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Scarabé

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Messages posté(e)s par Scarabé

  1. le 7e bataillon de chasseurs alpins (7eBCA) a participé à l’expérimentation tactique (EXTA) des véhicules haute mobilité (VHM), au centre d’entraînement aux actions en zone urbaine (CENZUB), dans l’Aisne. Le 7eBCA fera également partie de l’exercice CERCES en décembre prochain, qui évaluera le VHM en milieu montagneux.

     

    voir la vidéo sur le lien

     

    http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/manaeuvre-urbaine-experimentation-tactique-du-vehicule-haute-mobilite

  2. On en apprend tous les jours..... ???

    En faite le génie les utilisés en Afghanistan pour ces équipes EOD avec les buffalos. Puis le plan de relance leur a fourni des ARAVIS.    

     

    Et comme vous aimez avoir des sources presse j'ai trouvé :happy:

     

    http://www.ttu.fr/afghanistan-100-mrap-pour-les-forces-francaises/

     

    http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2012/03/12/surplus-de-mrap-que-faire-de-la-plus-recente-icone-des-champ.html

  3. Pour info 90 RG 31 sont officiellement en service dans l'armée française suite à un don  des USA à la France.

     

    20 de ces engins sont à l'école du Génie à Angers. Environ 40 d'entre eux (couleurs sable) sont maintenant stockés sur la base françaises des EAU.  Les autres sont restés en Afghanistan (mauvais états après une sur

    exploitation)

     

     

     

     

    .   rg31mk52meda.jpeg

  4. Ca c'est toi qui l'affirme. Pour le moment l'armée efficace tout le monde crache dessus, alors quelle n'est meme pas en rythme de croisiere. Visiblement cette armée "prétorienne" coute trop cher, et on arrive plus a cumuler les subvention a nos industriel sous couvert de défense, ET la masse salariale.

    .

     

    Les Anglais ont une armée professionnelle depuis 1961  et ils n'ont jamais eu ce type de problème  .

  5. Le programme SCORPION vise justement à donner un système de commandement numérisé commun à toutes les plateformes si j'ai bien compris.

    Oui 

     

    Et c’est dans cette optique que le système FELIN prend tout son sens. Il permet en effet cette intégration de chacun des éléments pour faciliter le travail interarmes, dans chacun des domaines, protection, agression mais surtout communication par la géo-locali-sation des éléments. C’est pourquoi, il est nécessaire de continuer à prendre en compte ce nouveau système et de s’entraîner pour que la technique favorise la tactique.

    Le CENZUB  est l’endroit idéal pour le faire mais toute localité, tout quartier offre déjà la possibilité d’acquérir les savoir-faire fondamentaux.

  6. Surtout que les dernières version de l' AMX10 sont à bout de souffle suite au rajout de blindage.

     

    Lire résumé des RETEX de:

     

    L’AMX 10 RCR SEPAR

    Système de Protection EEI pour AMX 10RCR. Le mot « Separ » signifie « bouclier » en persan. 

     

    Des cavaliers mieux protégés…mais moins manœuvrant ! 

     

    Les conflits récents et actuels ont mis en évidence le besoin de protection des équipages, (La protection inclût l’intégrité de l’habitacle)  et par voie de conséquence, d’amélioration de la survivabilité des véhicules. Afin d’améliorer la protection des équipages AMX 10 RCR engagés au sein de l’opération extérieure PAMIR l’état- major des armées a demandé en 2010 la réalisation en urgence opérationnelle d’équipements de protection contre les mines et les engins explosifs improvisés (EEI) visant à réduire les dommages directs ou indirects des attaques de l’adversaire. Dans ce cadre, des AMX 10 RCR équipés du SEPAR sont déployés en Afghanistan depuis novembre 2011.  

