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La France et ses programmes UAV/UCAV


Philippe Top-Force
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Sperwer Mk. II Now Officially Available for Purchase

Posted by Christina Mackenzie at 6/14/2009 2:32 PM CDT

Safran revealed at a pre-Le Bourget press brunch today that its new Sperwer UAV, the Sperwer Mk.II, is now ready for the market “and has been available to potential customers from this month”, said Jean-Paul Herteman, Safran's CEO.

Made by Sagem, a 100% subsidiary of Safran, the Sperwer Mk. II will have greater autonomy than the one currently being deployed in Afghanistan by NATO forces, has a more powerful catapult and a new, more compact ground station. This ERS-RVT (End Reception Stations and Remote Video Terminal) NATO interoperable ground station was recently field tested by the French army's 61st Artillery Regiment. It comprises a tactical terminal and a man-portable transmitter-receiver, providing real-time, high-resolution displays of geo-referenced images, along with a digital map.

Herteman said that the group's strength in UAVs was “the quality of its optronics” and added that “we are open to any type of partnership and think that there could be openings in the security field, notably border patrols and that type of thing.”

Jean-Lin Fournereaux, Sagem's CEO, told me that a contract would be signed during the air show in the framework of the European Defense Agency's Midcas program aimed at solving the critical sense and avoid issue in order to enable UAVs to operate in civilian airspace.

La DGA a lancé l’acquisition de trois drones SDTI de nouvelle génération pour l’armée de terre

DGA, Ministère de la Défense

lundi 15 juin 2009, sélectionné par Spyworld

La délégation générale pour l’armement (DGA) a lancé l’acquisition de 3 véhicules aériens SDTI de nouvelle génération, dans le cadre du plan de relance de l’économie. Ces nouveaux véhicules aériens seront dotés d’ailes allégées, permettant d’accroître l’autonomie du véhicule aérien, en particulier en conditions d’altitude et de températures élevées. Leur livraison est attendue pour début 2010.

Cette nouvelle version du système de drone tactique intérimaire (SDTI) est visible dans l’espace Défense (emplacement ST - A 026) au salon du Bourget où le personnel du 61e régiment d’artillerie de l’armée de terre, servant ce matériel, présente l’emploi opérationnel du SDTI.

Déployé sur le théâtre afghan depuis octobre 2008, le SDTI a effectué le 15 mai sa centième mission de reconnaissance à partir de la base opérationnelle avancée de Tora en Surobi.

Mis en œuvre par l’armée de terre depuis 2004, les SDTI sont employés non seulement pour leur mission traditionnelle de recueil du renseignement et d’acquisition d’objectifs pour l’artillerie sol-sol, mais également dans le cadre de missions de protection des forces déployées.

Sagem et Stemme présentent Patroller™, système de drone de surveillance longue durée pour la défense et la sécurité

Sagem

lundi 15 juin 2009, sélectionné par Spyworld

A l’occasion du Salon du Bourget 2009, Sagem (Groupe Safran) et Stemme présentent pour la première fois Patroller™, nouveau système dual de drone de surveillance longue durée pour des missions de défense et de sécurité.

Conçu dans le cadre d’un partenariat industriel franco-allemand, Patroller™ combine les savoir-faire de Sagem en matière de systèmes de drones opérationnels et ceux de Stemme dans le domaine des moto-planeurs hautes performances.

Patroller™ intègre une chaîne image basée sur la charge utile d’observation optronique gyrostabilisé Euroflir 410 de Sagem et un pod radar SAR (Synthetic Aperture Radar) de chez OHB. Il pourra ultérieurement, en fonction des besoins, emporter d’autres charges utiles comme un relais aérien ou un radar maritime.

Ses caractéristiques lui permettront d’opérer à moyen terme dans les espaces aériens civils pour les missions de protection du territoire, de surveillance des frontières et des côtes, et de secours aux populations.

Mis en œuvre depuis une piste, le système Patroller™ est interopérable avec le système de drone tactique SDTI Sperwer* de Sagem, avec lequel il partage le même segment sol ainsi qu’une grande partie de l’avionique embarquée.

