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Rob1

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Tout ce qui a été posté par Rob1

  1. Juste pour le confort de mes yeux, je vous signale que ca s'écrit ARCTIQUE, messieurs-dames. ARCTIC en anglais si vous voulez.
  2. Paul Manafort fait un plaider coupable négocié pour un deuxième lot de chefs d'accusation, apparemment directement avec Mueller ceux-là (affaire séparée du procès ?). Par contre, toujours pas de signe que cette négociation comprenne un volet "coopération" avec lui. Dark Poutine (@DarthPutinKGB) : « Si Trump voulait qu'Hillary finisse en prison, il aurait simplement dû l'employer dans son équipe de campagne électorale. »
  3. Bien pointé. Jake Gyllenhaal est un peu plus jeune (37 ans), je l'aime bien, mais justement il ne va pas vraiment dans la case "star" pure et dure. Ryan Gosling même âge, et on ne l'a pas trop vu ces dernières années. PS: pourquoi quand je cherche True Detective sur Google pour retrouver le nom de l'acteur, le premier présenté au casting est une actrice de second rôle que j'avais pratiquement oubliée ?
  4. Les National Security Archive publient un hommage, avec en document... la critique déclassifiée (enfin, pas totalement déclassifiée, je me comprends) de son livre The Secret Sentry publiée dans le journal interne de la CIA : https://nsarchive.gwu.edu/news/intelligence/2018-09-10/remembering-matthew-m-aid-1958-2018 Edit : la critique m'a l'air juste, et j'aimerais qu'elle soit beaucoup, beaucoup plus longue. Le seul point noir est sa phrase sur le KAL 007, qui contredit complètement la propre histoire écrite par le même auteur (American Cryptology during the Cold War, 1945-1989 book IV) où il acceptait que le pilote ait pu ne pas identifier que c'était un avion de ligne, et donc par déduction, la NSA n'avait certainement pas d'interception montrant le contraire.
  5. Ceux-là pourront suivre un stage d'ouverture de porte au RAID...
  6. Et les agents du Mossad pourtant réputé ont aussi été filmés par la vidéosurveillance et leurs passeports identifiés après-coup lors d'un assassinat dans un hôtel à Dubaï en 2010. Personne n'est venu pinailler que que ça ne pouvait pas être Israël.
  7. Ce qui est étonnant, c'est que le FBI dit que Papadopoulos ne les a pas aidés, en fait, il ne leur a pas donné de témoignage utile. Il a été utile involontairement (ses déclarations à un diplomate australien je crois) en donnant la base pour lancer l'enquête sur la collusion, et les malversations de Manafort ne sont pas en liées à l'éventuelle collusion mais ont été découvertes au cours de l'enquête... Malgré cela, le juge a été clément.
  8. Le serment parle seulement de remplir la fonction de président et défendre la Constitution, je ne pense pas qu'il y a une interdiction formelle de mentir. C'est effectivement le gros paradoxe de cet éditorial. 1) soit l'auteur est ce qu'il dit, c'est à dire un Républicain classique qui cherche à avancer son programme en "gérant" l'ingérable bonhomme, et s'il y arrive autant qu'il le prétend, il n'a pas trop d'intérêt à dire. Peut-être qu'il voulait rassurer sa base, mais que dire des conséquences négatives ?? Il peut faire le pari que finalement, ca ne changera pas par rapport à avant dans cette maison folle, mais quand même... 2) soit les intentions de l'auteur sont autres... 2.a) son édito vise à faire péter un câble à POTUS, ou déclencher le 45e amendement, et donc l'auteur ne compte pas rester dans le statu quo qu'il décrit. D'ailleurs une phrase de l'édito évoque "jusqu'à ce que ça finisse d'une manière ou d'une autre", donc il n'envisage pas que tenir comme ça jusqu'à 2020. 2.b) certains ont remarqué que Trump et sa chargé de com' ont, pour une fois, bien réagi à cet édito, au point de suggérer que c'était louche. Dans ce cas, l'édito viserait à agir sur les électeurs : i) l'édito dit aux Trumpistes : "il y a un deep state, même chez les Républicains traditionnels, il faut les virer et voter que pour les Trumpistes purs et durs à tous les postes possibles" ii) l'édito dit aux Républicains traditionnels "on met en place notre programme en gérant le zigoto, continuons comme ça, votons républicain en novembre" iii) l'édito dit aux autres : "on gère le zigoto, pas besoin d'un parlement dans l'opposition pour ça, donc pas la peine de voter l'opposition pure et dure, ni de voter vraiment". Dans tous les cas, ce sont aux candidats républicains que ça profite, on peut douter de l'effet mais les élections s'annoncent serrées et tout est bon à prendre. Mais ce triple message est tellement bien réussi que je n'arrive pas à croire qu'on puisse l'avoir conçu aussi bien, surtout avec Trump impliqué dedans. Dans tous les cas, on peut se poser la question si le NYT a bien réfléchi avant de publier ce truc.
