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Shorr kan

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Tout ce qui a été posté par Shorr kan

  1. Mais cette huile d’olive a-t-elle reçu le label AOC ? Sans quoi je ne vois pas la bureaucratie européenne se servir pour punir les contrevenants d’une denrée, même abondante, qui n’a pas reçu toutes les habilitations et laissez passer autorisant son usage sur tout le territoire communautaire :oops: Blague à part, dans cette histoire de création monétaire par les grecs, ces derniers ne sont pas limités à la monnaie scripturale ? Car je crois me souvenir que pour les billets il y a une histoire de code dont chaque état de l’eurozone est détenteur d'une partie.
  2. Si je me souviens bien, l’avantage des lances roquettes sur l’artillerie conventionnel est le punch ainsi que l'allonge, qui permet d’ailleurs de déporter sur de longues distances le point d’application des frappes sans déplacer la batterie. L’inconvénient par contre et le temps de rechargement relativement long des roquettes après une salve. Les spécialistes me corrigeront.
  3. Bof, c’est rien. Je ne suis pas très regardant. Moi tu sais, de grosses fesses et de gros seins suffisent à me combler. Si en plus elle est pas bavarde, voir qu’elle carrément muettes ; ben j’en ferais bien la femme de ma vie… Et je ne me rappelle plus si c’était Flaubert qui disait : « laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination » ;) Sinon, le taux de changes Euros-turluttes cotait à combien à la clôture ? ...
  4. Nan ? Elles ont une difformité quelconque? J’ai fréquenté de l’albanaise, de la serbe, de la roumaine et même de la bulgare et de la moldave -presque toutes slaves je le concède*-…bref tout les Balkans, mais de la grecque jamais. * ces propos sont à hautes teneurs en mythomanies :oops:
  5. Euhhhh, dit jojo :|……..il y aurait pas moyen que la dame paie en nature :-X……enfin, euhhhh…..je me fait comprendre. O0 Les grands principes de l’économie sont contre-intuitif, donc ayant une valeur nul sur le marché politique. La nuance et la complexité ne font pas le poids face à l’idéologie et aux idées bien schématiques. Et dans la mesure où l’homme politique allemand – ainsi que la femme…suivez mon regard- est à quelques détails près comme ses collègue d’outre Rhin/Danube/Oder, il faut généralement attendre d’avoir le nez dans le caca –soit quand il est trop tard…-pour commencer à chercher une solution réaliste. Mais l’électoralisme aura toujours sauf extrême urgence, le dernier mot… D’ailleurs signalons que le fléchissement des exportations allemandes vers leurs voisins inquiètes de plus en plus les industriels allemands, et c’est pour moi la principal raison d’espérer voir la politique allemande fléchir par la pression des lobbys exportateurs en communs avec celles des retraités, soucieux de préserver leurs créances placés à l’étranger. D’ailleurs, je ne comprend pas l’acharnement à faire changer d’avis une Merkel qui a amplement démontré sa capacité à rester droite dans ses botes, et qui dans l’absolu ne pourrait pas beaucoup infléchir sa position même si elle le voulait, prisonnière qu’elle est de son camp et des convictions qui l’accompagnes ; pour directement nouer un dialogue avec les secteurs de la société allemandes qui n’ont pas intérêt à voir les pays du club-med se casser la figure. sauter par-dessus la barrière étatique en somme ?
  6. Et si ce n’était pas un hasard ? De mon point de vue non seulement il est conscient que ses coups de forces font sauter d’un seuil la tension à chaque tentative et surtout sait que c’est inévitable, mais qu’il recherche cette agitation tant que la montée en pression reste progressive…mais ça finira par lui échapper. Je détail le fond de mon opinion dans ma réponse à loki plus bas ;).* Je me suis mal fait comprendre, je me concentre sur les allemands, et pointe du doigt le détournement qu’ils ont fait de la tactique non seulement comme substitut à la stratégie dont il ont pensé pouvoir s’extraire de ses contingences – d’où l'investissement massif dans leur appareil militaires sensé les mettre hors de portée- et sans parler de confondre les deux échelons, vont jusqu’à subordonner le dernier au premier ! Trois exemples tirés de la Grande Guerre : . L’invasion de la Belgique en 14 qui fera entrer en guerre les anglais, ce qui n’avait rien d’inévitable. . Le déclenchement d’une guerre sous-marine illimité en entretenant l’illusion qu’une arme, qui malgré les pertes qu’elle a infligé reste à la fois trop immature, mais surtout insuffisante sans l’appui du reste de la Marine, pouvait à elle seul changer le court de la guerre. Et là aussi provoque l’entrée en guerre encore plus évitable des E.U. On voit ou conduit le mépris des réalités diplomatiques juste pour le plaisir de taper fort. . Enfin la façon dont le couple Hindenburg-Ludendorff mettra en coupe réglé le pays en l’enfonçant d’un cran dans la guerre total. Mais tout le monde n’a pas l’audace et surtout le sens du timing de Manstein ; d’ailleurs rétrospectivement sa manœuvre était risquée : régler son compte à toutes les forces adverses d’un seul coup quand on sait à quel point était