bubzy
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Il y a 22 heures, g4lly a dit :
A partir du moment ou il a le monopole d'émission de monnaie secondaire en monnaie nationale forcement.
D'ailleurs le prêt est reconnu comme un moyen de corruption en finance islamique, c'est pas juste un hasard.
C'était aussi le cas pour les catholiques et c'est la raison pour laquelle il y a avait autant de banquiers juifs.
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il y a 8 minutes, ARPA a dit :
La France a payé 50 part du développement et de l'industrialisation (et des surcoûts...) de l'A400M donc moins de 2 fois plus que l'Espagne et moins que l'Allemagne alors qu'elle va en profiter beaucoup plus... Dit autrement, l'Allemagne et l'Espagne ont investi dans l'A400M à la place de la France.
Au contraire. Quand la France achète plus d'avions que prévu, ça augmente le workshare industriel des autres pays. C'est un peu comme s'il avaient gagné un nouveau client.
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
Il y a 1 heure, Cazadores de montaña a dit :Je ne sais pas si le traducteur exprime bien ce que j'ai dit, avec tout le respect que je vous dois.
visiblement oui.
Il y a 1 heure, Cazadores de montaña a dit :Comme vous le savez, le programme A-400M était et reste un programme économiquement complexe.
Le retrait de l'Italie (32 unités), le choix entre P&W et Europrop, et d'autres retards, ont fait que le programme a reçu des injections de capital à plusieurs reprises, avec pour conséquence une augmentation du prix unitaire de l'avion.
Je crois me souvenir (j'ai essayé de vérifier) que lors du dernier "sauvetage" et en compensation des pays, certaines clauses ont été établies, qui ont permis de réduire les commandes de 10 unités, mais je n'en suis pas tout à fait sûr.
Il faut faire la différence entre réduire la commande et construire ce qui a été convenu. Ce n'est pas la même chose, n'est-ce pas ?
Pour l'instant, les informations dont je dispose indiquent que nous construirons et achèterons les 27 unités, dont l'armée de l'air n'en veut que 17.Quand on se met d'accord autour d'un partage industriel en fonction du volume commandé, on doit le respecer. Les avions que l'Espagne achète ne devraient pas se retrouver sur le marché.
Pourquoi ? Parce qu'imagine que demain on lance un nouveau programme d'avion de combat entre l'Allemagne, la France et l'Espagne. C'est pas réaliste mais c'est juste pour les chiffres. Imagine que chaque pays décide d'acheter 200 avions chacun. Par conséquent, le partage industriel est de 33% pour chaque pays.
imagine que le programme coûte au global 100 milliards, développement et production. Chaque pays récupère donc pour 30 milliard de partage de travail.
Imaginons maintenant qu'il y a un marché export pour 300 avions vendus chacun 200 millions d'euros. ça fait 60 milliards à se partage en trois parts égales, soit 20 milliards d'Euro pour chaque pays.
Maintenant, l'Ejertico del Aire décide qu'il ne veulent plus que 100 avions sur les 200 qu'ils ont achetés.
Le marché export passe de 300 à 200 avions. Cela fait un total de la somme de 66 avions vendu pour chaque pays au lieu de 100. Pour la France et l'Allemagne, au lieu de récupérer 20 milliards d'euros, ils ne vont récupérer que 13.3 milliards.
Mais l'Espagne, au lieu de récupérer les 20 milliards initialement prévu en vendant l'équivalent de 100 avions, en aura vendu 166 pour un total de 33,3 milliards d'euros.
Donc l'Allemagne et la France perdent chacun 6.7 milliards, alors que l'Espagne gagne 13.4 milliards.
J'adore sortir avec les Espagnols, ils se prennent pas la tête quand ils se partagent la facture du resto à la fin. Ils mettent tous au pot, et avec ce qu'il reste, on part boire un verre. Mais si pendant le repas mes amis espagnols me mangent la moitié de ce qu'il y a dans mon assiette, je vais être moins content.
Maintenant, imagine que sur 3 pays, l'Allemagne ET l'Espagne font pareil... Ce sont alors les français qui paient directement les Allemands et les Espagnols ?
Je pense qu'il faudrait arrêter de se payer la tête du monde.
Il y a 1 heure, Cazadores de montaña a dit :Que ferons-nous du reste ? Que feriez-vous ?
Ce que je ferais à votre place ? Arrêter de collaborer avec des pays peu fiables sur leurs engagements.
Il y a 1 heure, Cazadores de montaña a dit :Je serais bon pour le programme, je les garderais dans un garage et je ne les vendrais pas jusqu'à ce qu'un autre pays du consortium décide d'en vendre d'occasion.
Si tout le monde s'entends pour les ventes d'occasion, pourquoi pas. Mais si tous les pays n'en revendent pas, que le produit de ces ventes soient redistribués de façon équitable à ceux qui ont respecté leur engagements.
Il y a 1 heure, Cazadores de montaña a dit :Quelle serait la bonne date pour revendre un A-400M d'occasion ?
La France n'a pas encore garanti l'achat des 50 exemplaires, si je ne me trompe pas.
Les commandes en France se passent par lot, de façon ferme. Il y a la cible finale et les commandes sont passées une fois que les budgets sont validés. Mais tu as raison, on ne va pas en acheter 50... mais plus ! https://www.nae.fr/defense-paris-reflechit-a-augmenter-sa-cible-dairbus-a400m-atlas/
Parce que quand on est con, on est con !
