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Messages posté(e)s par Scarabé
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Pour info suite a une grosse magouille on va surement refaire un appel d'offre.
Le groupes français Vernet Carron qui devait produire sous licence en France le GaliI pour l'armée française dans le cadre de cette appel d'offre a lancé une procédure contre la DGA et HK. Bref on va gardé le Famas encore longtemps.
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et alors ,est ce que sa pose un PB majeur ?
Oui un problème de logistique de pièce de rechange de SIC different etc...
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Rafale Eurofigther
Leclerc Challenger
Viking Bronco
A part l'Aster on a quoi comme matos commun?
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L'actualité du CdG
dans Europe
Sur la vidéo c'est pas le CDG c'est un PA US
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Déjà ils n'ont pas voulu installer des catapultes sur leur PA. Ce qui veut dire que nous ne pourrons pas entrainés nos pilotes de Rafale quand le CDG sera en IPER.
Ensuite les anglais ne parlent pas le français et ne ferons aucun effort pour l'apprendre.
If we want to work with them we must speak english.
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Bref pour appliquer des schémas doctrinaux encore faut il que ces schémas existent et soient enseignés quelque part.
Enfin pour écrire ces documents peut etre des gens expérimentés dans le domaine sont ils nécessaires, combien de document sont écrit par des chefs de groupe pour des chefs de groupe, des cds pour des cds?
Nous donnent on vraiment les moyens d'une instruction réaliste? Emploi des airsofts interdit, emploi des simmunitions interdit, nombre de munitions limité. Quels moyens humains et matériels sont consacrés à la mise en condition opérationnelle décentralisée dans les unités? Nombre de spécialistes du tir, de la zub, de la tactique etc. dans un BOI?
J'ai éssayé d'etre bref.
Tu as raison mais il y a quand même certaines procédures à appliquer.
Par exemple lors de l’instruction TAC il y a des tubes qui doivent être mis en place en cas d’accrochage.
Les techniques d’action immédiate permettent d’instruire le tir au niveau collectif (équipe et groupe) ces technique facilite la réaction d’extrême urgence face à un rencontre imprévue qui impose une réaction immédiate des chefs d’éléments.
Les tubes sont des procédures qui permettent à une équipe, ou à un groupe de combat, pris à partie par un ennemi embusqué localisé, d’agir par le feu et le mouvement, dans les meilleures conditions en s’adaptant à la configuration du terrain. Le tube avant est considéré comme une action offensive les tubes arrière et latéraux est considéré comme une action défensive.
Sur la vidéo du 8 RPIMA posté plus haut le chef de groupe applique un tube latéral pour se sortir de l’embuscade et le mouvement semble bien coordonné.
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Su les VBCI les sacs servent à couvrir l'espace entre le filet anti RPG et le blindage. Mais bon pour le MALI ils sont arrivées après la guerre et n'ont pas servie.
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donc sa y est une vidéo et toute l'infanterie française à fait de la merde en Afgha ?
je pense pas ...
Je ne vois pas ou tu as lu ça, en tout cas c'est pas moi qui l'ai écris.
Il faut juste que tu comprenne que lorsque l'on dit réduction du budget de la défense on pense compression d'effectifs et baisse des achats de matériels. Mais il y a aussi un facteur important à prendre en compte: le budget alloué à la formation et à l'entrainement. En effet des pilotes qui volent moins, des marins qui sortent moins en mer et des soldats qui ne partent pas en manœuvre perdent peu à peu leur compétence et peu à peu on risque non seulement de se retrouver avec une micro armée sous équipée, mais aussi sous entrainée. La recette idéale pour un désastre stratégique.
En Afghanistan nous sommes partie avec une armée qui avait terminé ça professionnalisation. Mais qui n'était pas encore professionnelle. Elle l'est devenu au fur et a mesure de ses engagements. Et surtout avec une hausse du budget de la défense.
Aujourd'hui le niveau général et à nouveau à la baisse suite au manque d'entrainements des unités.
