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Scarabé

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Tout ce qui a été posté par Scarabé

  1. Ils ont tous été détruis. La France ayant signé les accords internationaux sur les sous munitions.
  2. La tendance irait plus vers 2 EPC par zone en complément des POM Plus un PHA 140 M sur la zone Pacifique avec comme port base Papeete. En tout cas le travail sur la réactualisation de la LPM va dans cette voie. Avec bien sûr infrastructures de soutien qui devra être mis en place avec ces nouvelles capacités.
  3. @Armen 56 Ils ont changé des MAN ? Après 7 mois au bassin et 2 mois à quai, l’équipage reprend la mer à la date prévue, fier du travail accompli depuis presque un an pour doter le bâtiment de capacités rénovées : un nouveau sonar, deux systèmes SADRAL armés de missile Mistral, un système de combat modernisé, un gain en autonomie et en résilience du bâtiment ainsi que des capacités d’intervention accrues grâce à un nouveau bossoir. Aprés les essais depart en missions hier Armée française - Opérations militaires @EtatMajorFR La FLF LA FAYETTE et un ATL2 sont déployés dans @EMASOH_AGENOR . Leur mission : participer à la surveillance aéro-maritime entre le golfe Arabo-Persique et d’Oman et garantir une capacité d’appréciation autonome de situation à la Et le Guépprate lui partira en mission debut Aout Après une période d’arrêt technique d’avril à début juin qui a notamment permis l’installation de la nouvelle station Syracuse navale légère, assurant en permanence les communications entre le bord et la terre, la frégate type La Fayette Guépratte a repris la mer le 14 juin 2022 au large des côtes toulonnaises. https://www.colsbleus.fr/fr/node/698 En septembre c'est le Courbet qui doit faire Un ATM de 5 mois Et en Avril 2023 c'est L'Aconit qui doit renter au bassin FLF pour sa MMV ( prévue sur prochain budget ) pour une sortie en Novembre et JDC 2024 en Fevrier JDC 2023 c'est prévue avec le PHA Tonnerre et la FLF Lafayette.
  4. “Il y a un risque de dérapage dans la zone Asie-Pacifique” Tahiti, le 7 juillet 2022 - Le commandement du contre-amiral Jean-Mathieu Rey, à la tête des forces armées en Polynésie française et en Asie-Pacifique, prendra fin au 1er août. Au cours d'un entretien accordé à Tahiti-Infos, en marge d'une conférence de l'IHEDN, il évoque les tensions avec la Chine, les partenariats avec les pays d'Asie du Sud-Est, la lutte contre la pêche illégale et le trafic de stupéfiants au fenua ou encore le renforcement des forces armées. Quel est l'état des lieux de la présence militaire française dans le Pacifique ? “C'est une présence liée au fait que nous sommes une nation du Pacifique, et plus largement d'Indo-Pacifique, donc 2 millions de concitoyens, 9 millions de km2 de zone économique exclusive, ça veut dire une zone immense, dont il faut assurer la protection. Il y a un dispositif sur les deux océans de 7 000 militaires, 15 bâtiments de combat et 40 aéronefs (avions et hélicoptères) qui sont sur nos bases du Pacifique –Tahiti et Nouméa– mais aussi de l'océan Indien, en particulier La Réunion.” Quels sont les grands enjeux dans la zone Indo-Pacifique ? “Ce sont des enjeux de souveraineté, puisque les zones que vous ne surveillez pas ont vocation à être visitées, pillées et polluées. Il faut être présent pour affirmer notre souveraineté. Il y a aussi un enjeu sécuritaire et de défense, puisqu'on voit bien la montée des tensions avec une militarisation de la zone. De plus en plus de pays se dotent d'armes de plus en plus sophistiquées –par exemple, 50% des sous-marins du monde sont dans la zone Asie-Pacifique, il y a aussi des missiles hyper véloces, le domaine cyber se développe également. Donc il y a vraiment une montée des tensions, une militarisation et un risque de dérapage qui semble de plus en plus probable.” Il y a justement une hausse des revendications de la République populaire de Chine. Vous menez des actions particulières ? “La première des choses, c'est de réagir quand il y a une affirmation erronée de la part de la République populaire de Chine ou quel que soit le pays. La déclaration chinoise récente disant que les eaux du détroit de Taïwan sont des eaux sous souveraineté chinoise, c'est faux. C'est un détroit international. Ce qui est sous souveraineté chinoise, ce sont les eaux territoriales, soit 12 