Il y a 1 heure, Cazadores de montaña a dit :Je pense qu'il faudrait tous les acheter pour ne pas nuire au prix moyen de l'avion (comme nous), et ensuite en faire ce que l'on veut (revente ou pièces détachées) puisqu'ils seront notre propriété (tant que toutes les échéances sont payées).
Je pense que le prix payé pour ces avions serait plus que justifié.Ce qui serait justifié c'est qu'une partie du prix de vente des A400M Espagnols et Allemands vendus d'occasion soient reveersés aux français.
Parce que si nous on en achète ne serait-ce que 10 de plus, ça en fera 10 de plus qui vont passer par Séville à payer des ouvriers espagnols.Quand on coopère, on se mets d'accord sur des règles et on les respecte. Vous avez avec l'Eurofighter les problèmes d'une coopération compliquée, et on a la même avec l'A400M.
La France devrait commencer à regarder ce qu'il se passe autour et à sérieusement réfléchir avec qui et comment nous nous engageons.
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Il y a 1 heure, prof.566 a dit :
Donc tu es asservi par ton banquier? Bon je préfère m'arrêter là.
Je pense, effectivement.
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Il y a 2 heures, prof.566 a dit :
Non. La BCEAO n'est pas située à Paris mais à Dakar que je sache
Et ? la parité avec l'Euro est imposé et contrôlé par la BCE. ça apporte une certaine forme de stabilité, mais au coût d'une politique monnétaire qui n'est pas adapté au contexte Africain. Surtout, la banque de France continue de superviser les réserves. Alors tu peux situer le siègre de la BCEAO où tu veux, si la France garde la main sur la politique monnétaire de ces pays, ça change pas grand chose.
Bon. J'ai recherché d'autres renseignement, et visiblement ça a pas mal changé depuis 2019. Ce qui veut dire que jusqu'en 2019, tout ce qui a été retiré à la France et remis aux états africains ci-dessous, était encore valable ! Si là on peut pas parler d'ingérance, de paternalisme et de néocolonialisme, je sais pas ce qu'il vous faut...
CitationPourquoi réformer la coopération monétaire en UEMOA ?
La coopération monétaire entre la France et l’UEMOA s’exerçait dans le cadre d’un accord datant de 1973.
A la demande des partenaires africains, il est apparu que moderniser cette coopération était nécessaire. La nécessité de cette réforme a été mentionnée par le président de la République dans son entretien avec le magazine Jeune Afrique en novembre 2020. Elle s’inscrit dans le prolongement de son discours à l’Université de Ouagadougou en novembre 2017 et a été rappelée lors du Nouveau Sommet Afrique-France en octobre 2021.
Les discussions entre les parties prenantes initiées depuis plusieurs années ont abouti à la signature, le 21 décembre 2019, en marge d’une visite présidentielle en Côte d’Ivoire, d’un nouvel accord de coopération monétaire entre la France et l’UEMOA. La réforme repose sur les 4 axes suivants :
le changement de nom de la devise : les autorités de l’UEMOA ont indiqué leur souhait de passer du « franc CFA » (XOF) à l’« ECO ». Le choix du nom de la devise est du seul ressort de nos partenaires de l’UEMOA ;
la suppression de l’obligation de centralisation des réserves de change sur le compte d’opérations au Trésor français ;
le retrait de la France des instances de gouvernance de la Zone, et la mise en place concomitante de mécanismes ad hoc de dialogue et de suivi des risques (notamment reporting).
Le régime de change reste toutefois inchangé, avec le maintien de la parité fixe entre l’euro et la devise de l’Union, ainsi que le maintien de la garantie de convertibilité assurée par la France.
L’accord du 21 décembre 2019 est complété par une convention de garantie, texte d’application de l’accord signé avec la BCEAO.
Il y a 2 heures, prof.566 a dit :Quel rapport? Aucun.
Bien sûr que si ça a un rapport.
La question de départ, c'est : est-ce que les ex colonies de la France sont souverains vis à vis de la France ? Par rapport à la définition que je t'ai donné, on peut affirmer qu'un lien de subordination empêche cette souveraineté.
Dans ton travail, tu es subordonné à ton employeur. La liberté qui est la tienne de quitter ton emploi (en // à la liberté d'un pays de quitter le franc CFA) ne dit rien de ton lien de subordination tant que tu reste employé. Pour les utilisateurs du Franc CFA, c'est pareil. Ils sont libres de partir, mais tant qu'ils ne le font pas, ils ne sont pas souverains.
Il y a 2 heures, prof.566 a dit :Annulée sous Chirac.
La dette étatique peut être, les dettes privées détenus par des intérêts privés français, pas entièrement. Et Chirac est arrivé BIIIEEEEEN longtemps après la présuposée décolonisation. Si tu reconnais que la dette est un instrument d'asservissement, alors oui on peut parler de néo colonisation.
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il y a 21 minutes, Wallaby a dit :
La France a toujours respecté la souveraineté des États décolonisés devenus indépendants. L'idée contraire est un mythe agité par les francophobes
C'est une façon de voir les chose, une opinion que je ne partage pas.
C'est du cherry picking.
Les francais sont partis du Niger, puis y sont retournés. Vous voulez qu'ils fassent quoi et comment ?
On nous demande partir évidemment qu'on part.
