Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Rob1

Moderateur
  • Compteur de contenus

    9 306
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    22

Tout ce qui a été posté par Rob1

  1. Ben en fait je m'étais inspiré de lui (son tweet de 9:10 PM · 17 avr. 2021)... ... faut vraiment que j'arrête sur l'humour incompréhensible.
  2. La police tchèque vient de lancer un avis de recherche pour ces deux hommes, ils vous disent quelque-chose ? Non mais on était là juste pour voir les clochers de l'église Saint-Nicolas de Prague... (c'est une private joke : un d'entre eux a posté une photo de l'église sur une page facebook à son nom de couverture https://www.bellingcat.com/resources/how-tos/2018/10/24/dali-warhol-boshirov-determining-time-alleged-photograph-skripal-suspect-chepiga/) Beaucoup plus sérieusement, les dirigeants tchèques viennent de faire le lien avec des explosions dans un dépôt de munitions à Vrbětice, visiblement pendant la même visite de "Boshirov" dans ce pays en octobre 2014. Explosions qui avaient fait deux morts soit dit en passant. Les munitions en question était propriété d'une compagnie civile qui était en train de les vendre à Emilian Gebrev, un vendeur bulgare, qui les destinait à l'armée ukrainienne. Gebrev lui-même a été la cible d'une tentative d'empoisonnement en 2015 à Sofia. Plus conséquent que l'avis de recherche, le premier ministre vient d'annoncer l'expulsion de 18 "diplomates" russes de république tchèque.
  3. Je viens de re-croiser ce type dans cet article qui doute que le cinglé en question ait réellement tué cette femme dans les années 90. Apparemment l'accusation tenait surtout à un informateur en prison... qui a été arrêté pour un meurtre présentant des similarités deux ans après : https://www.stuff.co.nz/national/111007837/murderer-travis-burns-denied-parole-while-working-outside-the-wire
  4. Personne recherchée pour abus de jeux vidéo...
  5. Les fichés S, tiens ça fait longtemps que je n'avais plus vu ce marronnier...
  6. C'est sûr que l'offre est beaucoup plus large qu'en francophone... du moins sur les sujets internationaux. D'un autre côté, ça m'a fait me rendre compte que si on veut sérieusement creuser un sujet, ne pas parler la langue concernée est rédhibitoire : on rate plein d'infos, en quantité mais aussi en qualité, et on est dépendant d'un certain filtrage culturel (même inconscient). Je n'avais pas vu. Encore une page bourrée du TI d'un unique contributeur anonyme depuis 10 ans...
  7. Pour votre première ligne, je ne comprends pas : je ne pourrais pas juger la capacité des auteurs à adapter une histoire sans savoir la véracité. Pour la femme au tableau, non les scénaristes n'ont pas réussi leur mission avec moi de cette manière, je me renseigne dès que je trouve un point intéressant, pas besoin d'être touché ni que le film soit forcément bon. OK, le public ne fait pas cela. Mais surtout, ce qui était changé était des détails à l'apport douteux et facilement évitables (un père nazi à ne pas mentionner, changer qui lâchait une ligne de dialogue aux archives). Sans aller jusqu'à détailler tout le parcours des commandos dans son intégralité, pourquoi ne pas se concentrer sir les faits vraiment marquants de la personnalité de Kieffer dans un des camps fréquentés plutôt que d'inventer un autre parcours ? L'Histoire est toujours une vision déformée par notre présent, mais effectivement, plus un auteur s'arrange avec les faits, plus il en dit, en fait, sur lui-même que sur ce qu'il prétend décrire.
  8. Ce qui nous ramène à la réponse 1 : les auteurs sont incapables de rendre Kieffer exceptionnel, marquant ou attachant autrement qu'en bidonnant... Je ne suis pas convaincu par cette contrainte. Il y a bien de cas où on ajoute des passages inventés. 6 pages d'un entraînement commando inventé pour l'occasion dans la BD, pour le plus gros. Qu'on remplisse ces 6 pages avec le vrai parcours et le vrai entraînement d'Achnacarry déjà...
