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Messages posté(e)s par Chimera
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Marine Britannique
dans Europe
Bah au moins ils ont de l'humour nos amis britanniques
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Marine Britannique
dans Europe
LOL, Big LOL.
Je lui aurait bien répondu E-2D Hawkeye, pour le plaisir de troller.
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Des nouvelles de nos adorables partenaires allemands.
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/nucleaire-bras-de-fer-en-vue-entre-paris-et-berlin-20210507
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[British Army]
dans Europe
"THE MOST LETHAL TANK IN EUROPE"
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Il y a 5 heures, g4lly a dit :
La propriété "intellectuelle" et les droits voisins c'est un sujet très glissant ... l'idée d'origine est plutot intéressante ... protéger les inventeurs et leur permettre de gagner un peu de sous.
Le souci c'est que ca devient rapidement un levier qui va contre l’intérêt collectif ...
... et quand ce collectif ce sont des centaines de millions de vies voir des milliards ... les petites histoires de sous s'efface.
L'Inde à mis le pied dans la porte il y a des années sans que le système ne s'effondre le moins du monde. L'OMS à institutionnalisé le système sans que personne ne gueule ...
Devant des probleme mondiaux ... l’intérêt collectif va rapidement et systématiquement primer sur l’intérêt individuel de toute façon. C'est un impératif pour compenser la globalisation ... que ce soit celle de la santé public ... de la pollution ... ou du réchauffement.
Je me permets de laisser Stéphane Bancel te répondre et j'arrête le HS:
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il y a 3 minutes, DEFA550 a dit :
Je dirai donc qu'on a marqué un point même si le match n'est pas fini.
Je dis qu'il ne faut pas jouer le match car on ne joue pas dans la même ligue et qu'on joue pas dans la même équipe.
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Quel cauchemar.
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il y a 9 minutes, Picdelamirand-oil a dit :
Ne t'en fait pas, dans l'équipe il doit bien y avoir au moins une personne dont la mission est de faire rater la négociation.
Malgré sa prestation de haut vol, Trappier semblait un peu désabusé sur le sujet lors de l'audition au Sénat. Tu ajoutes à cela le Joël Barre qui semble s'être converti à l'européisme béat en quelques mois. Rien n'est rassurant.
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Je me prépare psychologiquement à l'annonce, après celle sur la motorisation.
Aidez-moi s'il vous plait.
Je n'arrive pas à le croire.
Après tout ces efforts pour faire un Rafale qui se vend, qui répond au besoin des opérationnels, si bien conçu, si évolutif. Cet abandon total d'ambition me déprime.
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
il y a 11 minutes, rendbo a dit :Je pense que le principal atout du Rafale reste que c'est un avion d'abord produit pour la France, les moyens de la France (même si on voudrait tous les bonbons de la confiserie, à la fin il faut faire des choix), et la doctrine française.
Il permet à notre pays d'avoir une politique étrangère assez indépendante pour défendre seul ses intérêts et ses citoyens si besoin. Et l'air de rien, c'est un des grands rôles régalien de l'état.
Roh c'est ballot, tout ce qu'on pourra plus faire avec le SCAF.
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Citation
Je crois que la sécurité du pays, la défense de la France repose sur cette stratégie de coopération que le gouvernement Macron nous a demandé d'impulser en 2017.
Joel Barre sur BFM.
Le DGA.
Je n'en reviens pas.
Avec des repères pareils, comment être étonné qu'on abandonne en rase campagne sur les négos du SCAF ?
C'est quoi la next step ? un SNLE qui sort de Kiel ?
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Tiens Joel Barre sort du bois !
Quelle assertivité ! Pas de place au doute, ça va signer !
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Sinon des nouvelles de Joël Barre, le Délégué général pour l’armement ? Il devait passer au Sénat et puis plus de son plus d'images depuis des semaines...
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il y a 9 minutes, hadriel a dit :
Assieds-toi bien parce que je te rappelle que l'Espagne est le lead sur le pilier furtivité. Oui tu sais la furtivité, ce domaine ou la France a fait voler le Neuron, l'Allemagne a le démonstrateur LOUT au sol, et l'Espagne a ... euh bah absolument rien au fait.
What ????
Et ils ont une soufflerie aero les espagnols ??
Je vais m'évanouir je pense. C'est juste lunaire cette histoire.