Maintenant ça ne veut pas dire qu'ils n'y a pas d'autres plan pour faire en sorte que les intérêts soient préservés.
C'est moins vrai aujourd'hui parce qu'on a beaucoup perdu face aux Russes et aux chinois. Mais il y a encore des connexions et il ne faut pas juger toute une relation sur le coup d'un seul événement qui effacerai tout le reste.
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il y a 32 minutes, Wallaby a dit :
Sauf que la question ne se pose pas, parce que le franc CFA est un bon outil pour les pays qui l'utilisent, comme l'explique Lionel Zinsou
Évidemment que c'est un bon outil qui a son utilité, sinon comment le faire adopter autrement ?
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Il y a 17 heures, prof.566 a dit :
Tiens voilà, commençons par ca. Je n'avais nulle envie de rentrer dans ce débat pour des raisons personnelles, mais j'en ai marre du larmoyant "néocolonialistes". Merde. Ca fait 60 ans que ces pays sont indépendants, on ne leur à RIEN imposé. Personne n'était OBLIGE de rester dans le franc CFA par exemple.
Bon aller c'est parti.
D'abord définissons la souveraineté. C'est un sujet vaste et une notion qui peut être valise, dans le sens où on peut mettre beaucoup de choses dedans, suivant le niveau de détail dans lequel on veut bien se noyer.
Quelques définitions glanées ça et là :
CitationPouvoir suprême reconnu à l'État de faire ses lois et de les mettre en pratique. La souveraineté d'un État implique l'exclusivité de ses compétences législatives, exécutives et judiciaires. Concept qui signifie aussi État indépendant.
ou
RévélationCaractère d'un État qui n'est soumis à aucun autre État.
ou
RévélationLa souveraineté (dérivé de « souverain », du latin médiéval superus, de super, « dessus », fin xiie siècle1) désigne l'exercice du pouvoir sur une zone géographique et sur la population qui l'occupe.
je vais rapprocher ça avec une autre notion qui nous est chère en droit internationale et qui lui est directement liée : le droit des peuples à disposer d'eux-même
CitationLe droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, ou droit à l'autodétermination, est le principe issu du droit international selon lequel chaque peuple dispose ou devrait disposer du choix libre et souverain de déterminer la forme de son régime politique, indépendamment de toute influence étrangère.
Il y a plusieurs façon de démontrer qu'on* a utilisé énormément de levier différents, sur plusieurs pays et à différents moments de l'histoire, APRES la décolonisation, afin de priver ces pays de leur autodétermination et donc de les priver de leur souveraineté.
J'EXCLUE de cette liste toute action d'influence "douce" ou de lobbying qui est normale. On veut toujours faire valoir ses intérêts à l'international, et la limite entre la discussion, la suggestion et le forçage par un moyen ou par un autre est parfois ténu, alors je vais me concentrer sur les éléments les plus forts qui ne pourraient être remis en question.
On va commencer par la monnaie puisque c'est quand même un indicateur fort. La possibilité d'imprimer sa propre monnaie est un élément essentiel de tout pouvoir. On le voit en France, en étant passé du Franc à l'Euro, il y a une politique qui DICTE la conduite de la France sur certains sujets essentiels.
Le Franc CFA, initialement veut quand même dire "Colonies françaises d'Afrique" On lui a fait changer de nom plus tard, mais pour une monnaie utilisée par des pays africains, les organes de décisions principaux sont situés à Paris. Je ne remet pas en cause le contexte dans lequel le Franc CFA a été créé (autre temps, autre contexte, notamment avec la compétition avec d'autres pays à l'économie impérialiste comme les USA avec le dollars). Mais force est de constater qu'il n'a pas disparu avec la présupposée fin de la colonisation.
Tu dis que les pays ont tout à fait la possibilité de se retirer du Franc CFA. C'est vrai. Mais est-ce que la liberté d'utiliser ou non un outil défini ton niveau de liberté vis à vis de celui qui détient l'outil ? L'argument n'est pas valable et je te donne un exemple tout simple : Est-ce que le fait que tu sois libre de démissionner à n'importe quel moment de ton emploi retire le lien de subordination avec ton employeur ?
La réponse est simple: non. Alors tu pourrais dire que tu te soumets volontairement. Mais c'est plus compliqué que ça, surtout pour ceux qui ont des situations compliquées et socialement ça se voit tous les jours. Si tu perds un bon job, les nouvelles règles du chômage feront qu'en assez peu de temps tu te retrouveras à faire un travail alimentaire et tu subira de force un déclassement social à cause des règles édictées par cette société. On pourra toujours te dire que tu es libre est souverain, ça ne sera jamais entièrement vrai. Il y a des limites d'actions à ta propre liberté qui ne dépendent pas de l'individu. Et c'est tout aussi vrai pour des peuples et leurs gouvernants.
En plus du Franc CFA, il y a la dette. Ceux qui détiennent la dette ont aussi un grand pouvoir d'asservissement d'une politique d'un pays. Pour faire un // avec la France, la politique interne et sociale ne serait plus du tout la même avec 0 € de dette et 3 milliards de dette. Mais qui décide de la dette ? Au niveau des banques centrales qui ne peuvent techniquement pas faire faillite, les dettes peuvent tout à fait s'annuler (on va éviter de tirer le débat jusque là car ça vaut un sujet à lui tout seul)
Jusque dans les années 80, les dettes des pays africains étaient majoritairement détenus par les états. Depuis, se sont des intérêts privés, et la Chine est rentré en jeu dans les années 2000.
