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Messages posté(e)s par Deres

  1. C'est toujours bizarre de constater que nos politiques considèrent qu'ils sont à 100% à l'origine de tous ces contrats et donc que c'est leurs décisions qui amène au résultat ...

    Les priorités, besoins techniques, calendrier des clients doivent se plier devant les impératifs franco-francais et nos jeux politiques nationaux.

    Dans mon souvenir, on a déjà perdu de nombreux contrats comme cela, comme au Maroc

  2. A priori, la difficulté serait surtout de développer l'algorithme efficace.

    Un planeur robotisé a de base tout ce qui est nécessaire :

    - capteur sensoriel : centrale inertielle + capteur classique d'un avion (pitot, angle d'attaque)

    - réaction rapide : encore meilleure que celle d'un pilote

    - bonne dose d'observation : carte + prévision météo

    - cogitation : c'est m'algorithme expert à développer

    A priori, si un pilote peut le faire, un robot en est capable.

    La seule difficulté est si tu veux que le planeur agisse en fonction d'informations visuelles complexes comme la présence du nuage et leur forme ou de rapace planant dans un ascendant ou la végétation actuelle des champs.

    A mon avis, le gros souci est surtout que la mission d'observation du drone va déterminer sa trajectoire, donc il ne sera pas complètement libre de se balader pour traquer les ascendants.

    De plus, il te faut de l'énergie en permanence pour alimenter les capteurs, la liaison radio et les système de contrôle.

    Il est donc peu probable que le moteur soit jamais coupé.

    Et ce d'autant plus que stopper le moteur en vol, c'est prendre le risque majeur d'être incapable de le redémarrer.

  3. Le cône blanc vers l'avant, c'est l'ouverture du radar ?

    De 95 à 215, cela ferait 120° avec des pointillés pour 20° de plus avec probablement des capacités limitées.

    Et les lignes rouge c'est quoi ? cela ressemble à la triangulation d'une menace avec un autre détecteur.

     

  4. Un des problèmes récurrent que je constate est que certaines informations pourraient être posté sur plusieurs fils en même temps.

    Par exemple, une news ou réflexions sur l'achat d'un matériel dans tel armée peut aussi bien être posté sur le fil du type du matériel ou celui dédié au matériel ou celui de l'armée associé voir d'une opération militaire spécifique.

    Par exemple, sur les news Leclerc, cela peut tomber sur le fil dédié au leclerc, sur celui dédié au MBT et sur celui de l'armée de terre (et saoudienne pour les infos récentes).

    Idéalement, on devrait pouvoir envoyer le même post sur plusieurs fil avec un lien dasn le post même sur les autres fils.

    Le risque est bien entendu que certains se mettent à "flooder" le forum.

  5. Il y a 18 heures, Barristan-Selmy a dit :

    Une seconde frappe de la coalition sur des premiers secouristes filmée dans la région de Sa'ada : 

    MSF a été touché dans ces mêmes bombardements il semblerait : http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2016/01/22/yemen-des-frappes-de-la-coalition-font-5-morts-dont-un-ambulancier-de-medecins-sans-frontieres_4852031_3218.html

    Je m'étais effectivement fait la réflexion sur les vidéos post-bombardements en Syrie, que les secouristes et les locaux se précipitaient tous sur les lieux, ce qui semblait dire que le régime et les russes ne devaient pas couramment procéder à des frappes successives de la même cible.

  6. Le problème du multimoteur, c'est que deux moteur, c'est deux fois plus de panne.

    C'est inévitable, c'est mathématique.

    Donc sauf si ton moteur a une fiabilité redoutable, cela dégradera beaucoup la disponibilité totale.

    Je pense qu'une motorisation hybride n'est intéressante que si tu en profites pour baisser la puissance du moteur thermique et compenser les besoins temporaires de charge avec l'électrique.

    Même en faisant cela, le volume sera beaucoup plus important, et c'est un grave problème pour un MBT car qui dit volume dit blindage.

    La solution la plus compacte possible est donc toujours la plus intéressante car il y a un effet cascade (tout volume gagné diminue le bilindage donc le poids donc permettrait de diminuer le moteur/transmission/chenille/suspension ce qui fait à nouveau gagner du volume et du poids, etc). Mais cela fonctionne aussi dans l'autre sens ...

    Quand à la multiplication des moteurs électriques, c'est beaucoup moins intéressant sur un véhicule à chenille car justement la chenille joue déjà le rôle de la répartition de l'effort sur une grande surface.

    Ce serait à mon avis beaucoup plus intéressant sur les véhicules à roue 4x4 et encore plus 6x6 et 8x8.

    En effet, avec un moteur électrique par roue, on économise les transmissions.

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  7. La taille et sa capacité d'emport plus grande du Patroller permet aussi plus facilement de monter des équipements sous les ailes.