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
Toute les vidéo qui passe au JT sont des opérations de communication à destination de la métropole pour que le civil lambda devant son plateau repas et sa télé se dise que oui nos braves soldats se battent courageusement.
Mais Il y a aussi beaucoup d’autres vidéos qui sont tournées en OPEX et qui sont ensuite analysées par l’EAM des armées pour faire progresser les modes de combats.Moi je connais bien cette boutique et je peux par exemple vous faire une petite analyse d’une vidéo public ou une section du 3 RIMA se fait clouée au sol par 3 snipers Taleb et ou aucune consigne de combats n’est respecté
Petite précision et pas des moindres.
La présence de journalistes embarqués impliquant pour le chef de section de respecter une seule consigne : "pas de couille, pas d'embrouille!"
Je rappelle aussi que, la mission que l'OTAN avait confié aux forces françaises en Kapisa était de relier et garder ouvert l'axe Bagram-Jalalabad et qui passaient par les fameuses FOB mises en place par l'armée française : Tagab, Nijrab et Surobi.
Au départ l'armée française pensait remplir cette mission rapidement. 10 ans après la missions n’avait toujours pas été remplie malgré la présence sur place de 4 GTIA (groupements tactiques interarmes, soit l'équivalent de 4 bataillons) sur zone. Maintenant qu'on a plié les gaules et qu'on a rembarqué tout le monde.
On peux faire un petit débriefing
.
Pour en revenir sur la vidéo:
https://www.youtube.com/watch?v=ABzkLrCVYno
La mission de cette section était de reconnaitre la fin de l’itinéraire matérialisé par un muret ( objectif )
1 ) Ce n'est pas parce que ce muret la fin de l'itinéraire à reconnaitre que le chef de section ne doit pas moins faire preuve de ce qu'on appelle "l'intelligence de situation".
Si le lieutenant ne se rappelle pas de la définition de la mission "reconnaitre", il là le droit d'ouvrir son carnet de combat a un moment donné...idéalement avant de partir en mission!
Et sil il ne la connait pas du tout, faut revoir la formation aux Ecoles de Coetquidan et dans les écoles d'application des armes...
A défaut de le faire en arrivant donc sur cette limite et qu’on est pris à partie effectivement pile poil sur cette lim de faire un léger bond en arrière pour se redéployer sur une position plus favorable tout en gardant des vues sur cet objectif.
Je parle peut-être hébreu la pour certains mais pour tous ceux qui ont eu une instruction de cadre subalterne dans l'armée (caporal-chef d'équipe, sergent-chef de groupe ou lieutenant chef de section) ce n'est ni plus ni moins que l'application des textes et schémas définis dans les textes TTA et dans les manuelles infanteries type INF 202.
Aucun cadre militaire ne lui en aurait voulu de garder des vues sur le muret après avoir fait un bond en arriére!
Si il y en a, ils doivent eux aussi relire les manuels d'emploi ou se sortir de la tête cette mentalité "14-18" ou il ne faut pas céder un pouce de terrain à l'ennemi...c'est grotesque!
Mais donc quand bien même...
Depuis la professionnalisation, l'instruction au tir est dite celle de l'IST-C (instruction au tir de combat).
Premier échec : là on n'y est même pas!
L'agressivité n'est pas la et les consignes de maitrise et d'application des feux pas appliquées.
A se demander si il y a des chefs (de section, de groupe, d'équipe)...
Les mecs qui rafales en tenant le Famas ou la Minimi a bout de bras au-dessus de la tête c'est du niveau d'un milicien africain dans une guerre civile locale.
Quant au soldat qui tire une FLG (grenade a fusil, tirée avec son Famas donc) en tir pseudo courbe, sans visée préalable et qui ne fait pas but (normal!), il y a quelques années il aurait pris une claque de bon fonctionnement derrière la nuque pour le ramener sur terre.
La maitrise de sa consommation et de son unité de feu est vitale quand un engagement commence.
