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Rob1

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Tout ce qui a été posté par Rob1

  1. La DGSE a sa propre escadrille (ce qui fait encore plus d'hélicos dans un "parc à part") Il me semble qu'à l'époque, cette création des MEU(SOC) avait aussi pour but d'éviter l'intégration de Marines dans le USSOCOM (le doctrine des Marines étant centrée autour de "tout participe à l'effort des MEU" ou quelque chose de ce genre). Au passage, il fallait aussi que les MEU(SOC)/MSPF n'empiètent pas sur le boulot des détachements SEAL attachés aux groupes amphibies.
  2. Rob1

    Weapons Quiz

    Au fond, un Barrett... le canon semble ultra-court, version bullpup ? ou XM109 ? (ca semble quand même un peu petit pour du 25 mm) Devant (avec silencieux), un fusil d'Accuracy International... a priori le canon fluté c'est pour ceux en calibre .338
  3. Selon Edmond Pope, il avait reçu des documents non-classifiés mais le FSB les a reclassifiés après coup... http://edmondpope.com/
  4. Rha non pas Wagner, j'ai envie d'envahir la Pologne en écoutant ca...
  5. En cherchant rapidement "NSWTU" dans le document pdf posté plus haut, je trouve que les SEAL ne sont pas attachés à la MEU mais que la MSPF et la NSWTU doivent montrer leur interopérabilité avant déploiement Je me suis planté plus haut, le texte prévoit que la NSWTU peut être affectée aussi bien à l'élément d'assaut qu'à celui de soutien ou de sécurité.
  6. Pas vraiment, puisqu'un détachement SEAL fait justement partie. Repost de ma part : La composante "FS" (Maritime Special Purpose Force - MSPF) d'une MEU(SOC) est faite pour des missions spéciales mais restant liées à la MEU. La MSPF est composée de : - un élément d'assaut : section de Force Recon + éventuellement une Task Unit de la Navy (SEAL + embarcations SWCC). - un élément de sécurité : compagnie de fusiliers - un élément de soutien : reco, snipers, communications, EW, exploitation de ROHUM etc. L'élément d'assaut, même quand il est limité à la Force Recon, constitue une bonne équipe FS il me semble. Les rôles : (a) Close Quarters Battle (CQB) (b) Specialized Demolition Operations (sabotage et breaching) © Clandestine Reconnaissance and Surveillance (d) Maritime Interdiction Operations (e) Gas and Oil Platform Operations (GOPLAT) (f) Clandestine Recovery Operations (attention, dans le langage US, "clandestine" veut dire que l'opération ne doit pas être découverte, mais ca n'implique pas du "covert stuff" : une opé reconnaissance en uniforme mais sans faire de bruit, c'est du "clandestine") (g) Tactical Recovery of Aircraft and/or Personnel (TRAP) (h) In-Extremis Hostage Recovery (IHR) (i) Direct Action (raids, embuscades, assault, tirs à distance de sécurité, guidage de frappes) Tel que je le comprends, ce sont des opés particulières similaires à pas mal d'opérations spéciales, mais à effectuer en complémentarité de la MEU. Des FS aux objectifs moins stratégiques et plus proches des besoins de la MEU elle-même en gros. Deux documents avec des définitions (mais qui datent un peu) http://www.fas.org/irp/doddir/usmc/mco3120-9.txt http://www.marines.mil/news/publications/Documents/MCO%203120.9B%20W%20CH%201.pdf
  7. C'est de la brique, d'où d'ailleurs la régularité des stalactites : une au milieu de chaque brique, grossièrement (le ciment ne semble pas fondre). Surtout visible sur celle-là, en haut à droite : J'ai entendu parler une fois d'argile qui avait fondu à cause d'un four à poterie ayant surchauffé au-delà de 1000 °C, mais je ne sais pas si c'est le même genre d'argile qu'on utilise ici. Flippant. :O
