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Le 11/11/2023 à 13:29, Ciders a dit :
Pas assez grandiloquent. B-21 Pacificator ou Freedom Maker, ça enverrait plus de bois.
Bon bas finalement son nom c'est Cerberus
CitationPour la petite histoire ce premier B-21 a été baptisé « Cerberus » le chien à trois têtes qui garde les portes des Enfers pour empêcher les morts de sortir. Selon plusieurs sources, les autres appareils reprendront les noms issus de la mythologie grecque tels que Chimère, Méduse, Hydra, Minotaure et autres.
https://www.avianews.ch/post/vol-inaugural-pour-le-b-21-raider
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on m'envoie sa, alors je partage
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ahhh moi aussi je l'ai fait le coup du "vous m'appelez sur quoi a votre avis ? " a un mec tentant de me vendre un smartphone.
Etant en Touraine, le meilleur que j'ai fait je croit ; c'est de dire que j'habitais un troglodyte a un gars essayant de me fourguer des panneaux solaire
et +1 pour les cotorep, le coup du voyage gagné " vous venez me chercher en taxi pour handicapé ? supeeeerrrrrr "
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ils aurait au moins pu essayer de rendre la chose symétrique déjà. ( l'empennage que d'un seul coté wtf ? )
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Oups. Trompe de sujet....
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Il y a 2 heures, prof.566 a dit :
ou? Je crois ue ca passe officiellement sur une plate forme de streaming non*?
C'est disponible sur mycanal
https://www.canalplus.com/series/rogue-heroes/h/20301412_50001
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Suffit de regarder une pub
CitationAvion de combat du futur : le SCAF décolle, mais reste à portée de tirs
Par Vincent Lamigeon le 01.12.2022 à 23h27 Lecture 4 min.ABONNÉS
Après deux faux départs, un accord a enfin été trouvé entre Dassault et Airbus pour la poursuite du programme d’avion de combat franco-germano-espagnol. Une avancée importante, mais le chemin reste long.
Le NGF (New Generation Fighter), avion de combat nouvelle génération du programme SCAF
DASSAULT AVIATION - A.PECCHI/ERIDIA/V. ALMANSA
Un accord au forceps, mais un accord quand même. Après 18 mois d’un bras de fer homérique sur le partage de la charge industrielle, Airbus et Dassault Aviation ont enfin trouvé un terrain d’entente sur la poursuite du programme SCAF (Système de combat aérien du futur), indique le PDG de Dassault Aviation Eric Trappier dans une interview au Figaro.
Estimé entre 80 et 100 milliards d’euros, le projet vise à développer un avion de combat (NGF, pour New Generation Fighter), des drones d’appui ("remote carriers") et un "cloud de combat" pour faire communiquer ces engins entre eux. En signant la phase 1B du programme SCAF, qui vise à définir l'architecture d'un premier démonstrateur qui devrait voler en 2029, Airbus et Dassault redonnent un peu d’oxygène à une relation de défense franco-allemande qui en manquait terriblement.
Les semaines précédant l’accord ont montré la fébrilité des deux camps, avec deux pataquès de communication qui resteront dans les annales. Le 18 novembre, le ministère allemand de la défense publie un communiqué annonçant l’accord entre Dassault-Airbus. Problème : rien n’est encore totalement acté.
Le 21 novembre sur RTL, le patron de Dassault Aviation Eric Trappier sort la sulfateuse, évoquant une "pseudo-annonce politique" allemande. Rebelote le 25 novembre : la première ministre Elisabeth Borne annonce à son tour un accord industriel… là encore démenti par un porte-parole de Dassault.
Un projet encore très amont
Cette fois, l'annonce semble la bonne. "Nous avons un accord avec Airbus, indique le Eric Trappier. Les blocages ont été levés. Nous allons pouvoir entrer dans l'exécution de la nouvelle phase d'études, dite 1B, qui doit préparer le développement d'un démonstrateur, qui devrait voler vers 2029. Il ne reste plus que la signature formelle des contrats d'ici à quelques jours." Celui-ci sera notifié par la Direction générale de l'armement (DGA), au nom des trois pays partenaires – France, Allemagne et Espagne.