tendu l’effectif en infanterie des allemands ; alors que des gens comme Brauchitsch voulaient faire ça e deux étapes. Rien ne dit que ça n’aurait pas été tout aussi valide. Mais cet ordre d’arrêt est-il vraiment une erreur si l’on considère qu’il cherche absolument à se concilier les britanniques ? La destruction du BEF aurait rendu ce but inatteignable. Sa seul vraie erreur est d’avoir cherché à les intimider par les bombardements et le blocus, en somme d’avoir perdu sont sans froid, plutôt que de continuer à leur faire la cour jusqu’à ce que la G.B en reviennent à de meilleurs sentiments. D’un point de vue plus factuelle et en écartant les intentions qui ont pu traverser l’esprit d’Hitler, ce dernier, si je ne dis pas de bêtise, a surtout arbitré en faveur de Goering initiateur de la proposition d’arrêt, et du fait de la divergence dans les ordres donnés par von Brauchitsch et von Rundstedt en donnant raison à ce dernier. Pour ce qui est de Frieser bien qu’il est contribué à recadrer a sa place la notion de Blitzkrieg, je trouve d’une part qu’il en fait trop en insistant très lourdement sur les concours de circonstances qui ont permis à la wehrmacht comme si que le hasard n’était pas le lot de toutes les guerres, et à minorer la capacité de cet outil militaire à exploiter les dites circonstances marque de l’excellence. Tout comme il fait la part trop belle à la strict comparaison numérique du matérielle pour évaluer les rapports de forces, en oubliant disponibilité, doctrine d’emploi et l’intégration dans des unités véritable éléments de comptes. Du point de vue de l’affaire qui nous intéresse, s’il a parfaitement raison de souligner que le dictateur n’a aucune place dans les succès de 40 –je m’en explique plus loin le pourquoi de sa pusillanimité*-, je trouve qu’il met trop en avant les commandants de l’avant pour négliger le rôle de l’OKH, et pire encore, en la présentant comme une instance dépassé par l’audace de ses subordonnés. Et face à cette assertion je me porte en faux : le haut commandement de la Heer a été LE grand acteur de la campagne de France. J’y reviendrait un peu plus loin*. Même si la paranoïa maladive de l’oncle Joe est au coude à coude avec le narcissisme et la mégalomanie de tonton Adolf, Staline reste bien plus raisonnable dans ses buts, que partages d’ailleurs la classe politique soviétique et dont les conceptions trouvent une certaine continuité dans le passé impérial. Dans le cas d’Hitler il en va tout autrement. Nombreux sont les auteurs qui constatent l’impasse géopolitique dans laquelle se trouve l’Allemagne pour exister en tant que puissance majeur, mais l’aspirant dictateur d’alors lui produits le diagnostic et le remède : une transformation radical de la nation allemande et son voisinage seul à même de préparer son peuple à faire face à son nouveau statut. Transformation qui prend le contrepied d’à peu près tout ce qu’est l’Allemagne depuis des siècles. A la fois bien plus ambitieux, mais surtout irréaliste que son collègue soviétique. Mais tous deux partage un point commun : leur rationalité est exclusivement politique et idéologique. Tous leurs est asservis. Seul compte le résultat final quantités brut ou buts qualitatifs ; dans ce cadre qu’importe les moyens utilisés, mais aussi les nuisances générés, les pertes, les ratages, les gaspillages matérielles, le gâchis humain, l’inefficacité et les rendements médiocres. Tant que cela les sert toute ces insuffisances n’ont pas d’importance, et sont même sans objet de leur point de vue. l'optimum technique ne les intéresse pas, donc leur reprocher de s'en détourner n'a pas de sens. A la décharge de Staline il s’est amandé –un peu- avec le temps pour suivre une courbe différente. Voir ma réponse plus bas ;)*. Et ce n’est pas fortuit. Ces féodalités et les luttes de personnes qu’elles induisent sont ce qu’il lui permet de gouverner en plus de donner un faux sentiment d’indépendance à ses vassaux. Ils ne donnent pas d’ordres ils manipulent. Mais presque toujours doublé par des techniciens compétents comme second. Et ça fonctionnent par couple : un courtisant servile et obéissant flanqué d’un adjoint efficace et amoral (Brauchitsch et Halder, Keitel et Jodl) ; et les très bon chasés, au mieux sont éjectés en périphérie au contact des problèmes – c’est pour moi l’une des raisons de l’impossibilité de la Wehrmacht de s’élever à une conception plus opérationnelle de la guerre ; les plus talentueux n’ont pas le loisir de prendre à bras le corps la réorganisation -, certes ils conservent la possibilité d’avoir accès au hautes sphères mais le cadres reste informel et de ce fait ont des positions précaires entièrement sous la coupe du Führer. Encore un autre élément de sa boite à outil qui lui sert à tenir son monde. C’est aussi ça le nazisme : une entreprise de séductions qui fait tout pour préserver le confort de vie des allemands, et tant que le moustachu n’a pas compromis une portions suffisante de la société, il se trouve dans la gêne vis-à-vis de cette même société qui est loin d’être monolithique. Ajoutons la puérilité et le caractère sommaire de ses conceptions économiques –base de la puissance militaire- alors même qu’il