On va prendre un exemple simple, le Mali. Le pays est endetté, et lorsque la junte arrive au pouvoir en 2021, dés 2022 des sanctions financières sont édictées et mettent le pays sous pression. Je ne donne aucun jugement de valeur sur la légitimité du coup d'état. Mais force est de constater que le pays arrive très rapidement en défaut de paiement de ses titres à échéance et n'arrive pas à se re-financer. ça a un impact très important sur l'économie du pays. Des projets sont annulés, des salaires ne sont pas versés, ça accentue la corruption systémique, ça déstabilise le pays jusqu'à sa propre sécurité.
Légitime ou pas, l'état est privé de son moyen d'action principal. Il est soumis à des pressions externes qui lui retirent sa propre souveraineté. C'est un exemple parmi tant d'autre de la façon dont la dette et quelques leviers de pressions économiques peuvent fortement jouer sur la souveraineté d'un état.
Les gouvernements maintenant.
La France a soutenu, y compris militairement, des dictateurs en Afrique pendant des décennies. On parle bien de dictateurs. C'est à dire de pouvoir non représentatifs des peuples qu'ils gouvernent. Les intérêts privés français, notamment ceux de Bolloré, apportent des moyens financiers considérables et hors de porté de tout autre prétendant notamment dans la campagne de réélection du président Guinéen.
C'est là que je vais prendre une tengeante. On ne parle de néocolonialisme de la France envers l'Afrique, mais d'intérêts privés d'origine Française. Après tout, ce que Bolloré fait en Afrique aux yeux de tous, c'est aussi ce qu'il se passe en France. Nous avons, nous-même, perdu notre droit à l'autodétermination quand seulement quelques milliardaires peuvent décider de ce qui se passe dans le pays. Orienter les débats, choisir les sujets de campagnes, légitimer ou non des candidats, et ça avec la toute puissance permis par le fait de détenir les médias.
C'est donc plus complexe que de dire "La France" fait du néocolonialisme en Afrique. Mais ces intérêts privés qui ont du pouvoir ici et là bas, se servent de leurs connexions internes au sein du pouvoir Français pour influencer la politique et la stratégie de la France en Afrique.
C'est pour ça que quand tu parles de balance de coût/bénéfice, il faut prendre beaucoup de paramètres en compte. Quel est le montant des intérêts générés chaque années par la dette d'un état africain ? Quel est le montant des richesses générés par des entreprises privées françaises (quand on regarde le groupe Bolloré c'est assez évident) en Afrique de l'Ouest ?
On a quand même un président de la République élu deux fois qui a reconnu qu'on a pillé l'Afrique de ses richesses pendant des siècles. Et il n'a pas indiqué que ça c'est arrêté avec la décolonisation.
Or, c'est quand même compliqué de pouvoir piller des pays qui disposent d'une souveraineté propre.
On peut maintenant aller un peu plus loin et regarder de pus près notre gestions de différentes crises internes dans lesquelles la France est intervenue militairement directement ou indirectement et nous poser la question de savoir si nous les avons aider conformément à leur droit de disposer d'eux-même, ou si nous les avons enfermé dans un schéma dans lequel nous les avons dépossédé de leurs propres moyens d'actions pour ensuite imposer notre point de vue. Tchad, Côte d'ivoire, etc.
En résumé. Après la fin de la colonisation dans laquelle la France n'était plus officiellement en charge de l'administration directe de ses anciennes colonies, nous avons mis en place différents moyens pour continuer à pouvoir leur imposer notre volonté : Dette, monnaie, présence militaire, soutien à des partis conformes aux intérêts français.
C'est beaucoup trop long, et je m'arrête là pour le moment.
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Il y a 5 heures, Ciders a dit :
Et plus sérieusement, les pilotes de cargos en Russie c'est de l'ordre de 170 heures de vol par an, 200 pour ceux engagés en OPEX.
C'est vraiment très peu. C'est pas comparable aux pilotes de combat qui font des entrainement moyen de 1H30 à 2h pour qui 180 heures représentent 90 décollages et atterrissages, alors que pour les avions de transport, une grande partie de l'heure de vol, il ne se passe pas grand chose...
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Eurofighter
dans Europe
il y a 35 minutes, Titus K a dit :Vous soulignez régulièrement en critiquant le F35, que le simulateur ne suffit pas et que rien ne remplace l'experience du terrain. Opinion que je partage complètement.
Quand tu dis "vous" tu parles de "nous" ? Ou de moi ? Parce que si c'est de moi, tu vas arrêter tout de suite ! y'a des gens bien plus âgés que moi ici non mais oh !.
il y a 36 minutes, Titus K a dit :Là vous avez des F35 et Eurofighter qui sortent de leur zone de confort, font un déploiement dans des condition non standard et c'est inutile ? Oui ca manque de cohérence.
Je ne nie pas qu'il faut de l'expérience de terrain, mais ici c'est une opération de communication rien de plus. Qui surtout n'a rien d'exceptionnel. Le timing surtout est particulier.
Le F-35 a fait une opération le 22 septembre. Bon. ça peut se comprendre, opération séduction en attendant que la Finlande reçoive ces avions en particulier, puisqu'elle va les opérer, en plus avec des avions norvégiens, qui vont peut être avoir le même modus operandi. ça peut se comprendre. Mais le Typhoon ?
