Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Shorr kan

Members
  • Compteur de contenus

    11 811
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    87

Messages posté(e)s par Shorr kan

  1. il y a 52 minutes, FATac a dit :

    Que l'objectif d'un état soit de contrôler sa société, pourquoi pas (mais c'est un sujet glissant).

    Qu'il soit de miner la société, ce n'est clairement pas dans son intérêt. Franchement, aucun état qui ne soit pas suicidaire n'a le moindre intérêt à miner sa société.

     

    il y a 47 minutes, g4lly a dit :

    Pourtant c'est ce qu'il se passe tous les jours en France ... en tenant des doubles discours tout le temps, en prenant le quidam pour un délinquant de fait etc. etc.

     

    Vu de ma planète, ça ressemble à une pratique - comme beaucoup-  qui à l'origine devait être pertinente, et surtout, à l'acceptabilité sociale plus grande ; mais à l'efficacité pas forcement bien étayée aujourd'hui et qui existe depuis tellement longtemps qu'on s'imagine pas faire sans. Le pouvoir de l'habitude en somme.

    Pas besoin de prêter une intentionnalité à la chose. L'inertie d'une culture institutionnelle est une explication suffisante en soi. Enfin, je pense

    • J'aime (+1) 1
    • Merci (+1) 1
  2. Il y a 5 heures, christophe 38 a dit :

    il faut juste avoir comme repère, par exemple, qu'en 1900, le globe avait 1.5 milliard d'habitants

    que le 15 novembre 2022, nous avons passé les 8 milliards, et qu'avant 2050, nous serons 9 milliards.

    qu'en ce moment, malgré ce que vous appelez une décrue, la terre prend 1 milliard tous les 12 ans...

     

    et, que, meme si décrue, pouvez vous nous dire en quelle année nous serons 4 milliards ???

    La démographie mondiale est largement une fatalité et a son inertie. Mais fondamentalement, il a raison. 

    On fait tout un pataquès sur la surpopulation, alors que la trajectoire de la croissance de la population dans le monde, presque partout, est sur une trajectoire descendante

     

    Pour moi - et plus subtilement- l'augmentation du niveau de vie qui surviens avec la baisse de la croissance démographique (en faisant moins d'enfants, les gens dégagent plus de surplus, ils ont plus de moyens) est le vrai problème. Et ça, la planète n'a pas les moyens de le supporter. 

    • Merci (+1) 1
    • Upvote (+1) 1
  3. il y a 10 minutes, Benoitleg a dit :

    Pour la population à nourrir, les nouvelles sont plutôt à la stabilisation voire la baisse drastique.
    Au vu de la plongée du taux de fécondité mondial (passé à 2,3 en 2020 et toujours plus en baisse), les projections les plus ambitieuses partent sur un plateau long de 10 mds d’habitants jusqu’en 2100, voire beaucoup moins avec 6 mds vers 2050/60 et 4 mds d’habitants en 2010.

    Pour détailler, le taux de fécondité indien est tombé à 2 en2021, ce qui ne permet plus de renouveler la population. Pour parallèle, la Chine était à 2,30 de fécondité en1990, 1,28 en 2020 et une population en baisse cette même année. Si l’Inde suit la même trajectoire, la population sera en baisse des 2050. 
     

    Même chose pour les pays les plus riches, les USA(1,64 de fécondité), l’UE (1,50), le Japon (1,34), etc, avec en conséquence une baisse en cours ou prévisible des populations, ce qui va limiter le nombre de gros consommateurs.

    L’ Afrique connaît aussi une baisse continue du taux de fécondité que rien ne semble enrayer (avec les mêmes effets à moyen/long terme).

    Bref, à terme relativement rapide, on risque plutôt d’assister à une baisse de la consommation et du besoin de production.

     

    Faut pas oublier d'intégrer l'effet de l'augmentation du niveau de vie - et de la consommation induite - consécutive à la déplétion de la croissance démographique dans beaucoup de pays.

  4. il y a 38 minutes, mehari a dit :

    Dans cette phase du conflit du moins. Ça n'a pas toujours été le cas.

