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Shorr kan

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Tout ce qui a été posté par Shorr kan

  1. Ben, c’est difficile de cibler un chameau en mouvement, liaison de donnés ou pas… Bingo !!! J’avais vu juste. Qu’est-ce que je gagne ? :oops: Je vais ouvrir un cabinet de consultant, ou plus juteux, faire dans la voyance, lire dans le marc de café, les entrailles de poulet et tout… "Et le Bien triompha de Mal"
  2. Le terme exact, il me semble, est « tornade de feu, océan de dévastation » et des trucs dans le genre. On a beau dire, les despotes on le sens de la formule et du spectacle… :oops:
  3. Et qui ne resterons que des menaces… Si, il fait ça, de façon frontal, il donnera l’occasion rêvé aux grandes puissances et ses voisins pour lui tomber dessue et le lyncher. On peut toujours rêver… Quand on recoupe cette menace avec l’arrêt programmé de leur avancé sur le fief rebelle, c’est peut être le signe d’une intervention militaire futur – d’une forme ou du notre- dont « Kadhaf» à pris connaissance par le truchement de mise en garde ou de bruit de couloir ! Une fresque semble se dessiner, ou je fais des plans sur la comète ?
  4. Tancrède, tu m’as brulé la politesse !!! J’étais revenue pour faire une blague douteuse sur le sujet…. En tout cas, pour ce qui est de l’arrêt de l’offensive, c’est Rommel qui n’aurait pas été content…. Vous pensez que c’est une question de logistique insuffisante, ou c’est pour laisser fuir les rebelles et s’épargner la difficulté de tous les zigouiller ?
  5. L’œuvre d’un génie ou d’un crétin ? Qu’est qu’ils mijotent encore ?
  6. Quand même… Je considère que le problème est à la fois important et accessible, si on considère l'effort à fournir par les U.S.A et ses alliés de l'OTAN, ce n'est pas énorme. Il y a bien sur le risque de l'enlisement, et ce qui risque de coûter bonbon, mais la Libye c'est quoi? Juste un quadrilatère désertique ou il est facile de sécuriser sa partie pétrolière, le tout étant confié un gouvernement bricolé sur place, et surtout en forçant ses voisins à s'ingérer (après tout, de fait, c'est leur responsabilité, comme en Afghanistan, tout le monde devrait être convié à régler sérieusement le problème, et quand je dit tout le monde, c'est tout le monde…) C'est du suicide de refuser de dégager le "colonel" et son clan: Y a pas idée de menacer un homme, lui faire des misères, le conspuer (et fermer sa gueule comme l'Allemagne, ne change rien, il n'a pas "d'esprit de finesse"…) ; sans aller au bout de ses intentions, sachant qu'il se vengera d'une façon ou d'une autre, ou au minimum, prendra ses précautions! Pour moi, c'est surtout révélateur d'une non stratégie de puissance aussi imbu d'elles-mêmes, qu'impuissante, que d'une vrai impossibilité, de la non stratégie par excellence… Dans le fond, ils s'épargnent des problèmes dans l'immédiat, pour être confronté à pire plus tard! Toute la politique, la Grande, peu se résumer à une question d'opportunité et de risque calculé. Il y une très pertinente citation de Bismarck, ou il en est question avec l'idée de sauter dans un bateau, ou un truc de genre…je ne m'en souvient pas :lol: En même temps, j'avoue, que je suis un mec très carré, j'aime que les trucs entre dans des boites…
  7. A quoi peut bien servir un appareille moderne non instable? :O J'ai l'impression que la bête est surtout taillée pour le BVR, et que c'est donc surtout une plateforme de tir furtive. Ça et son surdimensionnement me laisse à penser qu'il s'intègre dans une doctrine anti-porte-avion: pour engager ce genre de monstre il faut de la puissance de feu et l'autonomie qui va avec, sans parler de l'espace pour les capteurs et équipement en tout genre. Quand on épluche les échanges sur le topic qui traite de la meilleure façon de s'en prendre à un GAN au grand complet, et surtout, couler son capital-ship à coup sur; on se rend comte que la seul manière d'y arriver, et de détruire/neutraliser/saturer ses CAP et leurs renforts pléthorique. D'après vous je m'avance trop?
  8. Ils ont bien réussie à gicler Saddam, qui était bien plus puissant. Je pense plutôt qu'il n'était tout simplement pas dans leur priorité. Juste une gêne, comme un moustique qui vous emmerde… Il ne devait, surtout, pas en valoir la peine et l'effort.