nautiques, une grosse vingtaine de kilomètres de la côte. Donc la première des choses, c'est de réagir face à ces affirmations. Et après sur le terrain également, par la présence de bateaux et d'avions pour voir ce qui s'y passe et réaffirmer la liberté de navigation. Donc quand nous avons besoin de passer dans des endroits comme le détroit de Taïwan, nous ne nous privons pas de le faire.” Les États-Unis estiment à 2025 une possible entrée en guerre avec la République populaire de Chine, c'est quelque chose que vous redoutez ? “Je perçois, en tant que chef militaire français dans l'Asie-Pacifique, une agressivité de plus en plus importante de la République populaire de Chine. Les affirmations que j'évoquais ne sont pas conformes au droit international. Nos correspondants chinois le savent très bien, alors pourquoi affirment-ils des contre-vérités pareilles si ce n'est pour provoquer ? Sur le terrain, nos bateaux sont de plus en plus souvent pris à partie par des unités chinoises qui agissent de façon illégale. Quand vous naviguez, vous devez respecter des règles, et ça, ce n'est pas toujours fait par les bateaux et les avions chinois.” Avec la guerre en Ukraine, est-ce que la stratégie dans l'Indo-Pacifique a dû évoluer ? “La première chose, c'est de confirmer que la zone reste stratégiquement importante. La guerre en Ukraine nous montre que la guerre est de nouveau possible. Deux États souverains qui se font la guerre, avec l'un qui envahit l'autre, c'est quelque chose qu'on ne connaissait plus depuis la Seconde Guerre mondiale. D'où cet impact dans notre zone, parce que la Russie est aussi un pays du Pacifique. Nous sommes amenés à opérer avec des Russes à proximité de nos unités, donc ça a des conséquences directes sur nos comportements, notre liberté de manœuvre et nos modes d'action.” L'armée renforce aussi, au sein du Pacifique, ses différents partenariats ? “Nous avons deux compétences fondamentales ici, c'est d'abord l'assistance humanitaire, parce que nous sommes sur des territoires, comme nos voisins, qui sont soumis à des catastrophes naturelles. Le réchauffement climatique aggrave ces phénomènes, donc il faut être en mesure de réagir et nous faisons ça en partenariat. Nous avons fait, il y a quelques semaines, l'exercice Marara, qui est un exercice d'assistance humanitaire, avec treize nations. Donc il y a vraiment une volonté de développer les partenariats et d'agir ensemble. Le deuxième domaine, c'est ce qu'on appelle la fonction garde-côtes, c'est la protection de nos zones économiques. On a 9 millions de kilomètres carrés de zone économique dans l'ensemble de l'Indo-Pacifique. Dans cette partie du monde, c'est la France qui a la plus grande ZEE donc il y a besoin de se protéger. Avec ses propres moyens pour affirmer sa souveraineté, mais aussi avec ses partenaires. Donc nous organisons, par exemple, un séminaire de la fonction de garde-côte du Pacifique, on a fait ça à Tahiti en novembre, Nouméa va faire la même chose cette année et en alternance, tous les ans, la France va maintenir ses relations, parce que, ensemble, unis, on est plus fort.” Avec l'Australie, c'est toujours le cas ? “Il y a eu une décision australienne (la rupture, le 15 septembre 2021, d'un contrat de 56 milliards de d'euros pour la livraison de douze sous-marins français à l'Australie, NDLR) qui a été extrêmement violente pour la France, puisque ça a été perçu par les autorités politiques et militaires comme une trahison, et donc il y a une nécessité de reconstruire la confiance parce qu'avec l'Australie, nous avons des valeurs communes. Les Australiens sont venus nous défendre dans les champs de la Somme lors de la Première Guerre mondiale, ils sont venus aussi lors de la Seconde Guerre mondiale pour regagner notre liberté, donc ça, on ne peut pas l'oublier. Après, il y a eu des choix politiques qui ne remettent pas en cause cette vocation à coopérer ensemble et on cherche à reconstruire la confiance, mais on est au début du processus.” Au fenua, quelles sont les préoccupations et menaces auxquelles on doit faire face ? “On est sous la menace cyclonique, de catastrophes naturelles, de tsunamis. Il y a la capacité de l'armée de réagir après avoir pris un coup, et c'est ce que nous avons fait aux Tonga en janvier dans le cadre des accords Franz avec l'Australie et la Nouvelle-Zélande. C'est ce à quoi on s'est