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Shorr kan

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Messages posté(e)s par Shorr kan

  1. Heureusement, la proximité de la Lune nous permet de lancer des systèmes partiellement automatiques en partie guidé depuis la terre.

    Pour ce qui est du forage, c’est effectivement un problème, mais je pense qu’il y a largement de quoi faire avec des affleurements de magmas à la surface (qui semblent contenir cette eau)…....a condition de les trouver.

    Et pour ce qui est de l’extraction, il suffit de chauffer par simple concentration solaire sur les échantillons, ou avec de simples plaques d’accumulations métalliques pour libérer l'eau et d'autres composants.

    Je sais dit comme ça, c’est a se demander pourquoi on y est pas retourné plus tôt, mais à la vérité il ne semble pas y avoir d’obstacle fondamental à surmonter sauf ceux lié à l’ingénierie (qui reste conséquent).

    Mais avec cette nouvelle –si elle se confirme- est un pas immense ! 

  2. Si la présence d’eau en quantité se confirme à l’avenir, ce sera une excellente nouvelle pour les –éventuelles!- futures missions habitées vers la Lune –ma déesse :-X-.

    Il y tout ce qu’il faut sur notre satellite pour monter une activité industrielle sur la lune : minéraux et énergie –solaire-, mais il manquait les éléments légers indispensable au cycle de la vie. La gravité lunaire étant trop faible pour retenir une atmosphère gazeuse.

    Il y a bien sur de l’oxygène en quantité sous forme combiné dans la régolite lunaire, mais il manquait l’hydrogène et le carbone qu’on pensaient apporter sous forme d’hydrocarbure pour suppléer au problème d’encombrement et d’évaporation de l’hydrogène. Il suffira désormais de n’apporter que du carbone et un peu d’azote !

    Comme je le disais, très bonne nouvelle !!

  3. Bon, ben après un "rocky start", le fil semble retomber :lol:.... Comme la gaule du matin :lol:.

    ...

    L'une des grandes inconnues de ce scénario est l'attitude du Shah de Perse, toujours à couteaux tirés avec les Ottomans, mais aussi en friction éventuelle avec les Russes: il est sans grands moyens d'envahir le Proche Orient, mais il est aussi, par ses forces propres et les distances, inexpugnable, donc incontournable pour qui regarde vers l'Inde avec d'importantes troupes, sauf à disposer d'une flotte immense.

    ...

    - de combien d'hommes a t-il besoin pour sécuriser et pacifier l'Egypte face à la menace britannico-mamelouque? Combien pour commencer à créer des bases en encadrant la main d'oeuvre locale? Quel dispositif: présence sur le territoire, masse de manoeuvre pour aller taper l'adversaire, réserve d'intervention intérieure (pour la "police" et les imprévus, même si l'échec du soulèvement du Caire a calmé la population), et surtout combien peut-il en divertir pour un premier échelon indien qui puisse être suivi d'effets (sinon c'est juste les envoyer à leur mort)?

    - un accord est-il possible avec la Perse? Est-il nécessaire si l'option d'envoyer une armée par voie de terre est irréaliste/dangereuse?

    - combien de temps pour disposer de troupes égyptiennes à encadrement européen qui soient au niveau question équipement et entraînement?

    ...

    Même en imaginant le Shah d’Iran l’autorisation un sauf conduit jusque en Inde, le trajet se fera certainement, pour une partie du moine, en territoire hostile rendant la traversé périlleuse. Les iraniens pourraient même se servir de l’expédition pour affermir leur autorité sur les régions lointaines/renégates.

    La voie terrestre me semble non seulement usante dans un territoire humainement et géographiquement très hostile d’une partie du monde inconnu ; mais aléatoire si elle veut garder un intérêt stratégique au-delà du simple raide : à la merci du bon vouloir d’une puissance tiers et très limité en terme de flux ; et enfin très lente, même à une échelle stratégique par rapport à la voie maritime.

    La mer justement : un arrêt du commerce en Méditerrané/Mer Rouge/Océan Indien impacterait durement les anglais, mais je doute qu’ils lâchent l’affaire pour si peu tant que leur machine à cache des Antilles fonctionnent, et disons le tout net: les américains, même ne leur tombant dessus dans une opérations combiné, n’aurait pas les moyens de les en déloger.

    Les moyens engagés destiné à entretenir la coalition anti-française aurait été réorienté vers la marine, le temps de se constituer une Home Fleet ; et même fixé, la Royal Navy reste toutes puissante et auraient fin par écraser toutes autre présence de l’Atlantique à l’Indonésie.

    Même un risque tout comme Napo aurait compris que la position en Inde aurait été intenable sans liaisons régulière avec la mère patrie, et il à beau être un génie, il a besoin d’un minimum de « matériaux » pour travailler.