  9. Pas la peine d'aller si loin: simple esprit de conservation, les loups ne s'entre dévore pas entre eux. Et ils ne leur a pas échappé que leur protecteur américain ont les mains lié aussi bien d'un point de vue pratique, qu'ils sont psychologiquement tétanisé (là où il suffirait de quelques centaines d'homme pour sécuriser Benghazi…); sans parler de la pente de déclin relatif sur la laquelle ils sont. Mais c'est vrai que le Conseil de Coopération du Golfe commence à ressembler à quelque chose… Néanmoins, les deux systèmes politico-économiques sont bien trop imbriqués pour qu'il y est un grand changement de rapports de forces. Si les States doivent s'inquiéter d'une ingérence, c'est celle des pays d'Asie, qui auront bientôt un pied en méditerrané. Mais les américains n'ont ont jamais mi vraiment les moyens, hors bombardement et dans un cadre très limité dans le temps. Il peut se déplacer dans le désert, mais sa suite est très voyante, et même sans l'éliminer physiquement, il peut être renversé. Ps: Zut!!! grillé par looping
  10. Je ne sais pas…ça me semble avoir tellement d’avantage en terme de diminution de trainé, de poids, de RCS, d’augmentation de la manœuvrabilité ; bref, le saut doit en valoir le coup je suppose. Pour ce qui est des pannes, surtout moteur, l’appareil et pratiquement perdu de toutes façon. Et vu la fiabilité atteinte par les propulseurs, sur les bimoteur et plus, il en reste toujours au minimum un qui marche. Y a bien sur les pannes qui mettent hors d’usage toutes la propulsion et le besoin de manœuvrer le temps de se mettre en configuration/ altitude favorable ; mais, on peu imaginer un propulseur d’appoint orientable léger genre postcombustion qui fonctionnerait sur le principe du stato/pulsoréacteur, sous la forme d’un élément encastré, peu encombrant.
  11. J’aurais jamais cru que ça ne tenait qu’a "ça" :O :| :lol: Y pas moyen de doubler ou tripler les servomoteurs ? Le surpoid serait insupportable ? :P ;)
  12. Puisque il en est question, qu’est-ce qui s’oppose à l’utilisation à 100% et uniquement du TVC pour manœuvrer un appareil, qu’est-ce qui s’oppose à la suppression, peut-être pas des canards, mes des dérives et nombres de surfaces de control ? Avis aux experts.
  13. Pour moi c’est clair ! S’il n’a pas assiégé Rome, c’est qu’il n’en avait pas les moyens et basta ! Si il avait pu en finir rapidement il les aurait achevé, il comprenait bien ce qu’il avait en face et qu’il fallait frapper pour anéantir. Quant à convaincre les socii de se retourner contre les grands méchants romains, ça manouvre a bien failli réussir ! D’ailleurs on se concentre souvent sur l’aspect purement militaire du conflit, des grandes batailles, mais j’ai été bluffé en me penchant sur les aspects diplomatiques qui ont une envergure épique :O ; rien que l’épisode des luttes d’influence pour obtenir le soutient des cités grecs…de Grèce, valent le détour, et montre bien l’ampleur « mondial du conflit ». D’ailleurs, et contrairement aux champs de batailles, les romains se défendent bien, même si la solidité de leur système sociopolitique est à leur avantage et qu’ils jouent à domicile. De là, une question subsiste :S’attendait-il à une telle résistance, un tell acharnement des romains ? Il est probable qu’il s’attendait à une tache difficile (si il a fait ses devoirs, il sait qu’une campagne rapide est rarement la norme…), et même si il à du étudier en détail ses adversaires, se renseigner sur leurs mentalités, il a peut-être été obligé d’improviser un plan de rechange, même si c'est typiquement le genre de mec à avoir plusieurs plans de rechanges, surtout quant on connait les contraintes qui pesaient sur lui. Mais le brio avec lequel il arrive à retourner nombres d’anciens clients de Rome laisse à penser qu’il a étudié la carte ethnico-politique de la région. Je fais même une hypothèse, qui est peut paraitre téléphoné, mais c’est peut être dans ce sens qu’il faut comprendre la position de Pyrrhus dans son top 3 : il a tout fait pour ne pas se retrouver en slip comme son prédécesseur qui ne se reposait que sur ses victoires. Ou plus simplement, c’est l’expérience apporté par la pacification de l’Ibérie qu’il a mené en personne, qui à du le rendre expert en négociations avec des tribus autour d’un bon calumet de la paix. Justement, quand on y songe un moment, à tête reposé (ce qu’il ne pouvait pas se permettre il est vrai…), et qu’on voit son écrasante supériorité face aux légions, on ne peut que ce dire que son vaste mouvement de contournement était superflus, que les hommes perdues durant la traversé et ressources consacré à la logistique convertie en plus de moyens plus directements militaires, auraient été plus utile dans une confrontation direct, et qui sait, il les aurait eu ses deux armés… A moins que la marine