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Messages posté(e)s par FoxZz°

  1. il y a une heure, true_cricket a dit :

    Ça fait plusieurs mois que c’est sorti dans la presse. De mémoire, ce qui était alors annoncé est que les deux premières FTI n'auraient ni brouilleur ni leurres mais avec des mesures conservatoires pour une installation a posteriori, car les nouveaux systèmes ont déjà été identifiés comme ne pouvant pas être prêts à temps.

    Ce qui ne posera pas de soucis car elles sont intialement destinées à astiquer les approches brestoises.

    Oui mais là on ne parle des deux premières mais des 5 !

    Et si elles sont uniquement destinées à Brest, quel intérêt de leur filer un radar top moumoute et des Aster 15 ??

    il y a 2 minutes, Born to sail a dit :

    Merci @xav, c'était donc une fake news :blink:

    Par contre c'est quoi cette nouvelle génération d'installation de tir de missiles ? un remplaçant au SYLVER A43, A50 et A70 ?

    un SYLVER poly-munitions ?

    Je pense juste un Sylver classique.

    Nouvelle génération c'est pour différencier des anciennes rampes type crotale ou SM1.

  2. Oui mais leur objectif à eux c'est la production de matières fissiles.

    Donc il n'y a pas 35 000 solutions : la filière du plutonium avec des réacteurs permettant de changer le combustible en cours de route, style graphite gaz, pour pouvoir obtenir du plutonium de bonne qualité ou la filière uranium avec enrichissement soit avec les ultra-centrifugeuses soit par diffusion gazeuse.

    L'avantage de la centrifugeuse c'est que c'est économique, compact et que pour produire à 4% ou à 90% rien ne change à part le temps nécessaire, donc tu peux prétendre une utilisation civile et pouvoir passer au seuil nucléaire très rapidement. Donc je pense que c'est pour ça qu'ils ont choisi cette filière.

    Alors que construire un réacteur style graphite-gaz, au vu de ses inconvénients, c'est cramé direct que c'est pour produire du plutonium de qualité militaire. Et c'est facilement ciblable.

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  3. C'est surtout le combo A400M - MRTT qui va être gagnant.

    On peut imaginer un groupe d'A400M décollant avec blindés et équipements volumineux ravitaillés en cours de route par le MRTT qui emmène des vivres en palettes et les hommes lors du surge au moment du déploiement initial. Puis l'A400M pourra aussi accomplir des missions de ravitaillement pour les avions et hélicos sur les petits déploiement ne justifiant pas un MRTT par exemple, ce qui libérera ces derniers pour faire autre chose.

    Donc notre système n'est pas aussi efficace qu'une flotte diverse, mais il est beaucoup plus efficient et optimal et parfaitement adapté à nos ressources financières et nos besoins. D’ailleurs je préférerais avoir plus d'A400M et de MRTT plutôt que d’acquérir une poignée de C17. 

    Dans le futur l'armée de l'air aura seulement 3 appareils majeurs : Rafale, MRTT, A400M. Et grâce à la polyvalence de cette flotte elle pourra faire ce que les américains font avec 5 appareils (F22/F35/C17/C130/KC-46). Pas dans la même mesure c'est sur.

     

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  4. Le 21/07/2019 à 22:04, ARMEN56 a dit :

    En glanant info sur les pump-jet , suis tombé sur ceci ; lobbying anti Shortfine BARRACUDA de mars  2018 , çà cassait tout azimuts ………

    https://www.aph.gov.au/DocumentStore.ashx?id=6b227ea6-b810-4bb9-956c-96a92ada3869&subId=564438.

    https://s3-ap-southeast-2.amazonaws.com/submarines-paper/Final.pdf

    Est-ce qu'il y a de la vérité dans ces papiers ou est-ce manipulé ? Je n'ai pas la connaissance technique pour pouvoir trancher.

    Le design du Shortfin, avait, il me semble privilégié plus de capacité batteries plutôt que l'AIP car la Marine Australienne avait besoin de faire des longs transits à vitesse assez élevée plutôt que des longues patrouilles à faible vitesse. C'est ce qui expliquerait le choix du pump jet ? Alors que les autres n'avait proposés que des sous-marins très conventionnels finalement ?

  5. il y a 4 minutes, true_cricket a dit :

    Il y a erreur notable là. L'escorte des GAN occidentaux est d'au moins 3 frégates. Souvent 5.

    Un escorteur AA prioritaire. Parfois deux.

    Un escorteur ASM prioritaire. Souvent deux. Parfois trois.

    Un éclaireur/piquet radar.

    Quand on regarde les déploiements du CdG, souvent c'est 1 FDA, 1 FASM et 1 FLF plus le SNA. Rarement vu plus que ça.