    En complément du brouilleur EEI intégré dès 2008, le système SEPAR comprend plusieurs dispositifs. En premier lieu, une plaque de protection ventrale et des renforts de caisse permettent d’éviter, en cas d’explosion d’un EEI enterré ou placé sous une buse, que le souffle et les projections associées ne pénètrent dans l’habitacle. Un système de plaques de protection latérales est adjoint pour contrer les effets similaires d’un EEI placé en bord de route. Des aménagements intérieurs, harnais de maintien et repose-pieds, empêchent ensuite que les membres d’équipage ne subissent l’onde de choc d’une explosion. Afin de faciliter les déplacements tactiques nocturnes, un phare infrarouge (IR) a été enfin ajouté, augmentant en profondeur et en largeur le champ de vision de nuit du pilote.  

    Les conséquences de l’intégration du SEPAR sont naturellement l’abaissement de la garde au sol de l’engin (de 65mm) et son alourdissement à 19,2 tonnes, soit une tonne de plus que la masse qualifiée par la direction générale de l’armement (DGA) lors de l’opération de rénovation. De ce fait la STAT a proposé les restrictions et recommandations d’emploi afférentes, qui concernent principalement les capacités de franchissement, ainsi que le freinage demandant une plus grande anticipation. Estimant nécessaire qu’une prise en main soit réalisée avant toute utilisation opérationnelle, la STAT a accompagné la création d’une instruction spécifique lors de la mise en condition avant projection (MCP) conduite par le détachement d’assistance opérationnelle (DAO) du 1er régiment de chasseurs d’Afrique. Compte tenu des caractéristiques de cet AMX 10 RCR équipé du SEPAR, l’autorisation d’emploi opérationnel prononcée par l’EMAT est circonscrite aux théâtres d’opérations et aux exercices strictement nécessaires pour la MCP.

     

    Les conséquences de l’intégration du SEPAR sont naturellement l’abaissement de la garde au sol de l’engin (de 65mm) et son alourdissement à 19,2 tonnes, soit une tonne de plus que la masse qualifiée par la direction générale de l’armement (DGA) lors de l’opération de rénovation. De ce fait la STAT a proposé les restrictions et recommandations d’emploi afférentes, qui concernent principalement les capacités de franchissement, ainsi que le freinage demandant une plus grande anticipation. Estimant nécessaire qu’une prise en main soit réalisée avant toute utilisation opérationnelle, la STAT a accompagné la création d’une instruction spécifique lors de la mise en condition avant projection (MCP) conduite par le détachement d’assistance opérationnelle (DAO) du 1er régiment de chasseurs d’Afrique. Compte tenu des caractéristiques de cet AMX 10 RCR équipé du SEPAR, l’autorisation d’emploi opérationnel prononcée par l’EMAT est circonscrite aux théâtres d’opérations et aux exercices strictement nécessaires pour la MCP. 

    Au terme de six mois d’engagement opérationnel, le retour d’expérience du CFT a montré la satisfaction globale des utilisateurs, au regard du juste compromis entre protection, mobilité (qui reste un élément fondateur de la protection d’un porteur blindé) et mise en œuvre opérationnelle.

                                                        

    - 13 – Septembre 2013

    Les études de conception se poursuivent, afin d’améliorer en particulier l’ergonomie des aménagements intérieurs. 

    En somme, cette opération a conduit à déployer en adaptation réactive une solution complète sur un théâtre d’opération éloigné moins de dix-huit mois après l’expression du besoin opérationnel. Ce succès a largement reposé sur la bonne coordination des organismes de l’armée de Terre impliqués dans ce projet (principalement STAT, SIMMT, CFT, EMS/EC et EMAT), la bonne compréhension du besoin et la volonté d’aboutir de la DGA ainsi que l’implication et l’anticipation de la société NEXTER Systems, maître d’œuvre industriel de l’AMX 10 RCR.  

    Les travaux menés par l’équipe de programme intégrée (EDPI) pour améliorer les performances de l’AMX 10 RCR et les adapter aux conditions d’engagement opérationnel ne se sont toutefois pas arrêtés au stade de ce premier déploiement. Plusieurs projets sont en cours d’instruction et pourraient être déployés prochainement sur les théâtres d’opération.  

