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  1. Une question me taraude, pourquoi avoir choisi un système de perche de ravitaillement sur l'A400M plutôt qu'un système rigide avec réceptacle ?

    Autant pour un chasseur la perche se défend, car petite capacité de carburant, deux avions ravitaillables en même temps, simplicité, etc

    Autant sur un avion de transport je ne comprends pas, au vu du faible débit des tuyaux souples, le ravitaillement d'un A400 doit prendre des heures

    Quelqu'un connait il la raison de ce choix là ?

  2. Plus qu'à espérer que Cabirol nous lise et qu'il fasse un article pour réfuter celui du Monde.

    Mais avec le nouveau "scandale" des armes françaises au Yémen, on dirait que l'industrie est particulièrement visée en ce moment.

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  3. Je ne pense pas que le VBMR a vocation à faire de la liaison/transport, ça c'est le rôle du PVP et de son futur remplaçant.

    S'il doit remplacer le VBL, son cœur de métier sera l'aide à l'engagement et l'éclairage.

    Actuellement, on a les VBL en 7,62, les VBL en 12,7 et les VBL en Milan. Une partie en binomage des Leclerc, l'autre dans les ERI. Être en binomage des Leclerc implique le besoin d'un véhicule de combat car il sera directement au contact de l'adversaire. De même, les ERI doivent aller chercher le renseignement au contact. 

    Quoi qu'on en dise, le Jaguar n'est pas un véhicule de reconnaissance, c'est l'engin de combat et d'appui principal des SGTIA Médians au même titre que le Leclerc qui est l'EPC des GTIA lourds. La mission d'éclairage et de reconnaissance est avant tout l'apanage des ERI et des VBL/VBAE. Qu'un Jaguar puisse effectuer de la reco, c'est tout à fait plausible, tout comme un Leclerc qui ferait de la reco, mais c'est parce que c'est une des missions principale de la cavalerie.

    Donc avec l'avancée des technologies, ça m'étonnerait pas qu'on aboutisse à quelque chose comme ça :

    VBL 12,7 >> VBAE 25mm (communalité de calibre avec le VBCI)

    VBL Milan >> VBAE MMP

    VBL 7,62 >> VBL 12,7/LG40

    Je pense qu'on restera aussi sur un équipage de 3 par symétrie par rapport aux Leclerc et au Jaguar. Une quatrième place pourrait être prévue pour embarquer des pax non prévus (ex : équipage de char détruit) et pour emporter de quoi durer plus longtemps sur le terrain.

    Le moteur devra être protégé et non pas utilisé comme zone sacrificielle, la mobilité étant critique pour échapper à l'ennemi. Dans le même temps, la présence d'un VBAE 25 permettrait aux ERI de pouvoir être un peu plus autonomes face à des véhicules de reco adverses ou des APC/IFV. En duo avec le Leclerc, le 25 peut aussi apporter un complément A/A et traiter les cibles molles.

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  4. Le 12/04/2019 à 13:51, titispv28 a dit :

    C'est plutôt 8 VBAE par peloton dans les eri donc 32 VBAE en tout 

    Et il me semblait que les escadrons de XL était à 13 chars 

    Les VBAE des ERI auront pour une partie les MMP contrairement aux VBAE accompagnant les XL et JAGUAR

    Les Pelotons XL sont passés à 4 chars et 4 VBL.

    Les Pelotons RC passeront aussi à 4 chars et 4 VBL à l'arrivée du Jaguar et du passage à un équipage à 3.

    Tous les véhicules de cavalerie auront un équipage à 3 ce qui sera très pratique pour la projection.

    Par contre, quelqu'un connait-il l'organisation des observateur d'artillerie ?

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  5. il y a 42 minutes, prof.566 a dit :

    C'est déjà le correspondant du monde en Inde qui a poussé le "scandale" Mediapart...

    J'adore le ton "sherpa demande donc c'est vrai". Et le "selon nos informations". Si c'est aussi sérieux que le "document interne accablant" ...

