Rob1

Ici : http://kerbalspaceprogram.com/download.php ;)

Même dans Tintin, pourtant très intemporel (ce qui est une raison de son succès), si on regarde un peu, on voit que ca ne date pas d'hier. Les voitures dans les premiers épisodes... Il faut dire aussi que les épisodes de Tintin ont parfois été modifiés pour remettre les voitures et avions au goût du jour. Et leurs "looks" ont évolué beaucoup plus lentement ces dernières décennies : http://richard.ferriere.free.fr/tintin/ilenoire/ilenoire.htm.

Youhou !!! Bizarrement, je suis capable d'atteindre l'orbite de la lune, mais je n'arrive pas à me mettre en orbite autour de Kerbin. Par contre, je suis encore loin de maîtriser à ces altitudes, entre deux tirs avec la même fusée, il peut y avoir d'énormes différences de résultats. Oui, par rapport à la poussée des moteurs. Cela dit, il y a une manette des gaz des moteurs à carburant liquide, et par défaut elle n'est pas à pleine puissance. On l'augmente avec la touche Maj gauche et on la diminue avec Ctrl gauche. Avec la manette à fond, ca décolle. Par contre, un peu plus en altitude, cette fusée est "sportive" à contrôler. J'ai essayé rapidement, je suis parti en loopings vers 1000 m. :-\ Il vaudrait mieux simplifier un peu ta fusée car il y a déjà pas mal de choses à contrôler sur une fusée à deux étages. Un booster et un deuxième étage à carbu liquide avec un seul réservoir, ca suffit à atteindre environ 45 000 m, mais ca nécessite déjà de maîtriser la manette des gaz et surtout le pilotage (touches a/d, q/e, s/w... ca a été prévue pour un clavier QWERTY :lol: ). C'est un excellent jeu pour comprendre un peu les problèmes d'ingéniérie =)

Ben moi je trime encore en suborbital... Je viens seulement d'atteindre l'espace (326 015 m) avec une fusée double étage carbu liquide, mais l'équipage est mort au retour de la capsule. Je n'ai d'ailleurs pas compris pourquoi, il n'y avait que la capsule et le parachute était bien déployé... la vitesse qui est restée indiqué après le crash sur le poste de pilotage est 13,1 m/s. Pour le moment, mon record d'altitude avec survie de l'équipage est de 76 561 m.

En suivant les tuto j'arrive à 5000 m et récupération des astronautes. La fusée de base est composée comme suit, de haut en bas - Mk16 Parachute (dans Utility & Scientific) - la capsule des astronautes - un Stack Decoupler (Structural & Aerondynamic) - un Solid Fuel Booster Après le lancement, il faut utiliser la touche espace pour chaque étape : larguer le booster en fin de combustion, puis l'ouverture du parachute. La capsule se pose (normalement....) et les astronautes ont l'air vivants.

On peut le voir de deux façons. Pour un lecteur qui aime le supplément, c'est un bon truc. Pour un lecteur qui s'y connait un minimum et qui a vu des dizaines de photos, ben un reportage de plus n'apportera pas grand-chose, et augmente le prix de la BD de 40%.

Je suis allé à une conférence du GCOS à l'IHEDN hier, il a fait une présentation assez généraliste de son truc (je n'espérais pas de scoop), mais il parlé clairement de la question de ce qu'il appelle le "désilhouettement", c'est à dire opérer sous uniformes autre que ceux de leurs unités. Il a pris pour exemples les déploiements "dans les bagages" d'unités classiques en utilisant leur uniforme et insignes d'unités ; ou porter l'uniforme du pays local dans les missions de formations d'armées étrangères (utiliser les gallons locaux, ca simplifie). Le tout se faisant toujours sous identité réelle de soldats français, avec toujours le dogme que la clandestinité est un métier différent et à part entière. Dans le fond, rien de nouveau, mais c'est la première fois que je vois ca exposé clairement par un officiel.

