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Messages posté(e)s par Deres

  1. (NB : ce post aurait aussi toute sa place dans les fils "marines chinoise 2020", "coulons le PA2", et "frappes de saturation à base de MDC")

     

    Plusieurs fois, lorsque le missile balistique anti-navire (asbm) chinois a été évoqué, j'ai émis l'hypothèse que, quelque soit les performances de celui-ci, il s'agissait avant tout d'une diversion visant à pousser les occidentaux à regarder loin en haut alors que la principale menace viendrait de frappe de saturation de MDC longue portée (ces derniers pouvant aussi, naturellement, servir contre les cibles terrestres).

     

     

    Cette idée a souvent été balayée d'un revers de main, ce qui peut se comprendre, étant donné la puissance des dogmes, d'une part, et le fait que je ne suis qu'un simple forumeur, d'autre part.

     

    C'est donc avec une certaine fierté (si je ne me lance pas des fleurs, qui le fera à ma place? :happy: ) que je vous fais suivre ce lien qui tend à confirmer mes dires (concernant la nécessité, pour la France, de baser ses icbm au sol, je vous laisse encore mariner un peu... ;) ):

     

    http://project2049.net/documents/assassin_under_radar_china_cruise_missile.pdf

     

    "what truly makes this particular Chinese cruise missile program notable is that after more than two decades

    of development and testing, the DH-10 has entered production and deployment at break-neck speeds."

    (...)

    "There is a great deal of opacity surrounding China’s DH-10"

    (...)

    "development of a wide variety of ASCM variants matching the description of the

    DH-10 for the purpose of striking U.S. carriers, some of which would be air-launched"

    (...)

    "the DH-10A program is growing rapidly in size"

    (...)

    "the sheer size of the buildup “could mean that they will be able to overwhelm

    our defenses and scale."

     

    Les chinois ont surtout les moyens de ne pas mettre tous leurs oeufs dans le même panier.

    De plus, un missile de croisière aéroporté sera plus souple d'emploi qu'un missile balistique tiré de leur côte qui de plus nécessite des moyens de désignations très lointain.

  2. Pour le MRSI, je pense que c'est sans intérêt ou presque pour le tir d'obus guidé GPS ou anti-char.

     

    En effet, il a été constaté que dans des tirs contre de l'infanterie, les premiers obus sont infiniment plus dévastateurs que les suivants. En effet, il ne faut que quelques secondes à un biffin pour se mettre à couvert ou faute de mieux pour s'allonger par terre. Cela signifie qu'après la première salve il faut quasiment faire des coup directs pour faire des pertes alors que les premiers obus bénéficient des éclats avec des trajectoires parallèles au sol qui peuvent faucher sur plus de 100 m. L'effet est un peu similaire contre des blindés, le temps que le personnel s'y abrite et referme les trappes. Avec une cadence de tir de 6 par minute, cela laisse aux cibles 10 secondes pour se mettre à couvert pour la deuxième salve. C'est pour cela que les tirs étaient souvent effectués par de grosses unités d'artillerie (au moins 6) sur de courtes salves. Plus le temps passe mieux les cibles se mettent à couvert en rampant vers de meilleurs couverts. Si les salves sont prolongés, c'est plutôt pour faire de l'interdiction en obligeant les ennemis à rester planqué à couvert.

     

    Donc avec un obus GPS qui est censé arriver sur une cible précise et localisée, pas besoin d'envoyer de nombreux obus Si il y en a plusieurs cela ne coûte rien de els espacé légèrement dans le temps.. Si c'est une cible de zone comme une unité d'infanterie, alors pas besoin d'un obus GPS sauf si c'est pour bénéficier de la portée importante. Et dans ce cas, vu la faible charge utile des obus Vulcano, je ne crois pas qu'ils soient bien adaptés pour traiter un tel cible, le nombre d'obus nécessaire devant très important et la salve donc très coûteuse.

     

    Si l'obus à un guidage autonome (BONUS en particulier), pas besoin d'arriver en même temps. Ce serait même détrimental car les  vecteurs risquent de choisir les mêmes cibles alors qu'en les espaçant dans le temps on laisse la possibilité aux algorithmes de distinguer les cibles déjà détruites des cibles restantes.

