une histoire coloniale parallèle à celle des Britanniques en Afrique, je n'ai pas entendu parler d'OPEX de la British Army (sauf leur intervention en Sierra Leone). Ont-il fait des OPEX en Afrique comparables aux notres depuis la décolonisation ? Notamment des OPEX bilatérales hors intervention multinationale pendant la guerre froide (comme nous, en fait, au Tchad par ex.) ? Leur posture est-elle très différente de la notre ? Quelles différences, et pourquoi ? =|
  3. Rob1

    Le F-35

    Ne pas oublier non plus qu'au Viêt Nam, les Américains débarquent avec une doctrine BVR jamais testée, et qu'ils doivent prendre en compte des paramètres encore inconnus : - la difficulté à identifier qui impose souvent une ID visuelle - les missiles au pourcentage de réussite minable (certes surestimé par la doctrine, mais qui tient en partie aussi au stockage et à la formation des pilotes... les Iraniens diront avoir un pourcentage de coups au but deux fois supérieurs à l'US Navy avec les mêmes variantes du Sparrow) Or depuis, on a vu les deux tiers des victoires du Golfe se faire au Sparrow, et toutes celles depuis (NFZ Irak, ex-Yougo, Kosovo) à l'AMRAAM. Les F-15E et F-16 n'ont semble-t-il eu aucun engagement aérien dans le Golfe, ce qui montre l'efficacité des escortes de F-15C. Or les F-35 américains auront des F-22 en couverture.
  4. Un guide de référence du renseignement militaire américain : http://info.publicintelligence.net/USArmy-IntelReference.pdf (attention, il pèse son poids... 97 Mo ça peut être lourd à charger/ouvrir). Je le poste ici parce qu'il comprend une liste des moyens ISR aériens à partir de la page 222, dont certains sont plutôt discrets : RC-7, Desert Owl, Constant Hawk, MARSS/ARMS, Redridge II, Highlighter, Night Eagle, E-MARSS. Le MARS a des appareils photos qui semblent de la plus haute résolution dispo vu le langage employé et les contraintes (images fixes)... 21 mégapixels.
  5. Ajoute "latino-américains" et qu'ils sont face à une gonzesse... :-X
  6. « L’objectif est détruit » est la phrase lancée par le pilote du Su-15 qui a abattu le Boeing 747 sud-coréen du vol KAL 007 en 1983. C’est un titre doublement approprié puisque cette phrase, interceptée par les postes d’écoutes américains et japonais, fut l’une des principales preuves rendues publiques par l’administration Reagan dans les jours qui suivirent. Le sous-titre dit « ce qui est réellement arrivé au vol 007 et ce que l’Amérique savait à son sujet ». En fait, l’ordre des priorités de cette enquête journalistique est plutôt l’inverse. Le livre est découpé en cinq parties : la scène, le renseignement, la politique, le vol, les suites. « La scène » comprend un chapitre sur le vol Korean 902, abattu en 1978, et un chapitre sur un exercice massif de la marine américaine en avril 1983, qui vit notamment l’île de Zelenny (Kouriles) être survolée par des chasseurs de l’US Navy. Les Kouriles sont occupées par l’URSS depuis 1945, mais revendiquées par le Japon, soutenu par les USA. En conséquence, les Américains ne purent ni s’excuser d’avoir violé un espace aérien soviétique (puisqu’ils ne le reconnaissent pas), ni le justifier (visiblement une gaffe venue d’un niveau intermédiaire). La DA soviétique d’Extrême-Orient fut placée en alerte renforcée. Ambiance… « Le renseignement » commence par un chapitre sur le RC-135 qui orbitait à l’est du Kamtchatka peu avant que le vol 007 n’y passe. Il ne s’agissait pas d’un Rivet Joint d’écoute électronique, mais d’un Cobra Ball, variante équipée de télescopes infrarouges pour repérer les ogives de missiles. Cette nuit-là, il avait été envoyé dans l’anticipation d’un test de SS-X-25 tiré de Plesetsk qui devait retomber sur le Kamchatka. Le test n’eut pas lieu en fin de compte et le Cobra Ball rentra à Shemya sans rien avoir remarqué de notable. Les chapitres suivants de cette partie, eux, parlent de l’interception des communications de la défense aérienne (DA) soviétique pendant le survol – et la fin – du vol 007. Seymour Hersh retrace tout le processus, et c’est là le gros intérêt du livre. Hersh fait comprendre en toute simplicité à quoi servent les stations d’écoute de Misawa AB et Wakkanai, comment elles fonctionnent et pourquoi. Sa description est telle que j’avais l’impression d’être dans la salle de contrôle quand les opérateurs essayaient de comprendre ce que signifiaient