    En premier lieu, il s’agit de protéger les équipages face aux attaques de roquettes antichar de type RPG par l’ajout d’un système réduisant les possibilités de perforation. Cette opération s’inscrit dans le cadre de la lettre d’urgence opérationnelle n°5 et pourrait aboutir début 2014. En second lieu, il s’agit d’améliorer le niveau de protection « sous la roue » face aux mines et aux EEI en intégrant des renforts sur les déports de roue des essieux avant et médian. Si les essais sont concluants ces systèmes pourraient être déployés mi-2014. L’équipement en systèmes « anti-projection des équipements intérieurs » et « anti-détonation des réservoirs » n’a en revanche pas été retenu au regard du calendrier, de la complexité d’intégration et des coûts envisagés.  Il s’agit enfin d’intégrer un phare de chasse et de recherche visant à améliorer les capacités d’observation et de tir en condition nocturne, voire à permettre l’intimidation d’une foule hostile ou à décamoufler un ennemi cherchant à s’infiltrer dans un dispositif ami.  De nature mixte (lumière visible et proche IR), ce système disposera d’une position coaxiale et d’un support orientable. Le volume de deux escadrons pourrait être équipé courant 2014. 

     

    Les travaux réalisés entre 2008 et 2013 dans ce cadre singulier d’adaptation réactive, qu’ils aient conduit à des succès ou à des échecs, auront eu également cette vertu de permettre à l’EDPI de faire les justes choix dans l’expression de besoin de la fonction protection de l’engin blindé de reconnaissance et de combat (EBRC), destiné à remplacer l’AMX 10 RCR à l’horizon 2022.

  7. De nouvelles munitions pour le char LECLERC.

     

    Le char LECLERC mis en service dans l’armée de Terre française dans les années 90 avec seulement deux types de munitions guerre, destinées à arrêter les vagues de blindés du pacte de Varsovie : l’obus flèche F1 (OFL F1) et l’obus explosif charge creuse (OECC). Ces deux munitions permettaient de percer tous les blindés de cette époque, y compris ceux équipés de blindage réactif.

    Mais rapidement, l’environnement du char et les missions qui lui sont dévolues ont évolué, avec de plus des cibles potentielles plus variées. Dès les opérations au Kosovo, en 1999, la nécessité de disposer d’une munition anti-personnelle était apparue. Dans les années 2000, la multiplication des conflits ayant pour cadre la zone urbaine a confirmé ce besoin et l’a complété par un besoin anti-infrastructure et de tir à courte distance.

     

    L’obus explosif (OE) de 120mm pour char LECLERC a ainsi été développé et est maintenant disponible pour les opérations. Le projectile de 16kg, dont plus de 3kg d’explosif, génère à l’impact un souffle puissant et plusieurs milliers d’éclats lui donnant une capacité anti personnel, anti-infrastructure et anti-blindé léger.

     

    L’obus à effet canalisé (OEFC) de 120mm a été développé pour la zone urbaine et le tir à courte distance, il sera bientôt livré à l’armée de Terre française. Ce projectile libère à la sortie du canon, lors du tir, 1100 billes de tungstène à 1410m/s. Il est efficace jusqu’à 400m et se comporte comme une grosse cartouche de chasse. Il est capable de neutraliser un groupe d’infanterie sur un front de 30m à 400m, de percer un mur en parpaing, de briser des obstacles en concertinas ou d’arrêter un véhicule léger.

     

     

  8. @bpc

     

    La tourelle du 40CTA en cours de définition doit être adaptable sur tout type d'engin y compris le Leclerc le VBCI les BMP les Warior etc... Pour que justement elle puissent être vendu à l'export.

     

    Notre armée de terre a choisi de l'utiliser que sur notre future EBRC. Mais cette tourelle une fois en service sera aussi tester sur châssis Leclerc juste au cas ou.  