Le chef de groupe qui dit au chef de section "pas une bonne idée de passer la nuit ici"...bah je le comprends le pépère mais heureusement que Omar n'as pas de JVN et n'est pas peaufin au combat de nuit.
On comprend très bien d'ailleurs à ce moment-là que la consigne pour le lieutenant c'est effectivement de pas faire de casse et que cette consigne lui vient certainement de son commandant d'unité, qui la tient de son chef de corps, qui la tient de Paris...
Bah désole mais même sans parler de "gagner les cœurs et les esprits", pour ce qui est de réduire, neutraliser ou détruire les mecs en babouches et kalash avec cette stratégie là on n' est pas allé loin.
Cet échec la n'est pas tactique donc mais stratégiqueMais c'est le 2e que je tire comme conclusion de la vidéo.
Les mecs entasses comme des fruits derrière le muret...
Un obus de mortier de 60 (même pas la peine de sortir du 81 ou du 120mm) ou une roquette ou grenade AP (antipersonnel) qui tombe dans le bouzin et c'est "game over" pour la section!
Le sniper talib serait à 2-300m? Très bien...que font les TP (tireurs de précision) agglutinés avec le reste de la section alors que leur fusil FR-F2 leur permet de delivrer des feux precis AP jusqu'a 600m?
Même sans parler des TP, on voit l'utilisation a un moment donne d'un LGI (lance grenade individuel) il me semble....tir au juge, n'importe comment sans avoir d'indication précise de la position du tireur isole talib. Là encore, si les TP travaillaient tout simplement selon les procédures 00 (infanterie) définies dans l'armée française, la lunette type APX ou Scrome J4 de grossissement 4 de leur fusil FR-F2 leur aurait permis si ils avaient bosse selon les canevas/schémas définis dans la doctrine d'emploi d'une unité d'infanterie d'indiquer aux servants des armes a tir courbe (le LGI) une position plus précise de ce sniper ennemi...ou de le traiter eux-mêmes si ils en avaient reçu l'ordre!
Il n'y a pas besoin de "gadget" comme le périscope que préconise Shor kan, les moyens d'observation organiques d'une section d'infanterie française sont largement suffisants aujourd'hui.
Echec numéro 3 donc.
Je reviens à ce que je disais plus haut : heureusement que en face ils n'avaient pas d'armes a tir courbe genre mortier (1 obus de 60mm je le répète suffit dans ce cas précis a mettre la section au tas) ou qu'ils n'utilisent pas leurs RPG-7 en tir courbe comme le faisaient les miliciens congolais a Brazza en 1997 au dessus de l'aéroport de la capitale (l'aéroport était sur la ligne de front, on évacuait pendant que les belligérants se mettaient sur la tronche) après avoir compris qu'une roquette de RPG-7 après 7-800m retombe en enclenchant son système d'autodestruction.
Ca ne casse pas le blindage d'un véhicule en retombant mais dans un cas comme celui-ci, la roquette qui retombe en explosant au niveau du muret projette assez de déchets et d'éclats pour mettre des mecs hors de combat.
Maintenant se pose une question, sur ce qui se passe en France quant à l'instruction.
Vu le rythme d'activité actuelle pour les unités d'infanterie.
Donc passages par le CENTAC et le CENZUB à Mailly et Suippes, au CEITO dans le Larzac et hop magie la mise en condition opérationnelle est faite, ils sont prêts a partir.
Sauf que j'en viens à me dire franchement que ce rythme d'activité interdit de revenir sur les fondamentaux parce que sur cette vidéo, ils ne sont clairement pas appliques!
Dans la situation dans laquelle cette section s'est retrouvée il n'y avait que 2 solutions :
- le "zéro embrouille"
- "action, réaction" et, après s'être assurée que les TP voient et fixent l'objectif, "faire boule de feu" pour aller défoncer la tronche au mec qui les retient derrière ce muret si longtemps.
Le lieutenant à la tête de cette section a choisi la première...bien naturellement.