les communications interceptées. Les difficultés de l’analyse sont très bien expliquées : comme les opérateurs d’écoute entendent régulièrement des exercices de la DA soviétique, ils pensent d’abord que l’activité autour du KAL 007 était un exercice… ils n’avaient aucun moyen de savoir que l’objectif dont parlaient les stations radar russes était réel ! Les communications des chasseurs vers le sol sont interceptées à Wakkanai, mais pas celles du sol vers les chasseurs ; Misawa ne dispose pas de toutes les interceptions ; et encore faut-il les transcrire et les traduire. Ce n’est que quand le JT signalera qu’un avion de ligne est disparu que les Américains feront le lien, et même à ce moment, les messages CRITIC envoyés par Misawa seront annulés par la NSA, estimant qu’ils sont trop spéculatifs. Au total, il s’écoulera une douzaine d’heures avant que la communauté du renseignement ne conclue que le vol a bien été abattu. Hersh aborde brièvement les théories du complot qui entourent l’affaire, et explique pourquoi il ne suit pas cette voie : - Il n’a trouvé aucun indice suggérant que les services de renseignement s’attendaient au vol 007. (Une station a même totalement négligé de rapporter l’activité de la DA du Kamchatka lors du premier survol.) - Si la DA soviétique avait fonctionné correctement, le Boeing aurait été intercepté avant qu’il n’atteigne le Kamtchatka, et la mission d’espionnage finissait avant même de commencer. - Les Américains ne violaient plus l’espace aérien soviétique depuis les années 60, suite à l’apparition du renseignement satellitaire. (Pour être encore plus précis, les derniers survols connus de l’URSS remontent à 1960.) Au passage, dans sa bibliographie il présente les livres soutenant ces thèses (ceux de Clubb, Dallin, R. W. Johnson et Jeffrey St. John), estime que leurs auteurs n’ont fait aucun effort visible pour interviewer les personnes impliquées, et qu’ils ont pris pour argent comptant ce qui fut publié à chaud dans les journaux – surtout si cela allait dans leur sens. « La politique » suit divers aspects. D’abord l’annonce de la tragédie par le secrétaire d’Etat George Shultz. Celui-ci pensa que le chasseur soviétique avait forcément dû identifier l’avion comme un 747, puisque une des communications disait « je suis parallèle à l’objectif ». L’implication étant que les Soviétiques avaient abattu un avion de ligne en tout connaissance de cause, ce qui fut pris par Shultz (et le public) comme une monstruosité – que seule l’URSS pouvait commettre. Ensuite, les dissensions qu’il y eut entre estimations de renseignement, notamment l’Air Force qui fit une analyse bien plus précise, comprenant comment le 747 aurait pu être confondu avec le RC-135 (piste initialement exclue par les autres services), mais qui ne sera pas prise au sérieux initialement. En fait, le Su-15 volait parallèlement au 747 mais en-dessous, d’où il n’était pas évident de le distinguer d’un C-135. Et surtout, le plus important est ce qui ne figure pas dans les interceptions : à aucun moment le pilote n’a rapporté au contrôle que l’avion était civil. Les services de renseignement se rallieront finalement à la thèse de l’USAF, mais pas avant plusieurs jours (cela dit, Robert Gates dans From the Shadows dit que cette conclusion figurait dans le President’s Daily Brief dès le 2 septembre). A ce moment-là, l’opinion du public était faite depuis longtemps, et l’URSS s’était discréditée à la fois par son action et par sa communication totalement à la ramasse. Mais Shultz et compagnie ne revinrent jamais publiquement sur leurs déclarations initiales, et l’entourage de Reagan fit barrage le temps que la question disparaisse. Autre point de contentieux, la seule mention de tirs de sommations par le pilote ne fut comprise que lors d’un réexamen des enregistrements le 11 septembre, et c’est apparemment la seule preuve de sommations qu’aient eu les Américains. Cette partie du livre aborde également les relations avec le Japon, dont les USA tordirent pratiquement le bras pour publier ses enregistrements qui étaient de meilleure qualité. La partie « le vol » est une reconstitution qui déroule en parallèle le vol et les conclusions du renseignement américain. Le livre datant de 1986, cette reconstitution est dépassée du fait des témoignages apparus et de la restitution des boîtes noires après la chute