    Dommage, article réservé aux abonnés...

    Révélation

    Comment la France a effacé la dette fiscale d’un industriel indien associé de Dassault

    Anil Ambani, un proche du premier ministre Modi, a bénéficié d’un effacement de plus de 140 millions d’euros en 2015, au moment où Dassault négociait la vente de Rafale à l’Inde.

    Par Julien Bouissou et Anne Michel Publié aujourd’hui à 06h31, mis à jour à 09h32

    Anil Ambani, lors d’une conférence à Bombay, le 2 juin 2017. SHAILESH ANDRADE / REUTERS

    L’homme au cœur de « l’affaire Rafale », qui agite l’Inde depuis des mois, est un puissant industriel indien, dont la fortune est estimée à 1,9 milliard de dollars (1,68 milliard d’euros) par le magazine Forbes.

    Anil Ambani est à la fois l’un des principaux bénéficiaires de cette vente de trente-six avions de combat français de Dassault Aviation à l’Inde, et un très proche du premier ministre, Narendra Modi. Pas un jour ne passe sans que l’opposition en Inde n’accuse M. Modi d’avoir tiré profit de ce contrat de 7,9 milliards d’euros, négocié en 2015, en favorisant son ami Ambani.

    Article réservé à nos abonnés Lire aussi En Inde, le contrat Rafale tourne au scandale politique

    En France, l’ONG anticorruption Sherpa a porté plainte, le 26 octobre 2018, auprès du Parquet national financier (PNF), pour demander l’ouverture d’une enquête sur les soupçons de corruption et de trafic d’influence qui entourent cette transaction.

    Lire aussi Contrats de Rafale à l’Inde : l’ONG Sherpa veut une enquête du PNF sur des soupçons de « corruption »

    Selon les informations du Monde, la France a annulé un redressement fiscal d’un montant global de 143,7 millions d’euros, pourtant réclamé depuis des années, en faveur d’une entreprise française appartenant au groupe Reliance Communications d’Anil Ambani. Le litige a été réglé entre février et octobre 2015, au moment même où l’Inde et la France négociaient la vente des trente-six avions de combat.

    Que s’est-il passé cette année-là ? L’entreprise française Reliance Flag Atlantic France, détenue par Anil Ambani, connaît à cette période de gros soucis financiers. Sa solvabilité est menacée par une importante dette fiscale. Cette société fournit des services de télécommunications, en exploitant, notamment avec d’autres sociétés du groupe Reliance, un câble sous-marin de télécommunication transatlantique entre l’Europe et les Etats-Unis, et elle réalise un chiffre d’affaires de 60,6 millions d’euros sur l’exercice fiscal clos au 31 mars 2014.

    Deux redressements fiscaux

    Comme le révèle le rapport du 30 janvier 2015 du commissaire aux comptes, dont le rôle est de certifier les comptes de la société, et auquel Le Monde a eu accès, Reliance Flag Atlantic France est sous le coup de deux redressements fiscaux.

    L’administration fiscale conteste notamment la façon dont l’entreprise a comptabilisé certains achats auprès d’autres sociétés du groupe Reliance, en raison d’un manque de « documentation », ce qui revient à contester la méthodologie employée par Reliance Flag Atlantic France pour calculer ses « prix de transfert ». Cette fameuse technique bien connue des régulateurs est utilisée par les entreprises pour réduire leur facture fiscale. Elle sert à envoyer des profits dans les paradis fiscaux, où ils ne seront pas imposés. La maison mère de la société française d’Anil Ambani, Reliance Globalcom Limited, est ainsi domiciliée aux Bermudes… Un territoire qui vient d’être inscrit, en mars, sur la liste noire des paradis fiscaux de l’Union européenne (UE).