  8. Apparemment non. De la part d'armées intervenant beaucoup à l'extérieur (UK et France, les seuls que je connaisse vraiment =| ), ca paraît logique : une implication limitée à la formation, éventuellement au JTAC, c'est efficace, peu coûteux financièrement, peu risqué politiquement et peut être fait assez discrètement. Bosser avec des insurgés locaux a été pas mal pratiqué pendant la WWII : Jedburghs et Operational Groups de l'OSS, les SAS en Bretagne, les ancêtres des Spetsnaz avec des partisans russes, etc. L'inverse, bosser avec des armées locales en contre-insurrection, a également été un truc courant post-WWII. C'est l'essentiel de l'activité du SAS de 1945 (guerre civile grecque) à 1976 (guerre du Dhofar) en passant par la Malaisie. C'est vrai que considérer l'assistance militaire comme une mission purement de FS est une gaffe, vu l'implication des troupes conventionnelles dans ce genre de boulot (même chose pour la contre-insurrection). Il y a un petit mélange doctrinal aux USA entre "opération spéciale" et conflit de "basse intensité" qui n'aide pas à y voir clair. Enfin bon, chez nous, est-il vraiment nécessaire d'avoir des gars du COS à la Commando School de Kaboul, ou des paras/légios/marsouins pouraient faire le même boulot ?
  9. C'est déjà ce que sont les bérets verts US. ;) Il y a une forte séparation (théorique) chez les Américains en deux catégories : - les directs ou "kinetic" : Rangers, SEAL, etc. - les indirects ou "warrior-diplomats" : SF (bérets verts), PSYOP (qui ont été renommé en un truc assez fade récemment), Civil Affairs... Au passage je signale ce petit papier qui essaie de mettre de l'ordre dans les missions des FS américaines : http://www.cnas.org/node/3873
  10. Je pensais à cela, c'est d'ailleurs un point relevé dans le HS RAIDS sur les FS : l'évolution du parc de véhicules (VPS et hélicos) du COS depuis 2001... Il est bon de rappeller que la principale raison de la formation de l'USSOCOM ce n'est pas pour en faire un commandement opérationnel mais pour qu'il gère ses programmes et ses budgets pour son matos spécifique, et notamment qu'il dispose ENFIN d'avions et d'hélicos adaptés (il y avait moins de HH-53 dispo à sa création en 1987 que pendant l'opération Eagle Claw...) Pour le côté opérationnel, c'est surtout la création des TSOC auprès des commandements de théâtre (SOCCENT pour le CENTCOM par ex.) qui a consacré le fait qu'au niveau théâtre d'ops du moins, les FS étaient commandées par une chaîne à part. (Probablement conséquence de l'emploi chaotique des FS à la Grenade en 1983... mais ne pas oublier qu'à la Grenade, TOUT fut chaotique.) Si on continue sur le modèle US, c'est bien parti, les Delta se sont payés quelques blindés sur base de Pandur 6x6 aux alentours de l'an 2000... Bon, c'est surtout un truc pour les transporter à l'abri de la petite feraille et pas un IFV/MBT, mais ca fait réfléchir. On peut se poser des questions au vu des exercices communs FS/blindés qu'on peut voir récemment. Parce que quelles missions de FS peuvent leur demander de bosser avec des blindés ? Pourquoi une unité d'infanterie ne pourrait pas faire une telle mission ? En fait, je dirais que les MEU procède de la pensée inverse : c'est la "conventionnelle" qui s'attaque au domaine des FS pour ne pas se faire bouffer par elles.
  11. Personne n'a pensé à utiliser ces installations pour des films ? Décors plus vrais que vrais et aucun investissement demandé, ce serait génial pour tout ce qui est ambiance type Stalker...
  12. Effectivement, ce que je dis est en fait pour l'Army. (Et vivent les Marines ! ;) )