    Pour moi le mieux qu’il aurait pu faire était de pérenniser une base en Égypte qui aurait été un acteur majeur dans les jeux de pouvoir du Proche Orient, le temps de mater les oppositions, repousser les infiltrations/raids, sécuriser les frontières, faire accepter son autorité,…etc. Mais une fois fait, il n’y aurait pas eu grand-chose d’autre à faire, a moins d’attendre q’une certaine masse critique se constitue, ce qui n’aurait pas été dans le tempérament du bouillant général qui lorgne sur l’Europe ou tout se passe.

    D’ailleurs…

    ...

    En même temps, il faut tenir compte de la situation en France que Bonaparte connaît: les campagnes de 1799 se sont mal passées et il faut batailler aux frontères de l'hexagone, et la direction politique -le Directoire opérant sous mode autoritaire pour la guerre- fonctionne mal, même si l'urgence de la guerre et le patriotisme permettent l'union et le maintien des armées, notamment celle de l'ouest qui opère en Vendée mais cantonne surtout face à l'Angleterre.

    ...

    Quelle valeur aurait eu dans le temps une fixation exécutée par un régime en déliquescence dans un pays en plein chaos, déjà que le camp de Boulogne dans une France totalement réorganisé c’était limite…

    En ce moment, la France est une demoiselle en détresse et Bonaparte se doit de lui venir en aide ! C’est un gentleman ! –  connaissant en plus des ardeurs du monsieur :lol:-.

    C’est pas un hasard, si des qu’il a pu, il rentre dardar à la maison ; même si il espérait certainement un grand coup contre les anglais en Égypte avec son expédition.

    ...

    D'où l'utilité éventuelle de faire partir l'uchronie avant  :lol: et d'imaginer un Bonaparte laissant Malte sans troupes après l'étape et le "prélèvement" en monétaire.

    C’est pour ça que dans ton uchronie, si il veut vraiment faire mal aux rosbifs, il doit trouver dans les ruines égyptiennes une machine à voyager dans le temps pour le propulser lui et ses hommes quelques décennies dans le futur au temps du protectorat britannique. Et pourquoi pas, une fois construit, leur taxer le Canal ! Comme effet de surprise on ne fait pas mieux :lol:

  4. Et hooo ! Il y a quelqu’un ?

    Pourquoi un turbopropulseur? La mécanique mise en jeux doit être extrêmement complexe pour faire varier le pas des hélices, d’autant plus contraignante qu’elle sont asymétrique de par leur profil en « yatagan » ; hélices très nombreuse aussi, qui si plusieurs venait a être endommagé-ce qui est très probable avec des oiseaux qui ne ricoche pas comme sur un 3 ou 4 pales, sans parler de bastos…-  emporterais le moyeux, provocant la destruction du moteur…

    J’ai des doutes aussi sur l’économie en carburant qu’amène cette formule : je veux bien pour un court-courrier qui ne fait que décoller et atterrir en fin de compte, phase ou l’usage de l’hélice est optimal ; mais en mode de croisières pour un transporteur stratégique, ou est le gain ?

    La consommation d’huile aussi du réducteur doit valoir sont pesant de cacahuetes, et pas super pratique dans l’environnement de bases sommaires.

    Bref, vous l’aurez compris, je ne comprends pas le choix de ce type de propulsion ; et si un turboréacteur aurait paru un meilleur choix en ce qui me concerne, quitte à rester sur l’hélice, pourquoi pas réduire le nombre de pales, une formule plus classique ?

    Sans oublier qu’à basse altitude il doit faire un boucan qui rend superflus tout système de détection et d’acquisition de DCA, il suffit de tendre l’oreille…

    Et plus généralement sur l’appareille, si je ne remet pas en cause l’exploit technique qu’il représente, il me semble entrer dans la catégorie « exploit inutile » et mon petit doit me dit qu’il va décevoir beaucoup de monde.

    J’ai l’air un peu trop catégorique (c’est même certain !), mais un appareil à la gueule de C-130 qui se prend pour un Globmaster/Iliouchine ne m’inspire rien de bon…

    Je travaille beaucoup à l’affect :lol:

    Dite moi : il est ou le Bin’s ?  Quelqu’un a voulu caser un moteur ? Développer une techno civil sous couvert de programme militaire ? Une simple histoire de radinerie plutôt que de se payer un vrai transporteur stratégique ?

    Soit dit en passant, à une échelle plus conceptuel, je ne voit pas l’intérêt de faire super moderne, super sophistiqué, le tout pour donner une polyvalence tout azimut à une mule…

  5. ...

    Mais ces épéistes ont eu une évolution nettement plus diverses que celle des formations de piquiers, notamment dans le choix de l'arme et donc de l'escrime qui va avec, ce qui impacte la formation (temps, complexité....), l'organisation (taille des unités, encadrement, fonctionnement, paie....), le dispositif de bataille (espaces surtout....), l'ordre de marche, la culture (pro, conscrit, aristocratie....) et en fait pas mal d'aspects qui de toute façon portent à conséquence dans les capacités d'une armée et donc la tactique comme la stratégie, à un degré ou un autre.