C'est la RAF qui a communiqué, les images sont belles, ils faisaient parti du même exercice.
En cherchant un peu plus loin, c'était un exercice spécifique justement pour les opérations à partir de routes. avec la Norvège et la RAF. Pourquoi la RAF ? Au fond c'est la question, à laquelle j'ai ajouté un brin de mauvaise foi, parceque... Ben ce sont des Anglais... Et avec des Typhoon... Double raison.
J'ai beau être écolo, avoir une très mauvaise appréciation générale de la malbouffe et un urgent besoin de faire gaffe avec la bouffe, ne t'avise pas de passer devant moi avec une tartine au Nutella.
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Eurofighter
dans Europe
Il y a 1 heure, Titus K a dit :Tu préférerais qu'ils fassent du simulateur à la place ? Sans méchanceté, il va falloir trouver un peu de coherence dans le discours...
Et oui évidement c'est en partie un exercice de com', mais on pourrait dire la meme chose de beaucoup d'exercises de différentes armées.
C'était une vraie question. Jouer des coudes pour montrer qu'on est capable de faire ce que n'importe quel autre avion fait (parce que c'est un peu l'objet de la communication), et juste l'un derrière l'autre, c'est juste ridicule.
Donc je cherche l'intérêt réel derrière tout cela.
Faire un déploiement à l'autre bout de la terre, faire une mission de 7h, faire des réelles missions de guerre dans un environnement disputé, ce sont des points à avancer.
Je ne vois pas où est le manque de cohérence dans mon propos.
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[Rafale Marine]
dans Europe
Il y a 22 heures, ARMEN56 a dit :Sur les rafales ou autres ; j’ose une question , peut-on diminuer l’impact IR ?
oui, suffit de couper les moteurs ;)
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il y a 9 minutes, prof.566 a dit :
Commence par regarder les rapports cout/bénéfice des colonisations et" néo"colonisations. Tu seras sûrement très étonné (Attention, je ne justifie PAS la colonisation qui est un acte condamnable).
Ah mais ne me dis pas où regarder, laisse moi t'apporter quelques faits concrets et peut être tu seras surpris.
Mais sinon, le rapport coût sur bénéfice de qui et selon quels indicateurs ?
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il y a 3 minutes, prof.566 a dit :
Tiens voilà, commençons par ca. Je n'avais nulle envie de rentrer dans ce débat pour des raisons personnelles, mais j'en ai marre du larmoyant "néocolonialistes". Merde. Ca fait 60 ans que ces pays sont indépendants, on ne leur à RIEN imposé. Personne n'était OBLIGE de rester dans le franc CFA par exemple.
Ah ben bravo.. le plus compliqué. je vais avoir besoin de temps, je te répondrai certainement dans la soirée.
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il y a 27 minutes, prof.566 a dit :
Oui je le remets en cause, pour l'avoir vécu (cette période là en Afrique). Là ce que tu nous sors c'est du prédigéré "Jeune Afrique". Et non, quand tu sors des affirmations, étaye les, j'argumenterai et donnerai des contre exemples après.
Je ne sais pas ce qu'est le "jeune afrique". J'ai des amis qui sont né en Afrique (français comme africains) qui sont en partie à l'origine de la vision que j'ai des évènements qui nous sont reportés.
Avançons avec méthode. Par quel argument tu veux commencer ? J'en ai cité plusieurs.
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il y a 2 minutes, Fusilier a dit :
Dans les tranchées de la Grande Guerre, une fois l'organisation en place, pas au début... Ca tournait 5 / 6 jours en 1e ligne , 6 jours en 2e, 6 jours en troisième et rebelote, au bout d'un certain nombre de rotations repos, Les permissions, ça dépendait... Pour ce que l'on en sait les Ukr ont des permissions périodiques, 3 mois, 6 mois... et font tourner les unités en première ligne. je doute qu'il y ait des rotations type 14 /18, encore moins au début où ils manquaient de personnel. Au début de la contre-offensive, ils conduisaient des opérations de nuit, après s'être fait taper les blindés; un reportage télé Fr; montrait des personnels au repos à "l'arrière" après une action de nuit. Mais ça, au début où il fallait trouver et créer des voies au travers les champs de mines. Je doute que ce soit le cas actuellement dans les combats de tranchées. un fois conquises, il faut s'organiser en défense etc.. en tout cas si rotation il y a, c'est plutôt en jours / semaines qu'il faut compter.
Pour les russes, franchement je ne sais pas. Je doute que les unités de moviks, les Storms et autres bagnards aient beaucoup de loisirs ou des repos. Les unités d'élite, genre VDV, sont peut-être mieux traitées, elles sont rares et il faut les préserver. Mais, j'ai quand même un gros doute, elles sont engagées systématiquement, dans les endroits les plus chauds et ce depuis février de l'année dernière.
qu'entends tu par seconde et troisième ligne ?
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Eurofighter
dans Europe
Il y a 4 heures, PolluxDeltaSeven a dit :Mouais, ça reste quand même des pistes étroites, avec des arbres de chaque côté, sans toutes les servitudes, aides à l'atterrissage et repères visuels habituels... Ce n'est pas un exploit pour la mécanique du Typhoon (ou de n'importe quel appareil), mais ça montre quand même une bonne maîtrise de la part des pilotes.