     

    Par contre on sais maintenant qui touchera les premiers EBRC. Il s'agit du 1 REC qui va déménager à Carpiagne parce que les installations flambant neuve du 4em Dragons seront beaucoup plus adaptés pour EBRC. 

     

    Le 1 REC va d'ailleurs perdre des effectifs lors de son démènagement parce que son escadron d'aide à l'engagement va être dissous.  

  9. Bon je sais pourquoi nous avons vu des AUF 1 au CENZUB 

    Parce que si  la notion de SGTIA est désormais pleinement acquise, il faut encore descendre d’un niveau et favoriser la création de détachements interarmes (DIA).

     

    La création d’un DIA consiste donc bien, en pratique, à détacher d’abord un engin de cavalerie blindée et un groupe génie auprès d’une section d’infanterie. L’engin de cavalerie apporte le choc de ses feux et permet de créer des relances de l’action.  Le sapeur travaille lui dans les quatre niveaux de la zone urbaine, souterrain, sol, étages et aériens. Cette configuration octroie à la section une plus grande autonomie et sur tout elle lui permet de maintenir un rythme élevé, gage de réussite de la mission, pour bousculer l’adversaire et ne pas lui laisser le temps de se réarticuler. L’extension de l’intégration à ce détachement peuvent être ajoutés d’autres éléments, provenant de cellules très diverses. L’équipe cynotechnique en premier lieu est particulièrement adaptée au combat en localité par la capacité du chien à entrer en premier dans des pièces et à déceler toute personne cherchant à se dissimuler ou à défendre une position conquise pendant une pause tactique.

     

    Il y aussi des DIA lourd qui sont composés de 2 Leclerc 1 AUFI et un EBG.  Le toute éclairé par des fantassins et des Drac. Voir des drones terrestres

    Les avantages procurés par FELIN en ZUB sont non seulement conservés, mais permettent surtout un abordage et une pénétration plus efficace de l’unité. La numérisation permet au SGTIA de mieux coordonner sa manœuvre. Le commandant d’unité (CDU) a en permanence une connaissance claire de sa situation tactique. Les véhicules comme les sections débarquées sont géolocalisées et communiquent avec son SIR Les sections d’infanterie peuvent s’infiltrer au plus près, en toute discrétion, combinant les capacités de navigation et de communications discrètes du RIF.

     Les éléments interarmes – sapeurs, artilleurs, cavaliers – sont également numérisés et apparaissent sur la situation tactique (SITAC).Une fois le dispositif en place, les informations recueillies ennemie, population, obstacles, etc.  Sont partagées par tout le SGTIA.

     

     

  10. Perso , je pense que cet AHTS est trop puissant car avec un BP de 170 tonnes au croc , on est bien plus près d’un profil BSAH que celui d’un BMM pour lequel on demande nettement moins il me semble . En tout cas , mis à part cet écart de BP , BSAH et B2M semblent quand même très très proches en terme de cahier des charges de navires de servitudes multi-missions …….

    Je viens de relire les 2 appels d'offres et je pense que tu as raison

     

    Voir appel d'offres B2M

    Le marché consiste à acquérir et à maintenir en condition opérationnelle des bâtiments multi-missions (B2m) hauturiers et polyvalents. A titre indicatif, ces bâtiments d'une longueur de l'ordre de 60 à 80 mètres et d'un déplacement supérieur à 1 000 tonnes, capables d'une vitesse comprise à titre indicatif entre 12 et 15 noeuds navigueront dans des zones Outre-Mer (Antilles, Océan Indien, Polynésie, Nouvelle-Calédonie). Ces bâtiments devront bénéficier de bonnes capacités de manoeuvrabilité. Ils seront équipés chacun d'une embarcation de travail (d'une longueur de l'ordre de 8 mètres) et d'une grue permettant l'embarquement et le débarquement de conteneurs EVP. Ils auront la capacité de mise en oeuvre d'embarcations légères ainsi que de plongeurs. Ils pourront transporter des armes et des munitions. Ces bâtiments pourront avoir des missions d'une durée approximative de 30 jours sans ravitaillement

