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Messages posté(e)s par Deres

  1. C'est pas juste les "crocodile" qui servent a contrôler le lacet?

    Sur le Neuron on dirait que c'est la combinaison de l'action inverse des aileraon et des volet qui joue le roule de contrôle en lacet.

    Je ne sais pas l'avantage d'une solution par rapport a l'autre. Le crocodile semble plus compliqué mécaniquement, et moins facile a optimiser coté furtivité de forme - il y a deux fois plus d'objet et donc de surface et d’arêtes pouvant conduire, et/ou émettre les onde EM - . C'est peut être pour ça qu'au lieu d'entre sur le bord de fuite comme les B2 il est au milieu de la corde.

     

    Tu as raison, c'est probablement pour faciliter le contrôle en lacet.

    Dans ce cas là, cela signifierait que les ingénieurs de BAe ont moins confiance dans les commandes de vol électriques et ont donc cherchés à avoir des surfaces de contrôle plus directement liés aux mouvements de l'appareil malgré la suppression de la dérive. Peut être est ce lié à une vitesse de vol plus importante(flêche plus grande) et donc plus de phénomène transsonique difficile.

  2. Bien que la mode soit aux LGB, ne peut on se contenter de bonne vieille Mk 82 dans certain cas, surtout si la précision est correcte?

    Pour attaquer des toyota ou des camps de terroristes dans le desert par exemple, pas besoin de toucher à 1m près pour les neutraliser/détruire et à 2k€ la Mk-82, on peut les lacher en grappe de 4 histoire de faire le ménage.

     

    Cela a été utilisé en Yougoslavie pour attaquer des aéroports : largage de 4 mk82 sur coordonnées GPS par des 2000D je crois.

  3. De deux manières : elle augmente sa traînée aérodynamique, et donc sa consommation jusqu'à 2/3%, et aussi sa SER puisque la moindre aspérité, même de 5mm dans une jonction va contribuer à réfléchir les ondes radars

     

    Nouvelle critique indiennes contre le PAK-FA, qui sont relayées (ou montées de toutes pièces pour faire du buzz ??) par un journaliste (Ajai Shuckla) qui est décrit sur un forum espagnol comme un polémiste forcené :

     

      https://medium.com/war-is-boring/d89b9ce721de   (et : http://www.militar.org.ua/foro/todo-sobre-el-pak-fa-el-caza-ruso-de-5-generacion-t14119-1560.html, cf posts du 22 janvier)

     

    Ceci dit les technos américaines de furtivité ne sont pas parfaites mais les défauts sont surtout relativement secrets.

    Et puis l'influence des aspérités dépend de la longueur d'onde contre laquelle on veut se protéger.

     

    Il y a comme problèmes qui ont fuités :

    - usure aérodynamique rapide des matériaux furtifs surtout sur les bords d'attaque (perte d'aérodynamisme et de furtivité) surtout en cas de pluie.

    - absorption d'humidité par ces matériaux (augmentation de masse et diminution de la furtivité)

    - cauchemar de maintenance par absence de trappe d'accès et des heures à remettre du scotch de continuité électrique dès qu'une trappe est ouverte.

    - complexité importante par utilisation d'un système de refroidissement global des avions avec tuyauterie de fluide de refroidissement dans tout l’appareil pour évacuer les calories dans les réservoirs au lieu d'avoir des systèmes locaux aux soutes à avioniques.

  4. Rétrospectivement ça aurait pu très bien fonctionner (mais c'est toujours facile de refaire l'histoire). Un remplaçant du Harrier une sorte de Harrier 2010 aurait put trouver sa place.

     

    Je pense que ce n'était même pas nécessaire de faire un nouvel appareil.

    Il suffisait de faire une version mise à jour du moteur avec les dernières technologies et des allègements de structure avec l'état de l'art.

    Le gros gain du Harrier II sur le Harrier d'origine était juste un moteur 15% à 20% plus puissant et une aile composite plus légère.

    Cet appareil date de 1983 : la technologie de moteurs (calcul 3D, matériaux résistants, aubes en carbone, ...) et des structures composite (carbone, ...) a beaucoup progressé depuis ...