de l’URSS. D’autant qu’elle se base sur un scénario de plusieurs erreurs d’interaction avec l’INS, alors que le pilote automatique n’est pas passé sur l’INS et est resté sur un cap magnétique constant (du moins selon la série Mayday / Air Crash Investigation, je n’ai pas lu les rapports de l’OACI). Reste que cela a été fait avec sérieux et qu’il y a des infos intéressantes (le VOR d’Anchorage hors service, la probable absence du pilote du cockpit pendant l’essentiel du vol). Par contre la synthèse côté renseignement va sans doute rester la référence sur le sujet jusqu’à une plus grande ouverture des archives de la NSA. Le service d’écoute de l’Air Force a conclu que l’écho radar du 747 avait été pris pour le Cobra Ball revenant patrouiller. La NSA, au contraire, conclut que les deux avions ont été suivis au radar simultanément, et que la DA a simplement pensé que le KAL était un Rivet Joint venant d’Alaska. Dans les deux cas, la DA du Kamchatka s’attendait à ce qu’il orbite tranquillement dans l’espace international, et a été totalement surprise par le fait qu’il continue tout droit. Cela explique en partie son échec à l’intercepter, et elle se serait abstenue de rapporter ce fiasco à ses supérieurs. A Sakhaline, par contre, la trajectoire venant du nord-est était inhabituelle, et le Su-15 était au contact onze minutes avant que l’avion ne survole l’île. Le centre régional de Khabarovsk a contacté Moscou pour obtenir un ordre, mais il n’est pas clair si c’est de là qu’est venu l’ordre de tirer. Un message de Khabarovsk a rappelé à Sakhaline qu’ils devaient identifier visuellement l’objectif. Un changement d’altitude du 747 à ce moment a été pris pour une tentative d’évasive et ça a scellé son sort. (Bizarrement, il semble qu’alors on ne savait pas que le Boeing venait juste de regagner les eaux internationales quand il a été abattu, alors qu’il est fait référence à un radar japonais à Wakkanai qui a suivi l’affaire.) « Les suites » : deux officiers de Sakhaline furent relevés de leur commandement, sans doute pour ne pas avoir empêché le survol de leur territoire (mais pas pour l’avoir abattu, vu comme le Politburo crut dur comme fer que c’était un coup tordu US). L’officier de Khabarovsk qui avait rappelé les règles d’engagement (visiblement violées par ses subordonnés) fut le seul à s’en tirer. La DA d’Extrême-Orient fut lourdement réorganisée, mais il n’y eut pas de limogeage d’officiers supérieurs. Fait peu connu, le premier ministre canadien Pierre Trudeau, correctement informé (la NSA partageant ses renseignements avec les services canadiens) a tenté de calmer le jeu en disant publiquement que les Soviétiques s’étaient trompés, et en se lançant dans une initiative pour apaiser les tensions internationales (qui n’a pas donné grand-chose). Hersh explique pourquoi il a écrit ce livre : dénoncer le mauvais usage du renseignement par l’administration Reagan dans cette affaire (on sent que pas mal de ses sources l’ont informé parce qu’elles étaient furieuses). Il estime que les professionnels du renseignement, notamment le directeur de la NSA, ont laissé faire l’administration sans chercher à faire valoir la vérité. Selon moi c’est un livre intéressant à deux titres. D’abord, c’est une excellente « étude de cas » sur le renseignement, notamment qui fait comprendre intimement le fonctionnement du renseignement électromagnétique (Hersh est excellent sur le sujet, et pas seulement dans ce livre, contrairement aux descriptions lambda de la NSA trop portées à la démesure), et la connexion entre renseignement et politique. Ensuite, c’est le seul bon livre sur l’affaire. Certes il n’est pas exhaustif (dommage qu’il n’ait pas été mis à jour en 1993), mais c’est ce qui s’en approche le plus. --------------- Seymour M. Hersh, “The Target Is Destroyed” : What Really Happened to Flight 007 and What America Knew About It, New York, Random House, 1986, 282 p. (ISBN 0-394-54261-4) Format hardback américain comme je les aime, avec un index, et une carte très bien faite sur une double-page. Pas de cahier photo. Réédité en format poche chez Vintage, 1987 (ISBN 0-394-75527-8 ). Je crois me souvenir que la carte est absente de l’édition poche, mais elle est partiellement reproduite sur la couverture.
  7. "Fonctionnaires" au lieu de "militaires" ? Ca ne me donne pas envie d'acheter l'article.
  8. Rob1