fait grand cas de l’économie qui fonde en partie sa vision –qui en devient forcement fausse. Je ne dis pas le contraire. Pour moi dès son échec devant Dunkerque la cause est entendue. Je peux comprendre que quelqu’un comme toi, qui si je me souviens bien, a une formation d’historien ne peut se satisfaire de simples témoignages comme fondement d’une thèse historique ; mais cela à quand même le grand mérite de remettre l’informel au cœur de la compréhension du fonctionnement chaotique du régime. Et de un. * De deux, je le rejoins sur l’idée que le moustachu suit un plan, j’en veut pour preuve son torchon ou tout est détaillés, prémédités : il se renforce doucement, sans précipitation à l’intérieur, il neutralise la GB par un traité naval en le leur demandant gentiment avec battement de cil qui implicitement enterre Versailles, neutralise l’Italie dans la foulé l’attirant dans ses filets en instrumentalisant sa soif de reconnaissances, rétablie la pleine souveraineté du Reich sur tout le territoire et ressuscite sont armée tout en passant à l’étranger comme le grand persécuté de l’affaire, limite pacifiste qui ne fait que réclamer sont du, Tout comme il l’écrit en 1927 ; et même l’improvisation de l’Anschluss reste un risque calculé dans la mesure ou la France n’a pas de gouvernement à ce moment-là. Il ne fait sa première erreur qu’en commençant à dévier de son plan et à se précipiter en envahissant la Tchécoslovaquie : il a les yeux plus gros que le ventre et son mépris des franco-anglais le rende téméraire depuis Munich. Mais grosso modo il sait saisir les opportunités, profiter des faiblesses et erreurs d’autrui, et est un observateur avisé de la scène qui l’entoure. Un autre exemple plus factuel qui montre pour moi qu’il a bien en tête une série temporelle est la réunion des chefs des trois armes le 22 aout 1939 au Berghof dont la teneur a été rapportée par Halder et ou le grand patron précise que non seulement il était décidé à bouffer tout cru la Pologne et en a fait un préalable avant de passer aux choses sérieuses –la preuve en question-, mais que c’était un passage obligé pour roder la machine de guerre allemandes, ce qui prouve implicitement l’importance qu’il accorde au Retex –selon moi, la vraie supériorité allemande face à la France en 40 : avoir une guerre, même petite, d’avance-. Preuve supplémentaire qu’il n’est pas si nul que ça. Le propos exact : « Les relations avec ce pays sont insupportables […] Il faut régler maintenant un démêlé qui ne saurait attendre 4 ou 5 ans. Emploi d’armes militaires nécessaire avant que ne se produise dernier grand démêlé avec l’Ouest. Eprouver l’instrument ! Un règlement général n’est pas souhaité, mais il faut prendre des tâches séparées ; c’est non seulement la bonne voie politique, mais aussi militaire » (Halder, p.24) Enfin, je trouve que même si il n’a pas la précision d’un Ian Kershaw et que ce dernier offre certainement l’une des meilleures descriptions d’Adolfo 1er et son univers. Delpla se rapproche pour moi le plus de l’essence de ce qu’était Hitler et surtout de la façon de le prendre : on focalise trop sur la seconde guerre mondial ; une guerre généralisé qu’il ne désirait pas et signe son échec à faire plier la Grandes Bretagne. Il ne désire l’affrontement que dans la mesure où celui-ci est court et sous control, faisant tomber un à un les obstacles à la réalisation de son programme pour avoir les mains libre à l’Est après une paix des braves à l’Ouest. Et ce comportement a sa raison d’être dans le fait qu’il n’est pas « clausewitzien » - et c’est ce qui fera obstacle à tout compromis- mais bien « kantien », c.à.d. ne rêvant que d’une paix universelle ; une paix des cimetières, une paix fondé sur l’asservissement de ceux jugés inférieurs, mais une paix quand même… Là, ou plutôt le moment où je ne le suis plus c’est avec l’invasion de la Pologne qui provoque l’entrée en guerre de la France et la G-B. il juge qu’Hitler s’y attendait et à même recherché ce résultat et que sont explosion de rages en apprenant la nouvelle n’était que mise en scène. Je pense au contraire qu’il a réellement été surpris par la vitesse à laquelle les évènements ce sont enchaîné et constatent l’impréparation dans laquelle se trouvait son pays il finira par sagement se ranger de l’avis des militaires leur confiant l’élaboration et l’exécution de la suite des opérations. Et je trouve que c’est ici que se trouve la limite de son analyse par manque de connaissances militaires, ce brouillant à la fatidique frontière 39-40. Sinon, tant que justement la dimension militaire du problème reste minime voire inexistante, il reste très pertinent dans sa description du diabolique chancelier comme un animal politique rusé et retord, rôle ou il excelle, maitre ès tromperie et dissimulation, sa nature profonde. En définitive –et c’est peut-être ce qui nous oppose- cela va contre l’opinion majoritaire qui veut qu’il est été tributaires d’événements qu’il ne contrôlait pas et forcé à la surenchère par l’accumulation des difficultés – dernière assertion partiellement vraies pour moi dans le domaine économique :la ruine et l’inflation était en bout de couse en l'absence de guerre-.