    Un Harrier III avec des moteurs 15% plus puissante et une cellule 5% plus légère aurait gagné 20% en masse maximale donc une très forte augmentation de la charge utile et de l'autonomie.

  5.  

    • Meeting the white paper’s goals rests on potentially overly optimistic assumptions about program savings, export offsets, and future European defense cooperation.

     

    Ils soulignent aussi que la politique de non remplacement et de prolongation du matériel ancien va faire augmenter les coûts de maintenance (déjà +8% en 2013). Effectivement, ce genre de chiffrage budgétaire reprend généralement les coûts des années précédentes et ils doivent faire même de jolies règles de trois avec la diminution du nombre d'équipement ...

     

    Ils mettent aussi en valeur le fait qu'une grande partie des économies s'est faite en diminuant entrainement en dessous des niveaux prévus et en le concentrant sur les unités déployés.

     

    J'ajoute que la loi de finance rectificative de 2013 met en valeur des dépassements budgétaires importants au niveau de la masse salariale des armées qui n'ont pas réussi à tenir des objectifs très ambitieux.

     

    Tout cela pousse à dire que les prochains budgets de la Défense risquent d'être difficile, les coupes n'étant pas terminées.

  6. De là à parler d'IRST,.. Je note au passage que le DAS est composé de 6 modules, donc le champ optique est 3 fois plus faible, ce n'est pas rien...

     

     

    Non, c'est en 3D. Donc avec 6 modules, tu ne divise ton champ que par deux en largeur: le DDM-NG couvre l'horizontale avec 2 capteurs contre 4 pour le DAS.

    Par contre les capteurs matricielles du DAS ont deux fois plus de pixels je crois me rappeler.

    Donc à priori hors techno différente, leurs pixels couvrent des champs 4 fois plus petits en largeur donc il voit des objets 4 fois plus petits ou 4 fois plus loin.

    On en a déjà débattu sur ce fil ou sur celui du F35 avec des calculs angulaires et de distance si je me souviens bien.

  7. Oui enfin ca reste peanuts par rapport au développement et à l'achat du missile. Ou veux tu en venir ? Si on développe le missile c'est que l'on va l'intégrer.

     

    On a payé pour les développements des AS12 et MILAS et on ne les a jamais ni intégré ni acheté.

  8. A ce sujet, quelqu'un à un idée de l'usage des espèces de trappes en bout de voilure au dessus et en dessous qui restent entrouvertes tout le vol. J'aurais pensé à des aérofreins mais je n'arrive pas à comprendre l'utilité de les laisser entrouverts comme ça ?

     

    Ce sont des spoilers et cela marche à l'inverse des ailerons, c'est à dire que celui du dessus détruit de la portance au lieu d'en créer.

    Celui du dessous est assez original en effet.

    Je suppose qu'il augmente légèrement la portance.

    Normalement, on se sert du spoiler de l'autre côté quand on veut tourner dans l'autre sens ...

    Il est probable que ce soit un choix pour augmenter la furtivité mais c’est quand même étonnant car cela nuit égalemen à al continuité de la srface de l'aile.

  9. J'aime beaucoup ce genre de camo par petit tache je les trouve toujours très disruptif. Malgré la répétition du motif assez visible, ca semble bien cacher les forme générale.

     

    Oui, vu d'assez près cela me semble extrêmement efficace car cela camoufle les formes exactes.

    Par contre, j'ai l'impression qu'il manque à ce genre de camouflage des structures à l'échelle du véhicule complet donc il risque d'être facilement identifiable à distance (sauf si le terrain autour a des structures de la même taille que son camouflage, c'est à dire ici des sortes de roseaux).

  10. L'intégration d'un missile sous un hélicos qui tire déjà des missiles c'est si cher que ca?! Parce qu'aussi bien les Panther que les NH90 tire déjà du Marthe etc. et je doute qu'il y ait les meme contrainte aéro qu'avec un jet supersonique, ici on largue le bidule version sac a patate.

