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Rob1

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Tout ce qui a été posté par Rob1

  1. J'ai fait quelques recherches pour un topic "traduction", mais il ne semble pas qu'il y a ait de topic général pour ca... alors je créé celui-ci J'essaie de relire la page Wiki sur les combats de Mogadiscio de 1993, et j'ai du mal à trouver des termes corrects pour traduire certains termes : overrun = se dit d'une unité qui est battue, "débordée" par l'ennemi, mais comment dire pour un groupe de gars qui se défend autour d'une épave ? crew chief = c'est un personnel navigant en cabine d'hélico, qui fait notamment office de door-gunneur. Quel est le terme dans l'armée française ?
  2. C'est un PI2G et non le GIGN (d'où les SIG 2022). Pour le SCAR, il a été dit sur les forums que ce n'était "que pour les photos" (MP.net)
  3. @ Philippe : en haut GIGN, en bas RAID ?
  4. Si si, dans des POMLT (Police - Operational Mentor and Liaison Team), des unités qui forment la police afghane ;)
  5. Rob1

    Système FELIN

    Ils sont marrants les journalistes de l'adt : "limitant au maximum les risques de percuter la planète". Bizarre, j'avais l'impression qu'en parachute, on a toujours 100% de chances de percuter la planète. :P
  6. Depuis le début d'une séquence de tir, lorsque les Talibans sont encore "intacts" : deux rafale de 30 mm, on trouve que la 2ème est de trop, mais une volée de 155, je doute qu'on dira que le dernier obus serait de trop. Pourtant laquelle de ces armes est la plus discriminante/"chirurgicale" ? Pourtant je ne suis aucunement fan des crimes de guerre, mais avant d'en faire un crime, il faut un minimum être en prise avec la réalité.
  7. Les Stormtroopers, ce n'est plus ce que c'était :
  8. On a bien vu la même vidéo. Je le répète, au combat on ne fonctionne pas sur un principe de légitime défense. L'aviation et l'artillerie frappe des ennemis même s'ils ne représentent pas une menace directe. Dans combien de conflits a-t-on continué à attaquer une armée en retraite ? C'est ton avis, mais là le mien diffère. A chaque fois des non-combattants. Est-ce qu'il y a eu des types condamnés pour avoir employé une force excessive contre des combattants ennemis ? Sans violations d'autres articles type discrimination civil/combattant, respect de la croix rouge etc. Tout combattant ennemi qui n'est pas un mort ou un prisonnier est potentiellement une menace, et donc potentiellement une cible légitime. Surtout dans un conflit COIN où l'ennemi est difficile à saisir, et à l'heure des jusqu'auboutistes et autres kamikazes. Après, je ne dis pas que c'est juste, humanitaire ou quoique ce soit, mais c'est une attitude logique et légale pour un gars qui défend sa peau et celle de ses camarades.
  9. Mouarf... est-ce quelqu'un a déjà été condamné pour l'usage disproportionné de la force ? Ca m'a l'air inapplicable cette règle. Par exemple, si en l'absence d'hélicos, c'avait été l'artillerie qui aurait été utilisée, du genre une bonne séquence de tir de 105 ou 155 : force beaucoup plus forte et moins discriminante, pas sûr que le sort des Talibans serait meilleur, et pourtant il ne viendrait pas à l'esprit d'accuser les artilleurs ou l'officier qui l'a demandé d'emploi disproportionné de la force. Si les combats à la guerre fonctionnaient sur un principe de légitime défense individuel, les appuis seraient interdits. A partir d'un moment où un adversaire est sur le terrain et pas "proprement" immobile les bras en l'air, j'ai du mal à croire qu'on puisse faire des règles qui empêche de le tuer.
  10. J'avoue que là... je serais inquiet en voyant une voiture de police dans mon rétro là :-[
  11. Rob1

    Weapons Quiz

    Bulldog 762 de Short Rifle Stock Systems Inc. (SRSS) pour le M14 bullpupisé. Delta ? Le mec se balade en shirt... Ca ne m'étonnerait pas que ce soit un SF ou SEAL régulier en patrouille.
  12. Et le rayon de létalité c'est défini comment ? C'est 100% de mortalité dans le rayon, ou 50% ?
  13. Rob1