    Le Romain a longtemps été un escrimeur d'estoc avant d'être un escrimeur de taille, mais toujours dans une pratique alliant arme et bouclier dans des enchaînements combinés, ce qui donnera naissance à l'escrime médiévale.... Un changement qui a du être une décision énorme pour l'empire romain (coûts, culture, organisation, tactique, stratégie). Selon vous, comment mesurer l'impact, l'efficacité, la rationalité (à l'échelle de la planification militaire) de changements de ce type?

    Oh ! Mais de façon très simple…

    Il  suffit juste de garder à l’esprit que les romains sont de féroces empiristes.

    Je sais c’est un peu court comme explication, et je n’en sais pas assez aussi bien en ce qui concerne l’escrime que les processus de cheminement/adoption de tel ou tel technique et plus encore, les interactions fondamental qui tiennent à tel ou tel attitude/mentalité/posture, soit par méconnaissance et/ou faiblesse des matériaux disponibles -  problème de ce poste hautement spéculatif qui pousse à beaucoup de conjectures à partir d’un nombre rétreints d’expériences retranscrites et qui nous sont parvenu…- ; mais je promet de m’appliquer !

    Tel que je vois la chose, ça a certainement du prendre la forme d’un processus orienté Down-Up : une technique arrive à maturité, ce bonifie, puis fait ses preuves à l’échelle de la petite tactique pour monter jusqu'à la tactique (unité fondamental de manœuvre ou ce fait les premières coordinations) qui est le test définitif de validation, et il en faut toujours pour les nouveaux dispositifs.

    Reste à savoir si c’est un choix imposé, généralisé en fonction d’une doctrine voulu ; ou bien simplement une façon de faire qui est, progressivement, de plus en plus populaire parmi les unités combattantes de lignes et qui tient de la contingence du combat et peut être même circonscrite à certains front, contre certains adversaires (les Parthes ?) ; le commandement soucieux de faire avec ce qui existe et tirant profit de la masse critique constitué finit par se l’approprié. Cette dernière façon de faire colle mieux avec ce que je sais de la façon de faire romaine, pas très porté sur le formalisme.

    Je pense qu’il faut relativiser aussi ce genre de changement. Non qu’elle n’est pas une portée colossale, au contraire ! Mais je pense que le changement a du avoir lieu insensiblement, juste « comme ça » ; mais je peux me tromper…

    Je serais d’ailleurs étonné qu’il ne conserve pas un volant important d’escrimeurs d’estoc et qu’elle reste une part importante, même si secondaire, de la formation du légionnaire. A moins que la spécialisation soit passée par là.

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  6. Je pense même qu’avec beaucoup moins que ça, un matérielle archaïque, de la techno pompé à l’électronique civil, un bon réseau d’alerte, de la ruse et d’ingénieuse méthodes de camouflage/déception, de l’huile de coude, quelques réserves, et pour peu que l’ennemie soit prêt a encaisser les coups ; ce serait très problématique de contrôler l’espace aérien et surtout je soupçonnerais les campagnes de bombardement perdre l’essentiel de leurs efficacités.

    Les forces de l’Otan peuvent remercier le ciel de ne pas être tombé jusqu’à présent sur un adversaire un peu capable et hargneux.

    De la faiblesse des pertes ils en concluent à une relative invulnérabilité des forces aériennes et néglige d’intégrer dans l’équation la nullité/passivité de leur vis-à-vis.

    On ne le répétera jamais assez :  « l’ennemie est stupide, il pense que c’est nous l’ennemie, alors que c’est lui » dixit Desproges .

  7. ....

    Pour vous amusez, je me permets d'avancer un argument (un parmi d’autres) :

    La Terre émet des infrarouges et les gaz à effet de serre de l’atmosphère en absorbe une partie, jusque là tout le monde à bon. L’effet de serre est connu et admis.

    Cependant, tout les gaz à effet de serre n’absorbent pas les mêmes gammes d’infrarouges. Selon Jacques Gentili, du Laboratoire de Sciences de la Matière de l'École Normale Supérieure de Lyon, le spectre d'absorption du CO2 se retrouve dans les 2 bandes d'absorption théoriques de 4,2micromètres (mode B) et de 15,0 micromètres (modes C et D).

    Or, les infrarouges émit par la Terre dans ces deux gammes sont déjà quasi entièrement absorbées par le C02 atmosphérique actuel. Autrement dit, on peut multiplier le taux de CO2 dans l’atmosphère, il y aura toujours la même quantité d’infrarouges à absorber et donc autant de chaleur à produire, l’effet de serre du au CO2 reste identique, ni plus, ni moins.

    Pour la petite histoire, il y a eu des périodes où il y avais 10 fois plus de CO2 dans l’atmosphère qu’aujourd’hui, avec des températures inférieures à celle qu’on connaît maintenant.

    ...

    Cet argument me trouble… il semble frappé du coin du bon sens, mais il contredit des exemples concret comme… Vénus !

    Le résonnement doit avoir un biais, mais le quelle ?

  8. ...