  9. En tout cas Poutine n'a pas démenti avoir écrit la tribune, donc il n'est pas impliqué.
  10. Sauf s'ils ont voyagé ensemble côte à côte dans l'avion (j'en sais rien), dans ce cas ils se suivent l'un l'autre dans la queue des passagers jusqu'à arriver devant la porte... Et a fortiori s'ils ont voyagé ensemble après être passés par la porte (j'en sais rien non plus), sans chercher à se synchroniser à la seconde près, ils évitent de se séparer sur le chemin à pieds. La coïncidence est beaucoup moins incroyable dans ce cas.
  11. P'tête bien parce qu'ils sont passés par deux passages différents (mais visuellement identiques) de la même porte d'arrivée de l'aéroport ?
  12. Démenti implausible. Pourquoi s'embêter à faire un démenti plausible alors qu'un truc fait par le stagiaire ne sera pas moins cru par les adversaires et sera autant avalé par les idiots utiles ?
  13. Tiens, l'apparition d'Ivanka dans la pré-publication du bouquin de Woodward me fait remarquer qu'on n'entend guère parler d'elle. Je me demandais aussi comment ça se faisant qu'on ne parlait jamais d'elle dans l'affaire russe alors que son frère et son mari y étaient bien cités... Pourtant elle me semblait être la plus proche de son père dans l'empire Trump. Est-ce qu'elle ne servirait que de potiche, en fin de compte ?
  14. La liste complète des auteurs présents : https://fr.calameo.com/read/001126275e7f407a65ff2
  15. Orr Kelly, Brave Men–Dark Waters: The Untold Story of the Navy SEALs (1993) C'est un ouvrage généraliste sur les SEAL, qui commence par parler de leurs ancêtres de la 2e GM et finit à la guerre du Golfe, que j'ai trouvé très intéressant et qui mérite une présentation très détaillée : Dans la légende des SEAL, le débarquement de Tarawa de fin 1943 avec ses erreurs est considéré comme l'évènement fondateur des UDT. Mais en fait, de telles unités avaient commencé à être entraînées avant. Les Scouts and Raiders sont créés dès mai 1942 pour soutenir les opérations amphibies. L'un d'entre eux, Phil Bucklew, observe les débarquements en Afrique du Nord fin 1942 où un groupe de marins démolit un obstacle barrant l'entrée du Wadi Sebou. Bucklew travaille ensuite sur les préparatifs du débarquement en Sicile avec les Combined Operations Pilotage Parties (COPP) britanniques qui font des reconnaissances hydrographiques nocturnes en kayak, et balisera des plages en Sicile (juillet 43) puis à Salerne (septembre 43). En janvier 1943 déjà, l'Army avait commencé à expérimenter la démolition d'obstacles sous-marins à Fort Pierce. A l'été, les Naval Combat Demolition Units (NCDU) sont créées en vue de détruire les obstacles du mur de l'Atlantique. C'est là qu'est créée la « Hell Week », une semaine de tests très sélective destinée à ne retenir que les hommes aptes à la mission. L'auteur soulève la question de comment s'assurer que la sélection sélectionne bien les personnes réellement compétentes pour ce job - et n'en exclut pas à tort ? Une question à laquelle personne n'a de réponse définitive et qui réapparaîtra plusieurs fois. Les NCDU s'entraînent à opérer en uniforme, à partir d'embarcations, de nuit, et mettent au point des méthodes pour détruire les obstacles. La natation n'est guère prise en compte. Les Scouts & Raiders font des reconnaissances pour le débarquement en Normandie, auquel les NCDU participeront en fournissant des équipes de 13 hommes. Seize de ces équipes, chacune combinée avec une équipe de 26 sapeurs de l'Army, débarqueront le Jour J pour ouvrir les sorties de plages, huit à Utah Beach et huit autres à Omaha Beach (sur cette dernière plage, les marins auront 52% de pertes). Dans le Pacifique, les Underwater Demolition Teams (UDT) opèrent en plus grandes unités, 80 hommes et 16 officiers. Leur première épreuve du feu a lieu à Kwajalein en janvier 1944. L'emploi de chalands explosifs télécommandés se solde par un échec. Des reconnaissances imprévues leur sont demandées, durant lesquelles ils inaugurent la méthode d'opérer de jour, à la nage en maillot de bain. Les UDT demandent un appui-feu naval important pour couvrir leurs opérations. A Saipan en juin 1944, ils s'aperçoivent qu'ils