    Le premier redressement, arrêté à la suite d’un contrôle fiscal portant sur la période du 1er avril 2007 au 31 mars 2010, s’élève à 60 millions d’euros, intérêts et majorations compris. L’entreprise s’y oppose et, en 2013, propose de solder le contentieux par un paiement de 7,6 millions d’euros. C’est un refus net de l’administration fiscale.

    La société engage alors des recours contentieux. Les problèmes s’aggravent, car un second contrôle fiscal est lancé par l’administration, pour la période du 1er avril 2010 au 31 mars 2012. Il aboutit à un nouveau redressement conséquent de 91 millions d’euros, intérêts de retard et pénalités inclus.

    L’entreprise conteste à nouveau. Le commissaire aux comptes note alors avec appréhension que « le montant de la provision est significativement inférieur aux redressements mis à sa charge ». Jean-François Baloteaud, du cabinet AEG Finances, en tire les conséquences : il refuse de certifier les comptes de Reliance Flag Atlantic France. « Nous ne sommes pas en mesure de certifier si les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères, et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice », peut-on lire dans son rapport de janvier 2015. La facture fiscale totale s’élève à 151 millions d’euros. L’entreprise est en danger, elle a perdu plus de la moitié de son capital social, et ses capitaux propres sont insuffisants.

    Une très bonne nouvelle

    Quelques mois plus tard, une très bonne nouvelle arrive. Le nouveau commissaire aux comptes de la société, Fabrice Abtan, du cabinet Auréalys, note avec soulagement, dans son rapport du 29 septembre 2015, que l’entreprise Reliance Flag Atlantic France est « sur le point de trouver un accord avec l’administration fiscale grâce à une proposition de règlement d’ensemble pour un montant global entre 7,5 et 8 millions d’euros ».

    Exactement la même somme que l’administration fiscale avait refusée quelques années plus tôt pour le règlement du contentieux, alors beaucoup moins important. L’accord en bonne et due forme est signé rapidement, le 22 octobre 2015, soit un mois plus tard.

    Tous les rappels d’impôt sur les sociétés, de CVAE (cotisations sur la valeur ajoutée des entreprises) et de retenue à la source pour les exercices allant de 2008 à 2014, sont réglés contre la somme de 7,3 millions d’euros. Un joli gain pour Anil Ambani : il économise 143,7 millions d’euros d’impôts.

    Qu’est-il arrivé entre-temps ? Au début de l’année 2015, Anil Ambani est devenu un acteur clé dans le contrat des Rafale. Il multiplie les visites en France, comme ce lundi 23 mars 2015, où l’homme d’affaires indien est au ministère de la défense. Il y rencontre plusieurs conseillers de Jean-Yves Le Drian, selon un e-mail interne d’Airbus qui a fuité dans la presse indienne, dont Christophe Salomon, conseiller pour les affaires industrielles, Jean-Claude Mallet ou encore Geoffrey Bouquot. « Une visite confidentielle et programmée dans un délai très court comme vous pouvez l’imaginer », écrit Nicolas Chamussy au PDG d’Airbus, Tom Enders, dont il est le conseiller. « Le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian a rencontré à quelques reprises Anil Ambani, qui cherchait à développer des partenariats industriels avec des entreprises françaises de défense », explique sa conseillère presse, qui n’a pas souhaité préciser si les deux hommes ont évoqué le contrat Rafale, s’il était au courant du redressement fiscal de Reliance Flag Atlantic France, ni même des dates de leurs rencontres. « Le choix d’Anil Ambani comme partenaire industriel par Dassault relève uniquement de Dassault », ajoute-t-elle. François Hollande a pourtant affirmé le contraire, fin 2018, expliquant que la France avait « pris le partenaire qui lui avait été donné » par l’Inde.

    Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Affaire Rafale » : comment Anil Ambani est devenu un interlocuteur-clé de l’industrie française de la défense

    Une aubaine inespérée

    Rares sont ceux qui le savent, mais, dans les jours précédant l’annonce par M. Modi de son intention d’acquérir les trente-six Rafale, le 10 avril 2015, un coup de théâtre se prépare dans les coulisses de la négociation, qui va bénéficier à Anil Ambani. L’achat de trente-six appareils « sur étagères », c’est-à-dire tout droit sortis des usines françaises, est une bonne et une mauvaise nouvelle pour la France. Certes, les avions achetés seront tous produits et assemblés dans l’Hexagone, mais M. Modi vient d’enterrer le « contrat du siècle » remporté en 2012 par Dassault et qui prévoyait la livraison de 126 appareils, dont 108 assemblés sur le sol indien. Anil Ambani en était absent.

    Dassault négociait depuis trois ans avec le constructeur aéronautique indien public Hindustan Aeronautics Limited la construction d’une chaîne d’assemblage en Inde. En avril 2015, tout est annulé. L’appel d’offres est remplacé par un accord intergouvernemental entre l’Inde et la France. Et l’entreprise publique Hindustan Aeronautics doit laisser sa place à Anil Ambani. Même des responsables du ministère indien de la défense sont pris de court.

    Pour ce proche de M. Modi, c’est une aubaine inespérée. Car dans ce nouvel accord intergouvernemental signé entre les deux pays, les offsets, à savoir la partie du montant du contrat qui doit être réinvestie en Inde sous forme de compensation industrielle, sont particulièrement élevés. Ils atteignent environ 4 milliards d’euros, la moitié du prix de vente des avions. D’autres entreprises partenaires de Dassault, comme Thales, signeront des coentreprises avec Anil Ambani. Même si le montant des offsets doit être partagé avec d’autres sociétés indiennes, l’industriel indien se frotte les mains.

    Fin avril 2015, soit quelques jours après l’annonce par M. Modi de son intention d’acquérir trente-six Rafale, Anil Ambani enregistre l’entreprise Reliance Aerostructure Limited et forme une coentreprise avec Dassault. Savait-il déjà que les offsets lui reviendraient, alors que le contrat n’est pas encore signé ? Il le sera un an plus tard. Anil Ambani devient donc le nouveau partenaire de Dassault au moment même où, entre février et octobre 2015, l’administration fiscale accepte une transaction de 7,3 millions d’euros au lieu des 151 millions d’euros réclamés au départ.

    La théorie et la pratique

    Cette dette fiscale a-t-elle pu être annulée sur décision politique ? Sollicitée, l’administration fiscale, tenue au secret, ne fait pas de commentaire. Mais plusieurs sources bien informées expliquent au Monde la règle et la pratique.

    La règle, c’est que tout contribuable qui conteste un redressement a le droit à la révision de sa situation fiscale. S’il choisit de passer par un ministre pour le faire, celui-ci doit normalement en référer aux ministres de tutelle de la direction générale des finances publiques, c’est-à-dire aux ministres des finances ou du budget ou à leurs directeurs de cabinet. Saisie par leurs soins, l’administration centrale vérifie alors si le contrôle fiscal effectué par ses services est solide en droit ou s’il pourrait être remis en cause devant le juge et peut donc être révisé. Dans les deux cas, soit elle gère le dossier sans en informer le ministre soit, s’agissant de dossiers sensibles, elle adresse une note détaillant sa décision au dit ministre. Lequel est censé s’y conformer, par un document intitulé « approuvé ministre ».

    Mais la pratique, elle, tolère quelques entorses. Il est ainsi arrivé qu’un ministre saisisse la direction générale des finances publiques d’un sujet ou d’un dossier sensible bien qu’il n’en ait pas la tutelle. Ou mieux, passe par l’Elysée pour le faire.

    « Certains ministres ou chefs d’Etat sont plus interventionnistes que d’autres », glisse un haut fonctionnaire. L’administration centrale, scrupuleuse et jalouse de son indépendance, et dont toutes les décisions peuvent être contrôlées et doivent donc être justifiées, traite les dossiers selon le droit. Dans 95 % des cas, le ministre suit la décision de l’administration… mais il lui arrive aussi d’aller contre.