    Armes thermobariques

    Effectivement, la roquette SMAW-NE (Novel Explosive) pour le lanceur Mk 153 SMAW (Shoulder-launched Multipurpose Assault Weapon).
  9. Rob1

    Armes thermobariques

    Il me semble que les Américains ont pourtant un lance-roquettes à munitions thermobariques (SMAW ou SRAW ?)
  10. Rob1

    Armes thermobariques

    Deux autres liens intéressants : http://www.checkpoint-online.ch/CheckPoint/Materiel/Mat0021-ArmesThermobariques.html http://www.checkpoint-online.ch/CheckPoint/Materiel/Mat0022-ArmesThermobariques.html L'effet de souffle est en effet un des aspects majeurs de ces armes (d'où le "barique" de thermobarique). Ce souffle est redoutable en milieu confiné, mais a une zone d'effets limitée en extérieur. C'est à la fois une arme redoutable pour "nettoyer" un batiment, et qui a une zone de dangerosité réduite en milieu ouvert (par l'absence d'éclats), ce qui permet de l'utiliser sur un objectif lors d'un assaut malgré la proximité de troupes amies.
  11. Rob1

    POM dans un paquebot

    Ah ? Tu peux donner un lien stp ? ;)
  12. La seule chose que je sais, c'est que Martinet parle de 10 personnes dans sa "promo" au CPES, aucune venant du CPIS. Par contre un du 1er RPIMa et un du 13, quand même... et un administratif du CPES qui passe du côté obscur.
  13. Rob1

    FNH SCAR

    Moi non plus : http://www.france2.fr/jt/20h/, c'est au JT de dimanche 27 ;) Sinon j'avais vu un peu de Multicam lors d'autres reportages sur le Mali. Mais pas avant. EDIT : ah ben j'avais raté un truc : http://www.air-defense.net/forum/index.php/topic,4797.msg671215.html#msg671215 Ben ca m'a l'air d'être la solution la plus évidente... non ? :-[
  14. Rob1

    Air quiz

    J'hésite sur la version exacte, car le canon en tourelle ne semble avoir été utilisé que sur deux proto YOV-10D au Viêt Nam, alors que le FLIR rond et les Hellfire semblent plus récents ... Je pense que c'est une démo du canon sur un OV-10D, mais qui ne fut pas acheté pour les OV-10D "de série" des Marines.
  15. Rob1

    FNH SCAR

    Il y a quelques jours, le gars qui dit à un général malien "la ville est à vous" au JT, il me semble qu'il est totalement en MC ;)
  16. Rob1