Je me dis qu'il a fait le bon choix finalement...
Parce qu'il aurait choisi la 2e, outre le fait de monter un assaut devant des journalistes (il sert de fusible et saute illico si il y a de la casse, images a l'appui), quand je vois la non maitrise des fondamentaux je pense qu'il y aurait eu de la casse...et pas qu'un peu !-
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Il semblerait que la coque soit perforée à plusieurs endroits et que la salle des machines est pris l'eau. Si en plus les safrans et les lignes d'arbres sont tordu suite aux chocs ça ne m'étonne pas que le navire soit HS.
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Vu que la tendance va de plus en plus vers des "Gardes-côtes Européens". Les chantiers Socarenam sont prêts à sortir d'autres exemplaires de leur patrouilleur afin de remplacer avantageusement toutes nos vielles barcasses qui font encore de l'AEM.
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Un patrouilleur de la douane s'échoue sur un récif
Dans la nuit du 31 mai au 1er juin 2014, le patrouilleur des douanes Arafenua, de retour d’une mission aux îles Marquises, est en transit vers Tahiti.
Vers 04h00 du matin le patrouilleur s’échoue violemment sur le récif de l’atoll inhabité de Tikei, situé à 300 nautiques de Tahiti, dans la partie nord de l’archipel des Tuamotu.
Les 11 hommes d’équipage, tous sains et saufs, évacuent rapidement le bâtiment pour se réfugier sur le platier de l’atoll.
Le personnel d’alerte des Forces armées en Polynésie française (astreinte état-major et détachement 35F, équipé d’hélicoptères interministériels Dauphin N3+), est contacté par le MRCC (centre de sauvetage en mer) de Papeete afin d’étudier les possibilités d’une mission de sauvetage des 11 naufragés.
Sous la conduite du centre opérationnel des FAPF, après un ravitaillement sur l’île de Fakarava et près de 3h00 de vol, le Dauphin atteint l’atoll.
La vedette échouée et les naufragés sont rapidement localisés.
Les 6 premiers d’entre eux sont embarqués à bord de l’hélicoptère et transportés vers l’île voisine de Takaroa située à 40 nautiques. Une fois les douaniers débarqués et pris en charge par la population locale, le Dauphin retourne à Tikei.
La suite du sauvetage est planifiée en deux phases : tout d’abord le sauveteur-plongeur embarqué à bord de l’hélicoptère et un des douaniers du patrouilleur sont hélitreuillés à bord de l’Arafenua afin de procéder aux dernières opérations de sécurisation du bateau et prévenir ainsi toute pollution. Ensuite, les 5 derniers naufragés sont embarqués à bord du Dauphin et évacués vers l’île de Takaroa.
Il aura fallu une journée et 6h30 de vol à l’équipage Rescue Tango pour porter secours aux 11 hommes d’équipage, permettre la sécurisation du bateau échoué et réaliser des prises de vue essentielles pour la préparation et l’organisation de l’opération de déséchouage qui sera mené prochainement par les moyens maritimes des FAPF.
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Peut-on récuser l'idée de garder le pare-brise?
Il me semble toujours que non. Quand on voit la fluidité du commandement que cela apporte, c'est une évidence. Avec des épiscopes, il n'y a qu'en regardant à travers que l'on sait ce qui se passe. Un pare-brise et un compartiment unique c'est tous les hommes qui voient ce qui se passe.
En 30 ans de RETEX sur les VAB les impacts sur les pares -brises sont la première causes des pertes aux combats. Et je ne suis pas sur du tout que les future VBRM rouleront avec des pares -brises
Par contre il semblerait que les roues des VBCI, des VBRM, et des EBRC, soient identique.
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On sait pourquoi le BPC n'est pas équipé d'un propulseur azimtuale plutot que des propusleurs d'étrave? Passé une certaine taille les propulseurs azimutaux téléscopiques sont peut fiable ou trop encombrant?