    Interrogé sur le cas Ambani, un expert du contrôle livre ce témoignage, sous couvert d’anonymat : « Même s’il arrive très souvent que des dossiers fiscaux restent coincés longtemps en contentieux et se résolvent soudain en faveur du contribuable, témoigne-t-il, le contexte politique peut peser, pour faire évoluer un dossier et en accélérer le règlement, notamment lorsqu’il s’agit d’un dossier présentant des faiblesses en droit, où le risque existe de se mettre des politiques à dos. » Ce que corrobore ce haut fonctionnaire : « Si un ministre de Bercy intervient avec peut-être une suggestion du ministre de la défense, l’administration fiscale, qui est indépendante et se fait fort de l’être, est alors clairement mise sous pression. »

    Vers une tempête politique en Inde

    Fin 2018, un proche collaborateur d’Anil Ambani s’était vanté auprès du Monde, d’avoir rencontré avec lui, au début de l’année 2015, « Emmanuel Macron dans son bureau à Bercy, où le problème fiscal s’est réglé par un coup de fil à son administration ». Le groupe d’Anil Ambani, Reliance Communications, contacté à de multiples reprises par Le Monde, n’a ni confirmé ni démenti, ne souhaitant pas faire de commentaire.

    Bercy explique qu’aucune trace de cette rencontre n’existe dans les agendas officiels. Même si elle n’y figure pas, a-t-elle eu lieu ? Le service de presse de l’Elysée a indiqué au Monde que, « dans la mémoire d’aucun des conseillers au cabinet [d’Emmanuel Macron, au ministère de l’économie], il n’y a eu un tel rendez-vous entre Emmanuel Macron et Anil Ambani. » « Celui-ci n’a d’ailleurs matériellement pas lieu de s’être tenu puisque la fiscalité n’était pas dans le portefeuille du ministre. »

    Président de la République au moment des faits, François Hollande a fait savoir, par l’intermédiaire de sa conseillère presse, qu’il « n’était pas du tout au courant », tout en ajoutant que « les enquêtes fiscales ne remontent jamais jusqu’au président ».

    Lire aussi Contrats de Rafale à l’Inde : François Hollande au cœur de la polémique

    De leur côté, le ministre des finances et le secrétaire d’Etat au budget de l’époque, Michel Sapin et Christian Eckert, déclarent n’avoir aucun souvenir d’un tel dossier et ont donc affirmé ne pas être intervenus au contentieux concernant Reliance Flag Atlantic France.

    Ces révélations visant Ambani sont susceptibles de provoquer une tempête politique en Inde, alors que viennent de commencer les élections générales. Du 11 avril au 19 mai, près de 900 millions d’électeurs sont appelés aux urnes pour renouveler le Parlement. Sans compter que la Cour suprême indienne a accepté, le 10 avril, d’enquêter sur le contrat Rafale et les soupçons de corruption l’entourant.

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  6. Quant on sait que Macron a lâché 10 milliards pour que les Gilets Jaunes arrêtent de tout casser, on se dit que financer 2 PA c'est pas si rédhibitoire. Surtout que le deuxième sera moins cher. On pourrait s'en sortir pour 7 milliards pour 2 PA

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  7. il y a 30 minutes, Patrick a dit :

    Oui il nous aura certainement ouvert les yeux sur bien des choses... Et il n'aura rien gagné à l'affaire. Si seulement DRAL pouvait lui trouver un job.

    Je ne comprends plus rien à cet affaire de Parikrama. Il n’essayait pas de construire son avion maison ?

    Quelqu'un pour m'expliquer ? :p

  8. D'ailleurs pourquoi l'A400M a été conçu avec une perche de ravitaillement plutot qu'un réceptacle ? Sur des gros avions qui ne peuvent se ravitailler que un par un, le débit élevé de la perche centrale parait beaucoup plus intéréssant

  9. Si ce genre de solutions se repandent ça veut aussi dire in recours à des missiles torpilles style MILAS. Et un recours à des capteurs deportes style petit drone trempe sonar et petit drone trempe bouée.