    FNH SCAR

    Non, le Multicam c'est le camouflage porté par les deux gars sur ma photo (quoique celui du gauche n'est pas de la même qualité que celui de droite :O). C'est le dernier camouflage à la mode, et nos FS (forces spéciales) commencent à être vues avec. Compagnie de commandement et transmissions des forces spéciales. Le HMAR est un dérivé du SCAR pour jouer le rôle de fusil-mitrailleur ou mitrailleuse légère. Chargeur plus gros, canon plus lourd (pour mieux supporter l'échauffement).
  17. Rob1

    FNH SCAR

    Personnel CCTFS lors de l'exercice Tarentule :
  18. Rob1

    Air quiz

    OV-10 Bronco. Version OV-10D, la plus aboutie =D
  19. Ca n'a pas été démenti ça ? En 2003, les Américains ont parachuté la 173e brigade qui fut parachutée dans le nord de l'Irak et envoyé des dizaines d'équipes de forces spéciales dans l'ouest, avec pour résultat que les Irakiens ont cru que Bagdad serait attaquée de tous les côtés... Apparemment une belle légende urbaine. Sans doute des bombes en bois (factices) allemandes pour décorer le faux aéroport qui ont été soufflées lors d'un (vrai) bombardement anglais.
  20. Le T-72 semble avoir été longtemps une cible prioritaire du renseignement américain. Robert Baer raconte ça dans sa biographie lorsqu'il est affecté en Inde à la fin des années 70, ainsi que les idées de son boss : tenter de corrompre un conducteur de T-72 indien pour qu'il fasse défection avec son char, ou prendre un échantillon du blindage avec une perceuse dans un arsenal indien... Baer dit s’être procuré des manuels des T-72. L'armée aurait établi des contacts avec l'Irak au début des années 80 en espérant obtenir un T-72 en échange d'armes. Il semble aussi que Oliver North ait tenté d'obtenir la même chose de l'Iran (tank capturé) quelques années plus tard dans l'affaire de l'Irangate. En 1987 le NYT rapporte que la CIA aurait réussi à obtenir plusieurs T-72 : http://www.nytimes.com/1987/03/13/world/us-has-acquired-soviet-t-72-tanks.html. Allez savoir le pays d'origine... Après, le T-72 méritait-il autant d'attention par rapport au T-64 ou au T-80...
  21. Il était plus que temps d'y consacrer un topic, n'est-ce pas ? ;) J'ai récemment fini les épisodes 17-18 où, début 1943, la Marine Impériale Japonaise s'en prend aux bases des Indes Britanniques. Non seulement ça nous promet de belles batailles, mais surtout, je me disais : "chouette, on sort du replay de combats historiques, Kawaguchi défie enfin le destin !" Et bien en fait... non ! :-[ Je viens de découvrir que peu avant la bataille de Midway, l'amiral Nagumo était déjà allé faire une petite balade dans l'océan Indien : http://en.wikipedia.org/wiki/Indian_Ocean_raid. Balade qui a alors contraint l'armée britannique à renoncer à contrôler l'océan, apparemment. Reste que cette opération avait été menée avec de gros moyens. A en croire le Wiki anglais, cinq porte-avions d'escadre Shokaku, Zuikaku, Akagi, Hiryu, Soryu, et le porte-avions léger Ryujo (tiens l'Akagi sans le Kaga... les Japonais ne sont pas aussi psychorigides que je croyais). Alors que dans Zipang, ce trouillard d'amiral Koga a fortement réduit la force disponible à deux PA d'escadre (le Junyo et le Hiyo... pas les meilleurs je présume) et trois PA légers.
  22. Rob1

    Le JSF menacé au Canada !!!!

    Faut dire aussi que le Hornet était censé remplacer des A-7 Corsair II et des F-4... alors que le Super-Hornet a été fait pour remplacer les A-6 Intruder. Pas besoins d'autant de maniabilité, d'accélération... par contre, besoin de nettement plus d'autonomie et d'emports de charge.
  23. Rob1

    Air quiz

    Pour info, son vrai nom de code OTAN c'est "Charger", "Concordsky" n'est qu'un surnom ;)
  24. Au fait, est-ce qu'on sait si le livre de de Gaulle a été lu par des Allemands ?
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