Le premier vol du Patroller™ s’est déroulé le 10 Juin 2009 depuis le site d’essai de Kemijarvi en Finlande appartenant à Robonic, filiale de Sagem. Au cours de ce vol, il a démontré ses objectifs de conduite de vol, de décollage automatique et d’atterrissage, et transmission d’images vidéo captées par son capteur Euroflir.

Faisant appel à des composants éprouvés, Patroller™ affiche des performances élevées (vitesse maximale de 170 kt, 30 heures d’autonomie et 250 kg de charge utile) et un excellent rapport coût-efficacité.

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http://www.defense.gouv.fr/dga/votre_espace/presse/communiques/2009/integration_des_drones_dans_la_circulation_aerienne_cinq_pays_europeens_s_engagent_dans_un_projet_porte_par_l_aed

Intégration des drones dans la circulation aérienne : la France, l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne et la Suède s’engagent dans un projet porté par l’agence européenne de défense.

Lors de la réunion des directeurs nationaux d’armement tenue le mercredi 17 juin 2009 au salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget, la France l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne et la Suède ont mandaté l’agence européenne de défense (AED) pour le lancement du programme MIDCAS (mid-air collision avoidance system) qui permettra à terme aux drones d’évoluer dans l’espace aérien général, ouvert aux autres aéronefs.

MIDCAS disposera d’une enveloppe budgétaire globale d’environ 50 millions d’euros sur une durée de 48 mois. Il réunira quatorze industriels et centres de recherches des cinq nations mandataires, dont Sagem Défense Sécurité et Thales Systèmes Aéroportés S.A. La Suède a été désignée nation chef de file du projet et Saab Aerosystems coordonnera l’action des cocontractants.

Actuellement les drones ne peuvent évoluer que dans des zones réservées, restreintes et temporaires, ce qui limite fortement leur usage pour les applications militaire, civile et de sécurité. MIDCAS a pour ambition de démontrer qu’un drone peut voler en toute sécurité dans un espace aérien non ségrégué, grâce à une solution technologique du type sense and avoid (détecter et éviter) lui permettant de déterminer toute situation de collision potentielle et de manœuvrer en conséquence. C’est la transposition aux drones, par le biais d’un système automatisé, de la procédure see and avoid (voir et éviter) appliquée par les pilotes.

Le programme MIDCAS sera conduit en étroite collaboration avec les organismes européens compétents du domaine, à savoir l’organisation européenne pour la sécurité de la navigation aérienne (Eurocontrol), l’organisation européenne pour l’équipement de l’aviation civile (Eurocae) et l’agence européenne de la sécurité aérienne (EASA). Une coordination transatlantique sera établie avec des organismes tels que la Radio technical commission for aeronautics (RTCA) et la Federal aviation authority (FAA).

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Les yeux de l'armée de terre.

TTU : L’armée de terre a confié ses yeux aux «Diables noirs» du 61e régiment d’artillerie de Chaumont. Un temps considérés comme à part dans le dispositif, mais soutenus par la Brigade du renseignement et poussés, à l’époque, par le général Chéreau, les dronistes ont su se faire respecter.

En Afghanistan, plus qu’ailleurs, leur rôle ne cesse de croître. Cette guerre d’Afghanistan est un huis clos, où le dédale de vallées insurrectionnelles protégées par des massifs alpins dessine des recoins et caches naturelles ombragées idéales pour l’insurgé. Un relief insolent et crépusculaire où le drone tactique (le SDTi produit par Sagem), sans remplacer la recherche humaine, constitue une source majeure de renseignement, dont aucun chef militaire ne peut plus se passer. La preuve par l’image en temps réel devient un luxe vital. Le mollah Omar pris dans l’œil du SDTi en train de se déplacer à bicyclette avant de disparaître entre deux vallées peut conduire à des actions de ciblage, ou bien renseigner le dossier sur les habitudes du mollah. Les exemples de ce type se ramassent à la pelle. Le SDTi, seul drone tactique de l’armée de terre, a mis en joue le territoire caméléon de l’Afghanistan. Un territoire qui procède par ruse en rendant le quotidien et l’ordinaire difficiles : personnel local aux cuisines peu regardant sur l’hygiène, traitement des eaux sujet à caution, feuillées rustiques (la logistique pléthorique américaine s’affranchit de ces tracasseries)...

