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Shorr kan

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Messages posté(e)s par Shorr kan

  1. Le 02/09/2022 à 23:53, wagdoox a dit :

    edf s’engage à redémarrer tous les reacteurs nucléaires. 
    https://www.tf1info.fr/politique/crise-de-l-energie-nucleaire-edf-s-est-engage-a-redemarrer-tous-les-reacteurs-a-l-arret-pour-cet-hiver-assure-le-gouvernement-2231125.html

    ca représenterait combien de la consommation énergétique de la France ? 18% ?

     

    Le 03/09/2022 à 00:10, Alzoc a dit :

    Si on part sur la conso électrique qui représente grosso modo 20% de la consommation d'énergie en France (chiffres 2015) :

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    consommation-finale-energie-france-2015_

    Le nucléaire représentant en moyenne 75% de notre production électrique (chiffres 2016) :

      Révéler le contenu masqué

    production-electricite-2016-france_zoom_

    Enfin sachant qu'il y a 58 réacteurs en France (puissance comprise entre 900 et 1500 MWe) et que 29 sont actuellement à l'arrêt si on les redémarres ils (les 29 réacteurs) représentent de l'ordre de 0,2*0,75*0,5 = 7,5% de la consommation énergétique française (bien entendu ce n'est qu'un ordre de grandeur étant donné que j'ai fait quelques approximations et hypothèses simplificatrices).

    Pour info la répartition de la dépenshttps://www.youtube.com/watch?v=s5e90JukQEs&ab_channel=Énergieetdéveloppemente énergétique par secteur :

      Révéler le contenu masqué

    consommation-finale-energie-secteur-fran

    Tous les graphiques viennent d'ici :

    https://www.connaissancedesenergies.org/fiche-pedagogique/mix-energetique-de-la-france

    Votre échange m'a rappelé ce grand moment de politique :laugh:

     

     

     

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  2. Le 01/09/2022 à 07:18, prof.566 a dit :

    Il y a un truc que j'aimerais savoir. Pourquoi a-t-on indexé le prix de l'énergie sur celui du dernier kW (en termes de prix) produit? Il doit bien y avoir une raison, mais elle m'échappe.

    L'utilisation du mécanisme de tarification au cout marginal est sensé mimer El Famoso concurrence libre et non faussé, et in fine favoriser le consommateur...

    Le fond du problème c'est qu'en roue libre, s'est source d'instabilité et que ça mine le long terme vu que les calculs économiques dans ces conditions sont pratiquement impossibles. Ce manque de visibilité amène au sous investissement dans les capacités existantes et futurs - comme aujourd'hui...-  Bref c'est difficile de se projeter dans le temps avec ce système quand il n'est pas modéré par la prise en main par l'Etat.

    Bon, plus fondamentalement il y a une bonne raison théorique qui consiste à rationaliser la consommation d'électricité, éloigner le consommateur de faux choix, et de maximiser la satisfaction général de la collectivité et pas juste servir l'intérêt du producteur monopoleur ; ou comme diraient les économistes, de maximiser "l'utilité"  (le mot savant dans la profession pour le bien être). Dans cet article Marcel Boiteux explique le comment du pourquoi : https://www.larevuedelenergie.com/wp-content/uploads/2020/04/Boiteux-1956-La-vente-au-cout-marginal-revue-energie.pdf

    Cet article de cairn en dit plus aussi : https://www.cairn.info/revue-politix-2014-1-page-91.htm 

    Bref entre de bonne main, la tarification au cout marginal est un remarquable outil de "planification concurrentiel". Mais ses actuels modalités d'application ne mène qu'au chaos.

     

    Aussi pendant longtemps EDF , de l'époque où elle était en surcapacité, y a bien trouvé son compte vu que les marchés de gros de l’électricité du prix du MWh se fait en fonction du mécanisme dit du "merit order"/ordre de préséance, qui classe les sources de production du coûts marginal le plus faible au plus haut; ce qui mécaniquement favorisait le nucléaire au vu de ses couts variables /couts marginaux faibles. Mais la vedette à été volé par les ENR (au cout marginal pratiquement nul) et à mis EDF dans la panade que nous lui connaissons...