  9. Darrel D. Whitcomb, On a Steel Horse I Ride (2012) J'ai fini cette autre histoire officielle de l'USAF, celle-ci portant sur les H-53 SOF/CSAR de l'US Air Force. Le sous-titre est un peu trompeur car elle couvre aussi les H-3 et H-53 de l'USAF dans le conflit vietnamien. En gros, l'USAF a employé deux grandes variantes de l'appareil, le HH-53 de CSAR et le CH-53 pour les opérations spéciales, qui à l'époque sont surtout des opérations "noires" (secrètes) sous l'autorité de la CIA ou du MACV/SOG au Laos. Apparemment, les équipages des opérations spéciales sont partis de zéro, mais ont réussi à mettre sur pied une capacité qui servira bien leurs "clients". Très vite, la communauté CSAR sent le besoin d'un appareil capable d'effectuer les opérations nocturnes. Les premiers Pave Low I / II introduisent un système de navigation nocturne avec un coupleur de vol stationnaire qui donnent une première capacité de nuit, mais un peu étonnamment, le problème d'éviter le terrain montagneux n'a pas été pris en compte. Il faudra attendre la fin des années 1970 pour qu'apparaisse le HH-53H Pave Low III doté d'un radar d'évitement de terrain/suivi de terrain. (A noter que si l'histoire détaille un peu les techniques, tactiques et procédures mises au point pour le Pave Low I, elle ne dira rien pour les évolutions suivantes.) En 1980, suite au dramatique échec de l'opération Eagle Claw, les capacités des forces spéciales de l'USAF sont revitalisées en urgence en leur transférant la petite dizaine de Pave Low III de la communauté CSAR, qui se retrouve amputée de cet outil pour des années. Les forces spéciales ne repartent pas de zéro, et parviennent à fournir une capacité plus que correcte pour leurs "clients". Ils sont notamment impliqués dans les plans/exercices du Joint Special Operations Command (JSOC), même si celui-ci n'est n'est pas leur utilisateur exclusif, contrairement aux hélicos du 160th SOAR de l'Army dans les premières années. Mais les Pave Low étaient peut-être plus indispensables, vu leurs capacités supérieures en moyens de navigation/suivi de terrain - ils mènent souvent les formations d'hélicos mixtes Air Force/Army. Les équipages Pave Low sont aussi qualifiés pour opérer en milieu montagneux et embarqués sur navires. En revanche, je doute que leurs clients aient adhéré à leur idée qu'ils pourraient aussi fournir un appui-feu avec leurs armes de bord. La décennie des années 80 passe relativement tranquillement, avec l'élargissement de leur communauté d'une petite famille serrée à une institution plus large pour armer plusieurs escadrons. L'histoire semble partisane quand elle aborde la question de la proposition lancée à l'époque de transférer leur mission à l'US Army. Certes, celle-ci n'était d'évidence pas prête, mais je ne vois pas de quoi se vanter dans un certain coup tordu fait par les aviateurs pour la retarder encore plus... Cette décennie se termine par le premier engagement du Pave Low au combat au Panama. Les années 90 seront, elles, bien chargées avec le Golfe, plusieurs évacuations de ressortissants (à croire que ca n'existait pas avant ?!), plus les engagement prolongés dans les no-fly-zones de l'Irak puis dans les conflits de l'ex-Yougoslavie - notamment en alerte CSAR, la communauté CSAR américaine ayant apparemment toujours du mal à assurer sa mission. Les récits d'opérations sont trop rares mais toujours prenants. J'ignorais que les Américains avaient lancés plusieurs tentatives de CSAR pour les pilotes français Chiffot et Souvignet abattus en 1995, finissant par avoir deux membres d'équipages blessés par des tirs lors de la dernière. Deux récupérations au Kosovo mettent enfin en oeuvre cette capacité CSAR nocturne en milieu montagneux qui avait été imaginée plus de 20 ans auparavant en Asie. La pensée d'un des pilotes impliqués dans la récupération du pilote du F-117 abattu au Kosovo fait ma citation du jour : « un avion furtif vient de se faire abattre et maintenant ils veulent qu'on aille là-bas ? » L'Afghanistan et l'Irak sont bien sûr abordés, mais pas grand-chose une fois passées les phases d'invasion. Quoiqu'il en soit, la communauté semble bien rodée lorsque ces conflits surviennent. Les Pave Low sont retirés du service en 2008. A noter que la communauté s'est payé le luxe de faire le dernier vol du type pour une opération réelle en Irak et avec une formation de six appareils. Disponible en ligne ici : https://www.airuniversity.af.edu/AUPress/Display/Article/1533165/on-a-steel-horse-i-ride/