    Au début, les ukrainiens signalaient qu'ils avaient presque plus peur des IFV que des chars à cause des ravages causés par les canons de 30mm.

     

    il y a 23 minutes, Ciders a dit :

    On a quand même beaucoup de vidéos où l'on voit des BMP des deux camps monter à l'assaut de tranchées, avec ou sans appui d'infanterie. Ou des BTR engageant des chars ou des blindés, en embuscade ou en combat urbain. Les canons de 30 mm à tir rapide ont été souvent utilisés, contre des cibles dures ou molles, et personne ne semble s'en être plaint au contraire. On pourrait même se demander si le vieux 73 mm basse pression des BMP-1 ne pourrait pas se révéler encore utile, notamment contre les fortifications de campagne et les bâtiments.

    ...

     

    Cela démontre que pour prendre d'assaut des positions adverses ou surprendre l'infanterie ennemie et ses véhicules, le 30 mm est utile - et plus généralement un autocanon/canon ; pas que celui-ci doit être porté par un véhicule transporteur de troupes.

     

     

    il y a 23 minutes, Ciders a dit :

    ...

    Le problème des APC ici est double : soit trop léger (je plains encore les Ukrainiens à qui l'on a confié des Saxon britanniques...), soit pas assez armés. Aller au carton avec une 12,7 mm, c'est délicat et pas que dans la perspective d'un combat de rencontre. Ce n'est pas pour rien que l'on voit encore régulièrement des 23 mm mono ou bitubes montés sur camions blindés à la diable.

    Je pense plus à des APC lourds, mais conceptuellement les plus simples possibles.

  5. Je ne sais pas si ça a été évoqué, mais un RETEX assez fondamental à mon sens, et qui touche à la conception des blindés, est que ceux-ci ont moins à craindre les tirs directs des canons adverses, que les coups indirects/déportés de l'artillerie, munitions rodeuses/drones et missiles ; en conséquence de quoi, le design des nouvelles plateformes devraient prendre en compte ce fait en favorisant une protection "périmétrique", quitte à ce que cela se fasse au détriment de la protection frontale.

    Plus polémique, voyant le niveau d'attrition des blindés dans cette guerre, le retour à de simples APC est probablement préférable, vu que les VCI n'ont presque jamais jamais l'occasion d'utiliser leur couteux armement !

    • J'aime (+1) 2
  6. Le 27/06/2023 à 23:29, wagdoox a dit :

    Je vais raccourcir l’explication, demande politique urgente, contrat pas cher qui le devient, historique des contrats a rallonge et urgence de la situation font que la decision est prise de changer. 
    il y a aussi un aspect culture comme les anglais le furtif predomine les esprits. 

     

    C'est des éléments communs à presque tout les programme d'armes au EU, Oui.

    Mais il existe des raisons spécifiques aux programmes de recherches et développements américains sur le vol hypersonique.

    Le truc c'est que ces raisons forment une chaine de causalités qui se suivent les unes derrière les autres, et qu'il faut remonter pour trouver la vraie raison. 

    De la moins fondamentale à la plus fondamentale selon moi :

    - Le manque d'investissement dans les installations de tests et souffleries supersoniques, et sont surclassés par les chinois qui investissent tout azimut dans le domaine. Mais pour faire financer des équipements il faut le budgéter, ce qui nous amène à la raison suivante...

    - Les mécanismes budgétaires font qu'il est certes facile de faire financer les 1er étapes d'un projet, mais que fatalement se dressera un obstacle affublé du doux nom de vallée de la mort budgétaire. Il y a même un site qui ne parle presque que de ça https://acquisitiontalk.com/. Le truc est qu'au Etats-Unis la R&D n'est que rarement entre les mains d'institutions spécialisés comme la DARPA, mais généralement entre celles des services "approvisionnement" de ses armées qui ont une vision très utilitaire des programmes qu'elles gèrent et ne sont pas trop portés sur les recherches trop expérimentales qui n'ont pas un application rapide sur le terrain. La conséquence de ce refus de laisser un temps de maturation au développement d'armes pourtant à fort potentiel, est que les projets entamés n'aboutissent que rarement ; avec l'effet que les résultats accumulés sont presque systématiquement jetés à la poubelle et l'obligation de pratiquement tout devoir recommencer quand un programme analogue est lancé quelques années plus tard. 