     

    Mais avec une offre tendue, le cout marginal aujourd'hui est fait par les centrales à gaz dont les couts variables sont proportionnellement plus important que les ENR et le nucléaire. L'avantage du gaz en effet, c'est que son CAPEX est faible, mais que son OPEX - proportionnellement plus important- évolue comme le prix de ses intrants, ou dit plus simplement, quand le gaz est cher l'électricité l'est aussi.

     

    Le 01/09/2022 à 10:04, Deres a dit :

    C'est plus vicieux que cela car les énergies renouvelables ont la priorité de vente et des tarifs garantis. On parle beaucoup du prix du gaz et donc des couts marginaux, mais cette priorité fait aussi fortement augmenter les couts fixes (si ta centrale ne fonctionne que la moitié du temps, tes couts fixes par Kwh double, c'est mathématique). Donc l'ajout de plus en plus d'énergie renouvelable mène inéluctablement à une augmentation du prix de l'électricité via els couts fixes des centrales thermiques aux combustibles fossiles ou nucléaires. Dans l'autre sens, quand les énergies renouvelables sont abondantes, elles ne font pas diminuer le cout marginal en dessous de leur tarifs de rachat garanti. Pire, elles produisent parfois en excès de la demande et sont pourtant achetés, ce cout étant à reporter sur les couts de l'électricté à d'autres moments.

    Cet article explique bien ce mécanisme : https://www.fondapol.org/etude/prix-de-lelectricite-entre-marche-regulation-et-subvention/

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  3. il y a une heure, CortoMaltese a dit :

    Ne jamais oublier non plus les risques d'une fuite en avant, dans la défaite comme dans la victoire. Je ne veux pas faire de point Godwin, mais Hitler lui même n'imaginait sans doute pas en 1933 être un jour maître de Paris et faire le siège de Moscou. Mais de victoire en victoire, l'appétit grandi, l'ubris aussi, et on se dit "et si ?". 

    En effet, l'appétit vient en mangeant, et comme on dit, quand l'appétit va, tout va !

     

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  4. Intuitivement, on a tendance à penser que les prix à l'issu de la confrontation de l'offre et la demande se modulent proportionnellement aux quantités échangés.

    Mais ce n'est pas comme ça que ça fonctionne. Il faut toujours garder en tête, que les prix de l'énergie encore plus qu'ailleurs, se font "à la marge" : qu'un petit déséquilibre apparaisse, et les prix crèvent le plafond !

  5. il y a une heure, Patrick a dit :

    ...

    Navré d'être très prosaïque et terre-à-terre, mais à un moment je pense qu'il n'y a pas à chercher midi à 14 heures: il faut faire le choix d'exister, et simplement se lancer, faire des trucs, même si d'autres solutions existent sur le marché, même si on a pas la meilleure offre, la moins chère, la plus performante, ou que sais-je. Et cesser d'attendre après les autres qu'ils se décident à coopérer sur le modèle "chacun amène ce qu'il a de mieux", d'espérer que l'Europe réveille ses instincts de bloc indépendant, ou que le mystérieux business angel ou le milliardaire du moyen-orient décident de financer (à perte) l'atelier de Gepetto afin qu'on lui fabrique la version terminator de Pinnochio.

     

    ...

     

    Je crois que tu tiens quelque chose. Accroche toi !

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  6. La force de l'artillerie c'est sa capacité à frapper fort, rapidement/organiquement et de façon persistante si la logistique et la boucle OODA suivent.

    Les obus de précision sont non seulement chers mais surtout longs à fabriquer. Ce qui les rends à peu près inutiles dans le cadre de l'usage courant de cette arme, grosse consommatrice de munitions.

