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Messages posté(e)s par FoxZz°

  1. Il y a 2 heures, Snapcoke a dit :

    Tu est sur de ton coup là ?

    Plus simple qu'un M16 ou qu'une AK ?

    Ben il n'y a aucun système de gaz, juste un petite pièce qui fait office de levier. Difficile de faire plus simple.

  2. Il y a 4 heures, clem200 a dit :

    Le fait est tout de même que la survivabilité d'un navire de surface est plus faible aujourd'hui qu'il y a 50 ans 

    Au contraire, je pense que les frégates n'ont jamais été aussi bien protégées et que le vrai défi c'est plutôt d'inventer une épée apte à percer le bouclier.

    Aujourd'hui, un combat entre frégates modernes risque de se terminer en égalité ou les deux frégates doivent rentrer au port pour réarmer. Concrètement, avec un équipage bien entrainé et alerte, une frégate est invulnérable aux menaces au dessus de la surface jusqu'à ce qu'elle soit à court de munitions.

    L'attaque d'une frégate de premier rang moderne va constituer une opération très complexe ou il va falloir combiner de multiples effets et armements, etc. Bref ce n'est pas à la porté du premier venu. Surtout qu'en cas d'escalade, les frégates ne voyagent plus seules mais en groupe, et là ça devient encore plus complexe.

    La menace sous-marine est la principale menace pour une frégate, mais elle n'est pas sans défense, loin de là.

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  3. Il y a 2 heures, Chronos a dit :

    En même temps il faut choisir dans la vie.

    En matière d'armement léger, on se souviendra que le FAMAS (pas le G2 certes dont la conception tend à satisfaire des considérations.... pragmatiques tel que le chambrage de l'arme et le type de magasins admis...) avait été conçu pour tirer une cartouche franco-française. Le tout doublé à une arme mécaniquement complexe et donc chère, aucune vraie perspective d'exportation qui aurait permis de viabiliser une filière au-delà des commandes nationales (le FA arrive très très très tard par rapport à la concurrence en plus).

    Le plus drôle est que la France fait cela tout en étant membre d'une organisation internationale (mais certes en dehors de son commandement intégré) qui a justement harmonisé les normes et créé un level playing field pour des industriels...

    Tout va globalement bien dans le cadre d'un régime de conscription et d'industriels administratifs subventionnés à prix d'or pour produire un matériel moyen mais une fois qu'on professionnalise c'est sûr que ça va devenir difficile...

     

    Résultat, disparition de l'industriel produisant les munitions, ce qui implique un rechamgrage de l'arme + nouveau canon et finalement disparition du bouzin pour aller chercher un armement plus simple et sur étagère. 

    Le Famas est au contraire très simple mécaniquement. Son prix ne viens pas de là je pense.

  4. Il y a 1 heure, ARMEN56 a dit :

    tu m'as fait peur :biggrin:

     

    Pour du > 70000 tonnes 27 nds , çà serait faisable d’imaginer du tout diesel semi rapide avec par ex des MAN18V48/60/CR de + 21 Mw unité ET en s’inspirant d’une solution tout électrique de celle du Norvegian Pearl avec 5 gensets en 12 MAN18V48/60 et deux Pods , idem BPC en moins puissant.

    https://en.wikipedia.org/wiki/Norwegian_Pearl

    Ceci dit pour notre PA on prendrait alors 5 ou 6 MAN18V48/60/CR (*), alimentant des moteurs électriques  sur lignes d’arbres du genre Queen Elisabeth , sur toutefois un concept triple hélices .

    (*) si MAN le fait en genset

    https://powerplants.man-es.com/products/liquid-fuel-engines/18v48-60ts

    Ça va prendre une place de dingue si en plus on ajoute l'espace de stockage diésel nécéssaire.

    Qu'est ce qui explique les surcouts du nuke ?

    En sachant qu'on a déjà la base industrielle qui va avec, et qu'il va falloir concevoir un nouveau réacteur quoi qu'il en soit pour les futurs SNLE.

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  5. Il y a 3 heures, Fusilier a dit :

    A condition que le soum sache ^_^ 

    Pour le coup c'est un fait public assez connu, un adversaire potentiel serait parfaitement au courant. Vraiment dommage de ne pas avoir remplacé le Malafon.

     

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  6. il y a 58 minutes, Patrick a dit :

    Sauf qu'on ne le fait que dans le cadre de missions de réassurance de l'OTAN face à la Russie.