     

     

    Voir appel d'offres BSAH

     

    Les BSAH et leurs équipages militaires ou civils sont destinés à principalement réaliser les missions suivantes :

    - remorquer en flèche un porte-avions de 75 000 tonnes par mer 5 (niveau de traction au croc correspondant évalué à environ 120 tonnes) ainsi que les bâtiments de la classe " Mistral " ;

    - mettre en oeuvre le NATO Submarine Rescue System (système de sauvetage pour sous-marin en détresse réalisé par le Royaume-Uni, la Norvège et la France) ;

    - porter assistance à un autre bâtiment en détresse (incendie, voie d'eau...) ;

    - participer à des opérations portuaires telles que la manutention d'objets lourds de 50 tonnes ;

    - lutter contre les pollutions en récupérant et stockant un volume d'hydrocarbure supérieur à 1000 m3 et en épandant les dispersants ;

    - remorquer à couple des sous-marins nucléaires pour la composante militaire uniquement

    Les navires doivent posséder les caractéristiques générales suivantes (les valeurs chiffrées sont indicatives) :

    - une grande modularité des capacités d'emport et des possibilités de reconfiguration importantes ;

    - opérer sur tous les océans et dans toutes les conditions météorologiques, aux voisinages des côtes et en haute mer, sans avoir besoin d'évoluer dans les glaces ;

    - une vitesse maximale continue en route libre idéalement supérieure ou égale à 15 noeuds, au déplacement charge complète par mer 3 ;

    - une autonomie en vivres de 45 jours ;

    - une autonomie en carburant de 8000 nautiques à 12 noeuds ;

    - pouvoir accueillir 20 passagers supplémentaires en plus de l'équipage ;

    - une zone d'hélitreuillage et de ravitaillement vertical par hélicoptère .

     

    Les 4 bâtiments de la composante militaire seront identiques entre eux, conformes au règlement d'une société de classification reconnue par le ministère français chargé de la marine marchande et devront être capables d'accueillir un équipage permanent de 12 à 15 personnes. Ils seront sous pavillon national et inscrits à la liste navale.

    Les 4 bâtiments de la composante civile pourront être sous un pavillon européen appartenant à la liste blanche du Mémorandum d'entente de Paris sur le Contrôle des Navires par l'etat du Port signé en 1982.

    Le dialogue permettra de déterminer le niveau nécessaire de maîtrise de la langue française, par les personnels du cocontractant, et notamment par tout ou partie des équipages de la composante civile.

     

  11. Normalement c'est lui.  

     

    Pas de plateforme hélico mais une grue pour décharger les containers

     

      LA FICHE

    19-C197-Ulysse.jpg

    1

     

    CARACTERISTIQUES PRINCIPALES

    Longueur HT:    69.70m   

    Largeur:            17.20m  

    Creux au PP :      7.20m 

    Combustible :       972m3

    Eau douce :         411m3

    Equipage + passagers: 33

    Coque/superstruct. : acier

    Vitesse maxi:16 noeuds

    Traction : 170T

     

    PROPULSION / PRODUCTION D'ENERGIE          

    4 moteurs principaux : 3 600 Cv         

    hélice à  pales fixes :  2 x 3 600 mm                  

    alternateur attelé :       2 x 2200 kVA          

    groupe électrogène :   2 x 312 kVA  

    groupe de secours :    1 x 237 kVA       

              

    INSTALLATIONS SPECIALES          

    équipements de pont

    - 1 treuil de remorque de relevage

      d'ancres

    - tambour de remorque 3 600m de câble

      

     

    http://www.piriou.com/fr/nos-produits/service/offshore-petrolier/supply-70m/61.htm

  12. d'ailleurs on peu avoir un ordre d'idée ,de se que peut-être le nombres de gens ayant des capacités pour passé chez les FS .

    avec les SAED et GCM ,GCP et EOP (ou les spécialistes génie ) sa réduit quand même la marge de qui a a des capacités pour intégrer ses "commando " .

    alors qu'on a un paquet de jeunes dans les cies de combat qui ont connu le feu et l'action mais n'intégreront jamais ses unités d'élite du régiment .

    donc s'est peut-être chez des personnels issu de ses formations (SAED ,GCP ,GCM ,EOP et spécialistes génie  ) qui pourraient "prétendre" à tenté les tests d'entré chez les FS .