  3. Pour faire du bombardement d'eau, serait-il possible de monter une écope télescopique, un peu comme une perche de ravitaillement en vol ?

    Cela permettrait d'utiliser autre chose qu'un hydravion pour faire de l'écopage sur les lacs ou la mer et donc d'utiliser un avion moins spécialisé.

  4. Enfin, on était quand même habitués aux pilotes de 2000 qui disaient que face au F-16, si on ne l'emporte pas tout de suite, ce dernier reprend l'avantage.

     

    J'en avais conclu que la truelle électrique avait bien un soucis pour conserver ses performances. Soucis bien différent sur le Rafale.

     

    Je crois que c'est à cause de l'absence d'empennage ou de canard. Pour manoeuvrer le M2000 fait un braquage de sa voilure certes très efficace mais qui lui fait produire une traînée très importante. Il use son énergie donc beaucoup plus vite qu'un F16 

  5. Les chars tels que l'AMX 30 peuvent passer une rivière grace à un schnorchel. Cette capacité n'est elle utilisée que dans ce sens ? Ou peut on imaginer qu'un char puisse se cacher dans l'eau ou remonter une rivière pour un emploi tactique.

     

    Peut être que c'est ainsi que les serbes ont planqués leurs tanks au Kosovo à la barbe de l'aviation de l'OTAN  =D

  6. Il n'y a qu'une chose qui m'inquiette : la limitation à 500m, en espérant qu'il ne s'agisse que d'une limite au lancement. Car mine de rien, si il suffit d'aller un peu au delà pour échapper à la torpille, c'est un problème. Aller à 1000m comme la MU90 n'est pas forcément nécessaire, mais 500m, ça me parait un peu léger.

     

    Pour un sous-marin, la profondeur de tir ne dépend pas que de la torpille mais aussi du mode de lancement. Si la torpille est chassé par refoulement à l'air ou à l'eau, il peut exister une profondeur maximum de tir. Si c'est un refoulement mécanique par piston ou si la torpille sort via sa propre propulsion, il n'y a pas de limite de tir venant du sous-marin. Dans les sous-marin français, je crois que 2 des 4 tubes ont un refoulement pneumatique car les exocet (et maintenant les MdC) ne peuvent pas sortir des tubes par leurs propres moyens.

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  7. Ben manifestement le LcL JORDAN a un avis différent dans le reportage cité en page 7 de ce fil.

    je le répète les automoteurs de la classe de l'Auf1 ont déja été utilisé au combat (M109 israéliens en 1982 par exemple) sans subir des pertes spectaculaires

    certes les Auf1 sont gros et peu blindé mais il sont du punch, et cette puissance peut être très utile en tir direct.

    De plus ils n'interviendront jamais seul!,  ont peut en parallèle imaginer des solutions pour leur permettre de résister à des armes AC du type AT4 ou RPG 7, on peut peaufiner, c'est le but du CENZUB des tactiques pour couvrir les AuF1 et bénéficier de leur puissance de feu

     

    Les américains se sont servis de leurs automoteurs de 155 mm en tir direct pour attaquer les bunkers de la ligne Siegfried (et Maginot aussi) en 1944. L'équipage n'avait pas la moindre protection. Utiliser un armement en tir direct ne veut pas dire l'utiliser bourrinement comme un char lourd en première ligne ... Dans ce cas là, cela veut dire neutraliser la plupart des défenses avec d'autres armes et utiliser ces moyens lourds pour les points de résistance restants qui nécessitent justement des obus bien chargés.

  8. Pour les missions de souveraineté et de patrouille maritime, il faudrait voir si des moyens satellite pouvant couvrir en temps réel nos zones de souveraineté ne serait pas un moyen efficace permettant de maintenir l'effort malgré une diminution du nombre de patrouilleurs, d'avions et d'hélicoptères qui nous pend de toute façon au nez. Au lieu de faire justement de la patrouille et de la présence, ceux-ci pourrait directement aller inspecter les navires suspects. Il faudrait pour cela des satellites pouvant détecter les bateaux sur de larges zones à des fréquences journalière et des satellites permettant des images haute résolution pour vérifier les identités, les activités et els dégazages. On peut même se passer des deuxièmes si on utilise des drones rapides ou les avions actuels comme les falcon 50. Par contre, les navires, au lieu d'être des patrouilleurs deviendraient plutôt des intercepteurs. Ils pourraient être nettement plus petits car ils ne terseraient pas aussi longtemps à la mer mais ils devraient avoir des vitesses beaucoup plus importantes pour réaliser leur intervention.