    Là on le ferait pour quelle raison? Réassurance face... à un allié théorique de l'OTAN, la turquie?

    Macron a raison de parler de mort cérébrale, mais c'est pas pour autant qu'on est obligés de nous lobotomiser nous-même!

    Tu sais quand il a été question d'interdire RT et spoutnik chez nous, les russes ont répondu qu'ils interdiraient France 24... qui passe elle aussi pour un organe de propagande.

    Le fait est que France 24 est indépendant tandis que RT et Spoutnik sont des organes de propagande.

    Là on le ferait comme mesure de réassurance vis à vis d'un pays membre de l'UE face à un pays  menaçant extérieur à l'UE. Le pays menaçant en question occupe déjà tout de même de manière illégale la moitié d'un autre pays membre de l'UE faut-il le rappeler.

    On a la PESC en Europe, servons nous en.

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  7. Il y a 2 heures, Boule75 a dit :

    Ne jouer de la dissuasion nucléaire tant que ça n'en vaut pas la peine : pas besoin des FAS en Grèce hors invasion en bonne et due forme.

    Exactement, faire jouer la dissuasion quand la situation ne l'exige pas c'est surtout une marque de faiblesse. Et ça signifie à l'autre qu'il peut continuer en fait, c'est contre-productif.

    Par contre positionner quelques Rafale en Grèce,  comme on le fait parfois en Islande ou dans les Pays Baltes, ça pourrait être intéréssant.

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  8. Il y a 5 heures, Scarabé a dit :

    Déjà qu'il livre l'armée de l'air

    24 Rafale F3R, prévue de 2022 à 2024  ( pour Escadron à Orange) 

    Et la Marine qui attend encore 4 Rafale M FR3 en 2025 

    Et 30 nouveaux Rafale au standard F4. Qui doivent être livrés en 2027, 2028, 2029 et 2030. (Pour le dernier escadron Rafale à Luxeuil-les-Bains ) 

    Parce qu' a chaque fois qu'il y a commande export il prelve sur les chaines des avions destiné au depart à l'armée de l'air.   

     

    Donc les 2000-5 vont partir en 2030 avant les 2000D ?

    Et les 2000D on ne va pas les remplacer par du Rafale ? Les commande vont pas s’arrêter en 2030 quand même non ?

  9. Est-ce que les Espagnols pourraient être intéressés par un porte-avions CATOBAR à l'horizon 2035-2040 ?

    C'est quoi les ambitions de leur Marine ? Et la place de cette dernière dans leur contrat opérationnel ?

  10. Il y a 1 heure, Patrick a dit :

    Tôt ce matin et jusqu'à il y a peu, impossible d'accéder au forum depuis internet, et encore actuellement impossible de faire fonctionner le lien "contenu non lu", depuis internet ou le forum.

    Seule manière d'accéder: disposer de liens vers des fils spécifiques.

    edit: et là message qui ne part pas, et avertissement "impossible de poster dans un court laps de temps veuillez attendre une seconde".

    Le forum est tout cassé. :sad:

    Pareil la fonction contenu non lu ne fonctionne pas ce qui est très agaçant.

  11. Mais Canjuers est une zone d'entrainement aménagée non ? Ce n'est pas comme Suffield qui a l'air d’être un terrain entièrement libre. Pour faire une analogie avec les jeux vidéos, Canjuers serait un jeu "corridor" tandis que Suffield un "open world".

    Est qu'on a des terrains "open world" en France ou en Europe ou les battlegroups peuvent s'affronter librement ?

  12. Le 25/05/2020 à 22:32, Scarabé a dit :

    Un truc tout con et si l'armée de l'air en racheter 4 d'occasions pour les releves en opex ça serait pas mal 

    Aux emirates à Djibouti des militaires et leur familles sont toujours bloquée en attendant que le traffic civile repreine.

    A un moment on parlais d'un trcu comme ça mais pour faire du transport de troupes c'est pas mal avec un seule vol Paris Bamako tu releve 1 GTIA 

    https://www.lefigaro.fr/societes/2017/04/05/20005-20170405ARTFIG00019-et-si-airbus-developpait-un-a380-pour-les-armees.php  

    Les MRTT peuvent pas faire le job ?

  13. il y a 1 minute, Scarabé a dit :

    Je pense qu'ils ont du sortir du blindé avant l'explosion parce que leur VBCI c'est mis en travers pour coupé la route à la voiture kamikaze (VBIED °)

    Et lors de l'explosion les morceaux autours ont du voler en tuant les civiles et blessant les légionnaires mais bon avec leur protection casque gilet etc.. ils ont eu plus de chance que les civiles autours.      