  13. Un des problèmes des Américains à l'époque c'est qu'ils avaient des unités légères, mais alors très légères (82nd Airborne par ex), et des unités lourdes, genre ACR équipé d'Abrams et de Bradley, sans vraiment d'intermédiaire entre les deux (il a fallu attendre l'arrivée du Stryker au début des années 2000 pour ca). Du coup, on comprend mieux la réticence d'envoyer des blindés là-bas. S'ils avaient eu des trucs genre VAB et Sagaie, ils les auraient peut-être déployés. (Je sais qu'ils ont encore des M113 en stock, mais ils semblent éviter de les déployer). Juste pour info, les Humvees utilisés par la Task Force Ranger étaient censés être blindés contre les balles d'AK. Et pourtant il y avait quelques Américains le 17 juin avec les forces de l'ONU : trois équipes de liaison des bérets verts avec les détachements italien, marocain et pakistanais. Ils ont employé des Mk-19 et ont eu un de leurs Humvee DMV mis hors de combat.
  14. Même au point de vue politique, c'était pas très clair. D'un côté les USA étaient en phase de désengagement de la Somalie, de l'autre le représentant de l'ONU sur place (l'amiral en retraite Jonathan Howe) se lance dans une chasse à Aïdid et demande l'envoi de la Delta... D'ailleurs la demande de Howe a beaucoup traînée avant d'être acceptée : demande dès l'affaire des casques bleus Pakis le 5 juin, envoi de la TF Ranger fin août, avec entre les deux montée des affrontements Aïdid-UNOSOM (dont l'opé implicant les Français plus haut le 17 juin). Vu le nombre d'opposants à ce déploiement (Colin Powell, Montgomery commandant USFORSOM, Hoar du CENTCOM), c'est étonnant qu'ils aient laissé l'opé aller en roue libre pendant un mois et demi et six raids sans qu'Aïdid soit choppé. Et pour élargir encore, avant le 5 juin, qu'est-ce qui a conduit Aïdid et l'ONUSOM à s'affronter ? Je ne sais pas trop. Surtout que le clan d'Aïdid semblait incontournable dans tout "plan de sortie" de l'ONU. éléments chronologique : 26 mars 1993 : l'ONU passe la résolution 814. On passe de la Résolution 794 / UNITAF / Restore Hope à Résolution 814 / UNOSOM II / USFORSOM (US Forces in Somalia). Le changement est assez significatif car on passe du maintien de la paix au nation-building. C'est la première opération de l'ONU où on prévoit d'utiliser le chapitre VII de la charte de l'ONU ("Action en cas de menace contre la paix, de rupture de la paix et d'acte d'agression"). Les USA soutiennent la résolution mais en même temps diminuent leur participation (et ils garderont leurs forces sous contrôle du CENTCOM, lissant les choses en ayant Montgomery, le chef des USFORSOM, simultanément chef-adjoint de l'ONUSOM II). 4 mai : date de transition UNITAF / ONUSOM II. La date était bien trop tôt, l'ONUSOM II n'était pas encore déployée. Cela fait craindre que les warlords n'en profitent pour "tester" l'ONUSOM II. 6-7 mai : une bande attaque un bataillon para belge à Kismayo. L'ONU accuse les forces de la SPM/SNA d'Omar Jess, proche de l'USC/SNA à Aïdid. Jess dément mais en même temps accuse l'ONUSOM de soutenir un de ses opposants, Morgan. Au cours de mai, la "radio Aïdid" de l'USC/SNA s'en prend verbalement à l'ONUSOM. En même temps, Aïdid parvient à organiser une conférence USC/SNA-SSDF plus ou moins soutenue par l'ONU à propos de la région centre du pays. Aïdid n'y invite pas le chef de la SSDF mais un sous-chef qui est un de ses amis. Visiblement, il avance ses pions. 