     

     

     

     

    Tu as oublié les "commandos amphibies" du 21ème RIMA 

     

      Après les GCP et les GCM, voici le GCA. Le 21ème Régiment d'infanterie de Marine vient de se doter de ses propres commandos, à l'image des Groupement de commandos parachutistes (GCP) des régiments de la brigade para ou des Groupement de commandos Montagne (GCM) de la brigade alpine.

    Il s'agit du Groupe commando amphibie (GCA), composé de deux commandos de six hommes et d'un groupe de commandement, soit une quinzaine d'hommes. Sa mission est de "surveiller et ponctuellement saisir des objectifs, après une mise en place héliportée ou une mise à l'eau" explique le capitaine Braun, commandant de la CEA du 21, dans le dernier numéro d'Héraclès, publié par le Centre de doctrine d'emploi des forces (CDEF) de l'armée de terre. L'infiltration peut se faire à la palme, en Zodiac et éventuellement en kayak, à la manière des commandos-marine. Le GCA est équipé de matériels spécifiques (appareils de prise de vue ou GPS couplés à des jumelles).

  13. @ Raoul

     

    Pas une bonne solution vu les conditions météorologiques, le terrain difficile et surtout l'éloignement.

     

    Surtout quand on sais que les forces américaines ont mis plus d'un an pour déloger les petites forces japonaises qui occupèrent les îles d'Attu et Kiska à l'extrémité occidentale des Aléoutiennes en octobre 1942.

     

     

    Et il faut aussi penser dans cette Unchronie  que la chute d'Hawaî entraine la chute de Midway et Wake.

     

    La voie Sud via Tahiti me semble une meilleur solution. 

  14. Le 8 décembre 1941 les japonais débarque à Hawaï.

     

    Le 7 décembre après une troisième  et quatrième  vague  de bombardement les Cuirassiers et les Croiseurs commencent à bombarder les iles d’Hawaï.

    Dans le même temps une deuxième flotte japonaise avec des navires de transport et de ravitaillement se rapproche par le sud. Avec environ 100 000 soldats escortées par un Cuirassier quatre Croiseurs et de nombreux Destroyers.

    Le 8 décembre au matin les navires de débarquement japonais se rapprochent de la côte les survivants américains qui ont subi une nuit entière de bombardement navale sont à bout de souffle. La défense des plages est complètement désorganisée. Avant l’arrivée des premières chaloupes de troupes japonaises les Zéro font un dernier passage en piqué sur les derniers défenseurs.

    Pendant que d’autres troupes impériales débarquent en force sur les iles de l’archipel (notamment la grande ile d d’Hawaï. mal defendue).  Sur Oahu ou se concentrent les troupes américaines les bombardements navales et aériens se poursuivent en même temps que de nouvelle troupes débarquent.  

     

    Le 9 Décembre le porte avion « Entreprise » à cours de ravitaillement et attaquer par l’aéronavale japonaise et coule après plusieurs impact de bombe. Trois navires de son escorte subissent le même sort. Les pertes américaines dépassent maintenant les 5000 morts.

    Dans le même temps à terre la totalité  de l’aviation américaine est détruit les 4 iles sont aux mains des japonais les combats se poursuivent sur Oahu mais ce n’est plus qu’une question de temps avant que les derniers défenseurs ne soient réduit. Au Japon d’autres transports appareil pour rejoindre les iles afin de ravitailler et renforcer le corps expéditionnaires. 