Mais comme le soulignent les dronistes de Chaumont, surnommés par leurs camarades montagnards et parachutistes leurs «anges gardiens», c’est aussi cela l’aguerrissement. De rotation en rotation, l’hostilité s’apprivoise et devient supportable. Pourquoi le SDTi est-il essentiel ? Parce qu’il est le seul drone tactique à couvrir le besoin d’une observation de 80 km sur 80.

Le CEMAT l’a bien compris, les autres solutions drone, comme le Drac et le Harfang (EADS), couvrent d’autres types de besoins. Mis en œuvre en vingt minutes pour une heure d’autonomie et une altitude de travail d’environ 300 mètres, le Drac est considéré par les opérationnels comme la jumelle déportée dont ils ont besoin pour voir au-delà du mur à 10 km.

Quant au Harfang, il bénéficie de la permanence en vol, mais reste gêné en cas de couche nuageuse épaisse fréquent en Afghanistan. Pour l’appui aux opérations des détachements à pieds ou en véhicules (plus de 60 % des missions du 61e RA), le drone tactique semble irremplaçable, car il voit jusque dans les enfilades ombragées. Il vole au-dessous de la brume et des nuages. Pour son emploi optimal, un premier retour d’expérience a été réalisé au Kosovo (décembre 2007-août 2008). Sur 128 missions programmées, 71 ont été réalisées pour un seul crash. Parmi les points négatifs ont été relevées les contraintes de maintenance (rechanges critiques…), la mise en œuvre laborieuse des axes images en entrée de théâtre… Avec sept annulations pour cause de panne.

Au Liban, le SDTi n’a pas été déployé suite à des pressions du Hezbollah, qui a perçu le drone comme une menace venant du ciel. L’argument développé par certains, selon lequel le SDTi ne pouvait pas être déployé parce qu’il ne pouvait pas s’insérer dans le trafic civil aérien, était donc totalement faux. D’autant que le système jouit d’une antenne ACT (dévolue au trafic aérien) et d’un transpondeur IFF l’autorisant à s’insérer dans tout type de trafics. En Afghanistan, l’insurgé se fond dans l’insolence du terrain. Il est un capteur humain de renseignement, l’œil des chefs talibans. A chaque lancement de drone depuis la base avancée de Tora (Surobi), l’insurgé communique malgré les protections de guerre électronique. Et, alors que le simple paysan ou berger ne sourcille jamais au survol du SDTi (le moteur thermique du drone s’entend à partir de 600 mètres), l’insurgé bouge dans la seconde. Il a quelque chose à se reprocher. «Nous avons su transformer le bruit du SDTi en valeur ajoutée», remarque un commandant tout juste de retour de Surobi. Lors des opérations, la phase la plus délicate reste l’atterrissage et la récupération. En effet, le SDTi ne se pose pas (il ne plane pas non plus), il coupe le moteur en vol, ouvre son parachute et ses airbags, puis se pose. Mais le bilan est globalement positif puisque, sur une centaine de missions, seuls deux crashs accidentels sont à signaler, le SDTi n’ayant jamais été pris pour cible. Pour coller au besoin défini par la guerre, Sagem a développé le Remote Video Terminal (RTV – transmission en bande C et L), avec une réception de la vidéo SDTi jusqu’à 20 km sur un ordinateur portable dédié. L’intérêt du système, compatible avec son cousin américain de L3 Com Rover (imagerie Predator), est pour la France de conserver sa propre solution et ne pas se laisser imposer le très onéreux Rover (monopole Otan). A court terme, la numérisation devrait être totale avec un dialogue possible entre le Drac, le SDTi, voire le Harfang, les informations pouvant être réceptionnées dans un «VAB Image». En outre, le RTV présente l’avantage de donner la position du drone en temps réel sur un fond de carte numérisée. Le commandant des opérations reçoit en roulant non pas un simple compte-rendu par message, mais une image sur un fond de carte qui pourrait être renseigné «ami-ennemi». Cette retransmission peut aussi être réceptionnée au Centre de planification et de conduite opérationnelle à Paris. Quelle relève pour le SDTi ? La STAT (Section technique de l'armée de terre) et le régiment s’orientent vers un système VTOL (capacité de décollage et d'atterrissage vertical), avec un test d’une solution proposée par la société Schiebel en septembre. Par ailleurs, pour prolonger jusqu’en 2016 (serons-nous toujours en Afghanistan dans sept ans ?) la vie du SDTi, le parc SDTi canadien sera racheté, notamment les ailes allégées (permettant l’emport de carburant supplémentaire), le rechange et la catapulte Robonic plus puissante en cas de vent de face (fréquent en Afghanistan), pour un montant inférieur à 5 millions d’euros.