    Les principales causes de la défaite sont ailleurs à savoir une industrie tournant au rythme du temps de paix ( les usines ne font pas les 3x8, certaines professions ne travaillent pas le week-end, la part de l'industrie attribuée à l'industrie civile n'est pas diminuée etc etc ), des choix stratégiques érronés quant à la production ( priorité aux bombardiers jusqu'en juillet 44, changements continuel des programmes empêchant toute production en masse en 1941 et 1942 ) et des programmes d'entrainements des pilotes ( il faut un an pour former un pilote de chasse, quelques semaines/mois pour augmenter la production de chasseurs ) déconnectés des programmes de production des avions ( les allemands ne "produisent" pas assez de pilotes formés par rapport aux avions disponibles )

    Ce qui n’est pas fortuit. C’est moins des disfonctionnement que le fonctionnement normal du régime voir carrément voulu ; c’est comme les massacres à l’Est en dépit du bon sens qui commandait de ne pas s’aliéner les populations de ces territoires ; mais ce serait ne pas comprendre la marche de ce régime qui ne peut pas connaitre d’autre mode. Pour en revenir à la production de temps de paix, il faut se rappeler que le IIIème Reich fonctionnent autant sur la terreur que la séduction, et que la seul manière de garder une atmosphère respirable et faire passer la couleuvre d’une guerre d’agression auprès des allemands est de conserver une paix relative dans la mère patrie ; ce n’est qu’avec Stalingrad qu’il pourra jouer sur l’anxiété général pour lancer l’entreprise de rationalisation de l’industrie confié à Speer et la mise au pas (relative) des différente baronnies.

  9. Ben non, pourquoi ? il n'était pas officiellement candidat à l'élection présidentielle de 2012 ... même pas à la primaire PS  :P

    Le gars n'a aucun rôle officiel français, pourquoi bénéficierait-il des services de protection ? c'est déjà assez la gabegie comme cela en plus ... on va pas en rajouter avec les gens un peu connu dans les instances internationales.

    En plus, ça aurait changé quoi ?

    Il demande à être seul, les gardes du corps ne vont pas aller le suivre dans la douche ou en relation privée avec une demoiselle ...

    D’accord, mais c’est c'était quand même le directeur du FMI ! C’est une fonction importante, à un moment de l’histoire qui l’est tout autant, et avec la finance et l’institution qui n’est pas en odeur de sainteté, il n’est pas à l’abri d’un assassinat politique exécuté par un illuminé par exemple.

    La protection rapproché avec inspection de chiotte obligatoire, garde chiot à la porte et étage verrouillé,  me semble tomber sous le sens. D’ailleurs j’apprends qu’il est un habitué de la suite et les habitudes pour une haute personnalité c’est dangereux…

  10. Un naïf s’interroge…

    Vous ne pesez pas –hors hypothèse complotiste-  qu’il était tenu à l’œil par les services de renseignement Américains et même Français ? Après tout, DSK est (était ?) une personnalité importante ; même si je me doute bien que le directeur de la NSA ne sera pas convoqué à la barre :lol:

    Au fait, il n’était pas sensé être accompagné par un service de protection affecté à sa personne ? Ils devaient avoir des gardes du corps forcement ?

  11. Juste en passant, y'avait pas un prototype de sous-marin ou quelque chose comme ça? Et sinon ca aurait été possible de bloquer le commerce russo-anglais via le détroit à l'est du Danemark?

    Napo à dit au gars qui lui a proposé l’idée d’arrêter de se foutre de sa gueule et de débarrasser le planché…

    Mine de rien, il a laissé passé de nombreux progrès techno lui passer sous le nez. Toutes n’était pas mature comme le sous-marin, et on pouvait avoir des doutes sur les premières rockets bien primitive, mais d’autre comme le ballon aurait gagné à être développé.

    Pour la marine, idem que les autres : c’est un outil qui met du temps à être remis en état et qu’il faut entrainer.

    Quant à une défense permanente sur le continent, je pense que c’était plus que jouable ; là France + ses glacis a une grande profondeur stratégique et le différencie numérique n’est pas énorme, il suffisait de les laisser venir de fracasser la gueule tout seul comme des grand, plutôt que de précipiter lui-même l’affrontement ; j’en reviens a se que je disais : du moment qu’il perd son outil en Russie il est en slip, autrement tout est envisageable et il aurait probablement pu tenir indéfiniment, même si c’est pas l'idéal…

    Pouvait-il seulement déléguer militairement ? À part Davout qui sait gérer les choses tout seul comme un grand, son EM est calibré pour lui être complémentaire et ne pas savoir comploter contre lui (et même là... Murat s'y essayera si mes souvenirs sont bons et encore... Fouché et Talleyrand l'aideront à réfléchir) je crois.

    Davout était d'une loyauté impossible à mettre en doute, un excellent commandant d'armée (peut être le meilleur) tout en étant indispensable au ministère de la guerre en 1815: la perle rare.

    La Grande armée compte de formidables meneurs d’hommes mais sans plus. C’est, si je ne m’abuse, l’Ecole de Guerre qui devait fournir à terme les officiers capables de rehausser le niveau de ses cadres, avec des officiers pleinement capables.