    RIMPAC 2012

    Les hélicos sont bipales... ce ne sont donc pas les dernières versions a priori mais de vieux AH-1W et UH-1N. J'ignorais qu'il y en avait encore en service :O
  14. Peut-être, peut-être pas. Je pense que fondamentalement, les soldats préfèreront de loin augmenter de 1% leurs chances de survie (et celles de leurs camarades) dans l'immédiat plutôt que d'augmenter de 50% celle de faire des prisonniers. En tout cas, c'est une explication qui me convainc bien mieux qu'un mot d'ordre "pas de prisonniers".
  15. D'un autre côté, le gars s'enfuit... quézaco si c'est pour revenir au combat 15 minutes plus tard ? Que penserait le pilote s'il laissait s'enfuire un NMI et qu'un peu plus tard des GIs au sol se font tuer par le gars auquel ils ont laissé une chance un peu plus tôt ? On est dans un conflit contre-insurrectionnel où les insurgés font tout pour être insaisissables, ici ils se sont fait prendre, je doute qu'ils se plaignent que c'est pas du jeu. Je ne me fait pas l'avocat du diable, hein, et je ne dis pas qu'ils ont totalement raison, mais je n'ai pas non plus entendu parler de cas où des talibans sont restés sagement les mains en l'air parce qu'un hélico les avait repérés.
  16. Est-ce que les moteurs sont tous allumés au départ ? (7 à carbu liquide + les 6 boosters). Si oui, ca doit être que tu as dû oublier de mettre la manette des "gaz" à fond.
  17. Rob1

    Helo quiz

    Le deuxième un Sikorsky S-67 Blackhawk, proto d'appareil d'attaque. (Ca en fait, des protos d'hélicos d'attaque pour l'époque où seuls des Cobra ont été mis en service)
  18. Mauvaise syntaxe, mais il suffit de mettre la souris dessus et recopier l'adresse sans les guillemets. Ou simplement : http://tinyurl.com/6osxnc4
  19. Contre les vagues de centaines de bombardiers rouges. Et ca "compensait" le manque d'efficacité du guidage, aussi.
  20. Rob1

    Photos SNA et SNLE

    L'hélice et la coque ne doivent quand même pas avoir des profils super sur un engin de conception aussi ancienne :|
  21. Rob1