     

    Le 15 décembre le drapeau japonais flotte sur toutes les iles de l’archipel et les troupes japonaises commencent à construire  des fortifications en vue d’une éventuelle contre-attaque. Les installions radar ainsi qu’un dépôt de carburant ont été capturé intacte. Des bombardiers lourds japonais atterrissent sur la piste capturé intacte Un croiseur japonais rentre dans le port pour signer la réédition avec l’amiral commandant les troupes américaine à Hawaï

     

     Les Etats unis sont sous le choc et n’ont pour le moment aucun moyen pour reprendre les iles. Les porte-avions américains ont reçu l’ordre de se replier sur San-Diego pour protéger la cote américaine qui pourrait à son tour subir une attaque.

     

     

    Maintenant combien faudra il de temps aux américains pour reprendre l’archipel Hawaï et comment vont-ils faire ?

     

  15. Le renouvellement des Patmar ne serait il pas l'occasion d’acquérir des capacités Gunships ? 

     

     

    Des CASA gunship sont déjà en service en Jordanie et au sultanat d’Oman

     

    En France l’armée de l’air souhaite en acheter 3 pour équiper l’escadron des FS Poitou.

    Ces avions une fois en service pourraient voler au secours de commandos en difficultés. Il est prévu d équiper ces trois nouveaux CASA de mitrailleuses Dillon d’un canon de 40 (peut être le CTA) et de missiles helifire.

     

    Cet achat semble même devenir une priorité dans le cadre du renforcement des FS.  Le remplacement des tigres HAP (des FS°) par des HAD pourrait lui aussi intervenir très vite. Bref la mort d’un pilote de Gazelle au Mali aurai fait bouger les lignes en matière de première intervention.    

     

    Quand aux missiles helifire ils seront remplacer à terme par le nouveau missile MPP. Ou là aussi les choses semblent aller en bonne voie avec le nouveau LB

  16. Bien qu'opérant souvent "derrières les lignes", les commandos et les FS ne doivent pas être confondus.

    Les premiers remplissent surtout des missions tactiques (voire opérationnelles), ne restent pas isolés trés longtemps et de dépendent pas d'une grosse infrastructure à l'arrière.

    Les seconds sont plus utilisés dans des buts stratégiques, restent isolés plus longtemps et s'appuient sur une importante infrastructure à l'arrière.

    En France dans l'armée de Terre, schématiquement, les unités de reconnaissance de l'ABC agissent au niveau tactique, le 2e RH au niveau opérationnel et le 13e RDP au niveau stratégique. C'est cela la théorie

  17. En Outre -Mer le format va aussi être réduit.

     

    A Djibouti on laisserait 6 Mirages 2000 et 2 Puma air pour la Resco  afin d'assurer la défense aérienne du territoire.

    La Marine conservera des commandos Marine pour assurer la protection des bâtiments en escale

    Le 5 RIAOM serait dissous.

    Les hélicos de l’ALAT rentreront en métropole lors d’un prochain passage d’un BPC.

    Les 6 TR FI et les ERC 90 seront transférés à l’armée djiboutienne. Alors qu’il n’y a pas si longtemps on devait les remplacer par des CASEAR.

    Le centre d’aguerrissement en zone désertique et transférée aux Emirats ou une batterie d'ASTER 30 pourrai arriver en remplacement des Rafales .

     

    Au Gabon et à Dakar pas de changement.

    La force Licorne et la force Epérvier aurons chacune un détachement terre réduit à 350 Hommes.  

     

    Le groupement air du Tchad sera désormais composé en permanence de 6 Rafales un C 135 ravitailleurs 2 C 130 et 4 Puma.    

     

    En cas de menace bien sur ces dispositifs seraient renforcés en quelque heures par les unités d'alerte Guépard via rotation d' avions de transport puis par BPC et cargo CMN si besoin.

     

    Voilà pour les bonnes nouvelles.

     

    Fermer le ban :happy: >:D >:D >:D >:D

     

     

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