Le programme SCAF est-il enfin sur les rails ? Il convient de remettre l’accord annoncé cet après-midi en perspective. La phase 1B ne consiste qu’en la définition des principales caractéristiques d’un premier démonstrateur. Ce n’est que lors de la phase 2, dont la contractualisation est prévue dans deux à trois ans, que les spécifications précises du prototype seront définies, la fabrication de l’appareil lancée, avant des tests en vol prévus à la fin de la décennie. Et même une fois le prototype en vol, le plus dur restera à faire : développer l’avion définitif et ses drones, pour une mise en service qui n’arrivera pas avant 2040-2045.
D’ici là, le programme devra encore franchir bien des embûches. Il va notamment devoir obtenir l’aval du Bundestag, ce qui n’est pas encore totalement gagné. La chambre basse du parlement allemand exige en effet que le programme MGCS de char de combat du futur, lui aussi franco-allemand, avance en parallèle avec le projet SCAF. Or le MGCS peine à décoller, du fait, là encore, de différends sur le partage des tâches entre le français Nexter et l’allemand Rheinmetall. Un accord entre les deux groupes a été trouvé, comme dévoilé par La Tribune, mais celui-ci ne règle pas vraiment les problèmes de fond. Le Bundestag pourrait utiliser cet argument pour ralentir les travaux sur le SCAF. Evoquant ces "process" dans les différents pays partenaires, le patron d'Airbus Defence & Space Michael Schoelhorn se veut rassurant : "Nous sommes optimistes sur le fait que tout ceci peut être bouclé dans un futur très proche", assure-t-il.
Concurrence du Tempest
Pour prendre de l’altitude, le programme d’avion de combat devra aussi prouver qu’il répond vraiment aux besoins de chacune des forces aériennes (et aéronavales) des trois Etats clients. L’Allemagne veut un NGF puissant et lourdement armé, ce qui pourrait aboutir à un poids de plus de 40 tonnes. Cette masse fait tiquer en France, où le NGF devra aussi être embarqué sur le successeur du Charles de Gaulle, le PANG (porte-avions de nouvelle génération). Paris exige aussi que l’appareil soit adapté au transport du missile de la dissuasion aéroportée française.
Le calendrier pose aussi question. Les retards à l'allumage ont géré du retard, beaucoup de retard. Le premier vol du démonstrateur, initialement prévu en 2025, n'est pas attendu avant 2029, selon Eric Trappier. Les industriels vont devoir cravacher pour tenir les délais, car le projet concurrent, le Tempest lancé par le Royaume-Uni et rejoint par l'Italie et la Suède, prévoit une mise en service de l'appareil dès 2035, soit au moins 5 ans avant le SCAF.
Malgré ces points d’interrogation majeurs, Paris, Berlin et Madrid auraient tort de bouder leur plaisir. La défense européenne vient de faire un pas en avant. Dans le contexte actuel, marqué par une frénésie d'achats d'équipements made in USA en Europe, ce n’est pas si fréquent
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Cela date du 18 novembre
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Une autre chaîne avec une recap hebdomadaire , Le journal de l'espace
https://m.youtube.com/c/LeJournaldelEspace/community
Désolé pour le lien mobile je suis sur mon tel...
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
après quelques appuis sur f5:
RévélationSCAF, l’avion de combat européen est cloué au sol
Par Jean-Dominique Merchet
13 juillet 2022 à 6h00
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Cinq ans après l’annonce de ce programme franco-allemand, le 13 juillet 2017, les désaccords entre Dassault et Airbus mettent ce programme en grave danger, malgré la volonté politique des capitales
Ambiance. Le 28 juin dernier, le PDG de Dassault-Aviation, Eric Trappier, se rendait à Mérignac (Gironde). Son entreprise y possède une usine où est assemblé le Rafale, mais ce jour-là il venait pour un « hommage aux martyrs de l’aéronautique » – 79 salariés de cette industrie, tués par les Allemands durant l’Occupation, pour faits de résistance. « Nous refusons la sujétion et nous mettons notre esprit de résistance au service de notre pays. C’est un trait majeur de notre culture d’entreprise », affirma Eric Trappier.