  12. Je me dois d’apporter mon grain de sel à ce topic, aussi inutile que puisse être mon intervention… :oops:

    c'est pas avec de la morale qu'un bon président ira entuber nos ennemis. Un bon président c'est un enfoiré retord froid et sans pitié capable de concevoir tous les coups tordus contre nos enemis et anticiper tous les coups tordus contre nous, PAS une oie blanche et inocente.

    Donc laisse tomber la morale stp le monde c'est pas un couvent de jeune filles.

    Par contre un bon président c'est pas un criminel ou un détraqué non plus, on est d'accord. Drague = pas notre probleme, viol = crime. C'est si compliqué que ça de faire la différence ?

    Mouais... mais sous réserve que celà se fasse dans l'intérêt général du Peuple qu'il est sensé représenté, et non dans son propre intérêt.

    Pour moi un bon président est celui qui sait trouver un bon équilibre entre diplomatie et contrainte. Parce que faire "tous les coups tordus" sans un minimum de tenue, ca se retournera contre soi.

    En fait on retombe sur la notion de « mensonge loyale » de Platon dans sa République, ou seul le bosse  à le droit de raconter des bobards et faires des coups tordus pour tromper l’ennemie et préserver les citoyens.

    Vaste débat…

    ...

    Sinon on n'a plus qu'a distribuer du bromure dans l'eau de boisson et obliger les femmes à avoir des gros culs, des seins plats, des cheveux filasses, des yeux vides et une tenue à la Lady Gaga

    comme ca plus de problème  :P

    T’a quoi contre les gros culs Aki ?  :rolleyes: Moi je les aimes bien :-X :lol:

  13. Tu m’as coiffé au poteau Tancrède ! C’est peu ou prou ce que j’allais écrire…

    Je pense moi aussi que la solution passe par le développement d’une super gendarmerie aux pouvoirs et moyens d’ampleurs, au capacités plus varié qui comprendrais des moyens lourd, mais aussi plus axée sur le renseignement, et qui lancerais de vastes campagnes systématiques de plusieurs mois/années sur le modèle militaire jusqu’aux démantèlement des réseaux.

    Mais ça pose un certains nombres de problèmes.

    Il y a la séparation strict entre affaires intérieurs et extérieurs, alors que le seul moyen de traiter se genre de criminalités correctement, c’est à grandes échelle, c.à.d. continental ou au minimum proto-continental. Les réseaux criminels ne connaissent pas se genre de catégories, ce qui les rends plus « fonctionnels » disons ; il suffit de voir les niveaux d’intégrations auxquelles sont arrivé les mafias israéliennes et arabes :O

    Autre difficulté du même genre, la différentiation civil/militaire bien trop rigide. On considère ici que le mélange des genres (pas forcement à tord…) est une menace à l’encontre de l’état de droit. Du coup, on se prive de moyens d’actions intermédiaires plus nuancés et souples au profit d’un respect jusqu'à l’absurde d’un formalisme étriqué. Ça m’inspire ce bon mots de G.Malher sur le respect des traditions : « plutôt que d’honorer la flamme ils venerent la cendre ».

    Enfin, l’obsession pour la guerre à « l’ancienne », la symétrique, dans l’attente du grand conflit final à la sauce « désert des tartares ». Et une attention excessive pour le matérielle à l’exclusion des autres aspects et qui pompe tout les moyens , alors mêmes que leurs rendements va décroissant au vue de leurs couts d'achats/possessions, mais qui ont cette immense avantages d’être quantifiable et ne saignent pas, alors même aussi que cela ne règles aucun problème et que ça coute la peau des fesses.

    En définitive, ce qu’i faudrait c’est une grande et belles entreprise d’unification, mâtiné d’une révolution culturelle à peine imaginable. Je ne sais pas par qui ce sera fait, dans quelle pays, et dans quelles conditions – et meme si ce jour bénie arrivera  :P- mais il aura tout mon respect pour cette transmutation  qui se fait attendre…………vous me direz : ça lui fait une belle jambe :lol: 

  14. L'organisation de la production militaire dans l'état nazi était ubuesque et kafkaienne à la fois, c'était comme l'a décris Loki une organisation féodale, fonctionnant comme des baronnies rivales avec leurs entrées dans les différentes administrations redondantes et auprès des responsables du régime, une polycratie comme l'a décrite je ne sais plus qui. Le top du top la dedans c'était d'arriver directement à Hitler, car il était le seul à pouvoir selon ses envies modifier la production ou lancer un nouvel engin même si d'autres s'y opposaient. Willy Messerschmitt par exemple y avait fort bien réussi, réussissant à obtenir des commandes pour des avions ratés comme la série des Me-110/210/410 alors que Focke-Wulf avait produit un bimoteur bien meilleur.