L’objectif de l’armée de terre est d’accoutumer les autres armes à l’emploi du SDTi et du drone tactique en général. En septembre, le 2e REP suivra une formation avant son déploiement en Afghanistan. Par manque de moyens, le 2e REI n’a pas pu bénéficier de la formation complète. A terme, l’armée de terre espère disposer de toute la panoplie des drones, de la jumelle déportée au MALE (moyenne altitude longue endurance) en passant par le drone tactique, voire le drone de combat.http://www.ttu.fr/francais/Articles/Actualite%20des%20forces/lesyeuxdel'armee.html

Les drones en force !

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  • 3 weeks later...

http://lemamouth.blogspot.com/2009/07/rover-vs-sarmti.html

La mise aux normes Rover du drone Harfang de l'armée de l'Air va peut-être s'avérer plus complexe que prévu. Le faible espace disponible à bord du drone en serait la cause directe : une des options consisterait notamment à loger l'électronique Rover nécessaire en lieu et place du radar à ouverture synthétique (SAR/MTI). Alors que cet équipement est précisément un des atouts auquel l'ISAF fait très régulièrement appel.

L'intégration totale de Rover était prévue d'ici la fin de l'année 2009, avec une capacité initiale qui était annoncée à l'été, mais qui a pu glisser, du fait du retard enregistré dans la livraison des systèmes Rover.

Rover, développé par l'Américain L3 COM permet à un opérateur au sol de récupérer la production images d'un drone ou de la nacelle de targetting équipant un avion de combat. Plusieurs versions de Rover existent, permettant à l'opérateur terrestre de "prendre la main" sur les capteurs embarqués à bord de l'aéronef. Rover doit également équiper le Mirage 2000D de l'armée de l'Air, et les SEM de l'Aéronavale : les premiers essais avaient eu lieu au centre d'essais en vol (CEV) d'Istres, en octobre dernier.

Sagem a développé une capacité de ce type pour les drones SDTI de l'armée de Terre, mise en oeuvre en Afghanistan depuis le début du mois de juin.

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http://lemamouth.blogspot.com/2009/07/rover-vs-sarmti.html

La mise aux normes Rover du drone Harfang de l'armée de l'Air va peut-être s'avérer plus complexe que prévu. Le faible espace disponible à bord du drone en serait la cause directe : une des options consisterait notamment à loger l'électronique Rover nécessaire en lieu et place du radar à ouverture synthétique (SAR/MTI). Alors que cet équipement est précisément un des atouts auquel l'ISAF fait très régulièrement appel.

L'intégration totale de Rover était prévue d'ici la fin de l'année 2009, avec une capacité initiale qui était annoncée à l'été, mais qui a pu glisser, du fait du retard enregistré dans la livraison des systèmes Rover.

Rover, développé par l'Américain L3 COM permet à un opérateur au sol de récupérer la production images d'un drone ou de la nacelle de targetting équipant un avion de combat. Plusieurs versions de Rover existent, permettant à l'opérateur terrestre de "prendre la main" sur les capteurs embarqués à bord de l'aéronef. Rover doit également équiper le Mirage 2000D de l'armée de l'Air, et les SEM de l'Aéronavale : les premiers essais avaient eu lieu au centre d'essais en vol (CEV) d'Istres, en octobre dernier.

Sagem a développé une capacité de ce type pour les drones SDTI de l'armée de Terre, mise en oeuvre en Afghanistan depuis le début du mois de juin.