    - Les dits services n'accordent de l'importance qu'à ce qui peut être mis en service à échéance raisonnable, combler un besoin concret, et surtout, clairement identifié. En somme doit s'intégrer à une doctrine préétabli. Et là, problème, car souvent il faut laisser passer un peu de temps avant de fixer les usages d'une innovation. Ne sachant qu'en faire en définitive, le programme, pourtant prometteur, est remisé.     

    - On en arrive au point final du processus. Mais pourquoi ce manque de persistance quand les russes et les chinois font preuve de beaucoup plus de constance dans leur intérêt qu'ils portent à ces technologies ? Et bien, les russes et les chinois sont aiguillonnés par leur volonté de mettre en échec les défenses antimissiles des Etats-Unis (anti-ICBM pour les russes, défenses de flottes pour les chinois). Alors que les américains sont dans une posture où il projette leur force depuis leur territoire, et ont donc qu'un intérêt bien moindre pour les armes hypersoniques qui n'apporterais pas grand chose de plus aux moyens dont ils disposent déjà. C'est donc le fin mot de l'histoire, c'est à dire que moins qu'une incapacité fondamentale à faire techniquement, il existe une asymétrie dans la motivation des protagonistes autour de ces technologie, qui explique pourquoi les USA bloque dessus, voilà tout !

    • J'aime (+1) 3
    • Merci (+1) 1
  7.  

    Il y a 6 heures, Bechar06 a dit :

    Nb de manœuvres : là vous parliez du cas « courant » en offensive.
     

    En fait, pour un premier test je doute qu'on demande à l'engin d'accomplir des trajectoires complexes, mais qu'il est suffisant qu'il vol à peu près droit et en limite de porté, pour valider ledit test.

     

    Il y a 6 heures, Bechar06 a dit :


    Mais ce qui pose question c est l essai du Vmax et ses nb circonvolutions supposées de lui

     

    Je rejoint l'opinion de certain ici que c'est les traces laissée par la propulsion de la fusée ou le corps de celle-ci.

    Mais c'est un peu perturbant parce que la trajectoire a l'air "plate", c'est à dire parallèle au sol/ tangente à la courbure de la terre alors que l'on sait que la fusée sonde doit monter le plus haut possible, à la limite de l'espace, et communiquer suffisamment d'énergie pour que le planeur hypersonique "rebondisse" en tombant sur l'atmosphère. Et donc prendre - la fusée- une trajectoire la plus perpendiculaire possible au sol et qu'une fois atteinte son apogée, s'arrête de fonctionner.

    Une possibilité, je pense, est que le planeur lui même a laissé volontairement derrière lui une trace fumigène, un peu comme les balle traçante, permettant un suivi optique de sa trajectoire

    • J'aime (+1) 1
    • Upvote (+1) 2
  8. il y a 13 minutes, R force a dit :

    Tu as raison, mais il ne faut pas je pense imaginer ce type de planeur faire beaucoup de changements de cap, ni sous fort facteur de charge.

    Il suffit peut être de 2 ou 3 manoeuvres pour perdre les dispositifs adverses qui tentent de s'y opposer.

    Et quand bien même, la perte d'énergie induit un ralentissement, ce qui est la forme la plus simple d'un changement de trajectoire (cap, vitesse) sauf, et encore, pour les système qui attaque en face à face.

    C'est parfaitement ça. C'est en substance ce que voulait faire passer mon post, que l'engin n'avait qu'un nombre limité de manœuvres de faibles amplitudes, en réserve.

     

  9. Le problème de prendre beaucoup de G pour un engin aérien quel qu'il soit, c'est la perte d'énergie, surtout quand ses surfaces portantes ont un faible allongement, et a fortiori quand il n'est plus propulsé ou autopropulsé ; comme un planeur hypersonique qui en plus de son énergie cinétique acquise à la fin du vol propulsé, ne peut en dernière instance que rogner plus ou moins vite son budget d'énergie potentielle.