  7. Shorr kan

    CRAB : concept d'emploi

    Je me souviens d’un concept testé par l’US Army dans le cadre d'un programmes expérimental des années 80 de divisions blindées légères dites HTLD/HTMD devant se porter le plus vite possible au-devant de l’ennemi. Il s’agissait de buggy porteur de missiles Tow pour faire du hit-and-run contre les chars adverses. Les essaies ont été des plus concluants, mais la bureaucratie a enterré l’idée en prétextant du règlement qui impose que les TOW soit manipulé par au moins 3 hommes, alors même que 2 hommes suffisait amplement dans les faits ; dans la mesure où il n’existait pas de buggy autre que biplace le projet a été rejeté. Le CRAAB pourrait-il remplir avantageusement ce genre de missions dans le cadre de la haute intensité? Ça irait a contre emploi ?
  8. Pour le cas particulier d’Hitler mes dernière lectures mon fait réviser mon opinion a son propos, et indépendamment de la médiocrité du personnage je trouve au contraire que durant la période qui va de sa prise de pouvoir à l’Armistice il touche plutôt sa bille et fait montre d’une grande maitrise de l’échelle politique et diplomatique, en somme celle de la « grande stratégie ». Même dans le domaine militaire il a pris quelques décisions bienvenus –au pif sortir Manstein du placard et l’arbitrage en faveur de son plan-, et bien qu’il ne soit pas à l’origine des PzD il n’a pas fait obstruction à leur constitution et a même donné avancements et moyens à des gens comme Guderian- d’ailleurs son gout de l’innovation finira par se retourner contre lui en drainant le flux tenu de ses ressources vers des inepties technologiques-, surtout il a su triplement tirer profit du réarmement dont il n’est pas l’initiateur –contrairement à une idée reçu- en 1. La faisant correspondre à ses besoins tout simplement 2.s’attacher les militaires qui ont fait l’erreur de le prendre pour un politicien de passage utile comme faire valoir de leurs propres plans, c’est le point 3. En les amenant à penser qu’ils sont les vrais patrons de l’affaire. A l’international il a réussie à blouser des adversaires, là aussi contrairement à une image d’Epinal plutôt lucide. A empêcher leur coalition, à brouiller les cartes par une campagne de communication qui a fait en sorte de maintenir étanches les compartiments en fonction du publique visé. A sérier ses objectifs dans le bon ordre sans que personne ne lui saute à la gorge jusqu’à l’affaire polonaise. Enfin, et ce n’est pas la moindre des choses, a créer la surprise stratégique-au prix il est vrais d’un risque démesuré...mais le régime avait-il le choix vis-à-vis de sa survie. En définitive, je partage l’analyse de François Delpla qui dépeint quelqu’un qui avait suffisamment de talents et de connaissances sur la scène européenne d’avant-guerre pour en faire son bac à sable, maitre dans la manipulation et la tromperie, il a bien en main tous les rouages de son régime féodal dont il donne le la et dont il entretient savamment le désordre ; sans toutefois suivre l’historien dans la sorte d’omniscience qu’il semble lui attribuer. Pour moi il y a un Hitler d’avant 40, c.à.d. un chef politico-militaire dans la bonne moyenne…tant qu’il s’abstient de mettre son nez dans le détail des opérations. Et celui d’après 40 qui se casse les dents sur la détermination de Churchill et qui commence à débloquer, devenant stratégiquement incohérent et dans l’improvisation permanente, intoxiqué sur ses capacités par sa propre propagande, grisé par ses premiers sucée et incapable de réprimer ses traits de caractères les plus négatifs. N’a-t-il pas écrit dans son Mein Kampf que jeune homme toutes formes de racisme lui était étranger, et avoué a un journal que si les juifs n’existait pas comme bouc émissaire il aurait fallu les inventer… Mais n’est-il pour autant que pure cynisme ? Certainement pas, et même si en toutes probabilité il ne croît pas à aux âneries de son régime et à la façon dont elle étaient présenté, il en partageait le fond –d’où sa « passion » qui est pour moi indéniable- et ces trivialités servaient son projet. En quoi consistent-il ? Il veut donner à l’Allemagne la possibilité de lutter dans la grande arène internationale ; en effet il voit bien que les nations européennes sont vouées à a être minoré dans le nouvel ordre géopolitique qui se profile dominé par l’URSS et surtout les USA ; et il redoute plus que tout « l’ouverture » - le mondialisme on dirait aujourd’hui- dont est porteur ce monde marqué par les mœurs et l’influence anglo-saxonne. C’est aussi ça Hitler : quelqu’un qui sent l’air du temps, prophétise certaine chose et haie du plus profond de son âme ce futur en gestation. Pour l’empêcher il doit faire basculer la planète sur son axe, la mettre à feu et à sang pour figer la situation, plonger sa patrie dans un affrontement épique pour avoir une chance d’imposer son projet réactionnaire. Sa nous amène à nous interroger sur sa supposé folie. Non, il n’est pas fou dans le sens où il n’est pas psychotique, mais il est très gravement névrosé et ça brouille complétement sa visions du monde, fausse son jugement dans les grandes largeurs, surtout quand la question racial entre en ligne de compte : il en perd toutes lucidité. Pour ce qui est de la supposé supériorité allemande, du moins durant les dernières guerres, ils me font l’impression de ces joueurs d’échecs doté d’un vaste répertoire d’ouverture et qui ne font que peu ou pas d’erreurs tactiques. Face à 90% des joueurs c’est amplement suffisant pour les battre. Parface à un adversaire ayant une moindre maitrise technique mais avec un sens stratégique solide – et Dieu sait que les Allemands ont été très insuffisant à ce niveau, le plus important de tous…y a pas idée de passer la Belgique !- Le jeu sera très difficile. Je dirais même qu’un nombre répété de parties verra sa défaite dans une majorité de cas, voir tout le temps à la fin du moment que son vis-à-vis à le loisir de s’améliorer. Enfin, il ne fait pas le poids contre un jouer « positionnelle » qui préfère à l’échange de pièces qu’il aura même tendance à retarder le plus possible, la prise de positions et l’accumulation patiente de petits avantages jusqu’à déclencher la série de coup qui débouchera sur le mat. Un peu à l’image de l’art opérationnelle des soviétiques. mmm. Rappelez-moi de me remettre aux échecs…
  9. merci, t'est un chef ;) sinon, à titre personnel, si tu avait à choisir, tu aurait préféré avoir entre les mains de l’artillerie monté sur chenilles ou des roues te vont tout aussi bien?