21 mai-2 juin : conférence de Galcayo. L'ONU et Aïdid ne parviennent pas à s'entendre sur bon nombre de points touchant la région centre. A la même époque, l'ONUSOM s'inquiète que des armes aient disparu des sites de stockages autorisés d'Aïdid, ce qui serait une violation des accords datant de l'UNITAF. Les sites autorisés 4 et 5 d'Aïdid sont les bâtiments de l'ancienne Radio Mogadiscio ("radio Aïdid"), ce qui permet apparemment d'utiliser l'ex-radio nationale à son profit sous couvert de site de stockage d'armes autorisé par l'ONU (y'a des trucs qui ne s'inventent pas...). L'ONU veut donc faire une inspection pour vérifier l'inventaire des armes s'y trouvant, et leur usage réel. Le plan vise à la fois les sites d'Aïdid et d'Ali Mahdi, mais l'ONUSOM apprend que les sites d'Ali Mahdi ont été démantenlés des mois avant - il semble que le commandant de zone n'ait pas prévenu le QG de l'UNITAF à l'époque. Seul Aïdid se retrouve visé. Le "ministre de l'intérieur" d'Aïdid est notifié le 4 juin vers 15h00. ... Seul document détaillé que j'ai trouvé parlant de cette période : http://www.history.army.mil/html/documents/somalia/SomaliaAAR.pdf
  15. Dans la tête des Américains, il fallait secourir les équipages crashés au plus vite. Effectivement, ils n'ont pas raisonné en terme de gestion de la violence, mais ils se faisaient déjà tirer dessus, y compris à coup de RPG contre leurs hélicos. Je pense que la situation avait déjà dépassé un point où elle était gérable. Ne pas oublier que les Rangers étaient détestés dans le quartier pour leurs emploi très "cinétique" contre le clan d'Aïdid, et leurs survols réguliers en hélicos. Sur le chaos autour du convoi, effectivement, McKnight semble avoir eu trop le "nez dans le guidon", en essayant de suivre des ordres, au point apparemment de ne pas connaître l'état des véhicules qui le suivaient. http://img208.imageshack.us/img208/7776/bhdu.png Si McKnight avait appliqué la méthode OPAC, il se serait peut-être mieux repéré. S'il s'était informé auprès de ses collègues déjà présents sur le site, il aurait peut-être compris que le 2ème passage ne servirait à rien. Si ses supérieurs avaient décidé de l'envoyer sur le site #2, il aurait peut-être pu faire la différence là-bas. Mais malgré cela, je note qu'ils ont réussi à passer à hauteur du site #1 assez rapidement, et que 4 des 5 tués du convoi l'ont été juste sur cette petite partie (Martin, Joyce, Cavaco, Ruiz) si j'en crois le chapitre 17 de la partie "BHD" du bouquin (je parle de l'édition anglophone, l'éditeur français a une numérotation différente). Ils ont aussi pu refaire un passage puis rentrer à la base avec Martin et Ruiz toujours vivants à l'arrivée, mais trop atteints pour que même les chirurgiens ne puissent rien faire. (Il n'y a que le gars blessé à la fémorale qui aurait pû être sauvé.) Avec l'avantage de voir les choses après coup, je n'ai pas l'impression que le chaos du convoi ait beaucoup changé le bilan. Beaucoup de choses se sont jouées en amont de l'opération. Garrison auraît dû dire "stop" quand le seul plan était d'utiliser des Humvees protégés par des sacs de sable, et que les Somaliens devenaient familiers avec les tactiques de la Task Force Ranger.
  16. Du moins, dépasser les limites du domaine de vol. On en avait parlé sur le topic F-22 et j'avais réagi : :lol:
  17. Je comprend le problème du "commandement à distance", mais je ne vois pas en quoi il s'est produit le 3 octobre 1993. J'ai même l'impression que c'est l'inverse, que Garrison a une bonne vue de la situation globale, et qu'il en fait bon usage en envoyant des convois de secours assez rapidement. Quant à savoir si au sol, les gars se seraient mieux démerdé sans se faire guider par les hélicos, la question reste posée. Au sol, le LTC McKnight semble parfois perdre la vue de la situation - en tout cas il arrive un moment où son véhicule de tête perd momentanément le reste du convoi. Sur les limites d'utilité de la technologie, il y a le combat du Takur Ghar qui est un excellent exemple (cf Not a good day to die de Sean Naylor)
  18. Rob1