  9.  

    Pour la route recouverte de neige je ne vois pas vraiment le problème, ou plutôt en quoi l’œil humain verrait mieux la "route" que la voiture automate. Avec les caméra thermique et les radar par exemple on arrive a voir sous la neige ou a travers la pluie pour peu que ceux ci bosse dans la bonne bande de fréquence. On peut donc dicerner du mobilier urbain ou le trottoir sous la neige si c'est pas trop profond. Si la neige est tres profonde la route est bordé par le mur de neige qui matérialise facilement la chaussée... ca plus les traces des véhicule précédents etc.

     

    Et hop tu viens de rajouter un capteur spécial neige (radar pénétrant la neige) à ajouter en redondance sur tous les véhicules. Quan,d on ajoute des mécanismes ou des capteurs spécifiques pour toutes les situations, les coûts explosent.

  10. L'insertion dans le trafic sur les voie d'accélération d'autoroute n'est probablement pas un problème du tout, les radar du vehicule automate lui permettant de calculer précisément les vitesse relatives et donc de choisir la vitesse idéal d'insertion, ce que l'humain a du mal a évaluer, d'autant qu'il doit évaluer simultanément devant et derrière.

     

    Pour la basse visibilité chez mercedes il utilise massivement des camera IR pour faire de la 3D stéreoscopique, ca marche pas mal dans les condition tres dégradé.

     

    Pour suivre la chaussée lorsque celle ci est recouverte c'est plus délicat niveau software, mais ca se faire bien pour le DARPA challenge ou les vechiules roule off road pendant presque une dizaine d'heure en suivant des pistes de sables par exemple.

     

    Avec une cartographie suffisamment précise et une solution de localisation différentiel, on peut placer un engin au centimètre prés, c'est utilisé pour les atterrissage automatisé d'avion, complétement aveugle. On peut imaginer la voiture se recaler a chaque rond point ou feu rouge, pour peut que le mobilier urbain soit correctement cartographié et géolocalisé, meme chose avec les volume des bâtiments longeant la voie. Les voiture google de streetview cartographie déjà de la sorte.

     

    Par exemple les caméras embarqués relève déjà les panneaux au bord de la route, il suffit de les rapprocher de la base géographique pour recaler l'IMU par exemple.

     

    L'insertion dans le trafic est un grave problème pour un système automatique car la législation des transports public interdit formellement à un tel système de prendre des risques de façon volontaire. Un système automatique devra donc respecter des marges des sécurité importantes sur les déceleration/accélération des voitures détectés et sur leurs positions. Un conducteur humain fait abusivement l'hypothèse dans ces cas là que la vitesse des autres voiture est constante mais un système automatique devra tenir compte par exemple d'un freinage ou d'une accélération inopinée. Dans la réalité, il arrive souvent que l'on rentre avec un véhicule quelques mètre derrière soi ou devant soi. Un véhicule automatique ne le fera pas car les marges de sécurité sont trop faibles pour avoir un taux de défaillance suffisamment faible (en tenant compte d'une panne soudaine chez soi ou chez l'autre voiture, d'un comportement aberrant de l'autre conducteur, d'une perte d'adhérence, des temps maximum d'acquisition des données, des erreurs maximum des capteurs, ...).

     

    La problématique d'un système de sécurité automatique est qu'il doit agir en permanence comme si des événements rares mais pas improbables pouvaient se produite à tout instant (du genre 10-5/h). Quand on roule manuellement, on agit généralement comme si les événements avec des probabilités inférieurs à 1% étaient quasiment impossibles.

     

    Je suis d'accorde avec Nissan sur le danger d'une dépendance extérieure à une système de localisation et une cartographie. La carto ne pouvant pas être déclaré de sécurité, il faudra tenir compte en permanence de sa fausseté possible. Idem pour les systèmes satellite qui ne sont pas garanti. Pour leur précision, il faut bien comprendre que pour des véhicules terrestres, les satellites ne sont pas toujours visibles (effets canyon, tunnels) et que les rebond nuisent à la précision. Un système différentiel nécessite des équipements terrestres coûteux et nombreux. On n'est donc pas dans el même cadre que l’aéronautique avec une vue dégagé sur les satellites et des balises différentiel limités aux aéroports.