     

    C'est surement moins cher qu'avec un avion, mais ce n'est pas négligeable ...

    - développement des soft dans l'hélicoptère pour s'interfacer avec le missile

    - simulation aérodynamique avec emports simple ou double avec ou sans symétrie sur le domaine de vol y compris des largages

    - largage aux différentes vitesses autorisées et différentes configuration surement avec des maquettes

    - essais en vol sur tous le domaine avec les différentes configuration possible

    - développement et essais de l'intégration, maintenance et manipulation dans le navire

    Il y a quand même un peu de boulot, d'essais en vol et d'essais sur navire de guerre.

    Puis il y a la qualification finale avec au moins un tir en condition réelle qui coûte don au moins un missile, une heure de vol hélico et une journée navire.

  11. une video sur le vol du Taranis

     

    Britain Releases News on Secret Aircraft's Test Flight

     

    http://www.defensenews.com/article/20140205/DEFREG01/302050022/Britain-Releases-News-Secret-Aircraft-s-Test-Flight

     

    Intéressant les différences aérodynamiques avec le Neuron :

    - aile médiane au lieu de aile basse

    - en conséquence fuselage en diamant arrondi en dessous de l'aile au lieu d'un dessous complètement plat (plus facile pour le train ?)

    - flèche plus importante il me semble (vitesse plus grande mais restant subsonique ?)

    - absence d'aileron mais des doubles spoilers au milieu des surfaces externes (meilleur furtivité ?)

  12. Pour l'ANL on a envie de dire " enfin ! / at least ! !"

     

    Tout ceci ne couvre que les frais de développement et à la rigueur d'industrialisation.

    Pour le moment l'intégration des missiles sur nos hélicoptères et l'achat de ces missiles n'est pas provisionné du tout.

    Il n'est donc pas du tout acquis que la Royale en soit jamais équipée :-(

  13. Ils attaquent aussi sur les flancs et sur le bas des quadripodes (certains passent même entre leurs jambes). Cela dit, les speeders sont des appareils montés sur répulseurs et ils ne montent pas très haut en altitude (le climat local doit aussi aider). Et les TB-TT ne sont pas seuls, ils sont appuyés par des TR-TT et d'autres bipodes plus légers, qui assurent la protection de leurs flancs.

     

    De toute façon, ni les batteries d'artillerie fixes, ni les speeders ne sont assez puissants pour abattre un quadripode.

     

    Non, clairement ils font des approches lointaines de face car ils subissent une forte DCA alors que les AT-AT ne peuvent tirer que vers l'avant.

  14. @DEFA550, @FoxZz°

     

    D'abord bonjour à tous =)

    Il ne faut pas oublier que le terrain numérisé a le même statut, du point de vue sécurité, qu'un software. On ne confie pas facilement sa vie à un software, il peut y avoir des bugs. Pour continuer l'analogie, le terrain numérisé prend le statut de logiciel critique quand il a été vérifié avec des procédures spéciales. Mais c'est très lourd et on ne peut pas vérifier des surfaces importantes (en plus l'homme construit!). Combiner le terrain numérisé pour la trajectoire d'ensemble optimale, et le radar pour la sécurité est pas mal.

     

    Il y a aussi la problématique des structures ayant une empreinte de plus petite taille que la résolution de la carte numérique. Si par exemple votre carte numérique a été réalisé avec des photos satellite de 20 m de cotés, un pylône voir une ligne électrique pourra ne pas y figurer. idem pour des câbles en montagne. Se baser uniquement sur le relief du sol peut donc être dangereux si on veut voler très bas et que l'on ne dispose pas d'un moyen de detecter de tels obstacles.

  15. Plus il y a de personnes plus il y a de compétence et de main d’œuvre. Ça permet la mutualisation de nombreuse tache, voir l'industrialisation.

     

    C'est pour cela que les moyens de transport ont toujours été une source de progrès considérable tout au long de l'histoire.

    Plus les moyens de transport sont efficaces, plus la collectivité "locale" est grande, c'est à dire l'ensemble des ressources et services disponibles.