    Dans le cas que je présente, avec un système à deux PA dont 1 prêt à partir, on devrait pouvoir assurer 3 croiseurs d'escorte sans soucis sur les 6 disponibles. Surtout avec un double équipage est une mission d'escorte prioritaire sur toutes les autres.

    Ces croiseurs seraient aussi bien plus armés que nos frégates actuelles. Enfin, comme je le proposais dans le post initial, dans les zones dangereuses des frégates classiques type FTI pré-positionnées viendraient s'ajouter au GaN pour le renforcer. Donc dans les zones dangereuse on pourrait passer à une escorte de 4 voir 5 frégates.

  6. Il y a 6 heures, pascal a dit :

    non Nourriture, kérosène, pièces détachées ... Les contraintes log seront tjs présentes

    Oui toujours présentes mais largement amoindries. Le volume gagné par une propulsion nucléaire permettrait d'emporter beaucoup plus de logistique. Donc les espacements entre chaque ravitaillement seraient plus grands. Pendant l'opération Sea-Orbit, les 3 navires n'ont pas été ravitaillés pendant 57 jours et ils ont fait le tour du monde dans cet intervale. Autant dire que ça donne beaucoup lus de flexibilité et que ça réduit les vulnérabilités.

    Quant au ravitaillement en lui même il sera probablement plus court.

    Pour compléter ce que disais @ARPA il ne s'agirait que de quelques unités clés entièrement dédiées ou presque à la constitution d'un GAN nucléaire et l'escorte du PAN, nos plus grosses unités. Tout le reste de la flotte resterait à propulsion classique.

    Par rapport à ce que disais @Fusilier , sachant que ces navires seraient dédiés au GAN, on pourrait caler leur IPER pour qu'elles se déroulent en même temps que l'un des PAN, afin qu'il y en ai toujours de disponible pour escorter le PAN d'active et pour "grouper" les mesures de protection dédiées, etc. On pourrait même envisager une zone dédiée au nucléaire sur Toulon. Je ne pense pas qu'il s'agisse de problèmes insurmontables, surtout que nous avons la chance d'avoir une filière nucléaire déjà bien établie, et qui d'ici là aura accumulé pas mal d'expérience dans le démantèlement notamment.

    Les SNA Barracuda qui sont quand même bien plus complexes qu'un navire de surface sont estimés hors développement à 1 milliard par tête, et les couts de développements seront probablement moins élevés. Dans le même temps, au final on a payé nos Horizon 950 millions pièces et les FREDA vont dépasser le milliard. Le programme Suffren en entier c'est 9 milliard d'après wiki, tandis que les programme FREMM et Horizon c'est 8 milliards. Est-ce si inenvisageable que ça financièrement ?

    Surtout que si on va vers les armes à énergie dirigée ou les rail guns, la demande en énergie pourrait exploser.

    Évidemment, c'est un exercice théorique et ce n'est pas pour tout de suite que ça se passer, mais je pensais à l'horizon de l'entrée en service du PA2 et le remplacement des FDA.

  7. Sachant que le but serait d'avoir un GAN entièrement nucléaire, et que ce dernier est composé d'un PAN et d'une à deux frégates, en fait avec "seulement" 6 croiseurs nucléaires d'escorte à double équipage on devrait pouvoir assurer l'escorte du PAN d'active (dans un format à deux PAN) et en avoir un de plus en croisière. . Autour du noyau dur nucléaire, on pourrait joindre des frégates classiques type FTI en renfort sur certaines zones. @ARPA a raison, une classe de ravitailleurs nucléaires n'est pas forcément utile, j'y pensais pour le gain de place, mais ça manque en effet d’intérêt surtout avec une flotte ayant moins besoin de carburant.

    Sinon un GAN nucléaire c'est le rêve ultime d'un amiral, un rayon d'action infini et des délais de déplacement très cours avec une très faible vulnérabilité.

    Pour les couts de a plateforme, 6 navires c'est comparable à notre flotte de SNA, mais en moins complexe, la filière de retraitement on l'a déjà en soit, si l'on utilise du carburant civil, est-ce qu'on aurait réellement tant de surcout que ça ? Surtout qu'avec les progrès dans les réacteurs, on se dirige vers des réacteurs de petites taille et modulaires tout en gardant la même base industrielle.

    On pourrait aussi rentabiliser la propulsion en en faisan de véritables croiseurs approchant les 10.000 tonnes. On pourrait imaginer 48-64 silos A50 pour les Asters 15/30 et 32-48 silos A70 pour les MdCN, les missiles anti-navires et les missiles torpilles, une suite ASM, radar et électronique de top niveau, une capacité hélico pour 2 NH90 et 1 drone, et de la réserve de place et d'énergie pour les évolutions futures. Combien nous couterait une série de 6 navires dans ce style ?