    Comme Hitler ne s’intéressait pas aux problèmes logistiques et à la bureaucratie que ça engendrait, et qu'il croyait à fond dans son idéologie du plus fort qui s'impose naturellement, il ne tranchait pas les différents entre ses collaborateurs qui parfois se haïssaient, et confiait des taches similaires à différentes personnes sans se soucier des querelles que ça engendrait bien évidemment. Le résultat un immense foutoir avec une bureaucratie gigantesque décentralisé entre pleins d'administrations rivales, sans compter la SS qui était un véritable état dans l'état avec ses programmes à elle et sa propre bureaucratie qui s'ajoutait aux autres.

    A coté de cela, la gestion des alliés était infiniment plus rationnelle et cohérente.

    J’irais même plus loin : ce n’était pas un résultat fortuit, mais bien le résultat de la volonté de l’oncle Adolphe et de sa manière de gérer l’appareille d’Etat. Il laissent ses collaborateurs se tirer dans les pates, histoires qu’ils se neutralisent, donnant raison au vainqueur ; et on ne parlera pas de sa façon de laisser ses généraux dans le vague, ou encore ses propres partisan qu'ils laissent sans autres instructions la plupart du temps que d’agir en conformité au « Führerprinzip », notion foireuse par excellence qui consiste à agir en direction de la volonté du führer sans que ne soit préciser sont contenu…

    En fait, cette façon de faire montre pour moi ce qui clochait avec le moustachu : il entreprend quelque chose, il fait appelle a des combinaisons ténébreuses qui fonctionnent tant que les adversaires sont dupes/ bluffés/intimidés ; en ce sens c’est un stratège politico-militaire correct, tant que la composante strictement politique est prédominante ; faut reconnaitre que jusqu’en 40 il fait les choses dans l’ordre, tout comme il faut. Mais l’approche est catastrophique des que ça devient sérieux ; en fait il a une incapacité crasse à penser la guerre total…qui est pourtant une conséquence de sont bellicisme !

    Pour en revenir aux méthodes d’administrations, mettre plusieurs personnes à une fonction et les laisser s’étriper est un grand classique des régimes totalitaires, dans le genre Ceauşescu était un artiste…

  15. Ça dépend du moment en fait…

    Avec l’Espagne ça a surtout été de le considérer comme un front secondaire trop longtemps ; alors qu’a la guerre les fronts secondaires ça n’existe pas…

    Il aurait du liquider le problème en personne tant qu’il était gérable, du moment que sont régime est encore en consolidation n’importe quelle effort à consentir est titanesque pour un résultat potable. Pour ça il fallait un Titan…

    Là Russie, ça plus grave erreur. Il aurait du ce les concilier, trouver un accord sur la Pologne …etc. (je vous jure, il est en passe de devenir  le maitre de l’univers et il fait quoi ? ils fricotent avec la comtesse Walewska, comme si il ne pouvait pas avoir toutes les nanas qu’il voulait… le problème des puissants avec leur braguette ne datte donc pas de DSK…).

    Mais va pour la guerre ! Le fait de jouer tout ou rien a été une catastrophe : une fois qu’il devient clair qu’il est loin de ses bases et que ses adversaire évite le combat il aurait du s’aménager au minimum une porte de sortie, par exemple retraiter sur St-Petersburg  ce que je ne comprendrais d’ailleurs jamais ! Prendre la capital impérial va de soit, prendre les ports de la baltique et rendre effectifs le blocus  aurait été une continuité vis avis de l’Angleterre en plus d’augmenter la pression sur Alexandre qui aurait pété une durite et cherché la bagarre de suite je pense ;  ils auraient pu  aussi leurs taxer des portions de territoires et les rattachers* à la Pologne par exemple. une classique politique de gage en somme, ou sur le plus longtemps terme, si ça s’arrange pas, ben ça participerais d’une stratégie d’abaissement de la Russie.

    Il avait mille et uns moyen de solder le problème , ou du moins se maintenir si il n’avait pas été, en effet, tête brulé ! Du moment qu’il perd sont outil, là seul chose a préserver, l’affaire est plié.

    S’arranger avec l’Autriche ? Ouais, pourquoi pas…

    En théorie ça va de soit, mais je pense que les autrichiens auraient été le genre de boulet qui n’a d’intérêt que de par sont inaction, ce qui est déjà pas mal! en meme temps, c’est le genre d’ami pire qu’un ennemie qui ’il faut toujours avoir à l’œil ; pour moi l’erreur ici c’est l’absence du tout ou rien : il aurait du chercher à démanteler purement est simplement l’Empire ; et le choix de la Russie comme alliée principal me semble plus intéressant, car justement  lointain ! Ils se seraient partagé l’Europe, et si ils continuent à moufter pas grave : il leur défonce le crane et récupère tout…

    On peut peser que sont intransigeance à été à l’origine de sa perte, sa volonté de tout régler par les armes ; mais quand même, il faut reconnaitre qu’il n’est pas passé loin d’être le « King », d’être le patron incontesté de toutes  l’Europe, ou du moins ça partie occidental (là ou ça se passe quoi…). Dans ces conditions, pourquoi partager…

    Pour le coup, et rejoindre un poste cousin sur l’apogée de la France, ce pays aurait réellement pu, et pour la 1 er fois -malgré sont statut de grande voir très grandes puissance à toutes époques- prétendre à l’Hégémonie !