    D'ailleurs, une bonne partie de l'enjeu de se genre de manip est justement d'optimiser le management de la déplétion de ladite énergie.

    • J'aime (+1) 1
    • Merci (+1) 1
    • Upvote (+1) 1
  10. il y a 48 minutes, Connorfra a dit :

    ...

    Par contre quid des pays africains ou il n'y a que Wagner sur place ?

    ...

    Peut être qu'il y a moyen de moyenner, et pour les hommes restés sur place la possibilité de rejouer un remake russe de l'homme qui voulut être roi qui sait......en tout cas vu ce qui les attends au retour à la mère patrie, moi je tenterais ma chance :ph34r:...

    • Upvote (+1) 2
  11. il y a 17 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit :

    "La Suisse refuse une nouvelle fois de livrer des tanks au nom de sa neutralité

    Mercredi 28 juin, le Conseil fédéral, organe exécutif de la Confédération helvétique, a refusé à l’entreprise suisse Ruag l’autorisation de revendre 96 chars Leopard 1 à l’Allemagne pour qu’ils soient réexportés vers l’Ukraine. Une décision qui confirme un principe de neutralité de plus en plus remis en cause dans le contexte actuel.

    Comme l’expliquait déjà Le Temps la veille de cette décision, “la question n’a rien d’une sinécure”. Mercredi 28 juin, le Conseil fédéral, l’organe exécutif de la Suisse, devait se prononcer sur une question très délicate concernant la livraison d’armes à l’Ukraine, et donc, indirectement, sur le principe de la neutralité de Berne. Cette affaire complexe, qui concerne trois pays, était ainsi résumée par le quotidien de Genève : “La Suisse doit trancher une demande de Ruag, soutenue par les Pays-Bas. Cette entreprise fédérale souhaite revendre 96 chars de combat Leopard 1 à son fabricant allemand, tandis que La Haye se propose de financer l’opération. Une fois remis à jour, les (vieux) engins seraient ensuite expédiés à l’armée ukrainienne.”

    “La vente n’est pas possible sur la base du droit”

    La décision devait donc être prise ce mercredi 28 juin, et comme l’annonce aujourd’hui Le Temps sur son live, l’exécutif de Berne a répondu négativement à la demande, en invoquant ces arguments : “Le Conseil fédéral est parvenu à la conclusion que la vente de ces chars n’est pas possible sur la base du droit en vigueur. Une telle vente serait notamment en contradiction avec la loi sur le matériel de guerre et entraînerait un changement de la politique de neutralité de la Suisse.”

    Cette fois encore, il n’y aura donc pas eu de changement de ligne de Berne sur la question de l’exportation d’armes, malgré les pressions qui sont exercées depuis le début du conflit – à l’intérieur du pays comme à l’extérieur – pour que la Suisse modifie son comportement sur la question.

    “Depuis le début de la guerre en Ukraine, note à ce sujet le média francophone, le gouvernement a déjà douché l’Allemagne, l’Espagne et le Danemark, qui désiraient faire parvenir à Kiev leur matériel de fabrication helvétique. Cela lui vaut une vive pression des partenaires européens, qui l’appellent à faire preuve de davantage de solidarité.”

    Ainsi, les partisans d’un changement d’attitude espéraient que l’issue puisse être différente cette fois, en particulier parce que ces 96 chars Leopard n’avaient “jamais touché le territoire suisse”, rappelle Le Temps.

    https://www.courrierinternational.com/article/guerre-en-ukraine-la-suisse-refuse-une-nouvelle-fois-de-livrer-des-tanks-au-nom-de-sa-neutralite

     

    à la longue, je suis pas sur que ce genre de posture fasse beaucoup de bien à l'industrie de l'armement suisse...

    • Upvote (+1) 4
  12. Il y a 5 heures, Wallaby a dit :

    Sauf erreur de ma part, personne n'a encore évoqué la série Succession qui nous plonge au cœur d'un empire médiatique calqué sur le groupe Murdoch, et sa chaîne Fox News, "empire médiatique en déclin dans un empire américain en déclin", qui tente de survivre face aux médias sociaux et aux nouvelles technologies.