    Le reste de la flotte de premier rang serait composée de frégates dans le style des FTI autour des 5000 tonnes à focus GP et ASM pour une douzaine d'unités. 4 à Brest, 4 à Toulon, 2 prépositionnées aux EAU et 2 dans un pays asiatique style Singapour pour venir renforcer le GAN lorsqu'il passe dans ces régions en renforcer notre présence sur place.

  8. Ce sujet a sans doute été abordé, mais quel serait le cout d'une flotte d'escorteur et de ravitailleurs nucléaires pour accompagner le(s) PAN ?

    Cela permettrait techniquement à un GAN de pouvoir filer à 30kn de manière ininterrompue ! C'est aller au bout du concept de PA nucléaire qui pour l'instant est limité par son escorte. Le ravitaillement à la mer ne concernerait plus que les vivres, es munitions et le carburant avia. De plus pour le navire logistique, les gains en volume lui permettraient d'emporter plus de ravitaillement et d'allonger encore le rayon d'action d'un PAN.

    Avec un réacteur unique modulaire dont on ferait varier le nombre, comme le K15, on devrait rendre le système moins couteux, on solidifierait aussi la filière atomique dans la Marine. On pourrait sinon  envisager des coques très modulaires et plug and play afin de pouvoir updater les navires et les garder à la pointe sur une durée beaucoup plus longue, voir envisager de transférer le réacteur d'une classe vers l'autre. Avec un réacteur durant 50 ans et deux classes à 25 ans.

    On pourrait partir imaginer un noyau de 3 ravitailleurs nucléaires d'une dizaine de croiseurs escorteurs nucléaires multifonctions auxquels se joindraient des frégates classiques similaire à la FDI à vocation  plutôt ASM/GP prépositionnées dans les zones de tensions et qui viendraient assurer la masse dans les zones de tensions en se clipsant au "nucléus nucléaire" du GANN.

  9. Le 12/09/2019 à 09:20, ARMEN56 a dit :

    Faut pas pousser mémé non plus .

     A contrario , mettre du VLS , une paire de sonar et cquif sur une péniche , n’en fera pas d’elle un premier rang. Dans la qualif rang 1  on a adéquation entre le porteur (  la plateforme)  et le système de combat qui lui est spécifique à l’accompagnement d’un GAN

    A qqes évolutions près , et excepté le niveau de Guerre Electronique,  la plateforme des FREMM  est du même niveau militaire ( vulnérabilté/survivabilité) que celle d’une FLF , taillée pour de la crise ; tenue aux chocs ( FLF est la seule qui a été testée aux chocs)  , NBC , SER , Discrétion acoustique , CEM , AVIA , IMMU, redondance , dispersion …..et j’en passe. Alors , effectivement le bât blesse en terme d’armement MAIS les mesures conservatoires étaient prévues ( aster , sonar d’étrave et remorqué) ….

    Alors peut être qu’ en ces années 89/90 , de détente et de réchauffement, nos politiques n’ont pas voulu faire de « l’agressif » .

    Ceci étant , même bien armée , le seul point faible que je trouverais à dire sur ces barcasses , c’est la taille . Il lui manque 1000 t et un peu plus de vitesse pour une évolution d’accompagnement en première rang ,je trouve ; la taille , c’est la vulnénabilité,  la tenue à la mer , la maintenance …..etc

    Alors qu’est qu’il faudrait faire à notre niveau d’AD.NET pour que les choses aillent mieux ? :laugh:

    Est-ce que les FTI bénéficient des mêmes mesures de survabilité et de discrétion que les FREMM et les FTI ?

  10. Le 17/09/2019 à 11:12, ARMEN56 a dit :

    Feuille de route IMPOSEE  par l'état , d'aller se fritter à l'export :rolleyes:

    Sinon

    Prix d’une ABSALON était de 175 M€ en 2004 source Janes  avec une propulsion DAD très simple  dont 2 MTU 8000 .

    Ici sur vue d’artiste , 2 cheminées avec 2 échappements chacune ce qui laisse penser à un CODAD . Donc pour accompagner leurs  CV , les britons  remplacent les T23 hyper silencieuse CODLAG  à vocation ASM ;  on s’en est inspiré  pour FREMM ( discrétion et gradient d’évolution véloce boostérisé TAG  )  par du CODAD . Or les bruits rayonnés d’un concept CODAD sont bien plus marqués en db que ceux de la combinaison d’un MEP  alimenté par un DG doublement suspendu et capoté , étonnant.

    Il n'est pas possible d'avoir les diesels suspendus sur un CODAD ?

    Il me semble que l'on a fait le meme choix CODAD qu'eux sur nos FTI, qui devraient donc etre bien plus bruyantes que nos FREMM, ce qui est dommage vu la qualité de la suite ASM qu'on fout dessus.

    Pour les canons j'avais cru comprendre que la T31 aurait 1x 127 et 2x 57 ou 40.