    Les effets d'échelle et de spécialisation peuvent alors jouer à fond ce qui augmente fortement la productivité.

     

    Au niveau santé par exemple, il faut bien comprendre qu'à l'époque actuelle, de nombreux traitements spécialisés ne sont effectué que dans un ou deux hôpitaux dans le pays, pour des raison de compétence ou de matériel. Cela ne pose pas de problème car il faut généralement moins d'une journée pour y aller.

  16. Techniquement il ne fait guere de doute que c'est possible, c'est meme deja fait avec l'asmp-a

    il parait d'un point de vue profane relativement simple de passer d'une tete nuke à une tete classique, en gardant les perfs du missile...qui doit deja etre adapté a un usage à la mer vu qu'il est susceptible d'etre utilisé depuis le porte avion.

    apres si on envisage un asmp-a mermer, il reste des choses à faire, mais cela n'est sans doutes pas insurmontable.

     

    Cela dit, vu l'efficacité d'un missile comme l'exocet (prouvée au combat) on imagine en effet que les usa ne souhaitent pas voir se multiplier des vecteurs aussi performants que l'asmp-a en terme dynamiques avec les petits plus que nous y apporterions par rapport aux productions indiennes ou russes en terme de manoeuvrabilité, resistance au brouillage, fiabilité...(je ne sais pas ce que les missiles supersoniques actuels valent de ce coté, si la technologie de l'autodirecteur est a la ramasse et que le leurrage est simple, c'est moins effrayant je suppose)

     

    De notre coté, on ne tiens pas non plus a distribuer un missile qui devoilerai peut etre trop de chose sur les capacités de notre dissuasion.

     

    Et puis notre doctrine d'emploi du nucleaire ne nous interdit pas l'emploi d'un asmp en anti flotte si notre gan etait reellement menacé (en situation de guerre ouverte), alors, notre antinav supersonique on l'a...et nucleaire en plus :)

     

    A ma connaissance, le missile ANS qui a été étudié n'avait pas une cellule similaire aux missiles ASMP et ASMP-A. En effet, les besoins sont assez différents entre un missile haute altitude et un missile à vol rasant. Les ASMP ont des cellules de types "avion". C'est pour cela que les entrées d'air sont dissymétriques. La manœuvrabilité est donc plus importante en vertical qu'en horizontal et est faible en roulis à cause du manque d'envergure. Un missile à vol rasant a besoin d'une manœuvrabilité horizontale voir suivant les 2 axes. En effet, sur un exocet, je crois que le missile tourne sur lui même pour se stabiliser et la manœuvre caractéristique lors de l'attaque est un tonneau barrique qui profite de cette rotation permanente. L'ANS avait aussi une cellule avec 4 surfaces similaire et 4 entrées d'air je crois. Une version anti-navire de l'ASMP serait donc assez différente. Soit elle ferait une attaque en piqué depuis la haute altitude, soit sa manœuvre d'attaque serait une chandelle suivi d'un piqué (afin d'avoir une trajectoire plus complexe vue depuis le navire). 

  17. Ces frégates possèdent des ailerons je crois destinés à stabiliser la plateforme surtout pour l'emploi de l'hélicoptère je crois.

    Ces ailerons peuvent-ils servir de surfaces portantes afin de soulever la coque pour atteindre des vitesses plus importantes en diminuant la surface mouillée comme sur des hydroptères ? (toute proportion gardée bien entendu)

  18. Pendant la seconde guerre mondiale de nombreux chars ont été capturés plus ou moins intact, et souvent retournés contre leur propriétaire.

    Les guerres de haute intensité plus récente ont apportés aussi leur lots de prise de guerre récupérables

     

    donc oui un conflit verrait certainement des chars tomber aux mains de l'ennemi

     

    Les véhicules abandonnés sauf dans l’extrême urgence sont systématiquement sabotés ou piégés.

    La curiosité et l'avidité de souvenirs a coûté la vie a beaucoup de soldats alliés pendant la seconde guerre mondiale.