romaine lui est bloqué le passage (ce n’est pas la Home Fleet, mais la capacité en la matière est à déterminer ?), voir sont propres camps, ne l’autorisant pas à passer par l’Afrique, protéger ses bases en Espagne, sont seul point fort fiable ou une quelconque obligation/contrainte ; il faut dire que malgré l’habilité du mouvement, c’est pas le genre du type à faire ça pour la beauté du geste : d’une manière ou d’une autre il y a été contraint, mais je n’arrive pas en discerner la raison exact ? Autre chose : ça nous permet aussi- peut être- d’entrevoir les méandres de son intellect. Il pense en grand, il aime les manouvres complexes. Cela l’aide grandement à compenser le différentiel de moyens avec ses ennemies, et leur tient la dragée haute : mais c’est peut être ce qu’il la perdu… Une succession de guerres victorieuses dans de multiple campagnes (qui au final auraient formé une grande guerre) dans des affrontements plus direct, sans forcement détruire Rome, auraient probablement, et irrémédiablement, dégradé la position de cette dernière . Comme quoi le bourinage peut avoir du bon :P Vraiment passionnant le bonhomme ! Je suis ce Génie ! Le Grand, le Vrai, l’Authentique. Et oui j’ai une sorte de préscience :oops: Plus sérieusement, je pense qu’il y a des régularités dans l’histoire, et surtout qu’une sorte de « principe de réalité » finit le plus souvent par reprendre ses droits ; même si il n’y a aucun déterminisme dans mon propos et qu’on insistera jamais assez sur l’originalité de tel ou tel culture/système/civilisation…par contre j’avoue être un peu « hégélien » avec ses grandes visions holistes…Nooooon, pas le fouet mon maitre !!!! :'( Ma position repose sur trois éléments : La premières est, comme je l’ai dit plus haut, la superstructure qui se met en place et qui s’impose pour gérer leurs nouveaux domaines en Afrique du nord et Ibérie, et par un phénomène de rétroaction –que je n’expliciterais pas…en plus c’est pas dans mes cordes :lol:- aurait finie par influer sur les habitudes de gouvernement, les mentalités. La « terres » change tout (dans sont acceptation large), c’est même ce qui fait que c’est le jour et la nuit entre Carthage et Rome, au-delà de la rivalité strictement géopolitique, il y quelque chose d’irréconciliable, un irrédentisme insurmontable. Mais, on constate que Rome la terrienne à une force de frappe plus pléthorique et durable dans le temps ; donc je ne pense pas que les marchands carthaginois soient devenus du jour au lendemain des gentlemans farmers, je pense par contre, que non seulement le « shoping » aurait influencé sur leurs manières d’être, de gouverner, mais que cela a été pensé ! L’hypothèse est hardie, mais il faut se souvenir que les carthaginois on accouché de longue ligné de stratège, c’est des intellectuels cosmopolites, très souple et adaptable, ils ont certainement du analyser leur premier échecs, analyser aussi leurs faiblesse et compris qu’ils leur manquaient une base plus solide ; dans se cadre on peu supposer qu’Hannibal et les siens ont du faire partie de ce courant de pensé/politique qui poussaient dans ce sens… Hannibal est à la fois un visionnaire dans la mesure où il cherche à précipiter un affrontement, et un extraordinaire technicien dans l’exécution de ses plans ; mais, il n’est certainement pas le seul à penser qu’il faut zigouiller les romains, même si ce parti n’était pas majoritaire, ou plus, probablement assez puissant. Aussi, toujours lié à la territorialité, les conflits d’intérêt entre anciennes aristocratie marchandent « libre échangiste », qui s’accommoderait bien d’une trêve (sans comprendre que les gars d’en face veulent leurs peau, ou alors vaguement, et sont donc prêt à « vendre la corde avec laquelle ils seront pendue » dixit Lénine), et la monté de l’aristocratie militaires, plus sensible à cet aspect, dont la famille Barca est l’archétype. Deuxième point qui me permet de conjecturer un changement de régime, c’est la magistrature exercé par Hannibal lui-même, en tant que suffète, ou il fait merveille en mettant fin à la corruption, rétablissant Carthage dans ses finance et la puissance de sa marine (tout ce que touche ce mec ce transforme en or :O). Le partie démocratique, dont il est le champion, se renforce et transforme l’agora carthaginoise, qui devient plus authentiquement grecque ; bref, quelque chose se joue, et il est raisonnable de penser qu’un cap majeur eu été franchi si « Hanni » (qui avait alors perdu ses balles :lol: :lol:) n’avait pas été exilé, ou plus précocement, vaincu les romains. Enfin, je reviens à la culture punique, qui comme je l’ai dit, est le fait d’esprit souple et adaptable : on ne monopolise pas le commerce à l’échelle continental par hasard. C’est vrai qu’il y a beaucoup de « si » dans mes écrits, des conjectures, et