entraîné avec Marara pour faire ça au fenua autant que besoin. La deuxième menace, c'est la pêche illégale, en particulier d'origine chinoise. La France est présente, surveille en permanence, et aujourd'hui c'est ma fierté de pouvoir dire que la zone économique exclusive de Polynésie française –5,5 millions de kilomètres carrés, c'est énorme, c'est la taille de l'Europe– n'est pas pillée. Elle est exploitée, de façon raisonnable, conformément aux décisions du Pays, car c'est l'État qui protège et c'est le Pays qui décide comment il exploite. Pour la pêche hauturière, environ 70 palangriers ont l'autorisation de pêcher par le gouvernement polynésien et ce sont les seuls à pêcher aujourd'hui. On me demande souvent “pourquoi je vois des Chinois dans le port de Papeete ?”. Eh bien parce qu'ils ont le droit de venir changer leur équipage, réparer leur bateau, c'est tout à fait autorisé. En revanche, ils ne pêchent pas.” En matière de lutte contre le trafic de stupéfiants, y a-t-il une évolution des modes d'action ? “C'est une préoccupation majeure pour le fenua, pour notre population et en particulier parce que la Polynésie reste sur l'axe producteur (Amérique du Sud) - consommateurs (Australie et Nouvelle-Zélande). Il y a des contrôles permanents des différents vecteurs, des voiliers et des bateaux marchands. C'est une action qui est conduite avec l'ensemble des services de l'État et du Pays, les douanes, la gendarmerie, la police et évidemment la justice.” Sur l'ensemble de vos missions, la Covid a-t-elle compliqué les choses ? “Énormément, parce qu'il y a un certain nombre de pays qui ont décidé de se renfermer sur eux-mêmes. Nos voisins français de Calédonie avaient pris cette décision. Quand vous voulez coopérer, quand vous avez tout simplement besoin d'un point d'appui pour un de vos bateaux ou un de vos avions, vous ne pouvez pas l'utiliser parce que le pays est fermé et vous n'avez pas l'autorisation de vous arrêter. Malgré la Covid, nous avons continué à opérer et nos partenaires nous ont été reconnaissants de nous voir actifs dans cette période extrêmement compliquée avec nos équipages des avions et bateaux qui étaient bloqués à bord. Ça a été des mois compliqués et très exigeants.” Six cents jeunes Polynésiens par an s'engagent dans l'armée. Quel regard portez-vous sur ce chiffre ? “Je suis admiratif de voir qu'un territoire de 285 000 habitants est capable de générer autant d'engagement que les 12 millions d'habitants en Ile-de-France. Je crois qu'il y a dans la culture polynésienne ce respect de la famille, du groupe, du pays et cette combativité –le aito– il y a une tradition qui pousse les jeunes, garçons et filles, à s'engager sur des durées variables, mais avec un sens de l'effort absolument remarquable. Il y a très peu de jeunes polynésiens qui rentrent au fenua sans avoir fini leur engagement.” Allez-vous mettre en place de nouveaux moyens au fenua ? “La loi de programmation 2019-2025 prévoit des nouveaux patrouilleurs outre-mer. Il va y en avoir six dans l'ensemble de l'Indo-Pacifique –deux à Tahiti, deux à Nouméa et deux à La Réunion. On va aussi remplacer les avions de surveillance maritime, les Falcon 200 Gardian. D'ici 2029, on aura cinq nouveaux avions, des Falcon 2 000 Albatros, donc des avions beaucoup plus grands et beaucoup mieux équipés. Le but est de garder l'avantage sur nos adversaires, dans le cas présent, les flottilles de pêche illégale, en particulier de République populaire de Chine pour bien les laisser en dehors de nos eaux.” Après une réduction des effectifs des forces armées en Polynésie ces dernières années, vous estimez qu'on a besoin aujourd'hui de renforts ? “Effectivement, il y a une logique de retour vers plus d'armée, plus de forces. Il y a un effort qui a été entrepris, qu'il faut continuer avec des régiments de tailles plus importantes pour être plus présents encore chez nous et puis être en mesure de coopérer avec nos partenaires des États-Unis, du Japon et d'Asie du Sud-Est. De la même façon avec nos bateaux, nous avons des frégates de surveillance qui sont légèrement armées. Quand on voit la militarisation du Pacifique, il faut revenir à des bateaux mieux armés comme il y a trente ans, où nous avions des bateaux avec des sonars, des torpilles, des canons, des missiles… Parce que malheureusement, c'est une réalité, la zone se militarise et se