Pourtant Najibullah a pu se maintenir en place plusieurs années après le retrait soviétique alors que tout le monde le donnait perdant. Ce n'est que lorsque l'aide de l'URSS s'est arrêtée (l'URSS ayant elle-même disparu) que son régime s'est effondré.

J'ai parcouru en diagonale le livre de Merchet à la librairie. Comme je le préssentais, pas de scoop. Je n'ai pas noté de fautes de frappes (une petite habitude désagréable de JDM). Côté factuel, outre la gaffe sur l'arme et le calibre, il s'est un peu emmêlé les pinceaux sur l'organisation du ST-6 (la Blue Team est une équipe d'assaut). M'enfin bon, y'a pas mort d'homme. J'ai aussi vu "Kill Ben Laden", et cela confirme ma piètre opinion des éditions de traductions françaises. Avec l'édition française, le cahier photo et l'index à la fin du bouquin sont passés à la trappe. Au passage, je ne peux me retenir de "balancer" la contrefaçon (ou regrettable erreur, laissons le bénéfice du doute) à propos de la photo de prétendus opérateurs Delta au dos de la couverture : je mange ma casquette si les gugusses sur la photo en sont ! Pourtant l'éditeur n'aurait pas eu à chercher loin pour en trouver. Bref, si vous vous débrouillez en anglais, je vous conseille vivement les éditions originales, et ce quel que soit l'éditeur *. En plus, la disponibilité est meilleure et les prix ont de bonnes chances d'être avantageux même frais de port compris. * : Stock, Plon, Gallimard, Denoël... même combat. Je signale l'exception des éditions Nimrod qui se distinguent à la fois par leurs efforts et leurs prises de risques dans leurs choix. Je suis aussi tombé sur ça, récemment paru : et cela confirme ma piètre opinion des auteurs français (à l'exception notable de J.C. Notin pour sa guerre de l'ombre des Français en Afghanistan). Attention, je dégaine le lance-flammes. Étant très intéressé par ce sujet, j'étais extrêmement curieux de voir ce que cet ouvrage pourrait bien apporter à la littérature francophone (assez pauvre) sur le sujet. En bref : rien. Vous allez me dire que je suis ronchon de toute manière, mais arriver à faire un tel sur-place malgré la facilité avec laquelle il serait possible d'avancer, ça mérite une distinction. Surtout que l'auteur avait des pistes. Par exemple, on voit dans sa bibliographie la mention de The Puzzle Palace de James Bamford, grosse référence sur la NSA, et d'un livre co-écrit par Jeffrey Richelson, un des plus grands experts du renseignement américain. Sauf que bizarrement, je ne les ai pas vus cités dans le texte lui-même, ce qui laisse penser qu'ils n'ont même pas été lus par l'auteur, et qu'ils figurent dans la bibliographie à titre décoratif. Et si c'est bien de la bibliographie décorative, comment expliquer l'absence d'autres ouvrages de ces auteurs, ou d'autres auteurs comme Matthew Aid ? La seule nouveauté que j'ai vue est l'exploitation de quelques documents postés sur Cryptome tels que le témoignage de Winslow Peck. Reconnaissons d'ailleurs à l'auteur d'avoir eu l'honnêteté de le dire franchement, URL comprise. Reste que ces documents sont disponibles depuis 1998 et que le témoignage lui-même date de 1972. Une goutte d'eau, et pas la meilleure, dans l'océan des ressources disponibles. Je ne demande pas que l'auteur aille aux USA interviewer des sources, mais tant qu'à savoir utiliser internet, pourquoi ne pas faire la chose correctement ? Tant qu'à se balader sur Wikipédia sur la page du renseignement d'origine électromagnétique (je suppose, puisque visiblement la partie sur les écoutes des câbles sous-marins en est tirée, mais non citée cette fois), pourquoi ne pas cliquer sur quelques liens et exploiter les pistes offertes ? Mais non, il n'y a rien. On a l'impression d'une resucée d'un rapport du Parlement Européen de la fin des années 1990 (d'ailleurs je note que l'auteur avait déjà écrit un article sur le sujet en 2004). Ses thèmes abordés sont essentiellement les mêmes (à se demander si le 11/9 a eu lieu), quant à la question de l'éventuelle utilisation pour l'espionnage économique, elle demeure toujours aussi peu convaincante. L'impression générale qui se dégage est un hoquètement d'un lenteur inimaginable (le Parlement a abandonné l'affaire fin 2001). Si vous êtes tenté par le sujet, prenez plutôt The Secret Sentry de Matthew Aid ou Body of Secrets, ou lisez l'histoire interne déclassifiée de la NSA de Thomas R. Johnson. Et si vous voulez un truc en français, prenez à la place le livre de Duncan Campbell, Surveillance électronique planétaire : même genre de format, assez similaire, mais au moins ce dernier est un vrai travail de vrai journaliste à l'époque.