peuvent opérer relativement en sécurité, jusqu'à 15 mètres d'une plage tenue par l'adversaire : leurs têtes seules dépassent de l'eau, montant et descendant dans les vagues, ils constituent des cibles extrêmement difficiles. Ils rapportent, à cette occasion, que la route prévue pour les chars est trop profonde et trouvent un autre chemin à la place. Ils inaugurent également la récupération d'hommes par un bateau en mouvement. A Guam en juillet, les UDT doivent aussi détruire des obstacles sous-marins. A Peleliu en septembre, sous un feu continu, ils posent plus de mille charges pour détruire de nombreux obstacles artificiels et naturels, confirmant la validité d'opérer de jour. Le même constat est fait sur le théâtre d'opérations Pacifique Sud-Ouest, où Frank Kaine sera surnommé « le plongeur de MacArthur ». Les UDT des deux théâtres sont réunies pour l'invasion des Philippines. Les UDT subissent une expansion (tout en restant secrètes : ce n'est qu'après la guerre qu'un article sera publié à leur sujet). Quatre UDT prennent ainsi part à l'invasion d'Iwo Jima, où elles subissent leurs pires pertes (après Omaha Beach) quand 18 hommes sont tués dans le bombardement de leur destroyer. A Okinawa, ce sont huit UDT qui sont impliquées, où elles découvrent que dans ces eaux plus fraîches, les hommes passent en hypothermie après quelques heures. Une des UDT nouvellement formées se débande après la perte d'un de ses hommes, et on confiera le lendemain à une autre équipe le soin d'achever son objectif. Pendant la guerre, les États-Unis vont rater le train du développement des nageurs de combat. C'est pourtant un scientifique américain, Christian Lambertsen, qui met au point le recycleur LARU (Lambertsen Amphibious Respiratory Unit) dès 1940, mais l'US Navy n'y prêtera pas attention. Lambertsen trouvera preneur auprès de la Royal Navy, pressée de rattraper les Italiens, et de l'Office of Strategic Services (OSS). Les UDT ne le trouvent pas avantageux par rapport à l'apnée pour leur travail (de même qu'ils ne verront pas l'utilité des palmes, faute de les employer avec le mouvement de jambes correct). L'OSS sera le plus aventureux dans ses expérimentations, mais n'aura pas l'occasion de l'utiliser en opération. La guerre terminée, les seuls officiers restant dans les UDT sont ceux n'ayant pas d'autre ambition que de bien faire leur travail. Le commander Francis Douglas Fane expérimente des opérations type raid commando (destruction d'un objectif à l'explosif ; en revanche, il est contre les missions requérant l'emploi d'armes à feu), des opérations sous-marines et l'utilisation de la troisième dimension. Le LARU est adopté, mais vite abandonné au profit d'une autre invention : le scaphandre autonome de Cousteau, plus fiable mais adapté seulement à travail de génie sous-marin, pas aux nageurs de combat à cause de ses bulles. Le parachute, l'emploi de l'hélicoptère et le système Fulton sont testés. En Corée, les UDT mènent des opérations de sabotage depuis la mer, et de soutien à des guérillas, certaines sous autorité purement militaire, d'autres sous l'aile de la jeune CIA. Toutes ces expérimentations précèdent donc de plusieurs années les ordres de John F. Kennedy d'améliorer les capacités US de guerre non-conventionnelle. La haute hiérarchie de la Navy soutien fortement les initiatives de ces « pionniers », et les deux premières unités SEAL sont créées en 1962. Cependant, le choix est fait de conserver les UDT, même si les premiers personnels SEAL en sont issus. Dès leur création, les SEAL sont impliqués dans plusieurs préparatifs contre Cuba et, surtout, au Viêt Nam. (suite & fin) Le premier déploiement de SEAL au Viêt Nam a lieu début 1963, il s'agit de formateurs pour la guerre secrète de la CIA contre le Viêt Nam du Nord. Suivent l'année suivante les premiers conseillers des LDNN, les forces spéciales navales sud-vietnamiennes, puis l'intervention directe dans la zone spéciale du Rung Sat où les SEAL pratiquent des patrouilles et embuscades pendant 48 à 72 heures sans sommeil, en équipes réduites mais sous appuis d'artillerie ou aériens, pour interdire les mouvements Viêt Cong. Les