Avec le Typhoon ça démontre quand même l'extrême confiance des opérationnels envers leur avion. Car déjà que sur un aéroport "classique" la probabilité qu'un avion ne reparte pas est loin d'être nulle, sur une autoroute loin de tout support...
Ou alors les opérationnels de la RAF ils ont des brouettes pour trainer leurs parties génitales.
Mais dites moi, ils ont quoi là à s'extasier sur les autoroutes en Finlandes les F35 et les Typhoon ? Ils ont un truc à prouver ?
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- C’est un message populaire.
il y a 45 minutes, Picdelamirand-oil a dit :Countries keep buying the F-35. Can Lockheed keep up with production demands?
Les pays continuent d'acheter le F-35. Lockheed peut-il répondre à la demande de production ?
La forte demande pour le Joint Strike Fighter signifie qu'une pénurie de production se profile à l'horizon, explique un général de l'armée de l'air américaine à Breaking Defense. Mais l'augmentation de la production pourrait s'avérer risquée pour l'industrie.WASHINGTON - Le F-35 Joint Strike Fighter de Lockheed Martin s'est avéré extrêmement populaire dans le monde entier, de nouvelles nations s'engageant chaque année et les membres plus anciens augmentant leurs achats. C'est un bon problème, mais qui a aussi des conséquences, non seulement pour le géant de la défense, mais aussi pour son plus gros client, l'armée de l'air américaine.
Les commandes de l'avion dépassent désormais la capacité de production de Lockheed, a déclaré un général de l'US Air Force à Breaking Defense, et bien que l'armée souhaite augmenter son taux d'achat de l'avion de combat de cinquième génération, une ligne de production saturée, combinée à des contraintes budgétaires, signifie que cela ne sera pas "possible à très court terme".
En fait, le lieutenant-général Richard Moore, chef d'état-major adjoint de l'armée de l'air pour les plans et les programmes, a déclaré : "Je pense que Lockheed devra [augmenter la production] pour répondre à la demande internationale. Ils ont déjà des commandes qui dépassent ce qu'ils produisent aujourd'hui".
M. Moore a précisé qu'il n'ordonnait pas à Lockheed d'investir dans une nouvelle production. Au contraire, il a déclaré qu'il se contentait d'énoncer les faits tels qu'il les voyait. C'est une réalité qui, selon les analystes, bouillonne sous la surface depuis un certain temps, mais qui apparaît aujourd'hui au grand jour : Il y a tout simplement trop de jets en commande pour que tout le monde obtienne ce qu'il veut, du moins en temps voulu, si l'objectif de Lockheed de 156 nouvelles constructions par an à partir de 2025 n'est pas revu à la hausse.
Selon JJ Gertler, analyste principal du Teal Group, plus de 2 500 avions à réaction sont actuellement commandés pour une durée de production restante prévue de 14 ans. Cela correspond à un rythme d'environ 180 avions par an si le calendrier actuel est respecté - un rythme que Lockheed visait apparemment avant l'arrivée de la pandémie, mais qui représente 24 avions de plus que l'objectif actuel de 156 avions par an.
Ce chiffre de 156 devrait être maintenu au moins jusqu'au lot de production 24, selon un rapport d'Aviation Week. Le fait que de nouveaux clients puissent toujours signer (ou que les clients existants puissent augmenter leurs commandes) et augmenter encore le carnet de commandes ajoute un stress potentiel à la crise de la production.
Interrogé sur la production du F-35 au printemps, le responsable des acquisitions de l'armée de l'air, Andrew Hunter, a déclaré aux législateurs que Lockheed "serait très contraint de produire à un rythme supérieur à [156 par an]" et que si le programme voulait augmenter la production, "nous devrions probablement augmenter l'outillage, et l'une des limites importantes est la pièce centrale du corps".
En fin de compte, le point de vue de M. Moore reste valable : pour que le programme F-35 respecte le programme de référence existant, la production devra augmenter ou des sacrifices devront être faits.
"La question qui se pose est la suivante : les États-Unis laissent-ils les autres pays faire la queue en premier, économisent-ils de l'argent sur les marchés publics et obtiennent-ils leurs avions plus tard ? Ou insistent-ils pour obtenir leurs avions à temps, ce qui fait attendre les autres pays ? Ou y a-t-il une augmentation significative de la capacité de production ? a déclaré M. Gertler à Breaking Defense. "L'une de ces trois choses doit être vraie, voire plus.
Le risque d'une augmentation de la production
Selon Richard Aboulafia, directeur général d'Aerodynamic Advisory, la demande internationale pour le F-35, au moins pour une dizaine d'années, semble certainement forte.
"Le Moyen-Orient n'a pas encore fait l'objet d'une demande suffisante. L'Europe de l'Est n'en est qu'à ses débuts... La Grèce a encore un long chemin à parcourir. De nombreux clients asiatiques, comme Singapour, commencent à peine à passer commande. Je pense donc que la fin des années 2020 et le début des années 2030 seront fantastiques", a déclaré M. Aboulafia.
Mais l'augmentation de la capacité de production n'est pas une décision facile à prendre, et pour qu'elle soit possible, tous les fournisseurs de Lockheed doivent être impliqués. Il ne s'agit pas seulement de grands fournisseurs comme le motoriste Pratt & Whitney ou le fabricant de fuselage central Northrop Grumman, mais aussi de centaines de petits fournisseurs qui livrent des pièces jusqu'au moindre détail de l'avion de combat", a déclaré M. Aboulafia.