des extrapolations d’autant plus difficile à vérifier qu’il n’y à pas beaucoup de matériaux historiques, surtout avec l’habitude des romains à tout cramer des qu’ils ne peuvent pas blairer quelqu’un (Halala ! c’est Ritals, qu’ils sont susceptibles :-X) ; mais il y quelques bribes, des traces archéologiques, des écrits romain même, ou si on se sert de la connaissance qu’on a d’eux, ils nous permettent d’approcher, par petites touches, ce que pouvait être leurs adversaires carthaginois, et Hannibal surtout, le milieu dans lequel il a baigné, et faire quelques suppositions ; et la mienne est que Carthage ne serait pas resté indifférente au conséquence de cette guerre, qui l’aurait fait muté d’une façon ou d’une autre (au-delà c’est de la pure spéculation), comme Rome; d’autant plus, qu’elle et sont époque étaient gros de bouleversement. Le Génie a parlé, fermez le banc :lol: ;)
  14. Euh, le pétrole c’est de l’autre coté, en Tripolitaine, et là, j’ai des doutes quant à la capacité logistique de l’armée égyptienne à se projeter à plus de 2000 km de ses bases.
  15. C'est le syndrome « mais que fait la police » pour refermer ses volets des qu’un truc ce produit en bas de l’immeuble… Atavisme bassement humain
  16. Disons que je pense qu’en propre il n’en avait pas les moyens, mais que les politiciens de Carthage en ayant quelque chose de plus concret sous la dent, et avec la proximité du théâtre, aurait fourni sont soutient, qui serait resté en deçà des moyens romains, mais le différentiel n’étant pas si dramatique, Hannibal ayant montré que « rien, c’est plus que suffisant » pour castagner du romain… Une fois établi en Sicile, son opération d’isolement aurait été plus crédible pour ses alliés hésitant dans la péninsule à se retourner contre Rome, car pouvant compter sur des appuis plus proche, donc avec des garanties plus tangible. Le point noir reste la marine romaine qui demanderait un investissement massif, ou au minimum la prise de ses bases. Et une attaque de revers aurait été plus problématique pour les romains, avec la possibilité d’une contre attaque précoce tout en menaçant le cœur de la « botte » ; ce que seul permet la position central de la Sicile en méditerrané (mais vu la précision des cartes de l’époque il est possible que ça leur a échappé :lol:). A y réfléchir, c’est à ce demander pourquoi il c’est cassé les bonbons à faire le tour au lieu de leur foncer dans le lard vu ce qu’il avait en face … On est d’accord, Carthage ne se serait pas substitué à Rome, mais sa position aurait été bien affirmée, et avec personne d’assez puissant pour le contester de son coté de la méditerrané pour un bout de temps. Même les cités très mécontentes de l’emprise punique, n’auraient pas pu se soulever contre leurs oppresseur sans un soutient extérieur…suffit de voir l’accueil donné au romain, pourtant pas connue pour faire dans le social :lol:. Et en parlant de punique, je pense que la culture phénicienne, qui même après la domination romaine, a continué à être vivace et persistante (par exemple Septime Severe et Caracalla sont très « Phénicien » dans le genre), aurait encore plus marqué la région. Quand à l’éventualité d’une réforme, socialement, politiquement, économiquement, il y avait en germe de nombreux changement, notamment après la défaite de la 1er guerre punique qui avait mené à une orientation plus terrienne des autorités à la fois par défaut et ne seraient-ce que par volonté de s’autosuffire pour ne pas se laisser étrangler par la désormais puissante marine romaine. Et la compensations des pertes qu’a induit à rechercher cette même guerre a donné des territoires a pacifier et administrer, et dans la mesure ou « la fonction crée l’organe » je pense que cela aurait eu un impact profond dans leur mentalité de marchand habitué a ne jamais se préoccuper que plus d’un comptoir commercial. Et c’est une société de plus en plus Hellénisé aussi, ça travaille ses élites en profondeur, en particulier sa démocratie (entendue dans sa forme antique). Hannibal en est un remarquable prototype, n’a-t-il pas été élevé à la dignité de « souverain grec » ! Pour moi il est difficile d’imaginer, qu’à la fois la victoire, ses gains, mais aussi les obligations induites, le bouleversement culturel et social, et surtout l’action de stratèges du calibre d’Hannibal et des Barcas, et comme semble en donner souvent Carthage, n’est pas débouché sur un changement de statut et de fonctionnement de sont empire. Rome à l’issue de cette guerre a pratiquement forgé dans cette guerre l’outil de ses futures conquêtes, testé ses limites,…etc. Avec Carthage, le changement aurait été d’une autre nature, avec une définition de la citoyenneté plus étriqué, plus aristocratique probablement, mais laissant une marque de même envergure dans l’histoire universel.