     

    Les panneaux sont par exemple impossible et dangereux à utiliser pour se localiser car n'importe qui peut déplacer un panneau ou les modifier sans préavis. Idem pour tout ce qui peut être amené à être modifié. Je travaille entre autre sur ce genre de système alors je comprends bien  les difficultés de garantir les résultats.

     

    Il est difficile d'extrapoler l’état de l'art vers un système quand public quand la sécurité est en jeu.

  11. La voiture ne peut pas gérer de fortes pluies ou encore ne peut parfaitement conduire sur des routes enneigées par exemple. Les entrées et sorties d'autoroute sont aussi assez difficiles à gérer pour le moment. Urmson a d'ailleurs dû reprendre le contrôle du véhicule pour faire des manœuvres sur ces portions de routes.

     

    http://www.pcinpact.com/news/78625-la-voiture-sans-pilote-google-est-encore-loin-detre-parfaite.htm

     

    Une pluie importante rend probablement le LIDAR aveugle.

    La neige ne permet probablement pas au LIDAR de voir les trottoir et aux caméras de voir les lignes, donc de savoir où se trouve la route ...

    A mon avis, les entrées d'autoroute pose problème car il y a très souvent des conflits avec les voitures déjà présentes. Si on respecte strictement les distances de sécurité, on s'arrêterait très souvent dans la voie d'accélération ...

  12. Pour le moment le plus cher se sont les Lidar, et effectivement les prototypes embarquent pas loin de 100 000€ de senseur spécifique. Mais les senseurs utilisé n'ont pas été développé spécifiquement pour les voiture automates, donc leur prix n'est pas vraiment représentatif de ce que pourrait être un équipement dédié automobile de série.

     

    Une idée de prix du coté du DARPA challenge pour un usage off road, et du meme accabit que les google car autour de 100 000€ http://en.wikipedia.org/wiki/Kat-5_%28vehicle%29

     

    C'est d'autant plus vrai que les LIDAR actuels ont souvent des pièces mobiles en rotation ce qui doit pénaliser leur fiabilité à long terme.

  13. Une des difficultés est que les systèmes dit de sécurité doivent avoir des taux de défaillances très faibles sans comparaison avec les voitures actuelles. Dans le ferroviaire, il est nécessaire de prouver des taux d'accident mortel inférieur à 10-9 par heure de fonctionnement sur le système complet.

    Cela implique donc des redondances importantes des capteurs, des calculateurs, des bus de donnée, ...

    Un 2 parmi 2 au minimum est nécessaire et on utilise souvent des 2 parmi 3 afin de pouvoir continuer à fonctionner en 2 parmi 2 en cas de panne.

    A mon avis, la difficulté viendra du fait qu'il sera nécessaire d'avoir 2 système de détection indépendants eux-même redondés. Je dirais 2 caméras infra-rouge plus 2 LIDAR probablement. Des systèmes inertiels redondés (IMU) seront aussi probablement indispensables. Il faut quand même savoir que même si les prix de tels équipements diminuent beaucoup, ils sont encore coûteux. Une IMU MEMS avec des performances pas trop poucrave, c'est plutôt 3000 €.

     

    La voiture de Google fonctionne très bien mais toute les démonstrations que j'ai vu ne concerne que le cas de base, par beau temps en plein jour. Une voiture automatique devra être capable de gérer beaucoup plus que cela. Elle devra en premier lieu être capable de gérer ses propres pannes internes en les détectant et en étant robuste à la simple panne y compris les vicieuses. Ensuite, elle devra gérer en sécurité les cas de conduite pourris, le mauvais temps, les dérapages, le brouillard, la nuit, les objets sur la voie (cartons, animaux, oiseaux, ...), les nids de poule, l'absence de marquage, les situations de dangers, la crevaison d'une roue, les pannes moteurs, les ouvertures de porte, les accidents eux même ... et bien entendu les combinaisons des précédentes qui semblent réalistes. Je serais curieux de lire le dossier des "Hazard Analysis" d'un tel véhicule ! Il sera bien fournit !