    En plus, ils ont déjà montrer des emports de réservoirs et de radar en plus des armements à développer.

    Cela ouvre donc plein de possibilité d'adaptation suivant le besoin (plus d'armement ou plus d'autonomie ou plus de capteurs).

    Il est d'ailleurs fort possible que les articles récents sur le fait d'armer nos drones à terme était lié à un débat justement associé au choix du drone de l'armée de terre.

    Par contre, deux choses m'étonnent :

    - on ne commande que deux systèmes certes avec des moyens autonomes d'entrainement, ce qui revient à avoir 3 systèmes je suppose

    - on commande 14 avions pour 3 systèmes ! Pourquoi tant d'appareils ? On compte sur un taux d'attrition très important où on pense commander plusieurs appareils en vol en même temps ?

    Pour ma part, je pense également que l'Armée de terre se dirige vers un drone plus grand car pour les capacités tactiques à plus courte portée, ils ont déjà opté pour le DROGEN basé sur l'IT80 d'Infotron à décollage verticale. Donc le Patroller n'aura pas vocation à faire de l'ouverture d'itinéraire.

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  8. il y a 6 minutes, alexWF a dit :

    Sur la photo, sauf erreur,il s agit de FAB 500s à guidage Glonnas 

    Ce ne sont pas plutôt celle-là dont tu parles ?

    KAB-500S-E-VVK-1S.jpg

    On en a effectivement déjà vu sous ces avions par paire.

    Moi, ce qui m'étonne sur le Su-24, c'est qu'il font la plupart des missions avec seulement 4 bombes de 250 kg alors qu'ils pourraient en emporter bien plus.

    Ils ont d'ailleurs deux pylônes multiples par ailes et des pylônes long sous le fuselage.

    J'ai donc l'impression que vu sa taille, les mêmes missions pourraient très bien emporter 8 bombes au lieu de 4, ce qui reviendrait à doubler les sorties.

    Même avec ces charges, un SU-24 pourrait probablement couvrir toute la Syrie sans ravitaillement en vol ...

  9. Pour moi, l'intérêt du quad packing (ou octo packing !!!) serait surtout de ne pas introduire des armements alternatifs en parité avec la perte de torpille lourde.

    Le MICA SL est un bon exemple. Vu la difficulté de ciblage, en avoir que un ou deux exemplaire me semble assez inutile. Et si on les embarque en perdant à chaque fois une arme lourde alors que l'on est limité à 20 exemplaires, on en prendra jamais car quatre exemplaire ce serait très pénalisant pour le nombre d'arme embarqué dédié à la mission objectif du sous-marin, surtout avec le besoin en plus de SM39 et de missiles de croisière.

    Pour les torpilles légères, c'est un peu la même chose. Elles sont beaucoup moins efficaces mais si on peut en emporter 8 à la place d'une torpille lourde, cela ouvre des options sur des utilisations moins parcimonieuses. L'exemple des torpilles hard-kill contre les torpilles adverses est assez marquant. On ne peut pas faire cela avec les torpilles lourdes car le soum n'en embarque pas assez. On peut aussi imaginer une torpille légère servant de leurre longue durée avec une navigation à basse vitesse et un bruiteur histoire de distraire une escorte ASM afin d'attaqure une task force ou d'user ses moyens. On peut aussi imaginer des versions "mines" comme la Mk60 Captor américaine. A noter que vu les dimensions de cette dernières, ils peuvent en mettre deux par emplacement de torpilles lourde (même diamètre amis deux fois plus courte). Et au final, contre un adversaire non durci contre un cargo, un ravitailleur ou un transport de troupe, les sous-marin actuel n'ont plus le canon des sous-marin de la seconde guerre mondiale qui leur permettait d'économiser les torpilles.

    Au final, il me semble que ce genre de système est le cas général des mines porté par les sous-marins, où plusieurs mines prennent place dans un berceau de torpille lourde. L'idée serait juste que dans les 16 emplacements de torpilles lourdes se trouvant derrière les 4 tubes lance-torpille, 2 emplacements soient remplacés par des berceaux quadruples pour armes de 324 mm, portant chacun un MICA SL ou deux MU90. On pourrait donc troquer deux torpilles lourdes contre 4 MICA SL et 8 MU90 aux fonctions diverses (leurres, hard-kill, mines, ou torpilles). Cela me semble un échange beaucoup plus intéressant que de perdre deux torpilles lourde contre deux pauvres MICA SL solitaires.

  10. L'étude ne semble concerner que la conduite de tir et la partie initialisation du système en mer, ce qui sous-entend que ce sont les seul points qui poseraient problème.

    Cela sous-entendrait que la munition est suffisamment "agile" pour tolérer pas mal d'erreur de pointage venant des mouvement du bateau.