  10. J'ouvre ce sujet qui me tente depuis un petit moment : tenter un récapitulatif de l'organisation des équipes "pion de base" des différentes FS. Recon Team "Spike Team" du MACV/SOG, Laos/Cambodge/Vietnam, 1965-1972 Équipe de reconnaissance sur le format théorique de 3 Américains + 5 indigènes (la réalité peut varier considérablement en fonction des circonstances, de la mission... comme pour toutes des FS en fait) dans le sens de la marche : - homme de pointe indigène - grenadier indigène (équipé d'un M79) - chef d'équipe US - opérateur radio US - chef d'équipe indigène - chef d'équipe adjoint US - grenadier indigène (M79) - homme d'arrière-garde indigène Reconnaissance Team du Project Delta, Sud-Viêt-Nam, 1965-1970 Équipe de reconnaissance de 2 bérets verts US + 4 LLDB, leurs homologues sud-vietnamiens. (Je n'ai pas trouvé plus de détails, désolé pour l'austérité.) Operational Detachment Alpha "A-Team" des Special Forces, les "bérets verts" américains Équipe de guerre non-conventionnelle (encadrement de guérilla) et autres tâches variées, 12 hommes dans une structure très stable depuis des décennies : - chef de détachement (capitaine) - chef de détachement adjoint (Warrant Officer) - sous-officier d'opérations (Master Sergeant) - sous-officier de renseignement (Sergeant First Class) - 2x sergent armement (1 Sergeant First Class + 1 Staff Sergeant) - 2x sergent génie (idem) - 2x sergent médical (idem) - 2x sergent transmissions (idem) Chaque spécialité étant établie administrativement avec son propre code (18D pour les medics, 18E les transmissions...). Possibilité évidente de diviser le détachement en plusieurs équipes, d'autant que les membres d'un ODA sont censés acquérir une deuxième spécialité au cours de leur carrière. SEAL Autant les SF ont une structure théorique très stricte (qui ne doit pas être si souvent respectée), autant la description des sections/escouades SEAL est assez vague. La plus récente que j'ai vue (manuel de 2015 : https://jsou.libguides.com/ld.php?content_id=11080110) parle d'une section à 3 officiers et 16 à 18 sous-officiers. La nouveauté selon ce manuel c'est trois escouades par section au lieu de deux, chacune commandée par un officier* et donc comptant 5-6 sous-offs. C'est d'ailleurs une particularité notable de voir plusieurs officiers dans une section, la plupart des FS ont un officier chef de l'équipe de base, voir pas d'officier du tout... * : les attentifs qui auront vérifié le manuel auront noté qu'en comptant l'officier chef de section, ca fait 4 officiers et non trois. Marine Special Operations Team (MSOT) Équipe de 14 hommes pouvant au besoin être séparée en deux éléments à quatre : - chef d'équipe (capitaine) - chief (sous-officier) d'équipe (Master Sergeant) - chief d'opérations (Gunnery Sergeant) - chief de transmissions (Staff Sergeant) - 2x chef d'élément - 2x chef d'élément adjoint - 4x membre d'élément - 2x médical Delta Force et SEAL Team Six Équipe d'assaut ou de snipers, spécialité action directe/contre-terroriste, à théoriquement six hommes. Pour le cas des équipes à quatre hommes sur MH-6 Little Birds à Mogadiscio : - chef d'équipe - medic (qualifié 18D) - grenadier (équipé M203) - breacher (dixit Day of the Rangers de Neville) Special Air Service (SAS) britannique Équipe multi-fonctions à quatre spécialités (si ça n'a pas changé depuis leurs jours médiatiques) : - transmissions - démolitions - medic - linguiste Equipes pouvant facilement être combinées selon la mission... 1er RPIMa et GCP Équipe SAS ou commando parachutiste à 10 13e RDP A l'époque guerre froide, un officier chef d'équipe, un adjudant ou adjudant-chef adjoint de chef d'équipe (ACE) et deux radios.
  11. ben je ne me retrouve pas dans cela. Si on se base sur un fait réel, c'est quand même pour tenter de relater le fait en question. Sinon, autant faire du Abraham Lincoln : Chasseur de Vampires (oui, ça a existé...). Je suis bien conscient qu'il est impossible de faire un biopic parfait, mais il ne faut quand même pas travestir les faits au point de changer tout le sens d'une histoire... Quel intérêt de faire de Kieffer un précurseur entrant dans les commandos avant tout le monde, ou pensant aux commandos de l'après-guerre dès 1941, s'il ne l'a pas prétendu, ne l'a pas fait, et ne lui est pas attribué par qui que ce soit ? 1) les auteurs veulent "impliquer émotionnellement" mais sont incapables de le faire autrement (ce qui implique qu'ils ont choisi un mauvais sujet, ou qu'ils sont trop nuls pour y trouver un angle intéressant) 2) les auteurs racontent nawak parce qu'ils aiment raconter mais ce fichent de savoir ce dont ils parlent 3) les auteurs racontent pour la gloire ou le fric au mépris de tout le reste 4) la réponse d
  12. Perso, je suis encore régulièrement surpris par les sites web des institutions - qu'elles soient étatiques ou des collectivités. Il y a toujours un aspect qui donne l'impression de remonter une décennie ou deux en arrière.
  13. Coïncidence, j'ai regardé il y a quelques jours le film La femme au tableau avec notamment Helen Mirren, film que j'ai trouvé bon d'ailleurs sur le coup... ... pour m'apercevoir que plein de détails avaient été changés (https://en.wikipedia.org/wiki/Woman_in_Gold_(film)#Historical_accuracy), ce qui m'a laissé une impression d'arnaque pour un film censé être biographique, pour un intérêt absolument pas évident.