    Comme "Dallas", c'est un univers impitoyable, où ce qui fait la "valeur" d'un homme c'est la méchanceté - par exemple la capacité de licencier 150 salariés historiques, méritants de la boîte sans flancher.

    Elle nous plonge dans les imbrications entre la politique, la bourse et les médias.

    L'acteur principal, Brian Cox, est majestueux dans son incarnation d'un homme de pouvoir. Sans avoir vu le film, je comprends pourquoi il a été choisi pour incarner Churchill. Le rôle de Staline lui irait également comme un gant.

    https://www.telerama.fr/ecrans/succession-les-coups-de-maitre-de-cette-derniere-saison-1312-7015805.php (30 mai 2023)

    “Succession” fait partie des meilleures séries de l’histoire.

     

    La série repose, vaut essentiellement par les dialogues entre les personnages et le jeu des acteurs, encore plus que l'intrigue ; qu'ils ont eu la bonne idée de ne pas trop étirer en longueur, comme Dallas justement (ça n'en avait pas le potentiel). Marque de respect pour le publique.

    • Upvote (+1) 2
  13. Je me souviens qu'il avait été estimé qu'il faudrait au moins 2 ans et demi pour que les sanctions affectent significativement l'Irak, un pays à l'économie beaucoup moins conséquente que celle de la Russie, malgré les faiblesses connues de celle-ci.

    Par contre, le risque pour l'économie russe est à plus long terme et c'est celui de "pourrir sur pied" par impossibilité de moderniser son économie par l'importation de savoir faire, de biens d'équipements occidentaux et de quoi les entretenir ; ainsi, comme le faisait remarquer un économiste qui a étudié ce sujet - et dont j'ai complétement oublié le nom !- les périodes de ruptures prolongés avec ce même occident, était source de contre performance pour l'économie russe.

     

    Ma conclusion toute personnelle est que les sanctions n'atteindrons pas leur objectif principal d'entraver significativement l'effort de guerre russe, surtout tant que l'argent des matières premières et produits semi-finis, dont la Russie est un important acteur (et c'est un euphémisme), continuerons à entrer dans les caisses (même moins qu'avant) ; et que dans l'autre sens des mesures de contournements seront prises pour alimenter leur économie et leur machine de guerre, que ce soit par le recrutement de fournisseurs alternatifs dans les pays partenaires (je n'ose pas dire alliés....et surtout suivez mon regard vers l'EST...) qui peuvent aussi, à l'insu de leur plein grès , servir de plateformes pour des filières de contrebandes, et marginalement, en Russie même par l'établissement de productions domestiques quand c'est possible.

    Ou dit plus sobrement, et constat que je fait à regret, la Russie a suffisamment de répondant pour continuer à martyriser l'Ukraine encore longtemps....

     

    Par contre à cause de cette guerre, les investissement seront qualitativement et quantitativement très affectées puisque sacrifiés sur l'autel de l'effort de guerre, dont le contrecoup sera d'obérer gravement l'avenir économique de la Russie et le niveau de vie de son peuple, la condamnant à la stagnation si ce n'est à la régression économique..........et pour abonder vers le tropisme russe de la puissance, c'est in fine un abaissement de celle-ci, puisque c'est l'économie qui est LA source de la vraie puissance dans notre monde. Guerre contreproductive au possible donc, qui provoquera ce qu'elle voulait éviter....

    • Upvote (+1) 4
  14. Il y a 5 heures, Titus K a dit :

    Je dirais que c'est justement quand on on confronte le français aux autres langue qu'on se rend compte qu'elle est si utile par sa richesse et sa précision. 

    Les plus fervents défenseurs du français sont souvent des polyglottes, et j'en fais partie. 

    Le français fleuri dans la comparaison pas dans son isolement.

     

    Révélation

     

    5dae318ab988f83e3a2c04cf

    Tu as raison fiston ! Moi par exemple j'ai cherché à apprendre le français à toute l' Europe !

    Napoléon Bonaparte, professeur de français en zone d'éducation prioritaire (ZEP) à la retraite

     

     

    • Haha (+1) 1
×
×
  • Créer...