    Sur la video ils ont déja recu les premiers soins vue que certains sont torse nu 

    http://www.opex360.com/2018/07/01/mali-vbci-de-force-barkhane-vise-attaque-suicide-a-gao/

    De ce que j'avais compris c'était les mecs débarqués qui avaient étés blessés. L'équipage du VBCI été saint et sauf non ?

  14. Le 31/05/2020 à 12:50, Kiriyama a dit :

    Bonjour, 

    J'ai lu un article très intéressant sur le destin après-guerre de l'Armée polonaise de l'Ouest, cette armée polonaise libre qui a combattu aux côtés des Alliés. 

    A l'été 1945, l'APO compte 225.000 hommes très bien entraînés et équipés, disposant d'une armée de terre, de parachutistes, de chars et même d'une marine. Malheureusement pour ces hommes, le territoire polonais passe sous contrôle soviétique et dès février 1945, les Alliés reconnaissent le gouvernement polonais instauré par les Soviétiques et le gouvernement en exil de Londres perd sa légitimité. A ce stade, l'APO est le dernier élément de légitimité restant au gouvernement polonais de Londres. 

    Même si officiellement le gouvernement britannique fait passer l'APO sous le commandement de l'armée britannique, il est déjà clair que Londres ne va pas conserver ces hommes dans son armée. De leurs côtés, les Soviétiques aimeraient bien récupérer cette armée aguerrie et en faire un élément de la reconstruction de la nouvelle Pologne communiste. 

    Le gouvernement britannique est entre deux chaises, partagé entre la "dette" envers ces Polonais qui ont combattu à leurs côtés, mais aussi pressé de se débarrasser de cette armée coûteuse à entretenir. Quant aux soldats polonais, beaucoup aimeraient retrouver leur patrie, mais ne veulent pas du nouveau régime mis en place par Moscou. Seuls 20% de ces hommes désirent réellement retourner au pays. 

    En septembre 1945, le nouveau gouvernement de Varsovie charge Londres de mettre en place un programme de rapatriement tandis que le régime communiste se lance dans une intense campagne de propagande pour vanter les mérites du nouveau pouvoir. Londres voit toutefois d'un mauvais œil la future inféodation de l'APO au régime communiste, mais commence à rapatrier les soldats polonais qui veulent rentrer au pays.

    Mais d'une façon générale, les négociations patinent et en février 1946, Varsovie annonce que l'Armée polonaise de l'Ouest cesse d'être considérée comme polonaise et demande que ses hommes soient interdits de porter l'uniforme de l'armée polonaise.  

    A ce stade, le sort de l'APO est entièrement à la charge de Londres qui va mettre en place un programme de démobilisation générale. Chaque soldat à la choix : le retour en Pologne, l'émigration dans un pays de leur choix (dans la limite des quotas migratoires fixé par les pays concernés), l'incorporation dans l'armée britannique (mais seules une poignée de postes sont à pourvoir) et l'installation en Grande-Bretagne. 

    Le gouvernement britannique met sur pied le Corps polonais de réhabilitation (CPR) destiné à accompagner les soldats polonais dans leur retour à la vie civile. Engagés pour deux ans, les Polonais y reçoivent des cours d'anglais, apprennent un nouveau métier et touchent une solde et reçoivent une couverture médicale. Les premières incorporations ont lieu en août 1946, ce qui déclenche la fureur du gouvernement communiste de Varsovie. Pour lui, le CPR est une armée étrangère et les Polonais qui s'y engageraient se verront déchus de leur nationalité polonaise. 

    Le 10 juillet 1947, les forces armées polonaises sont officiellement dissoutes. 

    Le PCR fonctionnera jusqu'en septembre 1949 et permettra l'intégration de 110.000 hommes à la société britannique et les formera à un métier ou les encouragera à reprendre des études.

    Toutefois, le retour à la vie civile est particulièrement difficile pour les officiers qui n'ont connu que l'armée et se reconvertissent plus difficilement que les soldats et sous-officiers, plus jeunes. Le général Sosabowski (1re Brigade indépendante de parachutistes) devient ouvrier dans une usine, le général Maczek sera barman dans un hôtel, le lieutenant-colonel Gutowski (1re Division blindée) lavera des voitures au Canada durant les premières semaines suivant son arrivée. 