C'est intéressant car sur le SDTI il y a une charge utile en principe un peu plus basse que sur le SDIM et pas clairement plus de place.
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  • 4 weeks later...

Patroller on Patrol

Posted by Robert Wall at 7/30/2009 7:20 AM CDT

Sagem has finally released some pictures of the Patroller unmanned aircraft that undertook flight trials last month in Kemijarvi, Finland.

Image IPB

The long-endurance UAV is a joint development between Sagem and light-aircraft maker Stemme. The goal is to qualify the system next year.

Image IPB

The longest of the flights ran 10 hours. Eventually, the Patroller is supposed to achieve 30 hours of autonomous flight, with an operating altitude of 25,000 ft. and max-speed of 300 km/h.

The converted manned aircraft is designed to carry Sagem’s Euroflir 410 electro-optical payload as well as a synthetic aperture radar pod from Germany’s OHB Technology.

Eight flights were completed in Finland, which focused on exploring the basic flight characteristics of the vehicle and potential for long-range missions.

Sagem says the vehicle is compatible with its Sperwer tactical UAV.

http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a84954da7-6d33-4d22-a1dc-1c58da7865d0

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Patroller on Patrol

Posted by Robert Wall at 7/30/2009 7:20 AM CDT

Sagem has finally released some pictures of the Patroller unmanned aircraft that undertook flight trials last month in Kemijarvi, Finland.

Image IPB

The long-endurance UAV is a joint development between Sagem and light-aircraft maker Stemme. The goal is to qualify the system next year.

Image IPB

The longest of the flights ran 10 hours. Eventually, the Patroller is supposed to achieve 30 hours of autonomous flight, with an operating altitude of 25,000 ft. and max-speed of 300 km/h.

The converted manned aircraft is designed to carry Sagem’s Euroflir 410 electro-optical payload as well as a synthetic aperture radar pod from Germany’s OHB Technology.

Eight flights were completed in Finland, which focused on exploring the basic flight characteristics of the vehicle and potential for long-range missions.

Sagem says the vehicle is compatible with its Sperwer tactical UAV.

http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a84954da7-6d33-4d22-a1dc-1c58da7865d0

En choisissant un motoplaneur comme base et en y mettant un radar SAR allemand, est ce que par hasard SAGEM n'aurait pas envie de s'inviter dans la question du Drone MALE pour lequel les Allemands n'ont pas l'intention de sélectionner l'Advanced UAV d'EADS ...

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En choisissant un motoplaneur comme base et en y mettant un radar SAR allemand, est ce que par hasard SAGEM n'aurait pas envie de s'inviter dans la question du Drone MALE pour lequel les Allemands n'ont pas l'intention de sélectionner l'Advanced UAV d'EADS ...

Les deux appareils ne jouent pas vraiment dans la même catégorie. L'endurance est à peu près la même, c'est tout. La charge utile n'est pas la même, la vitesse n'est pas la même, etc...

@+, Arka

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Thalès a déjà essayé de proposer son Watchkeeper en location mais les hussards de l'AdT aiment bcp leurs Sperwer d'où la commande récente d'une dizaine de Sperwer MkII au Bourget 2009

D'autre part j'ai lu je ne sais plus où que l'on étudiait un emport d'armement sous les SidM vu que c'étaient les seuls appareils de la coalition en A-Stan à n'être pas armés.

Mais c'est sur qu'il n'y a rien qui ait la charge utile du Reaper voire du futur Mantis.

Voire pas de programme de turboprop-UCAV type Reaper, intermédiaire en attendant le Neuron, à la différence du Mantis de Bae.

Peut-être y avait il une réticence de l'AdA de crainte que cela n'entraine une diminution de la composante pilotée, à un moment où il était crucial de sécuriser le nombre de Rafales à commander.

Maintenant si il y a le maintien de la ligne de production via l'export qui entraine de facto une diminution des commandes française comme envisagé par ailleurs peut être que des options pourraient apparaitre :

Par exemple un Super Tucano en compensation de la commande Brésilienne pour lequel on envisagerait une version pilotée et non pilotée (comme cela était envisagé pour l'A-67 Dragon)

En rappelant que Dassault avait travaillé sur un proto mixte pour l'aéronavale à partir d'un petit avion (plus gros qu'un motoplaneur comme Sagem patroller) avant que les drones hélicopter soient sélectionnés.