    De toute façon on va de plus en plus vers une deconnection physique entre capteur et plateforme de tir.

    Mais ça impose aussi avoir des contraintes de place : Ou caser ces missiles torpilles ? En VLS à la place des MdcN ? En rampe à la place des Exocets ? 

    La quantite de torpilles est aussi important donc faudra t il prevoir au sein d'une fregate un atelier d'assemblage du missile et de la torpille et un systeme de manutention pour recharger les rampes ? 

    En soit Il y a deux types de munitions. Les munitions qui doivent pouvoir partir tres vite à 360° qui imposent le VLS, et les munitions qui offrent des phases tactiques plus lentes permettant une certaine preparation et qui sont moins contraignantes quant à l'architecture.

    Par consequent on pourrait envisager in espace VLS et un espace armament modulaire ou les munitions seraient preparées et les rampes rechargées. 

    Pour le hangar pareil, on va vers des espaces modulaires pouvant mettre en oeuvre des helicos et embarcations mais aussi des drones aeriens et nautiques. Ou stocker des contenaires ou des modules missions supplémentaires. 

    Bref, une simple innovation comme le missile air air pour les sous marins pourrait avoir de grandes consequences sur l'architecture navale. Et nos fregates n'ont pas beaucoup de marge d'évolution.

  10. il y a 4 minutes, christophe 38 a dit :

    au combat, faite prisonnier, que va t il se passer ???

    est ce souhaitable ???

    On a déjà des femmes combattantes dans l'AdT. Le problème n'est pas vraiment là.

    C'est plutot l'aspect cohesion legion qui est un equlibre fragile avec des cultures tres diverses dans le rapport à la femme.

     

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  11. Il y a tout de meme un besoin de transporter du fret lourd, mais pas lourd style vehicle blindé, etc. Plutot des palettes, du vrac.

    L'idéal en effet ce serait une capacite de transport d'1 section complete de 40 gars avec son armement ou une section de tir mortier 120 de 2 pieces en soute avec leurs munitions et servants sans devoir tout démonter. 

    On pourrait vraiment deployer un SGTIA aeromobile avec une demi douzaine de Chinook et qqes Caimans en effet.

    Niveau vehicules en soute : paire de RHIB/Quad/Buggy ça suffirait

  12. Homogénéisation des flottes c'est une chimère. Les Cougar vont encore rester en service très longtemps de même que les Caracals. Ensuite il faudra alimenter les bureaux d'études d'Airbus et l'aider à lancer son X6 qui doit remplacer le Super Puma/Cougar dans sa gamme.

    Par contre on va quand même vers une rationalisation. A terme on devrait avoir le H160 qui remplace Gazelle, Fennec, Alouette, Panther, Dauphin ; le Caiman qui remplace les Puma et les Lynx et les Caracal FS, et donc le futur X6 qui remplacera les Cougar  pas FS.

    D’où l’intérêt de faire une machine assez lourde avec le X6 qui pourrait venir combler notre manque sur le haut su spectre.

    Mais bon on a le temps avant de voir arriver tout ça, beaucoup de choses peuvent changer.

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  13. Fusilier, tu pourrais détailler ce concept ALAT ?

    Et Philippe, les cougars ne seront pas remplacés par les NH. Déjà ils vont rester dans les forces encore pas mal de temps, et à ce moment là le nouvel helico d'Airbus sera sur les rails. Et en plus je ne pense pas que le NH ai une carrière très longue avec tous ses problèmes.

    Les besoins du COS n'ont rien à voir dans l'histoire.

  14. Je me demande si le futur hélicoptère qui remplacera les cougar ne devrait pas être du gabarit des Merlin anglais. Avec l'entrée en service du H160 qui est presque du gabarit d'un Puma, il y aurait peu d’intérêt à développer encore un hélicoptère médian. Sans avoir des Chinook qui coutent cher, ça permettrait de bien augmenter nos capacités. Pour les anglais le couple Merlin + Wildcat a l'air de bien fonctionner.