Les BPC ont des Podes
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post 1325 de ce fil illustre BPC russe avec bulbe , avec un propulseur d’étrave en plus par rapport à BPC France ( remarque faite par pascal en son temps ).
Cet appendice de nez est indispensable pour casser la résistance de vague et faire en sorte que ce navire puisse faire ses perfs de vitesse dont on a compris que les russes nous attendent au virage sur ce point ….
d’où sort cette info ?
Je viens de vérifier :'( les buldes d'étraves des BPC russes sont différentes.
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Je vous montre avec ses 3 photos les différences visible entre les différents BPC.
1 - les BPC Mistral et Tonnerre
Ces BPC ont une passerelle de défense à vue avec deux rangés de vitres. L'encadrement ( la barre) du milieux se trouvent juste dans le champs de visions des veilleurs ce qui bien sur est un comble pour une passerelle de veille et de défense à vue.
2 le BPC Dixmude
Les défauts des 2 premiers ont été corriger; Et on voit très bien l'unique rangé de vitre installer pour rendre de la visibilité aux veilleurs. Pour l'instant rien n'est prévu pour modifier la passerelle des 2 premiers
3 Les BPC Russes
Les Russes ont jugés inutile les passerelles de défense à vue ( pas dans leur doctrine) et ils ne les ont pas fait construire.
Vous pouvez le constater sur la photo du Vladivostock
Maintenant il y a plusieurs changement non visible entre les differents BPC.
Les postes de commandements
Celui du Mistral et d'un seule tenant et c'est un grand brouaba pour travailler quand le PC est activer. ( RETEX missions balistes)
Sur le Tonnerre des parois amovible ont été installés dans le PC pour casser le bruit et faire plusieurs salles.
Sur le Dixmude le PC à aussi des parois mais il est plus petit d'un 1/4 afin de rajouter une ranger de véhicule supplémentaire dans le hangar à véhicule voisin.
Celui des Russes est encore plus petit.
Les Hôpitaux sont identique sur les 3 Français et plus petits chez les Russes;
Le Dixmude et les BPC Russes ont 2 propulseurs d'étrave contre un seule sur le Mistral et Tonnerre.
Les Russes ont un hangar hélico plus haut mais le hangar à véhicule et plus bas. (hauteur plafond)
Le radier des Russes à une porte en haut pour le fermer. Afin de le protéger du froid.
La coque est bien sur renforcée pour naviguer dans les zones polaires. Et il me semble qu'ils n'ont pas le bulde d'étrave. ( à vérifier)
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Une fenêtre dans la porte arrière est, elle, assez importante pour voir sur la route ce qui suit.
En matière de surveillance, il faut rappeler qu'elle de fait depuis l'extérieur jusqu'au moment du contact.
Enfin, les fenêtres/hublots/vitres ne doivent pas gêner la fixation de matériel à l'intérieur comme à l'extérieur.
Le démonstrateur du VBCI n'avait pas de vitre sur la porte arrière. Et c'est la STAT qui l'a fait rajouté avant une production en série .
La vitre arrière sert juste à regarder sur quoi on va tomber avant d'ouvrir la porte . (Une foule hostile , un axe de tir de sniper, un obstacle etc... )
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Un VBCI moins, suivant le nom de la proposition initiale de Nexter pour le VBMR* serait déjà basé sur la version VTT dont le toit est à 2,25 m et d'autre part bénéficierait du caractère modulaire du blindage du VBCI : il serait "Moins" blindé donc moins lourd qu'un VBCI VPC à 28t ...
mais de combien ?
Ton article est de 2009
Depuis la situation à largement évoluée.
Un appel d'offre restreint a été lancé. Et c'est le consortuim Nexter Renault Thales qui a gagné le gros lot du programme scorpio.
Et le BMX qui sera présenté à Eurosatory servira de base à la DGA pour élaborée en 2015 le future VBRM.