  10. Une petite question…voir plusieurs : quoique le CAESAR soit un système d’arme exceptionnelle par son allonge et autres menus aptitudes ; est-ce que le fait d’avoir choisie de le mettre sur roues ne nuit pas à sa « surviabilité » ? Je pense à la difficulté qu’il doit y a voir à le déployer n’importe ou – c'est-à-dire au mieux-, et surtout à sont éventuelle vulnérabilité à un tir de contre-batterie dans la mesure ou les itinéraires de fuites doivent être limités aux routes –et par là, plutôt prévisible- ? Plus globalement il n’y aurait pas eu un « défaut » de raisonnement lors de sa conception dans la mesure où 1. A quoi bon l’aéromobilité et un déploiement opérationnelle rapides, si hormis quelques matérielles pensés selon le même schéma – par exemple le VBCI- le reste – du train logistique à la cavalerie lourde- ne peu suivre ? De 2. Au binôme CAESAR/LRM un lance roquette sur roues et canon sur chenilles successeur de l’Auf-1 –voir carrément sur châssis Leclerc !-n’aurait pas été préférable ?
  11. Shorr kan

    Boeing Phantom Eye

    Oui mais la fusée on la remplie et elle décolle, et entre les deux il y n’y a que quelques heures, pas des jours ce qui doit pousser a une isolation renforcé. Je ne comprends vraiment pas cette recherche de la complexité ?.. Bon c’est vrai que chez l’Oncle Sam c’est une culture à part entière… Ils ne sont pas contant de leur Globalhawk ? Dans le genre drone persistant, un appareille solaire n’est pas un concept plus potable ? Ou si il y tiennent tant que ça à l’hydrogène ils auraient pu concevoir un avion « hybride » à base de PAC : rendement intéressant et profil de vol plutôt constant pour un appareille de reco. En fait, pour être convaincue j’aimerais une comparaison chiffré avec une solution au kérosène, ou mieux, avec du gaz naturel qui me semble un bien meilleur compromis. Mais en l’absence de chiffre j’admets que mon scepticisme peut être mal placé ;).
  12. Shorr kan

    Boeing Phantom Eye

    Mais est-ce que le volume supplémentaire (en comparaison d’une solution classique) ne génère pas à son tour une contrainte de poids inacceptable qui efface le gain énergétique – ou au minimum la réduit à l’épaisseur du papier à cigarette- ? Je ne suis pas à traiter les ingénieurs d’incompétent, et avec les composites qui sait, les lois d’échelles s’en ressente et permettent de faire des folies en terme de rapport résistance/poids que qui rend l’encombrement supplémentaire tout a fait acceptable en terme de poids ; mais l’absence de train suggère que c’est pas encore ça. ;) Je soupçonne cette histoire d’avion – a fortiori militaire- propulsé à l’hydrogène d’être une arnaque à la subvention.
  13. Shorr kan

    Boeing Phantom Eye

    Ou plus simplement la densité affreusement basse de l’hydrogène qui impose des réservoirs avec de telle volume. Le seul avantage de cette solution, éventuellement, est de faire croiser l’appareille plus haut qu’avec du kérosène, mais ils auraient pu obtenir un résultat pas très éloigné avec du gaz naturel –et accessoirement se payer des trains d’atterrissage...-. C’est vraiment n’importe quoi ce programme :P.