  17. Tout ce qu’il veut C’est pas du pétrole qu’il propose en échange, mais du p’tit lait, tellement la teneur en souffre de son produit est faible. Un vrai régal pour les raffineries… Et au surplus un pied en méditerrané.
  18. Je ne suis pas expert, mais on peut raisonnablement penser que si ses dimensions sont réduite, il est moins repérable ou le sera plus tard. D’autant plus que les drones actuelles vienne après le saut techno des furtifs et sont donc optimisé pour, et si ils se cantonne à de l’observation sans porter d’armes/nacelles/réservoirs leurs configurations lisse doit aider Mais l’intérêt principal d’un drone hors sa discrétion, la rapidité de sa disponibilité, et sa persistance sur zone, c’est sont coup réduit aussi bien financier qu’humain en cas de perte, un pion sacrifiable quoi.
  19. A ce moment Carthage se tourne de plus en plus vers les terres au détriments des numides, et certaines élites poussent dans cette direction dont les Barcas (après tout, l’un des plus ancien document traitant d’agronomie a été écrit par un général carthaginois), sans parler de l’Ibérie, certainement pour ce donner plus de profondeur stratégique et une masse critique plus conséquente. Plus largement, on peut penser que Carthage, sans abandonner sa vocation commerciale (qui se serait encore renforcé avec l’accaparement des parts de marchés romaines imposés par traités) aurait eu un encrage plus terrestre, et les liens avec les cités clientes renforcés/durcies ; d’ailleurs, je serais étonné qu’Hannibal n’est pas eu une vision géopolitique dans ce sens, des projets d’avenir, ou sa cité devenait un Empire puissant et péren. De toutes façon la mutation était inévitable, qu’imposait la monté en puissance, et déjà amplement entamé. Pour la Sicile, je pense que ça devait être dans ses cordes quand on connaît son génie manoeuvrier (on parle souvent de ses réussites militaires, mais on passent trop souvent à coté de sont talent diplomatique presque aussi brillant…) ; d’ailleurs, je me demanderais toujours, après son échec devant Rome, pourquoi il n’a pas retraité vers la Sicile, profitant de la mise hors circuit de ses ennemies ! Je suppose qu’il l’a envisagé, mais lui a préféré l’encerclement diplomatico-stratégique à l’aide d’une coalition anti-romaine. Le choix ce défend, et il à bien faillie réussir son coup, mais très complexe à mettre en œuvre ; là ou la prise de la Sicile aurait été plus facile. D’accord ! Le coup aurait été moins décisif, mais aurait laissé ouvert la voie à un match retour pour plus tard, ce n’était pas du tout ou rien, et le retour dans le girons de la mer patrie d’une province qui devait manquer à beaucoup d’aristocrate serait allé dans le sens de sont partie à Carthage en offrant quelque chose de bien tangible comme gage (et clouer le bec à Manon et ses potes ! pour moi même si il ce battait une main dans le dos, ça a été une vrai faute de sa part de négliger de neutraliser sur le long terme, et pas que ponctuellement, ses adversaires politique, sans parler de l’avantage de priver Rome des ressources fiscales des bonnes terres à blé sicilienne (quoique hors circuit un temps pour cause de guerre, donc inutilisable pour soi) qui aurait donné à son camps un bel atout si il n’avait pas pu continuer lui-même la lutte ou lancer une nouvelle campagne, et enfin la possibilité de menacer Rome directement en enjambant facilement la rivière méditerranéenne (et maintenant qu’on sait que c’est possible…). A condition de neutraliser sa terrible marine, et donc, un effort pour renforce la sienne. Pour en revenir au waht-if de départ j’opte pour une domination sans partage en méditerrané occidental et une importante influence à l’Est par le truchement des cités phéniciennes sous la protection du « grand frère ».