Là, je sens plus un fantasme contemporain que de la crédibilité historique. (Même si un général de brigade à titre provisoire a pu contrer quatre généraux cinq étoiles à cette époque :-X)

C'est peut-être effacé par les effaceurs d'échos fixes des radars ? Pour le reste, la faisabilité et la praticité de la chose... O0

J'ai bien dit "juste pour le détail" ;) Je parlais d'embarcations maritimes pour les SEAL.

Juste pour le détail, j'ai entendu dire que les Américains avaient testé le parachutage HALO d'embarcations.

http://www.opex360.com/2012/06/12/thales-presente-le-f-90-un-nouveau-fusil-dassaut/

Je sais, mais avouez qu'une vidéo comme celle qui suit, c'est flippant : http-~~-//www.youtube.com/watch?v=7qMtnFtB38I Apparemment le pilote a tiré sur la manche, les aubes d'un des compresseurs se sont désolidarisées et ont traversés le circuit du carburant... l'équipage s'en serait tiré et le pilote aurait changé de surnom pour "Comet".

Quand le moteur n'explose pas spontanément, sans doute.

Le SEAL Delivery Vehicle (SDV) c'est le nom des mini-sous-marins destinés à transporter des nageurs de combat. En fait c'est un nom générique, les sous-marins eux-même étant appelés SDV Mark + un nombre. Le SDV actuellement en service est le SDV Mark 8. Les unités "SDV" mettent en oeuvre les SDV qui sont un moyen d'infiltration/exfiltration des commandos. Ca permet d'aller faire la mission, mais pas le truc à faire sur place lui-même (reconnaissance, attaque, capture). Les SEAL Team (ST), ben ce sont des unités de SEAL, les commandos, capables de missions de reconnaissance ou d'action directe : démolition d'un objectif ponctuel, reconnaissance d'une plage pour pour un débarquement, former des armées étrangères... Avant une réforme vers l'an 2000, chaque SEAL Team avait une zone privilégiée (SEAL Team 1 : Asie du Sud-Est ; SEAL Team 2 : Europe, etc.), mais depuis, ca a été abandonné (quoique les SEAL Team basés sur la côte ouest sont plutôt affectés au Moyen-Orient et au Pacifique et ceux de la côte est plutôt à l'Europe et l'Amérique Latine). Au passage, ils ont été réorganisés de 6 ST à 8 sections (platoons) à 8 ST à 6 sections. Les ST fonctionnent sur un cycle à quatre étapes : 6 mois d'entraînement individuel, 6 mois d'entraînement collectif, 6 mois de préparation au déploiement et 6 mois de déploiement. J'imagine que quatre ST par côte, ben ca fait un ST à chaque étape du cycle à tout moment. Lors des deux dernières phases, les ST reçoivent les éléments de soutien et services avec lesquels ils bossent (éléments SDV, EOD, SEABEAs - génie de la marine, communications etc.)