bipolarise et la France a besoin de réagir en conséquence.” Les forces armées en Polynésie effectuent aussi une mission de surveillance des atolls de Moruroa et Fangataufa. Dans quel état sont-ils actuellement ? “La mission de surveillance, c'est d'abord une mission pour maintenir l'inviolabilité de la zone, puisque c'est une zone dite proliférante, ça veut dire que quelqu'un de compétent dans le domaine pourrait recueillir des informations qui lui permettraient de déduire les caractéristiques de nos armes mais aussi d'utiliser ces informations pour développer ses propres armes. Donc c'est fondamental d'éviter ce risque. Et puis il y a le fait qu'il y a eu, sur ces deux atolls, 193 explosions et en particulier les souterraines qui ont fragilisé l'atoll donc il y un une surveillance permanente avec un système de télésurveillance. L'atoll évolue de façon positive, il n'y a pas de mouvements mécaniques, l'atoll semble être en train de se stabiliser mais la surveillance est maintenue pour être sûr. Et sur le plan radiologique, il y a des zones qui sont polluées, qui sont de taille extrêmement réduite et qui sont sous surveillance. La nature a repris ses droits. Nous maintenons autour des atolls une zone de pêche interdite pour maintenir l'inviolabilité mais il n'y a jamais eu autant de poissons que depuis quelques années parce que justement, c'est une zone préservée.” Vous êtes sur le départ ? “Oui, mon successeur, Geoffroy d'Andigné, a été désigné pour prendre son commandement le 1er août 2022.” (Jean-Mathieu Rey prendra en charge les relations internationales pour la Marine nationale (ALRI), NDLR.) Quel bilan tirez-vous, à titre professionnel et personnel, de ces deux années passées en Polynésie ? “D'abord, pour moi, ça a été un plaisir de revenir en Polynésie. C'est un territoire de la République auquel je suis très attaché, c'était ma première affectation en sortant de l'école navale. La culture, la musique, la chaleur des personnes, je danse quelques danses tahitiennes avec plaisir, j'aime bien la nourriture locale, j'aime cette société même si toute société a ses travers, je trouve qu'il fait bon vivre au fenua. J'y reviendrai parce que ma fille aînée vit et travaille ici. Je pense que c'est une richesse pour notre République d'avoir cette France sur mer –certains disent outre-mer, mais je partage l'idée du sénateur Teva Rohfritsch d'opter pour le terme “sur mer” car on est toujours l'outre-mer de quelqu'un. Le bilan de ces deux ans, c'est le développement de partenariats dans le sens d'une meilleure coopération. Ce n'est pas toujours possible de se faire entendre par tout le monde mais la force que j'ai l'honneur de commander a fait sa part du travail. Je cite encore l'exercice Marara où nous étions treize nations, ça ne s'était jamais fait au fenua, pour travailler ensemble pour apporter de l'aide, évacuer des gens et sécuriser une zone. On a conduit ces trois phases comme dans la vraie vie. Ce sont d'excellentes réalisations et donc une satisfaction pour le chef que je suis.”
  5. Pour patiquement 1000 km de front entre Kerson et Kharkiv c'est juste assez pour faire du defensif . Au debut de la guerre ils avaient environ 130 000 hommes bien équipées qui ont subi le premier choc et l'attrition . les réservistes qui ont survecu aux 100 premiers jours de guerre sont mainteant des professionnels du combats. Mais le matos pour les équiper doit toujours manquer . Ils sont pas prés pour contre attaquer. Je les vois mal concenter des forces capable de travailler ensemble . Et surtout ensuite contre attaquer sans se faire détruire. Par contre les operations speciales dans les lignes russes pour cibler la log ça marche pas mal Les russes avec 300 000 hommes ne sont pas mieux on est quand même trés loin des grandes offensives de la WW1 et 2
  6. Naval Group va investir 140 millions d'euros dans le Var pour créer un centre de drones https://www.varmatin.com/marine/naval-group-va-investir-140-millions-deuros-dans-le-var-pour-creer-un-centre-de-drones-779909
  7. Dans des coins perdu de france j'en ai vue qui venez au bistro en tracteur pour vider un vers de blanc.
  8. Scarabé

    L'Artillerie française

    https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/canon-caesar-missiles-a-bourges-dans-la-fabrique-des-armes-francaises_2173791.html Ils les font à bourges ou à Firminy les Canons???