Pour Arka :

Les allemands à ma connaissance ont fait leur deuil de l'Advanced UAV d'EADS et loucheraient sur une solution à base d'Heron (même pas TP) donc de même range de charge utile, altitude etc...

et peut être seraient intéressés par le SiDm (peut être du fait de sa liaison satellite).

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Comme qui dirait qui tu sais BPC  :lol: Il n'y a pas assez de crédits, il faut préserver notre BITD, il faut dégraisser, il faut sauver le A400M, il faut mieux équiper notre Rafale, il faut attendre la bosse, il faut préserver ce qui est à sauver, il faut des bombes et des missiles, rien à foutre de l'Afghanistan  :lol: bon tu vois ce que je veux dire, on rigole mais quand tu vois la charge militaire et l'emportabilité d'un Reaper par rapport à un Mirage F1 ou 2000D, tu pleures. Pour le Sperwer, c'est surtout qu'on récupère ceux des Canadiens et des Danois qui n'en veulent plus, et les terriens ne veulent pas perdre d'autres parcs blindés au profit de ce qui volent. Donc chacun se préserve, se replit, se défend pour ne pas perdre ses prérequis, résultat même les Italiens auront plus de drones que nous. La France seule contre toute.  :lol:

Par contre, je n'ai rien contre les drones de combat et le démonstrateur technologique NeuroN, je veux juste dispoder maintenant et pas dans 10 ans d'un drone armé, comme savent le faire nos homologues britanniques, américains, israéliens ou italiens. Encore une occasion de perdue de bien équiper nos troupes en guerre là-bas, à si des fois on s'inspirait des Bataves/Britanniques/Danois/Australiens qui sont plus pragmatiques et réactifs à mieux optimiser/équiper/rendre meilleure leurs forces armées.

Coup de gueule de l'été  =(

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http://lemamouth.blogspot.com/2009/08/deux-harfangs-en-cognac.html

Comme ce blog le pressentait en juin, le drone SIDM présenté par EADS au Bourget campe désormais sur la base aérienne de Cognac, futur nid des dronistes de l'armée de l'Air. Ce Harfang (et sa station-sol), le 4e détenu par l'armée de l'Air servira à assurer la formation de la pépinière de spécialistes de l'escadron Adour. Actuellement, un petite vingtaine de ses membres sont déployés en Afghanistan, à Bagram, au service de l'ISAF. Vraisemblablement jusqu'en février prochain, soit un déploiement exceptionnel d'un an, pour un matériel qui venait à peine d'entrer en service (1).

Un deuxième Harfang campe à Cognac, mais celui-là n'est pas en état de voler, dans l'immédiat. C'est l'engin qui avait été légèrement endommagé en opérations, suite, vraisemblablement, à un gel intervenu sur un pitot. Des réparations devraient être engagées à la rentrée pour le rendre le plus rapidement possible au cycle des opérations (2).

Même avec deux drones Harfang, l'Adour peut toutefois offrir une cadence quotidienne de vols, voire même, en urgence, tuiler le vol de deux engins. C'est, en fait, plus le manque de personnels formés qui conditionne l'activité de l'escadron en Afghanistan. D'où l'urgence de former la relève, et les renforts. CQFD.

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In addition, the MoD will continue to invest in a research programme headed by BAE into an unmanned combat aircraft called Taranis.

In Britain, BAE, Rolls-Royce and QinetiQ are developing Mantis as their offering in the MALE UAV sector. Thales and Dassault are working on a French model called Neuron, while EADS is building a German, French and Spanish system called Talarion.

A part faire une grossière erreur sur la nature du programme nEUROn c'est de la smoke.

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  • 1 month later...