SEAL perdent leur premier homme au combat à l'été 1966, marquant la fin de ce qui était jusque-là une « plaisante petite guerre ». Plusieurs SEAL quitteront les unités dans les semaines suivant cette mort. Un officier SEAL interviewé soulève une idée intéressante : à chaque fois que les SEAL ont eu une perte au combat, il y avait eu une erreur de faite. Viennent ensuite les opérations à large échelle dans le delta du Mékong et le reste du pays. Les SEAL se mettent à collecter leur propre renseignement humain à fin d'action. Ils découvrent qu'ils peuvent pénétrer les sanctuaires Viêt Cong. Un détachement travaille avec les PRU (Provincial Reconnaissance Units). Au total, ils auront 43 tués dans ce conflit. Trois SEAL (Bob Kerrey, Tom Norris et Michael Thornton) recevront Medal of Honor, la plus haute décoration américaine. Le chapitre suivant s'ouvre sur l'opération Thunderhead, qui vit le dernier SEAL tué au combat au Viêt Nam, pour développer l'histoire des mini-sous-marins (impliqués dans l'opération). L'histoire du développement des mini-sous-marins américains, comme celle des nageurs de combat, n'est pas très glorieuse pour une grande puissance. Un facteur est que la force sous-marine interdira aux UDT/SEAL d'opérer des mini-sous-marins « secs », ce qui limite leurs capacités. Le chapitre détaille l'évolution des différents SDV et s'attarde longuement sur les conséquences sur la physiologie des plongeurs qui les opèrent. La perte de chaleur est le premier problème, et plus les nageurs sont habitués à ces plongées, plus leurs corps sont rapides à « mettre en veille » leurs fonctions non vitales - à commencer par la dextérité des mains. De plus, l'absence de gravité trompe un senseur du coeur qui croit qu'il a trop de sang, et le corps se met à se délester de ses fluides - en huit heures d'immersion, un plongeur peut perdre un sixième de son volume sanguin, ce qui le laisse dans un état peu propice à l'effort physique. Pour ne rien arranger, la préparation des missions et l'attitude des SEAL de relever tous les défis font qu'ils ne suivent guère le régime le plus adapté à mitiger ces effets. Le (court) chapitre suivant raconte une anecdote lors de l'affaire du Mayaguez où un lieutenant (junior grade) SEAL a refusé un ordre idiot d'un amiral. Les officiers des SEAL dépassaient alors rarement un niveau subalterne, et ils ont souvent affaire à des officiers supérieurs qui ne connaissent pas grand-chose aux opérations spéciales. Ces officiers doivent donc risquer leur carrière pour éviter de suivre un plan inepte. Vient ensuite un chapitre sur le SEAL Team Six, créé spécifiquement pour l'antiterrorisme, ce qui signifie à son époque surtout la libération d'otages. En fait, il couvre surtout les controverses entourant son fondateur, Richard Marcinko, de la création du Team Six en passant par la Red Cell jusqu'à sa condamnation en 1990. En 1983, les UDT sont transformées en unités SEAL, l'argument étant qu'une force amphibie a besoin d'opérations type UDT et SEAL mais pas simultanément, et n'a de la place disponible que pour embarquer une seule section. Enfin, les interventions de la Grenade, du Panama et du Golfe ont chacune leur chapitre. L'auteur a réussi à reconstituer correctement les opérations des SEAL à la Grenade, souvent embrouillées. Le chapitre du Panama se focalise sur leurs deux opérations importantes : la démolition d'un navire par des nageurs de combat et l'assaut très controversé de l'aéroport de Paitilla (quatre morts). L'auteur vise surtout l'idée d'opération à plusieurs sections (il est vrai que même les partisans ont du mal à donner des arguments « pour »). Enfin, dans le Golfe, l'auteur présente la seule opération à haute valeur stratégique : la diversion faisant croire à un débarquement de Marines sur la côte. Bref, je pense que vous l'aurez compris, Brave Men–Dark Waters est une présentation des SEAL qui sort de l'ordinaire par sa profondeur historique et critique. C'est une excellente lecture de base sur les SEAL, et on aimerait un ouvrage équivalent du Golfe à aujourd'hui. La seule limite est son cahier photos assez pauvre (8 planches seulement).