  9. Scarabé

    Le(s) PA de la Royale

    Faudrait prendre 10 Milliards au teutons comme frais de participation pour poser leur F35 sur les seules PA écologiques européens.
  10. Difficile à voir Si c'est un D c'est la douane si P GM Mais moi j'arrive pas à lire le numéro de coque
  11. Chaque PC est mainteant protégé par une 12.7 mm avec un adatateur de tir AA http://www.esprit-valmy.fr/viewtopic.php?t=6027 Ils ont même ressortir des LARC avec la HI
  12. C'est n'importe quoi ce truc Déjà si c'était possible il faudrait 10 x plus de puissance au BSAM. Et une force de haut en bas ferait systematique remonter le som vers la surface;
  13. Le BSAM Loire, en exercice de remorquage avec le SNA Améthyste lors du mission en ocean indien Le Shark-Jaw hydraulique du BSAM en action
  14. Sur cette video on voit trés bien le pont passerelle avec l'espace sur l'avant ou l'on trouve les 2 X 12.7 mm et le passage au centre vers le 20 mm l'espace est quand même assez reduit. @ g4lly L'avant de la passerelle n'est absolument pas prevue pour stoker quoi que ce soit. Dans le Cahier des charges il y a un monte munitions de 100 cm sur 50 cm qui cours sur 4 ponts afin d' alimenter les 12.7 et le canon de 20 mm depuis la soute à munitions qui se trouve 4 ponts en dessous. Le canon à eau lui se trouve à tribord au même niveau que le Narwhal sans bien sur lui enlever un angle de tir vue qui et plus bas . L'epace de stokage est sous la plateforme Avia avec un accés direct vers les frigos et la cambuses pour les avitaillements . Le pont Avia et limiter à 1 Tonne Les munitions en "Caisse sécurisée" pourront être déposer par une grue de quai sur le pont avant et decsendre directement vers la soute via transbordement sur ascenceur munition https://www.nordlittoral.fr/127767/article/2021-10-19/video-montez-bord-du-navire-de-guerre-de-80-metres-quai-au-port-de-boulogne-sur Sur les PAG les caisses du 20 mm se montent par l'escalier d'accés au niveau du marin .
  15. On a des 100 mm en caoutchouc comme les balles. Il n explose pas ! Par contre ils traversent facilement une passerelle d un pechou. Si un homme est sur la trajectoire il passe de vie à trépas.
  16. Je sais mets ça avance. Il faut un quai pour 1 Edas les 2 remorqueurs les Vcsm d un côté et de l autre le POM avec des ducs d Albe sur l avant. 60 M une passerelle alu et 2 ducs d Albe devant. Un truc comme ça.
  17. Il y a les 2 POM qui vont arriver. Dans le sud le PP fait aussi des rotations l hiver quand il est libre de ces obligations avec les TAAF
  18. C'est pas les Malgaches, les Comoriens, voir les Mauriciens, qui vont débarquer de vive force sur nos ilots des iles eparses. Les Garnisons à 12 pax avec 12 FAMAS une Mag 58 et un FRF2 c'est largement suffisant pour empecher toute intrusion. Et des renfort peuvent arriver en mois de 4 heures depuis la Reunion ou Mayotte. Tu veux quoi de plus ?
  19. https://www.meretmarine.com/fr/defense/boulogne-le-pom-auguste-benebig-recoit-son-armement-sa-drome-et-son-drone-aerien 9 mois à quai ils peuvent le remettre à sec apres les essais pour lui refaire une beauté sur la coque avant de partir sur Noumea
  20. Scarabé

    L'Artillerie française

    Ils ont déjà des M120 tractés . Avec le même concept d emploi que les autres RA.