    Cela confirme également ce que j'avais déjà expliqué sur ce sujet dans un autre fil: la calibration des systèmes inertiels d'un système d'artillerie fait généralement l'hypothèse d'immobilité du lanceur pendant la calibration.

    Sur un système naval, cela ne marche pas et il faut donc se servir d'une référence externe, un GPS ou la centrale inertielle du navire.

    C'est ce que font par exemple les Rafale Marine sur le pont par une liaison infra-rouge avec le CDG.

    Et cela doit être le même souci pour la conduite de tir du LRU qui doit utiliser une centrale inertielle pour localiser le lanceur.

  11. Au sujet des A10, il faut bien comprendre que n'importe quel chasseur bombardier est capable de faire de l'appui feu canon efficace.

    La supériorité du canon de l'A10 est juste contre les cibles très blindés de type MBT.

    Toutes les autres cibles sont très vulnérables aux obus à partir de 20 mm surtout venant d'en haut.

    Vu qu'il y a quand même peut de MBT impliqué dans ces offensives, il y aurait donc pléthore de cible pour un F35.

    Reste à voir si le risque serait pris de faire des passes à basse altitude, surtout si le système défensif n'est peut être pas prévu pour contrer les manpads et que c'est un monomoteur.

    Il y a 1 heure, seb24 a dit :

    C'est bizarre. Les FS ne peuvent pas envoyer les coordonnées GPS des cibles en questions ? 

    Une bombe GPS nécessite un largage grossier vers l'objectif donc une passe complète de tir après réception des coordonnées.

    Ce n'est donc probablement pas possible contre des objectifs en déplacement même lent.

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  12. Et puis les pilotes n'ont pas toujours tous les détails du problème comme dans un rapport d'accident, ce qui fait que leurs décisions sont souvent très conservatives.

    Par exemple, dans ce cas, le pilote ne savait probablement pas de façon certaine que le problème venait des bidons même si il pouvait peut être le déduire indirectement.

    Et si cette déduction était erronée, le largage des bidons avec leur carburant signifiait un game over instantané !

     

  13. Pour revenir sur le sujet de la différence entre drone de l'armée de l'air et de l'armée de terre, je pense que la grosse différence actuelle est le système d'information dans lequel les données finissent. Cette frontière risque justement de disparaître avec les programmes Scorpion qui vise justement à intégrer tout le monde dans le même système d'information. Pour le moment, les drones dits "tactique" sont intégrés dans un système d'information tactique qui est celui des unités au contact et des unités d'artillerie. Et cela est déjà une grosse amélioration sur les systèmes de génération précédentes qui utilisaient des liaisons dédiés entre détecteur et effecteur, au pire via la phonie. Pour moi, armer un drone tactique est une erreur car par définition il est "au service" du reste du dispositif. Si il est armé, cela doit  être pour intervenir hors du domaine d'intervention du reste du dispositif tactique, donc dans les faits, faire de l'interdiction. Vu la portée de l'artillerie actuelle, voir des futurs missiles MMP et MLP (les israéliens ont des missiles de ce type avec 25 km de portée), cela ne pourrait se justifier que pour des raisons de frappe réellement dans la profondeur loin du front ou pour pouvoir intervenir instantanément sur des cibles d'opportunité. Il est certain que pour les conflits asymétriques et de basse intensité, il serait intéressant qu'un drone tactique puisse être utilisé aussi en drone d'interdiction pour plus de souplesse. C'est l'expérience avec nos Sperwer qui ont surtout le problème que les conflits auxquels nous participons ne correspondent pas à leur mission d'origine.

  14. Sur 28/10/2015 at 22:14 , max52 said:

    Je suis sidéré par la nécessité d'avoir un des camion du convoi dédié à des pneus de rechange en plus de ceux de base des véhicules !

    Ne serait-il pas possible de limiter de gouffre logistique en utilisant des pneus increvables, surtout que d'après dertains postes ci-dessus la plupart des véhicules ne bénéfivient pas d'un gonflage centralisé ?

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    Le vidage des filtres à air est aussi impressionnant par la quantité de sable au bout d'une journée.

    N'existe-t-il pas des filtres auto-nettoyant, un peu comme les cyclones des aspirateurs Dyson se servant de la force centrifuge pour éjecter les particules ?

  15. Juste maintenant , MakSime said:

    Bourane avait une énorme différence avec The Space Shuttle : son système de propulsion embarqué ne servait qu'au contrôle en orbite et à la rentrée en atmosphère. Alors que celui de la Navette participait au décollage.

    Bourane était de plus propulsée par le lanceur lourd Energia, alors que la Navette était assistée par un gros réservoir ventral et deux boosters.

    Cela fait tout de même deux énormes différences.

    Oui mais la solution des ingénieurs russes n'était pas une navette géante avec un soute en parallèle d'une fusée géante, solution jamais vu par ailleurs.