    Le F-35

    Sur le X-35B c'était des battants s'ouvrant latéralement Mais je crois que ca a été changé pour diminuer le poids
  19. Rob1

    Manif pro-FS

    ce qui entre parfaitement dans ma catégorie des "mal mis en scène" ;)
  20. Rob1

    Manif pro-FS

    Je proteste énergiquement ! Tom Clancy a peu et mal mis en scène de FS, malgré de nombreuses occasions qui s'y prétaient.
  21. Rob1

    Manif pro-FS

    Ca tombe bien, je suis en train de lire le ebook "The Command" de Marc Ambinder sur le JSOC... Aussi Les Forces "TRES" spéciales http://www.air-defense.net/forum/index.php?topic=14863.0 Opération Ben Laden (Attention! on reste strictement dans le domaine militaire) http://www.air-defense.net/forum/index.php?topic=15852.0 éventuellement : Une histoire des forces spéciales http://www.air-defense.net/forum/index.php?topic=13822.0 (rubrique histoire, lecture ou FS ?...) 160 th SOAR http://www.air-defense.net/forum/index.php?topic=5791.0 ... en fait on a le même problème que pointre Tancrède : on bouffe dans les autres domaines :lol:
  22. J'ai pas été convaincu par cette partie-là. L'auteur n'a d'ailleurs pas beaucoup "nourri" ses explications 1) des quelques fois où on parle de Garrison dans le bouquin de Mark Bowden, je retiens qu'il n'intervient guère depuis son PC quand tout va bien, laissant justement les officiers sur le terrain faire leur boulot. Le seul problème que je vois avant la perte du 1er Black Hawk, ca a été un flottement à la fin de l'assaut, apparemment le convoi terrestre n'a pas compris à quel moment il devait bouger et commencer la récupération. L'opé est peut-être passée à côté du succès total pendant ces quelques minutes. Garrison pense une étape à l'avance, et tout au long de l'opération, il comprend parfaitement ce qui se passe. 2) quand les choses tournent mal, Garrison met plus les mains à la pâte, mais l'essentiel de la confusion se passera en-dessous de son niveau, et il n'ajoute pas à la confusion en s'abstenant de s'en mêler (les hélicos et le convoi terrestre s'embrouillent très bien tous seuls). 3) Les hélicos n'arrivent pas à guider le convoi à cause de plusieurs confusions et du délai, mais si le convoi terrestre a fait appel à eux, c'est qu'il était incapable de se diriger seul. Peut-être qu'un peu de méthode OPAC aurait évité une confusion entre le convoi et les OH-58, mais de toute manière le convoi a fini par passer à deux reprises à hauteur du site de crash #1 par deux rues différentes, et à chaque fois ne s'est pas arrêté parce que la rue du crash était trop étroite. Le faire aurait obligé les Américains à tenir une zone beaucoup plus grande et laisser leurs véhicules à découvert.
  23. Dans leur langage, ca veut dire que l'information semble crédible mais pas assez corroboré pour être sûr qu'elle correspond bien à la réalité. ;)
  24. Rob1

    Division daguet

    Au Koweit, ca peut être des opés de déminage. En Turquie, on a eu du monde déployé pour "Provide Comfort" (et un ou plusieurs tués lorsque les Américains ont fait un fratricide sur leurs Black Hawks en 1994). Peut-être aussi en 1991 ? (Les Américains ont monté quelques opés depuis la Turquie pendant Desert Storm, faut que je retrouve le nom -- Joint Task Force / Operation "Proven Force", et un détachement de forces spéciales pour le CSAR Operation Elusive Concept) Sinon, je n'arrive pas à trouver monsieur Van Suong sur ''mémoire des Hommes''... est-ce rapport au fait qu'il est légionnaire ?
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