    Plusieurs milliers de ces Polonais s'expatrieront (France, Italie…) et d'autres connaîtront un parcours tourmenté : Jan Zumach deviendra mercenaire au Katanga et au Biafra. Des aviateurs iront au Pakistan former l'armée de l'air nationale. 

    Moins de la moitié des Polonais retourneront au pays, et leurs espoirs d'intégrer la nouvelle armée communiste seront rapidement douchés. Le pouvoir communiste se méfie d'eux et les démobilise. Plusieurs hauts-gradés auront également affaire à la justice et à la police locale, et seront pour certains condamnés à la prison. 

    Malgré les difficultés du retour à la vie civile, les anciens combattants vont s'organiser et défendre la mémoire de leur engagement. Certains joueront même un rôle dans l'apparition des premiers mouvements pro-démocratie et pro-indépendance. Malheureusement, peu d'officiers supérieurs de l'APO vivront assez longtemps pour voir la Pologne redevenir indépendante.

    Seul le général Maczek, qui mourra en 1996 à 102 ans, verra la Pologne redevenir indépendante. 

    Est-ce que certains ont rejoint la légion étrangère ?

  15. Il y a 5 heures, DEFA550 a dit :

    Tu as aussi oublié le nombre de pilotes, ce qui est important puisque ce sont bien eux qui doivent faire 200 heures de vol par an au titre du maintient de leurs qualifications. Donc si on part d'un ratio moyen de 1,6 pilotes par avion, et si on précise le besoin de la permanence opérationnelle à 10 avions (5 binômes répartis sur le territoire), on abouti à un besoin opérationnel de 134 avions, 214 pilotes, et un besoin réel de 244 appareils au minimum hors attrition pour fournir le potentiel requis sur 40 ans, avec un potentiel annuel de 42800 heures de vol à répartir sur ces 214 pilotes.

    Note que dans ce cas là, tu as besoin de davantage d'avions dans ta flotte que de pilotes.

    Merci pour ces réponses mais qui emmène une autre question :

    Donc si je résume ton calcul, on a besoin de 214 pilotes opérationnels pour remplir le contrat, ces pilotes vont nécessiter 42800 heures de vols d’entrainement chaque année (214 pilotes*200 heures). On multiplie par une durée de vie de la flotte estimée à 40 ans (1 712 000 heures de vols nécessaires pour tenir ce contrat durant 40 ans) et on divise ensuite par la durée de vie estimée d'une cellule (1 712 000/ 700) et on obtient un peu plus de 244 avions.

    Mais comment détermine-t-on le nombre de pilotes nécessaires par avion qui détermine tout le reste du calcul ? Pourquoi 1,6 et pas 1 ou 2,5 par exemple ? J'imagine que c'est lié au fait qu'il nous faut 214 équipages opérationnels en permanence mais qu'ils ne peuvent pas être à la fois opérationnels et en entrainement, donc il faut faire une sorte de roulement ? Est-ce que ce chiffre prend aussi en compte une attrition chez les pilotes ?

    Enfin qu'est ce que ça "révèle" d'une armée de l'air si elle a plus ou moins de pilotes que avions ?

  16. il y a une heure, ARPA a dit :

    C'est pas ce que j'avais dit à la page précédente ? Je crois même que j'avais arrondi à 355.

    Ton contrat opérationnel c'est quoi ?

    124 avions au sol, ou 124 avions avec 10 pilotes chacun et plusieurs heures de vols quotidiennes par avions ?

    Sinon, vu que ta demande ressemble beaucoup à la France, j'ai clairement l'impression que c'est hors sujet avec le Typhoon. Et je te conseillerais de lire le raid aviation n°42 "il manque 250 aéronefs à la France" c'est un article vieux d'un an, mais la plupart des calculs doivent rester valables.

    Si tu veux, je pourrais te dire la semaine prochaine combien il estimait qu'il faudrait de Rafale pour la France.

    Oui c'est un contrat opérationnel basé sur le contrat français mais "boosté", le contrat anglais ne doit pas être bien loin non plus.

    C'est 124 avions déployés ou prêt à être déployés. Donc si on se base sur les chiffres OPEX 90% dispo. Pour recoller sur le sujet du Typhoon, je pense que c'est justement là (lorsque l'approvisionnement en pièces détachées est un non facteur comme c'est le cas en OPEX (budget séparé, priorité, etc) qu'un concept de maintenance supérieure se démarque. Un avion avec une maintenance prédictive, des auto-diagnostics, etc et une conception modulaire sera capable de générer plus de sorties et affichera une meilleure dispo pour faire face aux imprévus des opérations.