  16. L'arrivée des étuis polymères que les américains étudient concrètement constitue quand même une avancée significative, plus qu'une simple augmentation de léthalité discutable, mais un gain net en masse et volume.

    Un changement de calibre pourrait s’effectuer en même temps que l'introduction de cette nouvelle génération de munition.

    Et comme la solution actuelle est souvent d'utiliser à la fois de 5.56 et du 7.62, il est fort possible que la nouvelle munition soit introduite en remplacement du 7.62 dans un premier temps. 

  17. Quand à la culture du "copiage", ses raisons peuvent être multiples et complexes.

    Rappelez vous la navette Bourane où les techniciens russes très compétents dans le domaine spatial on été au final obligés de grandement copier la solution technique américaine qui leur semblait idiote (mélanger vol humains, fret et satellites) suite aux pressions politiques de haut niveau qui tombait eux dans les fantasmes admiratifs des américains.

    Le copiage peut être le fait d'une petite entreprise qui faute de budget R&D conséquent ne saurait pas de toute façon développer un produit différent.

    Cela peut aussi résulter de la demande du client final (politique ou militaire) qui veut le même et rien d'autre ou qui fixe des délais ou des coûts de développements tels que copier bêtement est la seule solution possible.

  18. Sur 29/12/2015 at 20:48 , Picdelamirand-oil said:

    Oui c'est vrai que leur mentalité est différente de la notre, et je peux raconter une anecdote pour l'illustrer.

    Vers la fin du développement de l'ATL2 on a eu des marques d'intérêt de la part des Chinois. Il s'agissait de mettre le système d'arme de l'ATL2 dans un hydravion chinois. On a donc envoyé une mission en Chine pour expliquer ce qu'on avait fait. La mission comportait deux personnes, des transparents, un peu de documentation.

    Le premier jour on expose les grandes lignes devant une assemblée de 5 personnes et on répond (facilement) à toutes les questions. Le lendemain on continue plus en détail devant une assemblée qui avait doublée et on répond à toutes les questions, chaque jour qui suit le phénomène du doublement de l'assemblée se reproduit, l'exposé va dans des détails de plus en plus fins et on répond toujours à toutes les questions. Au final on avait une assemblée de 60 personnes car ils n'ont pas pu continuer à doubler.

    On est revenu très satisfait car on avait bien exposé tout ce qu'il fallait, et on avait répondu aux questions de manière satisfaisante (c'est plus facile quand le développement touche à sa fin).

    Puis on a attendu des nouvelles pour la suite. Rien pendant plusieurs mois. On a demandé à l’ambassade de se renseigner. Ils nous ont rapporté qu'il n'y aurait pas de suite, parce qu'on avait envoyé que 2 personnes et qu'elles avaient tenu tête à 60 spécialistes et que donc on avait voulu les humilier. 

    Lorsque plus tard j'ai participé à la rédaction des spécifications de la sécurité des jeux olympiques de Beijing j'ai refusé obstinément d'aller les voir en souvenir de cet épisode (d'autres membres de l'équipe y sont allés).

    Attention aussi à ne pas généraliser les cultures d'entreprise ou personnelles en culture nationale.

    Par exemple, entre une PME et un grand groupe, tu vas avoir des comportements très différents.

    Même au sein des grands groupes, le rapport à la hiérarchie peut être très différents suivant les entités ou les projets.

    Il y a aussi des projets "agiles" et des "mamouths" et c'est souvent difficile de comprendre les luttes techniques ou hiérarchiques vu de l'extérieur d'une société.

    J'ai souvent vu des "clash" entre français de ce point de vue là, car une société envoyait des "pontes" et l'autres des ingénieurs débutants pour une même réunion où personne ne se comprenait au final.

    En plus, dans ton cas, c'était peut être juste l'avis de la personne de l'ambassade, qui se la jouait "moi je connais les arcanes de la Chine, pas vous" et vous rejettait donc la faute dessus, plutôt que d’avouer son ignorance sur la raison de l'échec. D'ailleurs, si c'était juste une question de "mentalité chinoise", peut être aurait-il fallut vous donner leurs "trucs" avant de partir.

    J'ajoute qu'au sein d'un pays tu peux avoir aussi des grosses différences générationnelles ou de filières de formations.

  19. C'est parce que nos hommes politiques et notre administration ont une culture des moyens, pas des résultats.

    Par exemple, on a toujours des promesses du type : l'éducation, c'est important donc +X millions et +X enseignants, sans jamais vraiment se demander ce qui sera fait exactement avec les moyens supplémentaires.

    De plus, avec ce genre de raisonnement, il n'y a jamais de mesures d'optimisation et d'augmentation de la productivité car comme cela diminue les dépenses, cela correspond avec cette logique à une diminution des efforts.

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