Simple hommage historique ? Allez... Le monde de l’aéronautique et de la défense bruisse de la panne complète du grand programme d’armement franco-allemand, le SCAF(Système de combat aérien du futur). Et justement, le patron de Dassault évoqua le SCAF, ce jour-là, pour dire tout le mal qu’il pensait de la coopération avec son partenaire Airbus. Un partenaire essentiellement allemand. « Il n’y a pas d'élan » , ajouta-t-il « et à un moment, il faut être capable de dire si on va démarrer ou pas ».
Lire aussi
SCAF : Nouveau retard d’un an pour le premier vol
Or, pour l’instant, on ne démarre pas : tout est bloqué depuis l'été 2021 et aucune décision n’est à attendre avant le prochain conseil franco-allemand à l’automne. Dans le meilleur des cas, si la « phase 1B » finit par se concrétiser, le démonstrateur pourrait voler en 2028 pour une mise en service opérationnelle vers la fin de la décennie 2040. Actuellement, plus aucun ingénieur de chez Dassault ne travaille sur ce programme.
Amabilités. Au contraire, les deux « partenaires » industriels, Dassault-Aviation pour la France et Airbus Defense and Space pour l’Allemagne et l’Espagne s'échangent des amabilités. Interrogé par Les Echos, le patron allemand d’Airbus D&S Michael Schöllhorn parlait, en juin, d’une « divergence d’interprétation entre nous et Dassault sur la manière de mener une véritable coopération industrielle. Si Dassault souhaite diriger les deux dossiers clés de la furtivité et de l’agilité, sans nous consulter, c’est non ». Ce à quoi on répond dans l’entourage de la maison Dassault : « Si les Allemands disent Nein !, ça s’arrête ». Il n’est d’ailleurs pas sûr qu’on verserait alors beaucoup de larmes, quai Marcel Dassault à Saint-Cloud. En mars dernier, le PDG Eric Trappier évoquait déjà, à l’antenne de BFM Business, l’existence d’un « plan B » en cas d’abandon du SCAF.
On en est là, cinq ans après le lancement de ce programme, lors du conseil des ministres franco-allemand du 13 juin 2013, juste après l'élection d’Emmanuel Macron. A la surprise générale, alors que la France était engagée dans un ambitieux programme de drone de combat avec les Britanniques, on apprenait que « la France et l’Allemagne [convenaient] de développer un système de combat aérien européen pour remplacer leurs flottes actuelles d’avions de combat sur le long terme.»
L’idée avait germé dans l’entourage de l’ancien ministre de la défense Jean-Yves Le Drian et elle tombait à point pour nourrir les ambitions européennes du Président français. Depuis lors, l’Espagne a rejoint le programme. Les trois gouvernements sont toujours d’accord sur l’importance du SCAF pour la souveraineté européenne en matière d’aviation de combat et le chancelier Olaf Scholz l’a rappelé à Emmanuel Macron, lors d’un dîner à l’Elysée, le 5 juillet.
Lire aussi
SCAF: et si on se trompait d’avion de combat ?
Ouragan. C’est entre industriels que ça coince, autour du principal pilier du programme : l’avion lui-même, le NGF (Next Generation Fighter). Selon l’accord politique, Dassault en est le maître d'œuvre et l’avionneur, qui a fait ses preuves, veut rester leader sur les technologies les plus sensibles, comme les commandes de vol et la furtivité. Ce qu’Airbus conteste, avec des désaccords sur la propriété industrielle. Plus qu’un symbole, les partenaires étatiques et industriels n’ont même pas encore réussi à se mettre d’accord sur le nom de baptême du NGF, les Français proposant Ouragan – un clin d'œil au premier chasseur à réaction de Dassault, dont on peut voir actuellement un exemplaire exposé aux Invalides, à côté d’un Rafale.
Contrairement à Dassault, Airbus est d’abord un constructeur civil, qui a découvert avec les difficultés de l’A400M qu’il ne suffit pas de « peindre en vert [ou en gris] un avion civil pour un faire un avion militaire », comme le dit un proche du dossier.