  14. Ca pourrait etre valable de pouvoir embarquer qq ANL sur ATL2 pour des objectifs d'oppotunite "au cas ou" ? A priori , ce qu'on traite a l'ANL est loin d'etre le coeur de metier de l'ATL2, mais qui sait? un kiosque de sous-marin ou une vedette rapide qui passe par la...

     

    A priori, les budgets d'achat de ce missile et d'adaptation aux hélicoptères ne sont pas même prévues dans la LPM.

    Seule les frais de développement serait inclus suite aux promesses faites aux Britanniques.

    Donc vouloir le monter en plus sur les ATL2 modernisé me semble un peu présomptueux ...

  15. Au contraire, pour du monotâche et de la synchronisation, une très petite puissance de calcul est nécessaire. Vous seriez étonnés de savoir à quelle fréquence fonctionnent les calculateurs de divers éléments. Dans la fabrication d'un processeur à vocation militaire, ce n'est pas la puissance brute de calcul qui importe, mais sa performance dans le temps, dans toutes les conditions possible et imaginable d'écart de température, de choc, d'environnement électromagnétique hostile, etc.

     

    Pour synchroniser deux radars LPI, il "suffirait" et ce n'est qu'une supposition, qu'une sorte de clé de cryptage soit envoyée régulièrement entre les deux avions, afin de savoir sur quelle modulation de fréquence et de puissance va travailler le radar ami dans les secondes, minutes à venir.

     

    C'est surement possible, mais pour obtenir une information en distance correcte il faudra une précision diabolique.

    En effet, une erreur temporelle de 1 milliseconde va aboutir à 300 km d'erreur en distance ...

  16. Pour le combat urbain, un des problèmes des tanks est l'impossibilité de lever suffisamment le canon pour tirer sur les parties hautes des immeubles.

    J'avais vu que les israéliens fixaient des mitrailleuses de 12.7 mm sur le fût du canon de leur Merkavas.

    Une possibilité serait de fixer un 12.7 mm avec un angle vers le haut sur le fût.

    Ainsi le tank retrouverait une possibilité d'action vers les étages hauts en plus de la mitrailleuse du chef de char.

    ce genre de montage a-t-il déjà été essayé ?

  17. Donc furiviser les tuyeres semble etre un vrai casse -tete, de plus d'apres çe que j ai pu voir sur le fil F-35 cet avion n'est vraiment furtif que de devant.

     

    En plus de la diminution globale de la SER, la furtivité consiste souvent à rejeter les pics de SER dans des angles précis. Il y a donc très souvent un gros pic de SER aux alentour de 45° correspondant à la perpendiculaire de l'aile. le pilote sait qu'il ne faut pas mettre les menaces dans ce secteur où il est détectable. Les missions d’attaques des avions furtifs sont planifiés en tenant compte de l'angle vis-à-vis des menaces connus.

  18.  

    Le plus amusant : 

     

    " Il a semblé évident que François Hollande préviendrait lui-même Angela Merkel, juste après le coup de fil d'Obama."

     

    Personne à l'Elysée n'imagine qu'après avoir reçu une lettre de 186 parlementaires lui demandant de faire voter le Congrès Barack Obama a décidé in extremis de leur donner raison et encore moins que les principaux responsables de la Chambre des Représentants et du Sénat sont déjà au courant - plusieurs heures donc avant François Hollande..."

     

    Hollande se voyait déjà en leader militaire de l'Europe afin de prendre un ascendant psychologique sur Angela Merkel ... on croit rêver.

  19. L'armée contribuerait pour 60% des baisses d'effectifs de l'état avec 10% des effectifs en 2014. Des militaires pensent que le président n'a pas tenu sa promesse de ne pas plus affecter l'armée que la moyenne de ses services :

     

    cf le monde :

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/10/02/le-ministre-de-la-defense-annonce-de-premieres-suppressions-de-regiments_3488350_823448.html

     

    -> Il me semble que cette promesse était en baisse du budget et pas en effectif, il faut voir ce que ça donne.

     

    Mais non, la Défense n'est pas plus touché que les autres ministères, TOUS les autres ministères en fait ...