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
il y a 39 minutes, Bechar06 a dit :De quelle propriété intellectuelle s'agit il ? J'essaie d'éclaircir
Si je relis l'article de OPEX360, ces extraits : "il faut quand même que les partenaires allemands puissent être à un niveau satisfaisant face à leurs homologues [français]. Nous devons donc voir très précisément les questions de propriété industrielle, de partage des tâches et de partage de leadership" + "Un accord sur l’utilisation des droits de propriété intellectuelle n’a pas encore été trouvé. Pour l’Allemagne, un accès sans restriction à la recherche financée conjointement est de la plus grande importance"
J'entends, selon, ces phrases là qu'il y a la PI Propriété Intellectuelle de ce qui est fait dans le cadre du NGF, et surtout financé en commun; pour simplifier il s'agit de Delta-PI-NGF
Or il y a tout le savoir faire et la PI de ce qu'a fait DA depuis la nuit des temps... Disons pour simplifier ce qui a été accumulé dans le cadre des programmes Mirage-2000 et Rafale. Appelons cela Base-PI-DA
Et aussi le résidu de PI des autres partenaires chacun pour leur part: soit Base-PI-AIRBUS acquis de l'EF notamment
Il est évident que DA ne va pas partir d'une page blanche et va mobiliser surtout sa Base-PI-DA dans l'élaboration du Delta-PI-NGF avec des parts de Base-PI-Airbus
Il y a donc 2 discussions de PI:
- celle sur le Delta-PI-NGF ( à travers ce Delta, visiblement les Allemands espèrent s'accaparer toute la base-PI-DA ... gratis ? en tout cas c'est ce que l'on soupçonne ici )
- et celle des acquis antérieurs : Base-PI-DA et Base-PI-Airbus
Rappelons nous les discussions passées sur la règle globale des 3 % de déficit ... Certains hommes politiques - rares - et des "experts - pensaient que la France, développant une force et une base industrielle de Défense indépendantes, de dissuasion mais pas que, pourrait faire exclure ses investissements de défense dépassants la "norme", de ses déficits récurrents... Autrement dit, par le passé "faire prendre en charge les investissements FR de Défense, assez uniques" en Europe UE ...
ALORS
QUESTION : Est-ce que le PR Macron n'a pas cela en tête ? Est-ce que "le Rachat" - Allemand au moins, ou Européen - de la Base-PI-DA, au titre des "investissements passés" ... n'entrerait pas dans cette discussion "NGF", et Imbroglio SCAF
AUTRE FACON de poser la même QUESTION : Combien les allemands sont ils prêts à mettre sur la table pour racheter une part de BASE-PI-DA et COMMENT ?
On en revient donc toujours au même point : on cherche a marier des acteurs qui ne jouent pas dans la même ligue depuis des décennies. Le retard à rattraper en Allemagne dans l'aviation de combat est trop important pour que la France ait quoi que ce soit à y gagner en montant ces partenariats.
Ce que fait l'Allemagne de manière bien peu discrète sur le spatial devrait être suffisant pour que nos décideurs comprennent les réelles intentions allemandes. Il semblerait que ce ne soit pas le cas.
Comment l'Espagne peut elle récupérer 33% de charge NGF, la production de la tubine basse pression, la tuyère, le radar, l'optronique avec Indra tout en ayant été insignifiante dans l'histoire de l'aviation de combat ces 70 dernières années ? Juste expliquez-moi parce que je suis encore sous le choc de l'annonce sur la motorisation.
C'était une bonne blague il y a encore un mois, là je suis en panique.
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Il y a 16 heures, Bon Plan a dit :
Mais voilà, ou trouver l'argent?
Eh oui, mais où donc pourrions-nous bien trouver l'argent pour financier une relance de notre industrie de défense, sécuriser notre indépendance, notre autonomie, notre dissuasion?
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ITP récupère 33% de charge. Incroyable.
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Il y a 22 heures, Teenytoon a dit :
Ok alors allons-y qui fait du ravitaillement en vol d’hélicoptère dans le tas ? Qui fait du suivi de terrain automatique ? Qui fait du posé sur terrain sommaire ? Qui a une allonge stratégique ?
Et maintenant le bonus dixan, qui fait tout ça à la fois ?
Que l'A400M soit versatile ce n'est pas un débat. En revanche, le prix payé pour atteindre cette versatilité et son utilité pour accomplir les missions de nos armées c'est autre chose. Je crois savoir d'ailleurs que le TM-LFF n'est pas pas une option retenue pour les 400m de l'AAE. J'aimerais quon m'explique d'ailleurs pour quelle missions de nos partenaires, dans quel contexte cette specification leur semble indispensable ? J'ai de gros doutes...
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Le 26/04/2021 à 03:51, Teenytoon a dit :
Ca te suffit comme comparatif ?
Quand je parlais de concurrents, je ne pensais vraiment pas à ceux par le bas mais ceux par le haut... An-70, IL-76, Y-20 et C17.