Au-delà des querelles entre Airbus et Dassault, deux cultures industrielles s’affrontent. « Nous n’avons aucun problème pour travailler avec les Allemands », explique-t-on chez Dassault, « avec les entreprises du Mittelstand [le tissu d’entreprises moyennes d’Outre-Rhin] qui ont la même culture d’entreprises familiales et d’ingénieurs que nous ». Certes, l’histoire de la famille Dassault, avec la déportation de Marcel Bloch, n’a pas fait prospérer le philogermanisme dans l’entreprise. Mais vu de Saint-Cloud, le problème, c’est Airbus – le grand rival historique qui rêve de devenir l’avionneur européen unique. Dassault-Aviation redoute d'être, un jour, absorbé par Airbus, dont le chiffre d’affaires est quasiment huit fois supérieur au sien.
Faute de SCAF, Dassault-Aviation envisage un plan B. Ou plutôt deux, en fonction des décisions étatiques. Soit le lancement d’un Super-Rafale, soit celui d’un drone de combat, à la suite du démonstrateur Neuron, qui vole toujours. Quant à Airbus, son plan B pourrait être de rejoindre le programme britannique Tempest, avec les Suédois et les Italiens. Et en attendant, la plupart des armées de l’air européennes voleront sur des F-35. Américains.
Mots clés: SCAFAÉRONAUTIQUEALLEMAGNEDASSAULTAIRBUS
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Le b-21 moins cher que prévu
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Une interview de Adelbert “Buz” Carpenter pilote du sr-71
https://airandspace.si.edu/air-and-space-quarterly/winter-2022/he-flew-sr-71
quelques passages:
the SR-71 instruction manuals stacked together were probably 12 inches high
The film from my nose camera, which had a 72-mile-wide view, took 12 hours to process. Because the film was two miles long
But we probably had about a 50-percent divorce rate [in the SR-71 program].
a propos de la zone 51:
The work must be scheduled during a time when no satellites are flying overhead, for example- 1
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- C’est un message populaire.
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Forgotten weapons fait un petit tour de l'usine PGM
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En pleine crise des sous-marins, l'Allemagne pose les bases d'un partenariat spatial militaire avec l'Australie
Alors que la France est aux prises depuis une semaine avec l'Australie sur le dossier de la crise des sous-marins, le général Eberhard Zorn, chef d'état-major de l'armée allemande, a posté sur Twitter des photos qui n'ont pas manqué de faire réagir. Accompagné de l'amiral David L. Johnston, vice-chef des Forces de défense australiennes, le militaire s'y félicite de la signature d'une lettre d'intention pour un «Military Space Partnership» entre les deux pays.
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11 hours ago, herciv said:
La Nouvelle-zélande par exemple va devoir très vite se positionner. La seule réaction sur la présence de sous-marin nucléaire dans ses eaux est partielle.
en parlant de la Nouvelle-Zélande, j'ai vu passé sa :
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On 7/17/2021 at 7:53 AM, WizardOfLinn said:
Je constate seulement que dans l'espace, le nucléaire a perdu, personne n'a lancé de réacteur nucléaire dans l'espace depuis plus d'un quart de siècle (les derniers étaient des russes dans les années 1980), et il n'y a pas de développement important en cours,Je suis peut etre HS , mais il ya ce projet de remorqueur spatial nucleaire de 1MW chez les russes (premier essais prevu pour 2030) :
https://www.secretprojects.co.uk/threads/russian-nuclear-propulsion-spacecraft-nuklon.35350
https://en.wikipedia.org/wiki/TEM_(nuclear_propulsion)
http://russianspaceweb.com/tem.html
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- C’est un message populaire.
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Les anciens redacteurs de science et vie qui avaient quittés la magazine, ont décidé d'en lancé un nouveau
il ont lancé une compagne de financement participatif sur ulule pour aider au lancement. objectif 1500 abonnement, ils en sont à 25000 ( au moment ou j'ecrit)
https://fr.ulule.com/epsiloon/
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J'en ai vu un la semaine dernière au dessus de mon ciel tourangeau. Pas commun dans mon coin...
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L'Inde
dans Asie / Océanie
j'ai vu passé sa sur twitter
sa crie au fake...
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pas trouvé d'autre fil sur les black hawk.
en voila un drole d'oiseau:
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Avions commerciaux supersoniques
dans Aviation de ligne, d'affaire...
Posté(e)
même pas un périscope de prévu en cas de secours ? Faut espérer que rien ne tombe panne ...