Un VAB avec moteur hybride et également en cours de test à la STAT et ce moteur pourrait bien se trouver aussi sur le futur VBRM
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De toute façon les charognards ne manquent pas pour prendre la place des leaders
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C'est un MRPA et les MRPA sont au placard avec la fin des opérations en Irack et en Afghanistan.
Il est presque aussi gros qu'un VBCI cette engin pour des performances bien moindre.
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La Ciotat c'est Monaco Marine ils sont débordés de travail avec les grands Yachts. Et ils cherchent encore à s'agrandir. Et la place manque.
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Pas vraiment!!! Il n'y a pas grand chose de commun en le SCALP EG et le MdCN. Pas le meme moteur, pas la meme cellule, pas la meme charge militaire ... je ne sais meme pas si le soft est le meme, pas le meme imageur IR, je ne sais meme pas s'il on le meme alti radio ou la meme centrale inertielle!!! Tellement que le SCALP EG a besoin d'une mise a niveau alors que le MdCN n'est pas encore opérationnel ;)
On a vendu le MdCN comme une variante du SCALP pour faire passer la pillule du prix "exorbitant" du MdCN un peut comme certain on vendu le F18E comme une legere évolution du F18A :lol:
Les marins sont des escrocs mais il le font bien :lol:
Tu as raison G4lly mais c'est MBDA l'escroc dans cette histoire
Extrait fiche info MDCN:
Une version profondément modifiée pour répondre à de nouveaux besoins
Afin de répondre aux attentes de la Marine nationale, MBDA a dû modifier profondément ce missile connu Outre-Manche sous le nom Storm Shadow. La principale différence concerne la portée. En effet, alors que la version aéroportée n'est créditée "que" d'environ 400km de portée, la version marine sera quant à elle apte à frapper des cibles distantes de plus de 1000km. Bien évidemment, ce gain de 150% de portée a dû se faire au détriment de quelque chose. C'est donc la charge militaire du missile qui a été sacrifiée, perdant 150kg, pour être ramenée à 250kg. Ainsi, contrairement au SCALP-EG dont la charge en tandem lui conférait des fortes capacités de pénétration, le MDCN ne sera pas en mesure de traiter des objectifs dits durcis tels que des bunkers ou des sites enterrés. C'est une des raisons pour lesquelles les deux missiles seront complémentaires, l'un étant dédié aux cibles citées précédemment tandis que l'autre sera destiné aux objectifs plus "fragiles" comme les radars fixes, les dépôts de carburants ou les bases aériennes. Cependant, les deux missiles garderont comme caractéristiques communes les moyens de guidage en phases de croisière au moyen d'une centrale inertielle très précise pouvant au besoin être recalée par GPS (et possiblement plus tard par Galileo) avec une fonction de suivi de terrain TERPROM. Le guidage terminal se fera quant à lui grâce à l'imageur infrarouge présent dans le "nez" du missile
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On mélange le MdCN et le SCALP.
Le MdCN est considéré comme stratégique ... essentiellement a cause de sa portée de plus de 1000km qui place les raid complétement décorrellé de la ligne de front.
Le SCALP aéroporté lui n'a pas grand chose de stratégique a priori, c'est "juste" une bombe qui va plus loin.
Système de croisière conventionnel autonome à longue portée = SCALP
Et le MDCN n'est qu'une version naval du SCALP.
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Elles ont été révisées. D'ailleurs je pense que c'est celles là qui vont être montées en premier. Puis celle du Dupleix qui seront révisées pour aller sur le BPC 2.
En faite on n'a juste assez d'argent pour acheter des 20 télé-opéré pour nos FREMM . Alors on modernise nos BPC en faisant durer ce que nous avons, tout en réduisant encore un peu le personnel.
Eurosatory 2014
dans Evénements
Posté(e)
A noter qu'Ils ont prévu les rangements pour nos AIF. Un bon présage.
enfin je dit ça mais je dit rien.
En voyant la photo vous comprendrez qui doit en principe gagner.
Mais bon
We have to wait the end of the week to see what going one with this matter.