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Le 06/04/2021 à 09:51, capmat a dit :
Oui, c'est bien triste. Mais je pense que tu t'en remettras !
En tant que contribuable français, je me remets à peine du prix payé pour l'A400M, qui au final, rien d'exceptionnel face à ses concurrents.
Donc l'An-70 fabriqué sous licence, sortie d'usine de Mérignac avec des commandes de vol DA, sans sur-spécification à la con et sans l'incompétence allemande dans la boucle, j'aurais signé 100 fois et je te jure que ça aurait couté moins cher que notre coucou Airbus monté à l'espagnole.
Bon revenons à l'Ukraine, je ne sais pas ce que vaut le contenu de cet article, mais quelques billes sur les enveloppes et comment les ukrainiens pourraient payer:
https://nationalinterest.org/blog/buzz/rafale-fighter-what-ukraine-needs-deter-russia-183616
CitationRafale Fighter: What Ukraine Needs to Deter Russia?
The real problem though may be how to pay for the upgrades.
by Sebastien Roblin
The Ukrainian Air Force is in a tough spot. It has not had a single new aircraft delivered since the dissolution of the Soviet Union thirty years ago. But a recent Russian troop buildup in the Crimean Peninsula highlights the distinct possibility (but fortunately not inevitability) of intensified military conflict with Ukraine’s more powerful neighbor. And in 2014 combat operations Ukrainian warplanes suffered heavy losses to Russian missiles.
In May 2020, Kiev announced plans to spend up to $7.5 billion over the next fifteen years reinventing its air force by procuring thirty-six to forty-two advanced multi-role jet fighters. France is reportedly optimistic its 4.5-generation Rafale fighter is right for the job—and willing to provide the financial backing to make it happen.
French president Emmanuel Macron is expected to promote a Rafale sale in a visit expected this summer. Kiev may depend more on French support with the forthcoming retirement of German chancellor Angela Merkel.
Revitalizing Ukraine’s outdated air force is unavoidably a long-term project. Officially, the plan is to acquire six to twelve warplanes between 2023–2025 to begin familiarizing personnel, followed by another thirty aircraft acquired between 2025–2030. These would replace Ukraine’s short-range MiG-29 Fulcrum fighters.
Separately, Ukraine also is planning to spend $1.43 billion on new medium transport planes to enter service 2027–2035, $1.25 billion to overhaul its L-39 Albatross training jets, and $1.79 billion to equip four regiments with new medium-range surface-to-air missile systems.
The Rafale is a surprising favorite because it is a more expensive option than U.S. jet fighters or Swedish Gripen jets also under consideration. But Paris is optimistic that a guarantee of up to 85 percent of a loan to Kiev to pay for a Rafale buy (for which €1.5 billion has already been set aside) will seal the deal.
France also points to an existing commercial mechanism to sell aircraft to Ukraine established for a €551 million deal for 55 Airbus helicopters.
Paris and Washington may also offer fighters on generous terms as part of a longer game: to prevent China from purchasing Ukraine’s Motor Sich engine manufacturer.
Chinese firms have had difficulty producing high-performance turbofan engines for their jet fighters. Motor Sich’s tech could contribute to overcoming that technological bottleneck.
Chinese tycoon Wang Jing already owns a 56–76 percent stake of Motor Sich, but Ukraine has nationalized the company due to pressure from Washington. A rumored purchase of Motor Sich by French engine builder Safran could close off that possibility for good.
Besides, generous foreign assistance is a prerequisite to UAF modernization, as the service’s annual budget is only $300 million a year—equivalent to the purchase price of just three Rafales. On that budget, UAF pilots can only fly a handful of hours per year.
Even a successfully managed modernization of the Ukrainian air force would take many years before it results in useable warplanes for Ukraine.
Critics are skeptical that renovating Ukraine’s air force is a worthwhile endeavor due to cost and Russia’s demonstrated ability to inflict attrition on manned aircraft. Military aviation expert Tom Cooper told Forbes:
“Re-equipping Ukraine with a classic air force would ... require complete rebuilding of the local support infrastructure, retraining of all the personnel, growing an entirely new generation of personnel from bottom up all the way up to growing new commanders—and then it would take years to deliver all the aircraft. Then one would still have to bring the aircraft in question up to date with modern technology, equip them with modern weapons and comm systems and then train their air and ground crews.”
And all that would still leave the UAF thoroughly outgunned by Russian aviation and vulnerable to missile attack. Investing in cheaper unmanned aerial systems and land warfare might far more relevant to shoring up Ukraine’s precarious military situation in the near term.