  15. Ce que le colonel explique c'est qu'en déployant nos troupes au sol on aurait pu reprendre Hajin en deux coups de cuillère à pot sans tout détruire. En soi, il n'a pas tort. Mais il omet complètement la partie politique du problème. Déployer des forces spéciales de manière officieuse c'est une chose, déployer nos troupes conventionnelles, en Syrie, sans aucun mandat qui nous y autorise et sans l'autorisation des Syriens, c'est tout de suite plus compliqué. C'est largement justifiable, mais le soucis c'est qu'après on risque de se prendre le retour de bâton avec des russes qui nous dirons au CS "oui mais vous vous avez bien des troupes au sol de manière illégale en Syrie, alors nous on fait pareil". Bref sur le plan politique ça remet totalement en cause notre ligne jusqu'à présent.

    Et comme le dit Colonio juste au dessus, le combat urbain n'est pas sans dégats non plus. Les Israéliens par exemple dans leurs tactiques n'empruntent plus les rues qui sont des zones mortelles et passent à travers les maisons en faisant sauter des trous à chaque mur, ce n'est pas non plus sans dommages sur l'infrastructure. Et si c'est vrai que nos bombardements peuvent générer des terros en herbe, une occupation directe par des "croisés" ça suscitera aussi sans doute des vocations, cf l'Irak ou l'Afgha. Tenir le sol c'est mieux, mais après il faut une solution politique dans tous les cas, et ça pas sur qu'on l'aie.

  16. Il y a 16 heures, Gibbs le Cajun a dit :

    Moins confortable, franchement je pense que ça ne changera pas grand chose pour un artilleur ou c'est surtout l'encombrement via la longueur qui est surtout embêtante, tant que le canon une fois que L'artilleur ou le servant de mortier  s'accroupi  (posture équipe de pièce au moment du tir au canon, mortier) avec l'arme en bandoulière dans le dos, qu'elle ne touche pas le sol, le reste ne va pas poser de problème. 

    Quand on voit que les US ont chez leurs artilleurs, logisticien ont des versions longue de M16 ( il doit y avoir des M4 je pense aussi) qu'ils ne portent pas avec eux quand ils travaillent sur leur pièce... Même au combat réel, Observé aussi chez les canadiens... 

    Je pense que c'est anecdotique la crosse tant que l'arme une fois accroupi ne voit pas le canon planté en terre. Après si le type est un nain c'est un autre problème qui sera de mise avec un FAMAS mais bon, il est pas grand le HK416F court.  

    Pour le poids, ça ne va pas non plus être la mort non plus même si on cherche à gagner du gain en poids , vu que l'arme sera en mode lisse sans optique and Co. C'est quoi le poids d'une crosse de HK416F ? 

    Sur un FAMAS le poids était au niveau de la crosse  car plus haut vu la configuration bullpup en mode arme sur le dos canon vers le bas ,  avec un poids qui n'est pas concentré sur la crosse comme sur le HK416F la différence compensera les quelques grammes de différence en terme de poids de la crosse du HK416F.

    Donc franchement je crois que la problématique de poids et de configuration de la crosse, c'est un faux problème pour un artilleur ou autres spécialistes qui seront équipé de HK416F court . 

     

     

     

    Je voulais dire la crosse fine est moins confortable pour le tir de GAF mais elle ne l’empêche pas. A la base le 14,5" c'est déjà une carabine prévue pour les équipages, etc. Là on donne la version 14,5" à l'infanterie et on donne une version encore plus courte aux équipages, donc autant aller jusqu'au bout de la logique et leur filer aussi la crosse fine, sinon on pouvait donner un seul fusil à tout le monde et ça aurait bien fonctionné. Enfin c'est du détail, mais je trouve ça dommage.

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