     

    Personnellement, je veux bien admettre que la situation économique soit difficile et que le besoin de faire des économies soit vitale pour le pays. Mais ce qui m'embête, c'est que dans le même temps, ils se servent des économies faites sur la défense non pas pour réduire les déficits mais pour embaucher l'équivalent en nouveaux enseignants. Il faut bien comprendre que ceux-ci font dans les 20h par semaine avec 16 semaines de congés ! Si l'enseignement devait participé aux efforts nationaux de rétablissement, il m'aurait semblé juste d'augmenter leur temps de travail de seulement 2 heures par semaine et d'ajouter des cours de soutien pendant certaines vacances pour les élèves en difficultés. Cela aurait limité les coûts tout en boostant cet investissement pour l'avenir ... Mais non, embaucher des enseignants est une bonne vieille mesure clientéliste car comme les affectations se font à l'ancienneté, sans petits nouveaux pour les affectations que personne ne veut, pas de mouvement vers de bonnes affectations ... Noter que ce n'est pas la faute des enseignants eux même, qui font le travail qu'on leur demande, dans les conditions qu'on leur donne, mais des gouvernements successifs qui adore se créer des clients dépendants de leurs décisions.

     

    5 points pour trolling -  Mat

  20. Au niveau des tuyères du T-50, quelqu'un sait-t-il comment cela doit évoluer? Si ils souhaitent garder une poussée vectorielle 3D cela risque d'etre difficile de faire un design similaire au F-22... Mais pourquoi ne font-ils pas un découpage en "dent de scie", comme sur le F-35 ? Cela devrait quand même être bénefique pour la SER...

     

    Les tuyères sont un problème surtout pour la SER en secteur arrière.

    Le portée de tir en secteur arrière étant beaucoup plus faible surtout face à un avion puissant capable de super-croisière, il est fort possible qu'ils préfèrent préserver les capacités dynamiques de l'avion plutôt qu'une diminution de SER arrière peu utile.

    Encore une question de compromis furtivité/dynamique/prix.

  21. Le programme de FTI, c'est du vent.

    Les politiques changent d'avis tous les 2 ans, alors la nature d'un programme de bateau dans 15 ans, inutile de faire la moindre réflexion à ce sujet. Les FTI sont des bateaux à vocation politique dont le seul objectif est de dire que les diminutions actuelles seront compensés dans le futur. Franchement, vu la vitesse à laquelle le nombre des équipements militaires diminue dans le temps, à commencé par les frégates de première ligne, croire que le niveau de 15 frégates annoncé en 2013  sera maintenu en 2029 est complètement utopique. D'ici là, la durée de vie théorique des navires sera par exemple poussé de 40 à 50 ans et un pipeau sur les nouveaux armements plus efficaces justifiera de nouvelles diminution à mission constante.

  22. Oui c'est prévu depuis un moment, le mica EM est en voie d'osbolescence, il est donc prévu un remplacant, a priori identique en apparence, mais avec un moteur différent et un autodirecteur radar récent, de maniere a améliorer la chance de coup au but sur les engins de demain.

     

    C'est pour la version IR qu'on se pose des questions, il sera obsolete plus tard, d'autant qu'il semble déjà avaoir eu droit a des mise a niveau discrete lors des différent lot de production. On a parlé par exemple d'un missile plus petit spécial courte portée, et donc complétement différent, mais c'est encore des supputations.

     

    Quitte à développer des têtes pour des MICA-NG, j'espère q'ils les rendront plus ou moins utilisables sur des corps de METEOR ...

    Ce serait un peu compliqué car ils se sont débrouillés pour avoir des diamètres différents et je suppose des interface mécaniques, électriques et informatiques aussi ... Cela ouvrirait la porte à une version IR du METEOR. L'idéal serait de développé une tête EM+IR ...

  23.  

    PS : question subsidiaire : pourquoi les tanks de la 4eme divison (les mieux équipés et qui sont filmés par l'ANNA) sont obligés de mettre des briques et n'ont pas de quoi remplacés les blocs anti-rpgs ? Les russes ne les fournissent pas ?

     

    Bonne question. Mais d'un autre côté, tous les T72 syriens ne sont pas du modèle avec les systèmes actifs anti-rpg. Peut être ont-il récupérer un autre modèle suite aux pertes et ils l'ont upgrader vis-à-vis de ses lacunes par rapport aux autres modèles. Je n'ai pas fait d'analyse précise des photos mais il est possible que ce soit toujours le même tank avec un blindage improvisé que l'on voit.

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