    Le F-35

    Faire une différence de 3 ms alors que la persistence rétinienne est d'environ 50 ms ? O0
  22. La Special Activities Division de la CIA, quant à elle, est beaucoup plus ancienne puisqu’on peut remonter à l’Office of Policy Coordination (OPC) créé en 1948 comme ancêtre direct, constituant la première expérience américaine en matière de service d’opérations clandestines permanent de temps de paix. En 1952, l’OPC est fusionné avec l’Office of Special Operations (OSO, en fait service de renseignement) pour former le Directorate of Plans de la CIA, qui sera renommé en Directorate of Operations (DO) en 1973 et enfin National Clandestine Service (NCS) en 2005. Le DP/DO/NCS combine donc à la fois les tâches de renseignement et d’action clandestine. Il semble toujours avoir été organisé en un certain nombre de divisions (Amérique Latine, Europe de l’Ouest, Bloc soviétique etc.) elles-mêmes divisées en stations (généralement une par pays, établies dans l’ambassade US du pays concerné, et éventuellement des bases plus petites autour). Parallèlement à ces divisions géographiques, coexiste une division spécialisée dans l’action clandestine, qui a porté une ribambelle de noms au cours de son histoire (Covert Action Staff, International Activities Division, Special Activities Staff, Military and Special Programs Division, et enfin Special Activities Division). C’est là que se gèrent les « blacks ops » de la CIA. Mais quelles sont-elles ? La réponse est assez facile, le législateur américain ayant tenu à définir ce qu’était une « Covert Action » dans le Titre 50 de l’United States Code : « une activité ou des activités du gouvernement des États-Unis pour influencer des conditions politiques, économiques ou militaires à l'étranger, où il est prévu que le rôle US ne soit pas apparent ou reconnu publiquement », mais (le législateur américain ayant un goût pour tartiner des pages entières, je résume) qui ne comprend pas les activités de collecte de renseignement, les activités traditionnelles de diplomatie, de défense et de police. Bref, l’important dans la définition est la dimension politique/relations internationales. Ces actions peuvent être très diverses, allant du simple financement secret d’un syndicat au coup d’état ou à l’assassinat de leaders étrangers (ce dernier cas, le plus célèbre, étant quand même assez rare malgré l’image qui colle à la peau de la CIA : cinq tentatives et aucune réussite sur la période 1947-1975). Dimension politique qui fait que le Congrès a tenu à y mettre un mécanisme de contrôle quand les actions de la CIA ont été dévoilées au milieu des années 70. Parmi ce mécanisme, le principal est le finding, un décret présidentiel par lequel le président détermine (find) que l’action est nécessaire pour soutenir des objectifs de politique étrangère identifiés, et est importante pour la sécurité des Etats-Unis. Le finding doit être sous forme écrite, doit spécifier tout département ou agence autre que la CIA participant significativement à l’action, et spécifier les éventuelles parties tierces participant à l’opération. Les comités du Congrès sur le renseignement doivent être informés des covert operations en cours (il existe des possibilités de ne prévenir qu’un nombre réduit de leurs membres, voire de n’informer les législateurs que rétroactivement). Au cours de son histoire, le service d’actions clandestines de la CIA a ainsi tenté d’influer sur les élections d’après-guerre en France et en Italie, constitué des réseaux stay-behind en cas d’invasion soviétique, renversé les gouvernements guatémaltèque et iranien, a échoué à faire de même à Cuba, soutenu des rébellions au Tibet et en Indonésie, « tenu » le Laos pendant des années en n'y engageant que quelques dizaines d’hommes, participé à la défaite de la guérilla de Che Guevara en Bolivie, et tenté de contrecarrer le candidat Salvador Allende au Chili lors des élections de 1964 et 1970 (en revanche, son renversement par Pinochet ne semble pas avoir fait l’objet d’un soutien de l’Agence). Après une pause lors de la médiatisation des squelettes dans les placards au milieu des années 70, les actions clandestines reprirent dès 1977 sous Carter pour faire contre-pied aux actions similaires soviétiques, en autorisant une campagne d’infiltration en URSS de livres écrits par des dissidents. C’est également Carter qui commença en 1979 une action de soutien aux moudjahidines afghans. Avec la fin de la détente et l’arrivée de Reagan au pouvoir, ces actions se multiplièrent, du financement de Solidarnosc à hauteur d’une cinquantaine de millions de dollars en passant par la confrontation systématique de l’URSS et ses alliés dans les zones de conflit (Nicaragua, Salvador, Honduras, Angola, Soudan, Éthiopie, Tchad, Tchad, Yémen, Afghanistan, Cambodge, etc.). Plus discrets, l’arrêt du programme nucléaire secret taïwanais en 1987, et l’exfiltration de dissidents chinois suite à la répression de la place Tian An Men. D’un point de vue pratique, les actions de la SAD se font en coopération avec la division géographique concernée, mélangeant ainsi deux divisions de même rang hiérarchique sur une opération. La division géographique apporte sa connaissance de l’environnement et ses moyens (contacts, infrastructures), et la SAD ses experts en actions politiques ou paramilitaires. Outre la dimension politique, une caractéristique de ces actions clandestines est qu’elles s’apparentent souvent à une campagne d’action politique ou paramilitaire, et pas à une opération ponctuelle. Autre caractéristique, il s’agit généralement d’une action très indirecte, recourant beaucoup à des « proxy », à la fois parce que pour agir sur la politique d’un pays donné, des citoyens de ce pays sont les mieux placés, et pour réduire l’implication US, permettant un « démenti plausible » de la part des autorités US. Dans le cas du programme d’aide aux Moudjahidines afghans, moins d’une centaine d’officiers de la CIA furent impliqués, dont environ la moitié restant au QG de l’Agence, l’essentiel du boulot au Pakistan étant effectué par l’ISI et les partis politiques afghans d’opposition en exil. Conséquence de cette approche indirecte, on n’a pas entendu parler de paramilitaires de la CIA agissant en unité de combat constituée. Le Memorial Wall de la CIA montre que les officiers de la CIA tendent à mourir assez rarement, et la mort au combat est encore plus rare (une dizaine de tués au Laos de 1965 à 1972 par exemple, officiers traitants compris et toutes causes confondues). On a donc des approches assez différentes entre le JSOC et SAD, l’une visant à des actions brèves mais demandant des soutiens militaires lourds (aéronefs d’opérations spéciales notamment) qui identifient immédiatement le pays commanditaire de l’action, l’autre menant des campagnes de longue haleine toute en cherchant à garder l’implication du gouvernement US en-dessous du « balayage du radar ». Ce modus operandi demande en fait plus les compétences de bérets verts que de commandos Delta ; d’ailleurs, on notera que bérets verts et la CIA se considèrent tous deux comme descendants de l’OSS, alors que Delta et le JSOC trouvent leurs racines dans la menace terroriste et l'échec de l'Eagle Claw. Il n’est donc pas surprenant que la SAD soit d’une taille bien plus réduite que les forces spéciales. Un papier d’un militaire américain datant de 2007 décrivait le SOG (branche paramilitaire de la SAD) comme comptant 500 personnes dont seulement 120 officiers paramilitaires.
  23. Rob1

    Air quiz

    Un Vought Kingfisher à roulettes ?
  24. Je pense qu'elle est inspirée de la partie du livre où Howe et ses potes reviennent à la base, la première chose qu'ils font c'est se rééquiper et réarmer avant de se reposer. J'ai fini par trouver une info en "dur" : Jeff Strueker dit que les Somaliens leur ont rapporté les corps, les déposant à l'entrée de l'aéroport, un par un sur plusieurs jours. Certains n'ont pu être identifé qu'aux aux USA après comparaison des radios dentaires.
  25. Certes, mais d'un autre côté le livre montre comment les Américains ont obtenu le retour de Durant. Et un peu avant, on a un passage où des types survoltés sont prêts à voler au-dessus de Mogadiscio en espérant trouver les foules vues à la TV, les mitrailler sans faire dans le détail, et le général Garrison qui met le hôla. La fin du film ? Je ne vois pas vraiment, tu parles de la scène où le sergent est à côté des cercueils ?
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