  14. En se tournant vers l’Europe de l’est et l’ex-URSS. Mais comment compte-t-il substituer la demande de leurs clients du sud par ceux de l’est, sachant que les économies de ceux-ci n’ont pas encore la maturité des précédents, et en sus dépendent fortement de la demande international en matières première …et de sous-traitance au profit des entreprises allemandes ?! Voila donc un magnifique spécimen de pensé magique. La vérité est qu’il n’y a d'alternative à la crise et au crash que l’intégration fédéral ; mais vouloir que tous alignes sur le model allemands en quelques mois là ou ce même model à pris des décennies à se mettre en place - je mets de coté les données culturel, démographique, etcetera qui s’oppose à toutes entreprise d’ingénierie social de cette ampleur…- est une aberration ; là ou la seul option possible, opérationnelle, viable à court terme et la mutualisation/péréquations des pays excédentaires vers les déficitaires. Fermez le banc. Effectivement, c’est une véritable monstruosité qui se prépare : un bidule sensé concilier l’inconciliable. D’une part l’acceptation d’une plus grande intégration en échange du control de la marche de celle-ci, et surtout sellons ses conceptions. L’idée c’est « c’est celui qui signe les chèques qui décide ». D’autre part le reste des pays européens qui non seulement ont été les dindons de la farce européenne en acceptant une monnaie, un model économique qui les a neutralisé économiquement ; et sont depuis très attaché à la préservation de leur souveraineté dont ils ne veulent plus déléguer le moindre pan d’importance. Sans oublier le rejet culturel que peut faire un pays comme la France d’une Europe fédérale, c.à.d. sur le modèle des Länders et sous leur control : politiquement inacceptable, que l’ont prennent le versant pratique ou conceptuel.
  15. Shorr kan

    Saddam fonce sur l'Arabie

    On a déjà abordé le sujet dans la partie wargame, ici http://www.air-defense.net/forum/index.php?topic=15344.0 De mon point de vue les irakiens n’auraient pas pu occuper plus que la rive Ouest du Golfe, éventuellement le verrouiller -ce qui aurait déjà été énorme!- ; mais dans la mesure où c’est là que ce situe l’essentiel du pétrole de la région, voir de la planète, ça aurait été un gage intéressant, et infinie probablement la seul alternative à une confrontation frontal qu’ils n’ont pas les moyens de gagner qui ne débouche pas sur une défaite. Ça a bien l’air d’une fuite en avant dit comme ça, mais c’était tout ou rien stratégiquement et en cas de réussite du bluff le jackpot. D’un point de vue opérationnelle quand on voit que le déploiement de la Coalition a pris prés de 6 mois dans des conditions optimal ce dernier aurait été passablement compliqué sans bases à proximité, surtout dans une Péninsule Arabique avec très peu de port en eau profonde. Le seul inconnu pour moi reste le possible l’usage par les américains de l’arme nucléaire contre cette agression caractérisée contre leur leadership énergétique que constituerait la manœuvre irakiennes…
  16. Mouerf…Je ne connais pas le fin mot de l’histoire, mais si ils veulent sérieusement concurencer le duopole qui domine actuellement le marché ils feraient mieux de se concentrer sur la production d’un appareille qui serait vraiment à la hauteur des deux vaches à lait d'Airbus et Boeing que sont l’A-320 et le 737. Je trouve leur démarche brouillonne. Allez savoir ce qu’il y a vraiment derriere cette accord…
  17. Hors avantage du dollars comme monnaie de référence, la FED est plutôt une banque central normal avec toutes les attributions, et surtout pouvoirs – d’imprimer du papier…-qui en découle. C’est plutôt la BCE qui est une curiosité par rapport a ses homologues du monde entier, en particulier sont mandat très réstrictif. Ce qui n’est pas mauvais en soi puisque cela à permis de donner une crédibilté très rapide à l’Euro à l’international, mais fait preuve d’une rigidité qui à quelque chose de déplacé aujourd’hui… D’ailleurs je ferais remarquer que d’un point de vue strictement technique, faire marcher la planche à billet par la BCE ne va pas à l’encontre de sa mission ; bien au contraire : elle est tenue de maintenir la stabilité des prix, et de sauvegarder l’euro-zone aussi bien de l’inflation QUE DE LA DEFLATION ! mais les responsables de cette institution interprete la chose de facon unilateral et réstrictive en ne considerant que l’inflation. A mon sens c'est une faute professionnel et la preuve du poids de l’idéologie au sommet de l’UE au détriment du pragmatisme. Tout n’est que circonstance. Un petit effort Mr Draghi…juste pour sauver l’humanité de l’age des cavernes…allez juste un chti effort de rien du tout…
  18. Shorr kan

    L'armée romaine

    Mais c’est que ça ressemble bougrement au model macédonien sur la fin mine de rien, en tout cas sur une échelle plus petite. Suis-je dupe d’une illusion ? Comment je vois la Légion ? Comme tout le monde avant de lire tes posts de geek enragé : un truc homogène composé de soldats en écailles à la mine fermé amateur de formation original et à l’instinct grégaire vue leur tendance à faire la tortue, donc lourde, et surtout performeur artistique précurseur du Tetris de 1 er génération ; c.a.d sans possibilité de recommencer la partie en cas de Game Over. Bref, j’avais la même vision que la plupart des historiens comme unité lourde. Mais remarque cette vision déformée à un certain fondement. Il y a quand même cette vérité que l’infanterie comme unité de prestige est, en tout cas a été à l’époque, la reine des champs de batailles. Pour moi c’est surtout ça la Légion : une force d’infanterie composé presque exclusivement d’homme à pied et formé au corps à corps qui à été capable de faire face à pratiquement tout ces adversaires avec brio, ou du moins à annuler le danger qu’il représentaient – je pense très fort au cavalier/archer Parthe- d’une façon ou d’une autre ; et il vraie que je suis comme beaucoup passé à coté du rôle des auxiliaires, car justement « auxiliaires »…