    ...

    Remarque d'ordre psychologique:

    Le problème des types comme Napoléon, qui ne sont pas issus d'une lignée royale, c'est leur côté aventurier, qui rend difficile le passage de l'euphorie des guerres de conquête glorieuses à la gestion prudente de l'acquis, pour digérer les conquêtes et les faire accepter par les pays voisins. Je crois me rappeler que Napoléon s'ennuyait quelque peu, de 1810 à 1811...  ;)

    De ce que j’en sais, à cette époque il est plutôt satisfait de sa bedaine et pouponne l’aiglon. Il croyait être solidement installé du fait de sont alliance avec la Maison d’Autriche et l’amitié qu’il pensait réelle avec le tsar.

  16. A la poursuite d'Octobre Rouge, le film a complètement transformé la propulsion par rapport au bouquin, où c'était "juste" une propulsion classique placée à l'intérieur d'un très long tube.

    C’est ce qu’on pense quand on voie le film sans connaitre l’existence de la MHD, que c’est une sorte de turboréacteur sous-marin.

    Mais a y faire attention, il est bien question de propulsion sans pièce mécanique : à un moment, lorsque survient la panne provoqué par un sabotage, le chef mécanicien parle d’hélium liquide et de supraconducteur ce qui laisse penser à de la MHD, et au début lorsque l’agent de la CIA va consulter un ami, expert en technologie naval, il parle de « propulsion hydrodynamique sous voute» en oubliant, je pense, le mot « magnétique».

    Oui, je l’ai vu est revu des dizaines de fois :lol: c’est avec Fire Fox un film far de ma jeunesse.

  17. La MHD "fonctionnent" dans n'importe quel milieu a priori! suffit qu'il y ait un fluide conducteur compressible ou pas et un champ électromagnétique.

    C'est assez simple, il s'agit d'un moteur électrique linéaire - ou annulaire parfois - , comme les rail gun, qui déplace l'eau plutot qu'un obus...  On appele ca pompe électromagnétique a induction, et pour que ca fonctionne il suffit que le fluide a pomper soit conducteur.

    C'est la propulsion silencieuse de "Red Ocober" ... appelé "caterpillar drive" probablement pas le coté continue du déroulement de du champ magnétique qui ressemble au déroulement continue d'une chenille.

    C’est les magnétomètres des chasseurs ASM qui doivent s’amuser ?

  18. ...

    Bref de la première puissance Européenne en population (à égalité avec la Russie), on est passé à un nain géographique au vue des 7 M d' humain sur terre.

    Mais a t on au moins adapté notre vision du Monde à ce changement d' échelle ?

    Et surtout la vision de nous meme à ce changement d' ordre de grandeur ?

    Bah ! Dans un horizon de quelques décennies la France devrait passer devant l’Allemagne question démographie qui, on aura beau dire, reste un facteur de puissance.

    Moralité ? L’apogée de la France est peut être devant-elle…

  19. Un grand parmi les grands pour moi est  Michiel de Ruyter lors de la deuxièmes guerre anglo-néerlandaise spécialement, surtout pour son raid magistral de Medway sur la Tamise pour frapper le cœur de la Royal Navy, allant jusqu’a capturer leur navire amiral, le Royal Charles, rien que ça ! Un magnifique cout d’éclat.

    Mais, c’est surtout son commandement d’une flotte issue d’une fédération très lâche, très décentralisé volontiers bordélique, qui est le plus remarquable ; ce n’était pas vraiment évident de faire renoncer ses compatriote à l’abordage ou ils excellaient pour imiter les anglais et adopter leur formation en ligne.

    C’est vrai qu’il doit beaucoup à son supérieur, l’énergique, mais aussi fin et visionnaire  Cornelis de Witt qui lui a déblayé le terrain.

    Je propose de faire entrer dans le club deux autres personnalités

    Oliver Cromwell

    César Borgia

    Alors, d’après vous il ont droit à leurs cartes de membres ?

    Pour le premier mes sentiments à son égard sont ambivalents, malgré l’aspect local de la révolution anglaise il a quand meme marqué l’histoire universelle, mais je garde quelques réserves…

    Pour le second, il est indéniablement talentueux. Aussi bien en tant que chef d’état, c’est administrateur brillant, remarquable stratège militaire et politique, et courageux physiquement avec ça !