    Ce qui est sur c'est que la T31 va être un concurrent redoutable pour notre FTI à l'export. On aurait vraiment eu intérêt à djumboiser la FTI en ajoutant une mission bay comme sur les T26. Ce type de modules me parait essentiel à ce type de frégate GP, de même qu'une bonne artillerie. 

  11. Donc finalement on le concept du CRAB canon a bien fait du chemin dans la tête des décideurs.

    Une version missile est-elle prévue avec du MMP ou du Mistral même ?

    Et la logique voudrait en effet que l'on privilégie le 25mm, pour la communalité avec le VBCI. Le 30 x 113 aurait une communalité avec le Tigre mais ce n'est pas le même circuit logistique que les véhicules terrestres. Puis le 25 du VBCI est plus puissant donc il me parait plus adapté au combat terrestre.

     

  12. Pour résoudre le problème des RH, je pense qu'on va sans doute aussi faire évoluer le modèle de sélection des armées, c'est à dire, plutôt que d'éliminer les plus faibles et ne garder que les forts, prendre aussi les plus faibles mais augmenter la formation initiale pour les mettre au niveau.

    Il faudra aussi travailler sur la fidélisation. Mais avec les nouveaux véhicules qui arrivent les perspectives d'Opex, etc, je suis plutôt optimiste.

    Je ne suis pas convaincu non plus par l'augmentation des effectifs de la légion alors qu'on vient encore d'ouvrir un régiment légion et qu'ils ont en effet des problèmes de francophones.

    Donc avec deux régiments et une augmentation des effectifs outre mer on arrive à 9000 pax de plus ? 

     

  13. il y a 50 minutes, Clairon a dit :

    Je ne connais pas de 13e NRBC ou de 15e RG, il y a un 2e RD-NRBC et il y avait un 15e RGA issus du 15e RG, mais dissous il y a près de 20 ans.

     

    On pourrait avoir 3 divisions, une réservoir d'unités lourdes avec les 2 Brigades blindées + 1er RA et un RG spécialisé en franchissement, une avec des troupes médianes (2 brigades légères blindées), une dernière "d'intervention" avec la brigade para, la brigade alpine et une brigade amphibie issue de la 6e BLB.

    Clairon

    C'est ce à quoi j'avais pensé aussi, mais alors quid de l'organisation en deux EMF et le concept d'année paire et impaire ?

    Oui pardon je me suis emmêlé les pinceaux pour les 6 régiments endivisionnés, je voulais parler du 2e RD NRBC en effet,  ainsi que du 19 et 31e RG. Bref, les moyens spéciaux ou lourds non embrigadés et qui auparavant constituaient des brigade indépendantes d'artillerie ou de génie

  14. il y a une heure, Clairon a dit :

    L'organisation actuelle n'a rien à voir avec une "Division de Manoeuvre" comme l'on a connu tout au cours du 20e Siècle.

    Les 2 Divisions sont des organisation plutôt administratives regroupant certains élements (brigades et régiments indépendants) et mettant en cadre une liaison hierarchique et organique. C'est en effet l'héritage des EMF (état major de Force), plutôt qu'une quelconque organisation tactique. D'ailleurs ces divisions n'ont quasiement aucune capacité en terme de logistique ou de transmissions, spécialisations regroupées dans d'autres brigades "externes".

    Si on avait voulut mettre en place un système permettant le déploiement "complet" de division (chose improbable, c'est au delà des moyens de l'AdT actuelle de déployer une division complète en ordre de marche/bataille), ces deux divisons se seraient vue rattacher des régiments du train et de transmissions (et d'autres encore) de façon organique.

    C'est plus sur le regroupement de capacités d'entrainement et d'alerte (1e Division années paires, 3e Division années impaires), de "réservoir" de forces que d'unités tactiques combattantes.

    Alors l'utilisation des 2 divisions sur 2 axes d'avance ennemi, c'est pas pour demain, ni après-demain.

    Clairon

    D'ailleurs, les régiments "spéciaux" rattachés aux divisions, notamment le 132 RIC, le 1er RA, le 54e RA, le 13e NRBC, le 15e et le 31e RG, pourquoi ne sont-ils pas plutôt regroupés dans un commandement ou une brigade d'appui pour ensuite être utilisés au profit  des divisions, plutôt que d’être attachés à l'une ou l'autre ?

    Pour ce qui est du déploiement complet de divisions, on est censés dans le cadre d'une opération de coercition majeure pouvoir déployer deux brigades interarmes complètes afin de former le cœur d'une division OTAN. J'imagine que ces deux brigades seraient constituées de GTIAs issus de nos deux divisions et que chaque division est donc censé générer une brigade, est-ce juste ?

    Autre question, dans l'hypothèse d'une remontée en puissance des effectifs de l'AdT, et que l'on décide de former une brigade médiane de plus, comment à votre avis, on réorganiserait le modèle ?

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