  14. Rob1

    Bugaled Breizh

    Effectivement... J'ai trouvé ce papier (qui date déjà de 2006!) : http://www.check-six.com/Coast_Guard/Monster_Waves_Reprint-screen.pdf A faire du stationnaire pendant une durée assez longue (pour treuiller un équipage), dans des conditions météo qui semblent justement un facteur de la formation de ces vagues, il va falloir se poser la question du risque de finir par s'en prendre une. Le crash d'un HH-60J en 2004 dont il parle semble accepté comme ayant été touché par une vague géante : https://aviation-safety.net/wikibase/75512
  15. Je référence ici un post sur l'emploi Seahawk dans les opérations spéciales :
  16. Je viens de découvrir cet ancien pilote de Seahawk qui a blogué (entre autres) sur l'histoire de la place des hélicoptères d'opérations spéciales dans la Navy : https://www.thedrive.com/the-war-zone/28411/why-navy-seals-almost-always-go-into-action-aboard-non-navy-helicopters et son témoignage sur les préparatifs d'une opération d'abordage est un cas intéressant d'opération spéciale 100% USS Navy, pratiquement une anomalie en soi : https://www.thedrive.com/the-war-zone/28693/navy-pilot-recounts-the-secret-stalking-of-north-koreas-missile-laden-cargo-ship-so-san
  17. (J'ai surtout l'impression que la dernière décennie est passé 10 fois plus rapidement que la précédente. Dire qu'on est bientôt aux 10 ans de la mort de Ben...) En fait je m'a gouré. Ce n'est pas le même chien sur les photos, il n'a pas le dos noir comme ça. Il est seulement dit expérimentation en cours, c'est un Jack Russell Terrier nommé Bip.
  18. Une ancienne ancienne traductrice sous contrat de la Défense US plaide coupable d'avoir divulgué des informations classifiées au Hezbollah. Mariam Thompson, née au Liban et naturalisée US en 1993, était en poste dans une installation d'une force d'opérations spéciales en Irak lors de la frappe qui a tué Soleimani en janvier 2020. Elle était en contact depuis 2017 avec un Libanais qu'elle comprenait comme lié au Hezbollah libanais, qu'elle comptait épouser. Après la mort de Soleimani, le contact lui a demandé de fournir des renseignements. Elle a accédé et transmis des infos (qu'elle n'avait pas besoin de savoir et classifiées secret) sur huit sources humaines secrètes, au moins 10 cibles US, et sur les tactiques, techniques et procédures utilisées par les sources. La sécurité US a quand même été sur sa piste rapidement, le FBI l'arrêtant le 27 février 2020, soit un peu moins de deux mois d'activité.
  19. Pourquoi pas ? Les articles que je cherche c'est celui sur la Red Cell dans le numéro de mai 1995, et celui sur le SEAL Team Six dans le numéro de novembre 1996. J'ai quand même vu deux ou trois personnes le mentionner sur ce forum au cours des années...
  20. Il y avait deux autres photos dans le bouquin "Le GIGN par le GIGN" qui disait que c'était à titre expérimental, notamment pour fouiller les faux-plafonds. (Punaise, ca date de 2012 déjà...)
  21. Le beau livre sur les FS françaises dans la guerre du Golfe publié en ligne pour les 30 ans du conflit (et les 10 ans de l'ouvrage) : https://operation-daguet.fr/les-forces-speciales-francaises-dans-la-guerre-du-golfe/
  22. Bonjour, j'aimerais lire deux articles dans les numéros de mai 1995 et novembre 1996 du magazine américain Soldier of Fortune... Je n'ai pas trouvé le premier sur les sites de vente en ligne, et seulement quelques offres du 2ème depuis les USA, avec des frais de ports en conséquence élevés pour un simple magazine. Si quelqu'un vend, prête ou a tout autre tuyau pour me permettre de consulter ces numéros, faites-moi signe !
  23. Plus de détails avec la publication de cette fameuse Defence Review hier : https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/971859/_CP_411__-_Defence_in_a_competitive_age.pdf Sur les FS : (Blabla sans vraiment de concret.) Des forces "special operations capable" : On parle comme telles forces d'une "Special Operations Brigade" de l'armée, et de la future Future Commando Force. Des détails dans le lexique : Cette brigade semble être un grand nom pour un machin qui supervisera ce Ranger Regiment. Par ailleurs, son nom brouille les lignes avec les UKFS... (Et question essentielle : cette "Special Operations Brigade" sera-t-elle abrégée... SOB ? ) Quelques détails sur ce Ranger Regiment : Bon ces quatre bataillons sont déjà spécialisés dans ce rôle. La nouveauté sera leur regroupement et la structure qui sera mise au-dessus pour les gêrer. Mais aussi ! Une SFAB en plus des Rangers.
×
×
  • Créer...