    Et même pour les usages spéciaux, ils sont redondant vu qu'il existe déjà des moyens appropriés pour ça, généralement aéroportées.

    pour l'allonge, pour les plus longues portés les radars de contrebatteries sont capables de donner l'alerte suffisamment tôt quand un missile, pour pratiquement le même prix, sera capable de frapper plus discrètement grâce à une trajectoire plus tendue/pseudo balistique, sans parler des drones armées/munitions rodeuses capable d'utiliser le masque du terrain et la rondité de la Terre (désolé les platistes...) en volant très bas.

     

    Bref, c'est indéniablement de beaux jouets, mais dont l'utilité, sans être nulle, me semble douteuse. Mais surtout c'est une méconception du rôle de l'artillerie. Un peu comme la dérive qui a amené les VCI d'engins destinés à la lutte contre l'infanterie antichars ennemie, à une mission de lutte anti-véhicule de gabarie comparable.

     

    Des perfectionnements plus raisonnables, ont par contre leur place comme ce système d'ailettes rotatives dont j'ai oublié le nom, et généralement tout ce qui permet de verticaliser au maximum l'arrivé des obus., maximisant leur effet létal sur la cible. Mais ironiquement ils ne sont presque jamais adoptés en masse...

    Par exemple, un truc tout bête mais très efficace comme les obus à fusée de proximité, qui ont pourtant démontré leur pleine efficacité dès leur apparition à la fin de la seconde guerre mondiale, ne s'est jamais généralisé ! 

     

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  7. il y a 15 minutes, Minitel a dit :

    J'ai l'impression qu'une bonne crise économique solutionnerait 3 problèmes en occident : l'inflation, les prix de l'énergie élevés et l'optimisme russe.

    C'est plus ou moins ce qui est prévu par la FED et surtout la BCE : la remonté des taux vise à tuer l'inflation au prix d'une légère hausse du chômage et d'une courte récession. Mais il est très possible que les Banque Centrales coupent court à cette politique et se remettent à acheter des obligations sur les marchés secondaires si la chute est trop rude.

     

    il y a 41 minutes, Wallaby a dit :

    https://www.nytimes.com/2022/07/12/opinion/ukraine-russia-putin.html

    Il est évident que Poutine est prêt à continuer à avancer en Ukraine, dans l'espoir que l'inflation galopante des prix de l'énergie et des denrées alimentaires en Europe finira par fracturer l'alliance de l'OTAN. Son pari semble être le suivant : Si les températures moyennes en Europe sont plus froides que la normale, si l'approvisionnement mondial moyen en pétrole et en gaz est plus serré que la normale, si les prix moyens sont plus élevés que la normale et si les pannes d'électricité dues aux pénuries d'énergie se généralisent, il y a de fortes chances que les membres européens de l'OTAN commencent à faire pression sur le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour qu'il passe un accord avec la Russie - n'importe quel accord - afin de mettre fin aux combats.

    Donc Poutine doit sûrement dire à ses propres troupes et généraux épuisés : "Amenez-moi juste à Noël. L'hiver est notre ami."

    Ce n'est pas une stratégie folle. Comme le rapportait Jim Tankersley du Times la semaine dernière : "Les responsables de la Maison Blanche craignent qu'une nouvelle série de sanctions européennes visant à freiner le flux de pétrole russe d'ici la fin de l'année ne fasse à nouveau flamber les prix de l'énergie, frappant les consommateurs déjà assiégés et plongeant les États-Unis et d'autres économies dans une grave contraction. Cette chaîne d'événements pourrait exacerber ce qui est déjà une grave crise alimentaire qui frappe les pays du monde entier."

    Les efforts de l'OTAN et de l'UE pour limiter les exportations de pétrole russe vers l'Europe, ajoute l'article, "pourraient faire monter en flèche les prix du pétrole jusqu'à 200 dollars le baril ou plus, ce qui signifierait que les Américains paieraient 7 dollars le gallon d'essence". Un gallon d'essence à 9 ou 10 dollars n'est déjà pas rare en Europe, où les prix du gaz naturel ont augmenté de 700 % depuis le début de l'année dernière, poussant le continent au bord de la récession."