  19. Pourquoi pas. Mais à ma connaissance le neuron ne fera pas d'air air.

     

    C'est un camion à bombe largement subsonique et peu manœuvrant dont la seule défense est sa furtivité.

    Donc l'utiliser comme porteur de missile air-air m'a l'air un peu hasardeux.

    De plus, par rapport à la portée du Méteor, même le radar AESA a peu de marge donc le gain en portée serait assez faible.

    Cela pourrait par contre être intéressant avec un AWACS qui de toute façon n'a pas de défense propre et une allonge radar plus grande (mais quei ne sait pas faire la LAM à priori ...)

  20. Alors la, je ne suis pas un expert, mais j'imagine qu'il suffirait d'attendre que l'equipage abandonne l'engin, a un moment il finiront bien par devoir sortir s'ils ne recoivent pas d'assistance, soit par manque d'eau ou de fuel... mais recuperer l'engin intact me parait tres tres peu probable, soit a cause de la methode d'immobilisation (au minimum une chenille HS par exemple), soit a cause du sabotage de l'engin lors de son abandon si l'equipage est en mesure de la faire. Reste aussi la possibilite de monter un piege a char (tranchee), mais pour ressortir l'engin il faut des moyens lourds...

     

    Les MBT ont des blindages démesurés vers l'avant et beaucoup plus raisonnables des autres côtés, surtout à l'arrière. En cas de perte de mobilité, il ne sera donc plus possible de faire face à la menace pour présenter cet avant sécurisant. La pression sera donc très forte sur l'équipage d'abandonner le char si ils soupçonne que l'adversaire est en train de les contourner ... Un obus flèche ou un missile tiré par l'arrière traversera probablement le char de part en part avec des dommages catastrophiques comme on l'a vu sur des T72 en Syrie. la sécurité du blindage peut vite se transformer en impression d'être dans un cercueil de métal en attendant le coup de grâce ...

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  21. Je ne vois pas ou est le problème, si l'avion tireur passe toutes les informations à l'autre au moment du tir, ça revient au même vu que le missile lui ne parle pas aux avions. Si le guidage change d'avion il suffit de communiquer l'historique des télécommandes ou l'état estimé du missile.

     

    Quand une fonction n'est pas prévue d'origine, une règle de base du logiciel est qu'elle est généralement complexe à mettre en oeuvre. Dans cet exemple, le logiciel ne contient probablement pas toutes les informations à transmettre en interface. Il faut donc réécrire le code en recherchant toutes les variables d'état codés en interne pour les repasser en externe et ajouter des fonctions de mise à jour. Cela peut être équivalent à une réécriture complète du logiciel suivant son architecture. De plus, tout cela fonctionnant en temps réel parallèle avion/missile, la resynchronisation ne sera pas une chose simple avec des données ayant subit un retard de transmission entre avion alors que pour le moment tout est synchrone. En plus, si il y a des rendez-vous précis entre avion et missile, il faut faire attention de ne pas les rater en se transmettant les informations. A mon avis, tout cela ne coule pas de source et c'est bien un développement à part entière.

  22. Suite (DSL)

     

    ues :

    - incendies (documents en double numériques ou boîte ignifugés, bug-out bag avec vêtements, extincteurs, ne pas laisser traîner eds choses inflammables partout, ...)

    - inondations (ne pas mettre trop de chose de précieux et fragile au RDC et au sol, seuil de terrasse, ...)

    - coupure de courant longue (réserve de nourriture hors surgelés, bougies, allumettes, ...)

    - cambriolage (ne pas laisser de chose précieuse trop en évidence, ne pas faciliter l'intrusion, ...)

    - panne, accident de voiture ou rester bloqué dans sa voiture à cause de la neige (avoir un peu de nourriture et eau, couvertures, de quoi faire une réparation simple genre durite qui fuit, toujours prendre un blouson et des chaussures solides)

    - gastro (il faut les médicaments avant car on peut difficilement allez chez le médecin sans eux ...)

     

    On se rend vite compte qu'un minimum de préparation à ce genre d’événement pas si improbables que cela nous aidera bien le jour venu. 

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