  21. Scarabé

    L'Artillerie française

    Pour l'instant on a 109 CESAR MK2 et 54 Griffons MEPAC qui doivent arriver d'ici 2030 pour equiper 8 RA Sol -sol Ce qui donne environ 12 pieces CESAR et 6 Mortiers par RA le reste est pour l'école il y aussi une autre version de rémontée en puissance de l'artillerie qui porte sur 168 CESAR et 66 MECAP en 2030. Les 12 MECAP supplémentaire servirait à équiper le 61 RA pour remplacer ses M120 tracté. Faut penser que l'usine de Nexter de CESAR devra aussi fournir l'export . Regiments artillerie sol- sol 1er régiment d'artillerie (1er RA) - Bourogne 40e régiment d'artillerie (40e RA) - Suippes 68e régiment d'artillerie d'Afrique (68e RAA) - Camp de la Valbonne 93e régiment d'artillerie de montagne (93e RAM) - Varces-Allières-et-Risset 35e régiment d'artillerie parachutiste (35e RAP) - Tarbes 3e régiment d'artillerie de marine (3e RAMa) - Canjuers 11e régiment d'artillerie de marine (11e RAMa) - Saint-Aubin-du-Cormier Un seule RA Sol Air 54e régiment d'artillerie (54e RA) - Hyères La aussi on parle de nouveaux radars , de Serval Mistral, de 40 CTA sur chassis CESAR Deux Regiments dans la BR 61e régiment d'artillerie (61e RA) - Chaumont, régiment de drones + MECAP 28e groupe géographique (28e GG) Apres 2030 c'est TITAN Avec LRU NG sur camions et Canon 155 mm mk3
  22. Un appel d’offres portant sur une étude de faisabilité du futur avion de transport tactique européen a été lancé http://www.opex360.com/2022/07/02/un-appel-doffres-portant-sur-une-etude-de-faisabilite-du-futur-avion-de-transport-tactique-europeen-a-ete-lance/ La semaine passée, la base aérienne 123 d’Orléans-Bricy a accueilli le séminaire « European Wings », lequel a réuni, durant deux jours, les chefs d’état-major des forces aériennes européennes, avec l’objectif de « démontrer l’importance stratégique des moyens aériens pour les opérations de gestion de crise de l’Union européenne ». Organisé dans le cadre de la présidence française de l’Union européenne [PFUE], cet évènement a permis d’aborder la question des missions et des capacités requises « pour mettre en oeuvre le concept d’opérations aériennes de l’UE ainsi que la stratégie d’accès à l’espace et « crédibilité de l’Europe pour contribuer aux actions de l’Otan sur ces sujets ». Cela étant, à cette occasion, la France, l’Allemagne et la Suède ont signé un accord au sujet du « Future Mid-Size Tactical Cargo » [FMTC – Futur Cargo Médian], un projet visant à développer un nouvel avion de transport tactique destiné à remplacer, du moins pour ce qui concerne l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE], les C-130 Hercules et les CASA CN-235 à l’horizon 2040. Devant être coordonné par la France, ce programme d’avion de transport a été retenu au titre de la Coopération structurée permanente [CSP ou PESCO], ce qui fait qu’il est éligible à un financement du Fonds européen de défense [FEDef], qui, pour rappel, est doté d’environ 8 milliards d’euros pour la période 2021-27. Une bonne nouvelle
  23. Sur Var Matin c'est plus interessant Quand les hélicos civils H160 sont modifiés au Cannet-des-Maures pour être utilisés par la Marine nationale La société Babcock, installée notamment au Cannet-des-Maures, a été choisie pour modifier, puis entretenir les six premiers H160 de la Marine nationale. Une fois prêts, ces appareils rejoindront leurs bases d’Hyères, Lanvéoc et Cherbourg. Habitués à voir évoluer au-dessus de leurs têtes les hélicoptères kaki de l’armée de Terre, les habitants de la plaine des Maures vont devoir s’accoutumer au gris. Le 17 mai dernier, en provenance directe de l’usine Airbus Helicopters à Marignane, un nouvel appareil s’est en effet posé sur le site de Babcock au Cannet-des-Maures. Et quelle machine ! Il s’agit du H160, et plus particulièrement du premier appareil de ce type destiné à la Marine nationale. D’où sa livrée quelque peu singulière pour la plaine varoise. Ce n’est d’ailleurs pas la seule particularité que présente l’appareil flambant neuf. Bien qu’appelé à rejoindre la Marine nationale - probablement en septembre prochain - ce H160 est en effet entièrement civil. « Cette machine dans sa version de transport standard a été achetée par Babcock qui la louera ensuite à la Marine nationale. Le contrat passé pour dix ans avec la Direction générale de l’armement (DGA), au profit de la Marine nationale, prévoit que Babcock fournisse six hélicoptères H160 modifiés et en assure leur maintenance en condition opérationnelle », explique Alexandre Marrière, chef du projet H160 chez Babcock. 