    Pendant ce temps, les responsables de l'OTAN, des États-Unis et de l'Ukraine se disent sûrement : "Oui, l'hiver est notre ennemi. Mais l'été et l'automne peuvent être nos amis - SI nous pouvons infliger maintenant de réels dommages à l'armée fatiguée de Poutine, afin qu'il accepte au moins un cessez-le-feu."

    Moi je parierais plutôt sur une grosse offensive d'hiver - en appui ou indépendamment de la stratégie susmentionnée- de la part de l'armée russe.

  8. Il y a 1 heure, John92 a dit :

    Bon on n'est pas Dredi mais quand même c'est la FêtNat (et Jeudi de surcroit), donc:

    DEFA , je te déteste car, tu viens de couper court à un gros HS; on aurait pu partir sur des discussions à rallonge et là.

    Paf, ton post en mode Madame vous l'avait bien dit, ben ça nous bloque; donc je te déteste

    J'arrête là le HS, merci DEFA

    Bonne fête (fériée) à tous (et toutes mais y'en a pas sinon je vais prendre un TOPOL)

    (et YAPADEMADAM sur ce fofo, CEFACIL, YSUFFI, YAKA)

    Cordialement (tout le monde aura compris, j'espère, que j'ai fait le pont)

    John

     

    On ne le rappellera jamais assez

    Révélation

     

    le HS c'est la vie !

     

     

    il y a une heure, mgtstrategy a dit :

    Pluie de Topols à venir 

     

    Révélation

     

    MistyBoringHedgehog-size_restricted.gif

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  9. Il y a 3 heures, Colstudent a dit :

    ...Mais au delà de ça même si l'ukraine n'en est pas la principale cause, je me demande combien de temps les occidentaux "nous" avons prévu de soutenir le conflit pur et dur ? c'est une question :) y a t-il pour nous une limite aussi dans le soutien, un cap qui pousserait à voir si l'Ukraine peut pas sauver les meubles ? car si la Russie s'écroule ok, mais si elle tient, on tient aussi longtemps sans avoir nous aussi à nous remettre de cette situation ? car hormis le fait que l'Ukraine veuille reprendre tout ses territoires, ça va leur et nous couter combien en rapport avec une perte négociable d'une partie d'entre eux ? Sachant que si le conflit stoppait demain, je pense que la Russie serait faible pour pas mal de temps sur le plan militaire, du moins en suivant tout ce qui a été dis sur ton état ici

     

    Désolé de la masse de question ^^ 

     

    Ce n'est que mon opinion, mais je pense que ça dépend surtout et au premier ordre de la lassitude ou pas des américains : D'un coté ils ont les moyens de soutenir l'Ukraine presque indéfiniment, de l'autre c'est les spécialistes du lâchage en rase campagne de leurs alliés...

    Après c'est complexe : si Washington se détourne du conflit,  feront-ils pression sur le Pologne et consort pour mettre de l'eau dans leur vin et surtout pousser l'Ukraine à négocier, ou laisseront-ils juste les européens se démerder et la situation pourrir ?

    - l'Ukraine voudra-t-elle négocier au bout du compte ou continuer le combat ? la 1er option est "rationnel", mais si j'étais ukrainien je voudrais continuer la lutte jusqu'au bout. Les combat sur le terrains sont relativement lents et si les russes restent loin de Kiev je pense que ce sera le second choix, mais si la capitale est à nouveau menacée d'être prise, à un moment ça peut changer les perspectives... 

    - D'ailleurs Poutine voudra-t-il négocier autre chose qu'une capitulation sans condition ? D'ailleurs c'est quoi son objectif final ? Le sait il lui-même ?

    - La guerre débouchera-elle sur une paix potable, un conflit gelé ou la disparition d'un des protagonistes  ?