  19. Je plussoie camarade. Je me qualifierais moi-même de fanatique tiède, situé sur l’extrême centre de l’échiquier politique, et généralement aux idées biens arrêtés particulièrement mouvantes :lol: tant qu’une position est intelligemment argumentée je n’ai pas de grosse difficulté à me laisser convaincre et à changer d’opinion, ou à minima ça peu m’amener à douter et modérer mon avis ;) . Ah ! un nostalgique du Camp de Boulogne. Tu dois penser a un model fondé sur des « bases de défenses » regroupant plusieurs GTIA autour d’un pole spécialisé dans tel ou tel mission –assaut amphibie, désert/montagne..etc-, c’est ça ? Ce que je pointe de mon coté est que des échelons comme l’échelons régimentaire est peut être obsolète, voir certainement comme pion combattant, mais demeure utile pour encadrer les unités subalternes –typiquement les bataillons- qui elle serait réellement engagé pour le combat. Un peu à l’image du lien légion-cohorte au milieu de l’Empire. Le régiment comme réservoir, structure de soutient et dépendance d’échelons peut être autonome à l’usage sur le champ de bataille, mais pas assez pour prétendre à l’autodétermination à l’échelle opérationnelle. Idem dans mon esprit pour la division qui peut être recyclé comme un regroupement de brigades, ces derniers véritables pions élémentaires interarmes serait regroupé dans le système divisionnaire sorte de corps d’armée indépendant du XXIème siècle. A relire le post initial, je me sens comme légèrement hors sujet :-X
  20. Il faut en effet une masse de manœuvre minimal, et dans la manipulation des termes de l’équation la solution s’imposent d’elle-même pour avoir des unités « lourde » en effectif et assez desdites unités : plus d’hommes, des hommes et encore des hommes au global; un nombre significatif de personnel combattant. Il est certainement possible d’atteindre partiellement ce but en changeant la proportion « masse/muscle », en allégeant train logistique/empreinte au sol et les appuies mais ça a ses limites et là encore un arbitrage s’impose en faveur du nombre de soldats au détriment de l’équipement –les gros programmes s’entend-. Il n’est pas vraiment possible de couper la poire en deux, ou plutôt seulement en deux morceaux de tailles très inégales ; et c’est ceux a quoi je suis favorable. Pour peser il faut moins résonner en termes de nombre au risque de tourner en rond et finir par faire des choix par défaut, qu’intégrer ce paramètre dans la question fondamental : « une armée pour quelle mission ?», et au-delà du savoir faire à proposer aux décideurs politique . Un exemple : avoir été capable de faire de Kaboul et ses environs, et éventuellement pour les autres grandes villes d’authentiques sanctuaire, même après le départ de l’OTAN n’est pas une façon de peser de façon beaucoup plus forte dans ses relations transatlantique avec le tonton d’Amérique pour le multiple de sont poids réelle que de pacifier le temps de sa présence une province ? J’estime que les armées qui font du COIN n’ont pas besoin de matérielles plus sophistiqués que nécessaire face à un adversaire qui n’en n’a pas lui non plus, si la dite capacité ne génère pas de gap important voir à son lot d’inconvénient comme par exemple les bombardements ; cela peut constituer une perte capacitaire face aux autres armée conventionnelle par comparaison, voir faire un peu « clodo » sur les bords ; mais si un équipements quel qu’il soit ne sert pas la mission global et ne s’insère pas harmonieusement dans la méthodologie choisie, peut et doit être négligé. En fait on en revient a nos multiples discutions sur le méta sujet d’une force armée centré sur le renforcement du rôle, missions, et capacités de l’infanterie. A titre plus personnelle, à force de fréquenter AD et d’approfondir mes connaissances sur le sujet j’en suis venue à virer de bord pour passer du fanboy qui ne jurais que par le SR-71, les F-15 et les Mig-29 au traditionaliste « la bite et du couteau » et adepte du « à la louche depuis 1780 ». J’avoue même d’avoir acquis des opinions assez radicales sur le sujet. Et c’est le fond du problème : c’est insuffisant. Insuffisant là ou plus que « tenir » il faudrait « maitriser ». La facilité d’une posture fondamentale qui se condamne à la pure défensive se prive d’un levier plus fondamental encore qui est celui d’être un belligérant avec laquelle il faut compter. D’ailleurs les meilleurs défensive sont toujours actives, dynamiques, offensives ! S’Il n’est pas possible de gagner, au minimum imposer un statuquo durable, ou encore moins que certaines de ses exigences soit prise en compte ; mais éviter la défaite totale, ou l’engloutissement démesuré et durable de ressources par rapport à l’objectif. De moins point de vue, plus que la limite de