Faut dire qu'avec ce visage, le pseudo "Philippe" me semblait un peu louche. O0

- déterrage - J'ai récemment parcouru La République secrète. Histoire des services spéciaux français de 1918 à 1939 d'Olivier Forcade, qui est un sacré pavé sur le sujet (+ de 600 pages, basé sur beaucoup d'archives du SR), mais au style difficilement lisible, en tout cas par moi *. Le 2ème bureau (créé en 1871, attaché à l'état-major) est chargé d'exploiter le renseignement pour l'EMA. Il a sous ses ordres une section de statistique (également créée en 1871), chargée de la collecte. La collecte est largement orientée par l'exploitation (contre-exemple de la CIA où la direction des opérations est sur le même pied que la direction du renseignement, et passe pour une "élite" de l'agence). En 1899 la section de statistique est renommée section de renseignement ou de recherche (SR). A partir des années 20, on parle à la fois de "la SR" et "du SR", tout en confondant allégrement 2e bureau, SR et espionnage en général. Outre la SR, le 2e bureau reçoit des informations d'attachés militaires, de missions militaires à l'étranger, de la presse étrangère et occasionnellement d'autre ministères (affaires étrangères, marine, intérieur, préfecture de police). Il contrôle aussi la section de centralisation du renseignement (SCR), service de contre-espionnage militaire qui surveille les activités de services étrangers (en coopération avec la police). Pour répondre vraiment à ta question, le SR est évidemment largement focalisé sur le renseignement militaire vis à vis de l'Allemagne, mais est aussi très actif dans la surveillance du Komintern et des services soviétiques (Tchéka puis OGPU), reçoit également les rapports de ses antennes dans la colonies et de la Légion étrangère (qui semblent plus surveiller les Anglais qu'autre chose), a une section d'étude des armées étrangères (Allemagne, Italie, "anglo-méditerranée", Europe Centrale-Balkans-Russie). Quant à l'Allemagne, le 2e bureau inclut dans ses objectifs l'économie allemande et l'espionnage industriel de Siemens. * : Les premières phrase de l'introduction sont : "Avant d'être une affaire d'Etat, le renseignement est en premier lieu une affaire de l'Etat. La distinction résume implicitement l'ambition d'une histoire politique du secret dans la société et l'Etat, à l'épreuve des relations internationales." Heing ? :O Pour un début de lecture, c'est douloureux. Si on ajoute la quasi-absence de schémas, l'index qui ne comprend que les noms propres (défaut courant des livres français), on a vite fait de se perdre - malgré la table des matières conséquente.

Mais non. Ce ne sont pas des M16 mais des M4, et au premier rang en partant de la gauche, ce n'est pas la même arme : le chargeur et la poignée au-dessus sont plus longs que pour les autres armes, c'est sans doute un 7,62 mm au lieu d'un 5,56 ;)

Les scènes de combat sont plutôt prenantes, le scénario est à oublier. J'ai trouvé ca sympa, sans plus.

Les petits malins... O0 Effectivement, mais 1) ca fait beaucoup de "si" 2) les découvreurs disent seulement que la backdoor permet de neutraliser ou reprogrammer la puce, mais rien sur une lecture.

Je pense que l'auteur du poster voulait dire qu'il a le même profil que le Dolores Chouest, juste au-dessus. En fait, en regardant des photos du Dolores et du Kellie, le profil au-dessus du Dolores être celui du Kellie, avec la passerelle plus trapue et sans les espèces d'ailerons (je ne sais pas comment les décrire autrement, et mon passé de fan de legos prend le dessus) rouge verticaux du Dolores. Le Kellie : Le Dolores :

Un vieux laser AN/PAQ-4 ? :O Quand je pense que les Américains ont eu le temps de mettre en service deux autres générations de lasers depuis...

Dites, est-ce qu'il y a une raison pour laquelle plein de gugusses semblent s'acharner à trouver (voir inventer) des erreurs dans Il faut sauver le soldat Ryan ? Il y a régulièrement des anonymes qui viennent en rajouter sur l'article Wikipédia, et pour donner une idée, suite la diffusion d'hier, ils en sont à prétendre que les maquereaux ne peuvent s'échouer sur les plages.