  16. Je viens de voir l'info passer... c'est aux Invalides. Plus de détails et liste des éditeurs présents sur https://www.saint-cyr.org/article/1er-salon-parisien-du-livre-d-histoire-militaire/31/08/2018/920 Nimrod annonce Christian Prouteau & Jean-Luc Riva présents le samedi 15h-17h et Jean Alexandre Croisile (Sous l'uniforme allemand) les deux jours : https://www.facebook.com/les.editions.nimrod/photos/rpp.133390133346454/2064905893528192/?type=3&theater
  17. Je viens de penser... la Montagne du diable du titre, c'est Teufelsberg ?
  18. Je sens venir les critiques, après la bombe à 100 000 $ pour détruire un Toyotaliban à 1000 $, maintenant on l'utilise pour pulvériser un chasseur à dix kopecks.
  19. Je viens de voir sur passion-histoire.net l'histoire de ce coup-de-main français lors de la guerre de 1870 : http://www.etudes-touloises.fr/archives/128/art5.pdf
  20. J'avais lu un article il y a quelques temps sur ce genre de sujet, au cas où vous l'auriez manqué : http://www.thespacereview.com/article/2839/1
  21. Rob1

    Weapons Quiz

    Quelle est cette arme sur la couverture du dernier bouquin de François Morizur ?
  22. Et même toujours vendu sur le site de H&C : http://www.histoireetcollections.com/fr/hors-series-raids/900-raids-hs-n021-irlande-du-nord-1969-2006-3781694010953.html
  23. Ce post explique pas mal de choses : https://www.muckrock.com/news/archives/2018/aug/31/usps-foia-faq/?utm_content=buffer36590&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer
  24. Rob1

    Ici on cause fusil

    Une vidéo un peu originale : une démonstration d'armes diverses aux Special Forces US à Fort Bragg en 1974. Armes du bloc communiste puis de l'OTAN, beaucoup de trucs y passent. AKM, RPK, PK/PKM. Fusil tchèque vz.58 et mitrailleuse vz.59. Carabine type 68 chinoise et, originalité, un pistolet silencieux chinois type 64. Ensuite FAL dans sa version canadienne C1, MAG-58, Bren L4, G3, FN CAL, mitrailleuse allemande MG1 (MG3 ?), Sterling L34 silencieux, MP5SD premier modèle, pistolet silencieux Welrod 9mm, Walther P1 avec silencieux externe, et présentation sans tirer de Browning GP 35, Makarov et Tokarev. https://www.thefirearmblog.com/blog/2017/11/23/video-1974-special-forces-foreign-weapons-demonstration/ Les sous-titres anglais marchent bien, pour ceux qui n'arriveraient pas à suivre l'anglais je résume quelques trucs que j'ai remarqués : - Le fusil tchèque vz.58 a été utilisé lors du massacre de Lod selon l'orateur. - Le pistolet silencieux chinois type 64 (27e minute) est le seul exemplaire qu'ils aient, il a été capturé au Viêt Nam, il devait être utilisé pour assassiner le vice-président Hubert Humphrey lors d'une visite. La page a un lien vers une description détaillée du type 64. Malheureusement on n'aura pas de démo de tir pour celui-là, il s'aperçoit que le percuteur a été enlevé à l'arsenal. - L'intervenant dit qu'un groupe terroriste US, les "minutemen" (?) utilisait le FAL. - La MG1 ou MG3 est la mitrailleuse standard de diverses armées dont le Luxembourg avec... 10 exemplaires.
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