l’outil –toujours réformable- il y surtout un vraie défaut de raisonnement. Comprendre qu’une guerre n’est pas seulement « total » par l’ampleur des moyens mobilisés mais bien par ses multiplies dimensions. A la limite je dirais que les Talibans sont ceux qui ont le mieux compris Clausewitz dans la lettre. Pour en revenir à l’aspect plus technique du thread je pense que les régiments comme structure d’encadrement (administration, entrainement, promotions, ventilation des spécialités*, attribution organiques de matériel lourd – très important pour moi*-, soutient et logistique) pour les bataillons/compagnies/sections. Ces dernières n’auraient pas forcement vocation à être utilisé comme unités combattantes par cet échelon mais plutôt par les GTIA ; les régiments servant plutôt de « support », d’échelons de rationalisation….j’avoue ne pas savoir comment mieux présenter la chose et être plus clair. Je précise que je considère implicitement l’effectif dans mon esprit des régiments comme nettement plus lourd qu’aujourd’hui, au pif les 2/3 ou ¾ des GTIA actuelle. * :je considère qu’il n’est pas beaucoup possible d’attribuer matérielles complexes et spécialistes beaucoup plus bas : la polyvalence à ses limites, et un minimum de besoin d’homogénéité doit être maintenue, en sus de garder une souplesse dans l’affectation des ressource et le fait que l’échelons régimentaire est une bonne échelle pour l’initiation à l’interarmes -sans être complète toutefois-. Si un moment vous trouvez que je délire, n’ayez aucune crainte, c’est même de un devoir pour vous d’aider un ami, votre camarade de forum. :oops: je résisterais, vous filerais des gnons, mais si la camisole est la meilleur solution, faut pas hésiter…
  21. Comme tu le pointe la cible la plus logique des soviets est la péninsule européenne quoi qui l’en coute. Donc, pour avoir des scénarii autres que la submersion du monde par les rouge d’entré de jeux on peut, et même l’on doit miser sur la "rationalité limitée" d'un Staline méfiant, intoxiqué, mal informé sur la réalité du rapport de force et qui ne tente rien en 45 laissant le temps aux américains de renforcer leur présence sur le Continent au point d’en être dissuasif et de figer les positions dans ce secteur. De là je vois deux directions possibles à une conflagration mondial : . Une grande guerre en Asie pour la maitrise de la Chine ; soit que la Corée est dégénéré, ou avant ça les américains soutienne bien plus massivement et directement tchang kai chek. . Le maintien des empires coloniaux qui bien que n’ayant pas de sympathie pour eux, les américains toujours et ne pouvant négliger aucun soutient s’abstienne de vexer même les plus petits de ses alliés. De ce fait, les guerres d’indépendances –avec des mouvements nationalistes bien plus proche des soviétiques, polarisation extrême du monde oblige- prennent la forme de véritables guerres de partisans bien sanglantes, très longues et particulièrement pénible. elle est pas jolie ma guerre mondial ? :oops:
  22. Juste comme ça rapidement. Je trouve au contraire que l’expérience afghane montre que même les GTIA comme celle déployés en Afghanistan sont beaucoup trop réduite pour faire autre chose que « tenir » une zone, et son incapable de remplir un nombre plus varié de missions. A la limite, ça pourrait être supplée en l’intégrant comme unité élémentaire d’un ensemble plus grand ou elles seraient articulé avec 2,3 ou 4 unités autres du même genre. Et encore, même dans cette configuration, je trouve que les effectifs sont un peu justes pour des rotations potables sans sur-sollicité les hommes sur la longue durée et faire fonctionner l’organisation en flux tendue, sans marge de manœuvre, sans réserve. Il faudrait plus d’hommes, à la louche quelque chose comme le double, quitte à réduire le nombre d’unité. C’est en tout comme ça qu’un béotien de la chose « sens » le problème.
  23. >:( Combien de fois il faut le dire et le répéter : tout les spécialistes le répètent, ce n’est pas la taille qui importe. :-X Inutile, je suis déjà dehors… O0
  24. Les Shadocks étaient visionnaire en fin de compte :lol:. Le solaire thermique pour se genre d’utilisation a certainement un grand avenir dans ce genre d’application dans la mesure ou presque toute l’énergie est utilisé sans subir d’autres transformations dans des cycles à l’origine de perte de rendement, et surtout il n’y a pas besoin de construire a coté de capacité de stockage et de connexion à un réseau vu qu’il n’est pas nécessaire d’avoir une production continue. C’est vraie que faire pousser du blé dans le désert est une grosse connerie, par contre ça le ferait plutôt pour des cultures maraichères/spéculatives sous serres, et pour toutes production a haut rendement (par opposition a celle a faible rendement comme les céréales). ;)
  25. En définitive on en revient à ma pas si vielle idée que ça d’invasion de l’Allemagne comme seul façon de clore cette crise. Tu à raison Jojo, mieux que l’attaque frontale il y a l’infiltration ; les charges à la baïonnette c’est passé de mode, il faut retourner les méthodes des sturmtrupper contre les Bosch. Commencer par leur prendre leurs emplois d’abord, demain leurs terres, après-demain leurs femmes et ainsi de suite jusqu'à à la latinisation complète des germains pour réussir là ou les romains eux même ont échoué.
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