  20. Shorr kan

    Identité nationale

    Faut pas se leurrer sur l’éventuelle profondeur d’un débat sur l’identité, notion importante, mais au combien fuyante et difficile à « identifier » Rien que le mode négatif dans laquelle il est lancé en dit long sur le but réelle de ces promoteurs : polariser la société. On peut le regretter. Un chef d’états –puisque c’est lui qui est derrière- devrait être un rassembleur, en même temps qu’il réaffirme les valeurs d’une nation, rien d’incompatible là dedans ; mais ça reste politiquement cohérent, brillant même ! Après tout, on ne tient pas les électeurs par leurs raisons, pas même par le cœur, mais bien par leurs tripes ! Dans cette perspective, NS, pour ne pas le nommer, fait tout comme il faut et suit le manuel. On doit reconnaître qu’il y quelque chose de « Napoléonien » dans cette homme ; mais cette habilité ne semble servir aucun mobile. C’est en tout cas comme ça que je le sens… De la politique bassement politicienne, la ruse du prédateur en action, mais il n’y a pas pour moi de raison de s’en offusquer : en a-t-il un jour été autrement. Rien de neuf sous les tropiques, triste tropiques…
  21. Qu’est-ce que tu est mal élevé ! :-X :-\ La bien séance exige de ne pas trop insister si on ne te répond pas :lol: ;) Pour ce qui est de savoir pourquoi Don Camerone s’agite lui aussi : Ou bien il soufre du même trouble que Sarkozy, c’est contagieux… Ou plus probablement, c’est inhérent au statut de la France et de la GB, qui reste les deux seules puissances d’Europe occidental à avoir une ambition - donc des obligations qui vont avec - mondial. Malgré leur maigre moyen… Et en effet, comme je l’ai dit plus haut –péché d’orgueil…- ce serait inédit depuis Suez et peut être le début de quelque chose… Mais ce serait cocasse qu’un atlantiste et une quasi-colonie américaine impulsent ce qui serait le premier coup de pelle qui enterrera l’alliance atlantique. :oops: « La vie est un drame, mais c’est l’ironie qui vous achève » dixit, un inconnu…
  22. Le tour de monde en 80 jours quoi :P Ça me semble très grave, et je ne sais pas vous, c’est peut être trop tôt pour en tirer des conclusions, mais pour moi ça annonce très certainement la fin du nucléaire comme alternative aux fossiles. On ne coupera pas du jour au lendemain les centrales actuelles, mais adieu aux constructions de nouvelle. En même temps, quand on assiste à ce genre de catastrophe, on se dit que ce n’est peut être pas un mal…
  23. Pfff. T'est vraiment à la masse Kiriyama ! :P C’est des zombies cannibales trafiqués par un savant fou nazi rescapé. C’est le seul moyen d’avoir une garde fiable, même si le tire sur cible n’est visiblement pas une de leur qualité. T’a pas vu le film ? :O Il se fait tard et je débloque grave…je croie que je vais me coucher… Il doit y avoir autant, voir plus, de mecs content de le voir dans le caca
  24. Les soviétiques avaient envisagé cette option, il me semble, avant d’être écarté par Gorby. Je ne pense pas que passer de 200 à 210 ou 20 % d’endettement du PIB, change grand-chose à l’état catastrophique de leurs finances ; en plus, on émet un grand emprunt national – avec une dette déjà très fortement détenu en interne-, on fait appelle au patriotisme des braves gens qui drainera leurs épargne, et c’est joué.
  25. Ces institutions fonctionnent encore en France ? :O :lol: De toute façon c’est le combat du bien contre le mal, ça passera comme une lettre à la poste aux chambres d’enregistrement…heu, je veux dire les deux vénérable chambres Le Dictateur Président propose…et dispose, le pouvoir législatif paraphe le document…
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