    - Le marché de l'énergie restera-t-il tendu pendants encore quelques années ? Le schéma habituel est que les prix de l'énergie restent rarement élevés sur la durée, c'est l'activé qui ralenti en contrecoup. Sauf que cette fois, la régulation/baisse habituelle des prix par la diminution de la demande - consécutive à la proche récessions qui arrive - ne sera pas suffisante. Les prix de l'énergie sont parti pour rester structurellement élevés. C'est en tout cas ce que je pense.

    - En parlant de récession, comment les gouvernement occidentaux et leurs BC vont réagir ? probablement comme pendant la pandémie de Covid avec planche à billets/dettes monétisés et déficits budgétaires/subventions dirigés vers les plus pauvres.

    - Dans cette perspective, et malgré ses progrès laborieux sur le terrain, Moscou devrait donc avoir de quoi tenir le coup tant que l'argent entre. Et non seulement ça, mais l'arme énergétique est une épée de Damoclès au-dessus de l'économie mondiale et tout particulièrement des Européens qui dissuade ces derniers de lancer des sanctions plus durs, émousse celles déjà prises, et à terme pourquoi pas, minorera l'activisme de certain de ces membres au point de diviser/paralyser l'UE diplomatiquement.

    - Poutine devra-t-il quand même mobiliser à un moment ? Quel impact sur la société, sa lassitude, la volonté de révolte ? idem si la guerre dure et les privations trop importantes ?

    - Y aura-t-il une escalade à moment ? Par qui sera-t-elle impulsée en premier et de quelle nature/ampleur sera-elle ? Par l'extension des frappes russes sur les installations civile auxquelles répondront les occidentaux par plus de sanctions et plus directement orientées contre la population russe ? Ou est-ce que ce sera dans l'ordre inverse ?

    - Obi-Wan Kenobi ?

    Bon ça va dans tout les sens, mais tu aura compris que c'est éminemment complexe et surtout que le déroulement dépend largement des hypothèses sous-jacentes qu'on fait.

    Mais je sais deux choses : 1- ils ne faut pas trop présumer de la faiblesse morale de l'un des protagonistes, qu'un des camps flanchera et manquera de détermination prochainement (historiquement ce n'est pas une bonne hypothèse. Un pays à même eux le privilège de se prendre deux bombes atomiques pour l'avoir fait...) 2- les évènements ont leur propre inertie, même si en bout de course il y a un mur.

     

     ?

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  10. il y a 2 minutes, DEFA550 a dit :

    Je parlais de la mise en application du décret 79-846, de l'arrêté associé (du 29/05/2015 modifiant celui du 20/04/2007 fixant les règles relatives à l'évaluation des risques et à la prévention des accidents dans les établissements pyrotechniques), et des circulaires du Ministère de l'Environnement et du Développement Durable.

    Sous peu, j'aurais aussi besoin d'un avocat :ph34r:

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  11. il y a 13 minutes, SLT a dit :

    C'est pas ce que ça veut dire : il sera capable de dire quelles sont les sécurités à mettre en place pour la fabriquer, ou plutôt pour l'installer sous un avion (si j'ai bien saisi son CV)

    En gros : les procédures en vol et pour les pétafs pour installer et mettre en œuvre de l'armement dans des conditions de sécurités jugées suffisantes et satisfaisantes pour la sécurité du personnel et des appareils/installations  (@DEFA550, je ne suis pas trop loin de la réalité?)

    Pour faire une bombe, il te faut (au minimum) un expert pyrotechnicien, ou un chimiste un peu aventureux et curieux (si tu veux juste un truc un peu plus... artisanal :wink:)

    Disons que c'est pour offrir :ph34r:

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  12. Vous savez, pour moi les collaborations multinationales, quand il y a trop de monde, c'est comme ces films avec marqué dans le générique de fin un truc genre, "coproduction jamaïco-serbo-islandaise"..........c'est rarement bon signe sur la qualité de l'œuvre :ph34r:.

     

     

    Il y a 21 heures, DEFA550 a dit :

    ...

    DEFA550, rédacteur d'études de sécurité pyrotechnique.

    ...

    Tu veux bien m'aider à fabriquer une bombe ?

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