Un partenariat avec Rheinmetall pour la production du fuselage central pourrait aider à augmenter la capacité de Lockheed à 165 constructions par an, a précédemment rapporté Defense One. M. Gertler a toutefois qualifié cette augmentation de "bizarre, très faible", compte tenu des obstacles liés à la qualification d'une autre source, ce qui reste en deçà de l'objectif de 180 F-35 par an que M. Gertler a défini.
"Nous continuons à évaluer les options permettant d'augmenter la capacité de production annuelle de F-35 au-delà de 156 afin de répondre à la demande internationale croissante et de garantir que les services américains disposent des jets dont ils ont besoin aujourd'hui et à l'avenir", a déclaré Lockheed Martin à Breaking Defense dans un communiqué. "Nous travaillons activement avec nos fournisseurs pour augmenter ce taux et nous continuons à travailler en partenariat avec le JPO pour aligner les investissements sur les besoins futurs en matière de production et de maintien en service.
Selon M. Aboulafia, l'augmentation de la production pourrait s'avérer judicieuse d'un point de vue économique, mais elle n'irait pas sans inconvénients. Une augmentation significative de la capacité de production prendrait plusieurs années, a-t-il déclaré, ce qui permettrait d'obtenir des retombées positives dans cinq ou six ans, même si toutes les personnes concernées ne sont pas forcément d'accord avec cette période de retour sur investissement.
Russ Goemaere, porte-parole du Joint Program Office (JPO) du F-35, a déclaré à Breaking Defense que le JPO et ses partenaires industriels "évaluent constamment les prévisions d'avions actuelles et projetées par les services américains, les partenaires internationaux et les clients FMS afin de comprendre et de maintenir le taux de production correct et le plus efficace en régime permanent.
"En outre, il est important que toute augmentation de la production comprenne et réponde à une augmentation correspondante des besoins en matière de soutien afin de garantir la disponibilité de la flotte à l'avenir", a ajouté M. Goemaere. Un rapport récent d'un organisme de surveillance a révélé que seulement 55 % de la flotte américaine de F-35 est apte à remplir ses missions, un chiffre attribué à des facteurs tels qu'une capacité de stockage insuffisante.
Outre l'effondrement d'un programme d'avions de combat de nouvelle génération ou l'apparition d'une nouvelle surabondance de la demande internationale, les gouvernements pourraient être en mesure de réduire les risques liés à l'augmentation de la capacité en utilisant différentes mesures incitatives telles qu'un contrat de production pluriannuel, a déclaré M. Aboulafia - ce qu'un cadre de Lockheed a précédemment déclaré à Breaking Defense comme pouvant être possible dans le cadre d'un futur accord Lot 20.
Tout bien considéré, cependant, M. Aboulafia a déclaré qu'il ne parierait pas sur une augmentation de la production du programme, en particulier compte tenu de sa complexité et de sa structure internationale.
"On en revient à ma blague préférée dans le métier : combien de pièces faut-il pour fabriquer un avion ? a demandé M. Aboulafia. "Et la réponse est toutes. Il faut que tout le monde soit à bord. C'est difficile.
D'autres priorités, telles que les futurs chasseurs de sixième génération nationaux et internationaux, dont le coût sera prohibitif, du moins selon les normes américaines, menacent également d'empiéter sur les achats de F-35 des pays. Ces avions devraient entrer en service dans les années 2030, une autre raison pour laquelle certains partenaires industriels pourraient voir un risque dans l'augmentation de la production, a déclaré M. Aboulafia.
Sans augmentation de la production, les décideurs en matière de F-35 seront confrontés au choix difficile décrit par M. Gertler : retarder la livraison d'avions à des clients étrangers et donner la priorité au ministère de la défense, ou donner la priorité au ministère de la défense pour livrer des avions à des clients étrangers. Et plus les clients sont confrontés à des retards, plus ils risquent de décider de réduire leur achat de F-35 au profit d'autre chose - un risque particulier en Europe, où deux chasseurs de sixième génération concurrents se profilent à l'horizon des années 2030.
Autres besoins en matière d'avions à réaction
Les questions relatives à la production du F-35 s'inscrivent dans le cadre d'un défi plus vaste auquel est confrontée l'armée de l'air américaine, avide d'avions de combat plus récents pour remplacer ses anciens appareils. Dans le budget de l'exercice 2024, le service a finalement atteint un objectif de 72 nouveaux achats annuels d'avions de combat, bien que M. Moore ait déjà mis en garde contre le fait que ce chiffre repose sur deux lignes de production d'avions de combat actives, l'autre étant le F-15EX de Boeing.
Moore a déclaré que "sous la pression fiscale" des années passées, le service a réduit l'achat prévu pour le F-15EX - tronquant un programme original de 144 à 80 - et "au cours des deux derniers cycles, comme la ligne supérieure de la défense a augmenté, nous avons été en mesure d'ajouter une partie de cela de nouveau". Dans le cadre du budget de l'exercice 24, le service a annoncé qu'il prolongerait la production pour une flotte finale de 104 F-15EX.
Pour ce qui est de l'avenir, l'accord sur le plafond de la dette, connu sous le nom de Fiscal Responsibility Act (FRA), impose d'autres contraintes budgétaires. Selon un rapport du Congressional Research Service [PDF], cette loi plafonne les dépenses de défense pour l'exercice 25 à 895 milliards de dollars, soit un taux de croissance d'environ 1 % et une augmentation du budget beaucoup plus faible que celle dont le Pentagone a bénéficié ces dernières années. (Certains législateurs ont toutefois déclaré que des dépenses supplémentaires pour la défense en dehors de ces plafonds pourraient être envisagées).