13 modifications demandées par la Marine nationale Si le premier des six H160, tout juste sorti d’usine, est présent au Cannet-des-Maures, c’est justement pour y subir les treize modifications réclamées par la Marine nationale. Parmi celles-ci, la principale consiste à mettre en place une boule optronique Euroflir 400 de la société Safran, équipée entre autres d’une caméra infrarouge d’une portée de 8 à 10 km. Autres modifications : l’installation d’un mur médical amovible comprenant un aspirateur de viscosités, un défibrillateur, un pousse-seringue, ou encore un support de bouteilles d’oxygène. Le détour des appareils par Le Cannet-des-Maures est également l’occasion de protéger leur plancher par des plaques de blindage. Drôle d’idée pour des appareils essentiellement destinés aux missions de surveillance et de sauvetage en mer (Search and Rescue). « En cas d’attaque terroriste en mer, à bord d’un ferry ou d’un paquebot, ces appareils pourraient être utilisés pour transporter des forces vives », précise Alexandre Marrière. Il faut croire que les militaires n’ont pas oublié la mort du lieutenant Damien Boiteux, mortellement touché par une balle ayant traversé le plancher de sa Gazelle le premier jour de l’opération Serval au Mali en janvier 2013… L’ensemble de la flotte des six H160 passera par les ateliers varois de Babcock qui assurent déjà l’entretien et l’exploitation des hélicoptères de plus de 50 % des Samu français. « Un point qui a compté lors de l’attribution du contrat avec la DGA », confie Vincent Delebecque, le directeur d’exploitation industrielle. Pour faire face à cette hausse d’activité, Babcock recrute pour son site varois qui compte déjà une centaine de salariés. « On a déjà embauché quatre équipiers mécaniciens et deux avioniques, mais à terme on prévoit de recruter 25 personnes », déclare Vincent Delebecque. Mais Babcock voit plus loin et pense déjà à la suite du programme avec l’acquisition par les armées françaises de 169 H160, dans une version plus militaire baptisée Guépard. « Pour nous, ces six premiers appareils vont en quelque sorte servir de démonstrateur en vue de l’arrivée des Guépard. On va pouvoir faire du big data, enregistrer un maximum de données », précise Alexandre Marrière.
  24. je l'ai lu c'est pas le coût qui me derange mais juste l'utilité de garder des officiers 2 S Mais bon on pars HS pour revenir au sujet: Le Dombass aujourd'hui me fait penser à l'Alsace et la Lorraine Et la Strabourgeoise en ukrainien pourrait donner un truc comme ça Petit papa c'est donc la mi-Carême, Et te voici déguisé en soldat. Petit papa, dis moi si c'est pour rire, Ou pour faire peur aux tous petits enfants. } bis Non non ma fille, je pars pour la Patrie, C'est un devoir où tous les papas s'en vont. Embrasse moi petite fille chérie, Je rentrerais bien vite à la maison. } bis Dis moi maman, quelle est cette médaille, Et cette lettre qu'apporte le facteur ? Dis moi maman, tu pleures et tu défailles, Ils ont tué petit père adoré. } bis Oui mon enfant, ils ont tué ton père, Pleure avec moi, car nous les haïssons. Quelle guerre atroce qui fait pleurer les mères, Et tue les pères des petits anges blonds. } bis La neige tombe aux portes de la ville, Là est assise une enfant de Marioupol Elle reste là malgré le froid, la bise, Elle reste là malgré le froid du jour. } bis Un homme passe, à la fillette donne, Elle reconnaît l'uniforme Russe . Elle refuse l'aumône qu'on lui donne, A l'ennemi elle dit bien fièrement : } bis Gardez votre or, je garde ma puissance, Soldat russe , passez votre chemin. Moi je ne suis qu'une enfant ukrainniene , A l'ennemi je ne tends pas la main. } bis Tout en priant sous cette cathédrale, Ma mère est morte sous ce porche écroulé. Frappée à mort par l'une de vos balles, Frappée à mort par l'un de vos boulets. } bi Mon père est mort sur vos champs de batailles, Je n'ai pas vu l'ombre de son cercueil. Frappé à mort par l'une de vos balles, C'est la raison de ma robe de deuil. } bis Vous avez eu Kerson et Marioupol Vous avez eu les ruines d'Azovstal Vous avez Lougansk et Donetsk Mais mon p'tit coeur vous ne l'aurez jamais, Mais mon p'tit coeur lui restera ukrainien . } bis
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