  20. ...

    cette question est centrale même, lorsque sa frontière avec gaza va être ouverte ce sera même bien plus d'actualité et faudra bien un jour que le territoire de gaza soit enfin intégré à l'égypte je pense. les frères musulmans vont faire les choux gras de ce sujet pour capter encore bien plus de suffrages au prochaine élection tu verras.

    tu oublies la jordanie qui est pour ses deux tiers géographiquement, historiquement palestinienne,

    Mais voila l’Égypte n’en veut pas,et n’en a jamais voulu y compris sous Nasser, et pour les palestiniens de Gaza et de Cisjordanie ils ne veulent pas vivre autrement que dans un état palestinien ; d’ailleurs l’intégration de ces territoires à l’Egypte et la Jordanie est une vielle antienne, mais  qu’ils rejettent dans la mesure où cela nierais leur identité national…

    ...

    pour la diapora palestinienne à létranger je doit dire que c'est un vrai problème, humain bien sur mais aussi  politique, je pense pas que tu puisses comme ca penser qu'elle renonce en grande partie au droit au retour, non ca je pense pas et je l'ai comprend vois tu.

    L’exil des palestiniens est humainement regrettable, pour ne pas dire tragique, mais on ne leurs demande pas vraiment leurs avis : Israël à clairement fait savoir, que hormis un petit contingent, il en était hors de question, estimant qu’il en irait de leur survie en tant qu’état juif et de l’intégrité de leurs territoires. Bref, c’est pratiquement plié. Personne ne le crie bien sur, mais on sait…

    c'est un vrai casse tête pour tout dire comment concilier tous ce beau monde en une si petite partie de terre parce que le vraie problème de ce conflit ou plutôt de sa solution c'est que personne n'arrive à une solution gagnant/gagnant pour pérenniser un vrai accord...c'est la terre des miracles, nous verrons bien alors. 

    Mais si voyons il existe des solutions ! Une bombe H de 30 Mégatonnes pile au milieu serait certainement le genre de mesure qui mettras tout le monde d’accord, ou du moins sur un même pied d’égalité…

    Bon,… de ce que j’en dit,…ce n’est que ma modeste opinion,…mais vous savez de quoi je parle…un flingue sur la tempe et tout le monde devient plus poli.

    Bon ! Il se fait tard, et mon lit moelleux m’appelle, il hurle même !!!

  21. joli lapsus  :lol: :lol:

    Oups :-X

    Ma légère dyslexie et surtout ma paresse, me joue des tours

    Bof, de toutes façon le mariage c’est la guerre O0…généralement les hostilités commence avec le tube de dentifrice non refermé par monsieur, de là les premières tranchés sont creusé :lol: c’est en tout ce que j’ai entendu dire ; car dieux merci, je dors seul.  :oops:

  22. ...

    Par ailleurs, la supériorité aérienne n'a jamais été une garantie de ne pas perdre à l'échelon opératif/grand tactique  

    L’idée que cela évite la défaite est a modéré en effet, et reste très relatif comme argument, et surtout insuffisant – même si ne pas perdre reste un grand principe des arts maritaux martiaux  et de l’art de la guerre asiatique…-.  Plus encore, l’ennemie peut trés bien s’emparer des bases aériennes, et il y a deux exemples dans ce sens :

    La campagne de France en 40 justement, ou les allemands avançaient très vite, au point de prendre dans la foulé les aérodromes alliée, au demeurant proche du front.

    La Corée aussi, dans sa deuxième phase ou les chinois ont ciblé délibérément les aérodromes dans leurs grandes offensives terrestres  ; les américains l’ont senti passé…

    Plus généralement, je suis de l’avis de la majorité sur le forum, et plus j’avance dans le temps moins je suis convaincu de la toute puissance des forces aérienne sur le champ de bataille proprement dit. J’en dirais plus peut être plus tard…

    Mais, pour le coup c’est vraiment ironique qu’il y est autant de membres, pourtant passionnées, d’un forum qui trouve sa raison d’être dans l’aviation militaire et qui s’appelle Air-Défense ; soit aussi dubitatifs à l’égard de l’arme aérienne :lol:

  23. Il me paraît évident que c'est Turenne. Car lui, chose rare au 17e siècle, il prenait soin de ses hommes.

    Ensuite je placerai Condé (4e du nom), car, malgré un orgueil épouvantable, il a puisé dans ses deniers pour payer ses troupes (et accessoirement, il est vainqueur à Rocroi et Lens).

    Autre époque, les Temps Modernes : qui se souvient de nos jours en dehors de quelques passionnés des brillantes et épique campagne des Suédois Gustave-Adolphe et Charles XII ? Ou des victoires de Maurice de Saxe sous Louis XV?

    Puisqu’on est en pleine guerre de 30 ans, et pour faire bonne mesure, citons ceux des impériaux qui n’ont pas démérité ; je pensais aux brillant Montecuccoli  et à l’étrange Wallenstein…

    Au fait c’est lequel des deux, Gustave Adolphe ou Charles XII que l’on surnomme le « Lion du Nord » ? J’ai cherché mais ça reste flou en fonction des sources.

    J'adore ce genre de sujet car les discussions sont sans fin!!!

    Toi aussi tu aime discuter du sexe des anges, couper les cheveux en quatre, tourner autour du pot, pinailler et ergoter sur le plus insignifiant des détails ! Rassure-toi. Ici, tu as trouvé rien de moins qu’un nouveau foyer :lol: en tout cas bienvenu ;)

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