In fact, Ukraine is separately moving forward with plans to induct forty-eight missile-armed Bayraktar TB-2 combat drones from Turkey. The Bayraktars aren’t exactly cheap but they’re still far less expensive to procure and operate than manned jets. Furthermore, they have repeatedly proven effective in battling Russian-built air defenses, and they remain more expendable (and thus useable) than manned jet fighters.
Of course, if Ukraine manages to avoid intensified hostilities with Russia, it will want to have sown the seeds to regrow its air force while it retains experienced personnel.
Rebuilding the UAF
According to Flight Global, the UAF’s inventory in 2021 counts twenty-six Su-27 long-range multi-role fighters and sixteen MiG-29 short-range fighters. In terms of bombers, it has thirteen Su-25 Frogfoot ground attack jets, and twelve Su-24 supersonic bombers.
That sounds formidable, but Ukraine’s combat aircraft have received few upgrades since the dissolution of the Soviet Union, leaving them vulnerable to modern anti-aircraft weapons.
Back in 2014, Ukraine initially committed its warplanes to its campaign against Russian-backed separatists in eastern Ukraine. However, Moscow provided short- and medium-range surface-to-air missiles to the rebels—and intervened on the battlefield in August. Land-based missiles and fighters shot down five Ukrainian Su-25s, two MiG-29s, and a Su-24, as well two transport and surveillance plane, forcing the service’s withdrawal from combat operations.
As Ukraine is now unlikely to buy warplanes from Russia, Kiev must consider more expensive Western combat aircraft. It will want jets it can afford to operate that are resilient to the surface-to-air missile threat. Ukraine doesn’t require long-range warplanes to defend its border, though such jets do allow for more flexible basing.
The twin-engine Rafale brings to the table its powerful SPECTRA electronic warfare system and trim radar cross-section of 1 m2. The French military considered that combination sufficient to allow Rafales to operate over Soviet-era air defense systems in Libya. The Rafale also is highly agile and is designed for operations from more rugged airstrips.
The U.S. jets also are an option. Washington has considerable political clout and already provides substantial military equipment and training to Ukraine. Furthermore, U.S.-guided weapons like the AIM-120 or JDAM bomb are cheaper and more diverse than French weapons.
An editorial by Stephen Blank for the Atlantic Council advocates that Washington donate inactive reserves of F-15 or F-16C jets, and E-2 radar planes, and KC-135 tankers, to Ukraine in a “Lend-Lease” package to deter Russia.
However, older aircraft may prove difficult to support, and the political will to give aircraft away for free (and increase tensions with Russia) isn’t evident. For that matter, Ukraine couldn’t begin to afford operating the 100 Western combat jets Blank calls for, even were they provided for free.
The “economy choice” for Ukraine remains the single-engine Lockheed F-16, the latest model of which is heavily upgraded. However, the F-16 doesn’t offer any particular counter to the surface-to-air missile threat other than using standoff-range weapons like the JASSM cruise missile.
Boeing’s short-range FA-18E/F Super Hornet, by contrast, has a reduced radar cross-section like the Rafale’s, and comes in an EA-18G Growler electronic attack model specifically designed for countering air defenses.
Ukraine’s air force chief has also expressed interest in the Boeing F-15EX, which is fast, long-ranged, and can carry heavy payloads, allowing it to replace the Su-24 jet’s strike capability. However, the F-15 is indiscrete on radar and costly to operate.
Finally, Sweden’s Saab Gripen-E jet may appeal to Ukraine due to its low operating costs, reduced-radar cross-section, and powerful electronic warfare capability. However, Sweden lacks the diplomatic and financial muscle to sweeten the deal as much as France or the United States.
Overall, Kiev doesn’t lack for 4.5-generation fighter options—but its biggest challenge remains determining whether investing long-term in jet fighters is the best use of its limited finances in a context of continuing tensions with Russia.
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il y a 20 minutes, Pakal a dit :
Cela dit je préfère qu'Hensoldt ai un actionnaire italien qu'américain
Désolé de te décevoir mais Leonardo est contrôlé par un actionnariat américain et britannique:
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Pendant ce temps, allemands and italiens avancent leurs pions. Thalès complètement marginalisé, la consolidation européenne se fait dans notre dos et le reveil de la team Dassault-Safran-Thalès va être dur dans quelques mois lorsque ce SCAF sera terminé.
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Des partenaires de confiance ces allemands. Quelles farces permanentes auxquelles on assiste.
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Présentation Pousse (l') Allemand
dans Presentez vous
Posté(e)
Bienvenu!
Je ne sais pas pourquoi, mais je pense déjà savoir dans quel camps tu vas te mettre dans le fil de discussion SCAF.