"Nous savons que l'inflation a été fixée à environ 2,1 %. Il y aura donc une réduction du budget de la défense, et nous devrons voir ce que nous pourrons faire avec ce nouveau budget", a déclaré M. Moore.
L'armée de l'air devra également continuer à convaincre les législateurs afin que les cessions demandées soient approuvées, a déclaré M. Moore, qui a mis en garde contre les conséquences désastreuses de la menace d'une résolution permanente à long terme, voire d'une fermeture du gouvernement.
"Si l'on considère la croissance qui faisait également partie de notre budget entre 23 et 24, le fait que les 12 projets de loi ne soient pas adoptés d'ici le 1er janvier réduira notre budget de 12,7 milliards de dollars. C'est là que nous voyons un risque", a-t-il déclaré. "Une résolution permanente à long terme pourrait être un échec majeur, et il est certain qu'une fermeture du gouvernement est quelque chose que nous devons tous éviter.
C'est quand qu'ils vont poser la bonne question ?
Est-ce que Lockheed Martin va enfin terminer son avion afin que la production en grande série puisse enfin débuter ?
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il y a 34 minutes, Patrick a dit :C'est tentant mais peu probable d'imaginer que ce soit une machine ayant appartenu à Heckler & Koch.
La solution est peut-être celle dont parle @FATac mais sans le Logo ni la lettrine c'est là encore sujet à caution.
De même on pourrait croire à une machine ukrainienne, comme pour se souvenir du "HKM3" de la presse de 65000 tonnes d'Issoire. Pour "Novokramatorsky Mashinostroitelny Zavod" (NKMZ) sauf que le "N" s'écrit "H" en ukrainien. Mais là encore ça n'expliquerait pas l'esperluette.
Bref c'est encore un mystère amusant.
Voilà. maintenant qu'on a résolu le mystère des carénages sur le point d'emport numéro 3, compté un a un les modules du Captor E, nous voici parti à l'aventure avec une nouvelle énigme...
Bon celle là je vous la laisse hein...
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il y a 17 minutes, prof.566 a dit :
Récitation d'éléments de langage prémâchés
Premièrement, un élément de langage c'est pas ça. Ensuite, c'est pas important que ce soit prémâché ou non. L'important c'est de savoir si c'est vrai ou pas.
Et si tu remets en cause ce que je considère être comme des réalités, il faut que tu le définisse plus précisément. Afin que je puisse aller chercher des faits.
À moins que ce ne soit simplement un sophisme qui te permet de tout rejeter en bloc pour coller avec ta vision de la réalité. Auquel cas il n'y aura pas de débat.
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J'ai une question d'ordre très basique qui me vient.
L'infanterie qui opère sur le terrain, elle reste combien de temps concrètement sur le terrain ? Est-ce que ce sont des opérations qui durent plusieurs heures/jours ? Est-ce que ce sont des successions de beaucoup de micro opérations tactiques remplacées régulièrement à coup de rotation d'effectifs toutes les heures ? Ou est-ce que les opérations peuvent durer jusqu'à 2/3 jours d'affilé, les hommes dormant dans des trous de souris ?
Est-ce que les hommes sont basés loin du champ de bataille ? Ou relativement proche des opérations ?
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- C’est un message populaire.
Les chiffres sont aux analystes ce que les lampadaires sont aux ivrognes : ils fournissent bien plus un appui qu'un éclairage.
C'est encore plus vrai dans le cas du F35.
On a trop de problème de niveau 1 ? Recatégorisons les au niveau 2, ça passe...
On est trop en retard sur la livraison des standards ? créons des standards intermédiaires, réduisons les spécifications dans les objectifs, et implémentons les plus tard. Dans l'attente, prononçons une mise en service.
Alors si maintenant on me dit que les chiffres sont manipulés pour "afficher" un super taux de dispo qui ne serait pas forcément cohérent avec les attentes des opérationnels, et que les opérationnels se bases dessus pour faire politiquement bonne figure, je ferai pas parti des personnes surprises...
Dans l'attente, que chacun reste avec son opinion car il faut l'admettre, il est TRES compliqué de trouver des faits pour corroborer de façon certaine la position des uns et des autres.
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
Plus d'une page de discussions très intéressantes sur les mouvements des uns et des autres, sur le front, sur les stratégies de chacun sans s'envoyer des fions.
Faut le dire, c'est agréable.
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il y a une heure, gustave a dit :
En l’occurrence si, ou plutôt nos intérêts coïncidaient parfaitement. Quels seraient cet intérêt non partagé que nous aurions défendu ?
Je n'ai pas dit que c'était un intérêt non partagé. Seulement que nous agissons dans l'objectif complètement égoïste de "nos" intérêts propres, et que si sur certain points ça coïncide avec les intérêts des peuples sur place tant mieux. En l'espèce, c'était leur apporter un semblant de sécurité qu'ils n'ont plus depuis le départ des troupes. Mais la sécurité se payait aussi par une perte quasi-totale de souveraineté. Car il ne faut pas se leurrer. Notre présence sur place avait un coût pour eux.
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[A400M] le défi stratégique européen
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