    C'est un peu hors sujet mais je profitais du poste de DEFA pour rebondir dessus.

    Si tu as des photos de l'article en question je serais assez intéressé oui !

     

  17. C'est possible qu'ils interviennent vraiment, après tout c'est à leur frontière, mais à ce stade ça ressemble plus à du show of force.

    Quant à leur capacité opérationnelle, je me fie pas mal aux analyses d'un Twittos égyptien spécialiste du sujet : https://twitter.com/EgyptDefReview

    Puis on voit qu'ils ont beaucoup de mal dans le Sinaï. 

    Quant à leur performance pendant la guerre du golfe, je suis pas spécialiste du tout, mais selon wikipédia ça n'a pas été extraordinaire :

    Citation

    This cooperation eased integration of the Egyptian Army into the Gulf War coalition of 1990–91, during which the Egyptian II Corps under Major General Salah Halabi, with 3rd Mechanized Division and 4th Armoured Division, fought as part of the Arab Joint Forces Command North.[28] The deployed force performed appallingly. It was unable to move up the first attack time after a request from overall commander U.S. General Norman Schwarzkopf; halted after 'desultory' Iraqi artillery fire; continued to move so slowly that on the morning of the third day of the war, still had not taken their first day's objectives; and could not reorient themselves in order to take up an invitation to join a ceremonial joint Arab entry into Kuwait City until Schwarzkopf was able to get Hosni Mubarak to give a direct order to the Egyptian commander to do so

    https://en.wikipedia.org/wiki/Egyptian_Army#1990s_and_after

  18. Il y a 1 heure, DEFA550 a dit :

    Bonjour,

    Je ne sais pas, il manque deux variables sur les trois qui servent au calcul.

    Tu n'as pas dit que c'était le contrat opérationnel qui déterminait le nombre d'équipages nécéssaire ?

    Et sinon en effet j'avais oublié la durée de vie attendue de la flotte, partons sur 40 ans.

  19. il y a une heure, Lezard-vert a dit :

    Erdowi prend vraiment ses rêves pour une réalité s'il pensait qe l'Egypte fermerait les yeux.... être une puissance régionale ne permet pas de se mettre à dos l'ensemble des pays  riverains de la Méditerranée où peu s'en faut. 

    Je veux bien que certains osent mais  je ne comprends pas que certains gusses ne sont pas à même de voir les limites qu'ils doivent ne pas franchir au risque de se faire éjecter avec pertes et fracas.

    Bon attendons de voir les prochains évenements ... ca risque du coup de chauffer en Méditerranée orientale et dans les Airs  si l'autre ne comprend qu'il est un fâcheux en Libye.

    Pour être honnête ça ressemble surtout à des roulades de mécanique.

    Et je suis assez dubitatif sur les capacités opérationnelles réelles des Egyptiens

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  20. Il y a 20 heures, DEFA550 a dit :

    Ce n'est pas un problème puisque l'utilisation simultanée de l'intégralité de la flotte n'est pas envisagée. La taille de la flotte dépend finalement de peu de paramètres : sa durée de vie attendue, le nombre de pilotes lié au contrat opérationnel, et le potentiel de chaque appareil. En clair, il suffit juste d'avoir assez d'avions pour pouvoir entretenir les qualifications des personnels sur la durée voulue, et c'est tout. Le contrat opérationnel décide du nombre d'avions à mettre en œuvre dans divers scénarios, ce qui implique un nombre d'équipages, qui implique lui-même la taille de la flotte (y compris un lot de remplacement pour l'attrition prévisible).

    Donc imaginons le contrat opérationnel suivant :

    Une force de réaction d'urgence mobilisant 12 avions en permanence

    Une force de dissuasion mobilisant 16 avions en permanence

    Plusieurs OPEX ponctuelles et déploiements à l'étranger pouvant mobiliser jusqu'à 32 avions

    Une opération de coercition majeure avec un préavis de 6 mois pouvant mobiliser jusqu'à 64 avions.

    Soit une hypothèse maximale dimensionnement de 124 avions déployés

    Permanence opérationnelle au dessus du territoire français

    200h de vol d’entrainement annuel par pilote

    Une durée de vie théorique des avions de 7000h

    Pour un tel contrat opérationnel, à combien devrait s'élever la flotte nationale d'avions de chasse ?

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