Un projet Mort Né ??? :

DATE:11/09/09

SOURCE:Flight International

DSEi: EADS defence chief urges UK to consider Talarion UAV

By Craig Hoyle

http://www.flightglobal.com/articles/2009/09/11/332135/dsei-eads-defence-chief-urges-uk-to-consider-talarion-uav.html

EADS hopes to secure a production commitment by year-end from the three partners on its Talarion unmanned air vehicle project. The company believes the effort could also attract involvement from countries including the UK, says Stefan Zoller, chief executive of EADS's Defence & Security business unit.

http://www.flightglobal.com/assets/getAsset.aspx?ItemID=30771

Zoller says EADS "will target something" by the end of the year to have a commitment from France, Germany and Italy. "Everything in technical terms and in commercial terms has been checked by the experts in the three nations in depth."

EADS unveiled its Talarion system at June's Paris air show after a risk-reduction phase lasting almost two years.

Zoller says the European capability has already attracted interest from Turkey, and believes the UK could be another potential future participant. Speaking ahead of the DSEi show in London, he said: "I can hardly see a standalone UK approach: it's a huge investment. If we were to discuss with the UK, the requirements and the missions would be very much the same."

EADS has already spent more than €500 million ($728 million) of its own money on the pursuit of the Talarion system, which it says is capable of performing 20 different mission types.

But Zoller cautions that "time is running" to finalise a production deal. "We can't lose more time, because we need something like this. If we don't do it now then my strong conviction is that Europe is gone - we are 10 years late at least," he says.

The UK is pursuing its own concept demonstration with the BAE Systems Mantis UAV. The programme's lone flight-test aircraft has been at the Woomera test range in South Australia since early this year and is being prepared for its flight debut. The effort is intended to prove the ability of UK industry to develop a sovereign-controlled medium-altitude, long-endurance UAV, and de-risk the possible future acquisition of a similar system.

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http://www.lesechos.fr/info/aero/300380288-exclusif-la-france-renforce-ses-moyens-d-observation-militaire.htm

EXCLUSIF : la France renforce ses moyens d'observation militaire

[ 06/10/09  - 20H59  - actualisé à 20:59:00  ]

Hervé Morin a annoncé l'achat d'un drone Harfang supplémentaire à EADS, et de six drones tactiques SDTI d'occasion au Canada. 

Partie très en retard par rapport aux Etats-Unis ou à Israël, la France va renforcer ses moyens militaires en matières de drones, ces avions sans pilotes très en vogue dans les conflits actuels pour la surveillance des théâtres d'opérations. Invité à plancher sur le budget de son ministère pour 2010, Hervé Morin l'a annoncé en fin d'après-midi aux députés de la commission de la Défense de l'Assemblée nationale, selon des sources concordantes.

Cela va d'abord passer par la commande à EADS d'ici à la fin de l'année d'un quatrième drone Male (moyenne altitude longue endurance) Harfang. Deux exemplaires de cet appareil, aussi appelé "SIDM", sont actuellement déployés en Afghanistan, tandis que le troisième est en réparation.

Paris va par ailleurs acheter six drones tactiques SDTI (fabriqués par Sagem) d'occasion au Canada

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http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-10-11/afghanistan-exclusif-la-france-etudie-l-achat-en-urgence-de-drones-predator/1648/0/384722

EXCLUSIF : la France étudie l'achat en urgence de drones Predator aux États-Unis

Dans la plus grande discrétion, la France étudie l'achat aux États-Unis, auprès du constructeur General Atomics, de plusieurs drones Reaper MQ-9, également connus sous le nom de Predator B.

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Top-action

Marre des anti-US et anti-Israéliens

dimanche 11 octobre | 18:25

Le Royaume-Uni de Grande-Bretagne, l'Allemagne et l'Italie, 3 grands en Europe qui disposent des industries de défense, d'aéronautique et d'électronique de défense de haute valeur, n'ont pas eux aussi des drones armés matures et combat, ils sont donc pragmatiques et décident ainsi d'acquérir des Prédator et des Reaper, ils n'ont pas perdu pour autant leur autonomie compétitive, leur souveraineté et leur compétivité.

Londres et Rome peuvent donc les déployer en Afghanistan. Berlin va faire l'achat. Ils ont des décideurs politiques et militaires qui ne perdent pas de temps, sont plus réactifs pour protèger leurs troupes en zone de conflit asymétrique et de combat.

C'est la guerre, et il n'y a pas de temps à perdre avec des futilités et des banalités de discussion de comptoir. Marre des gens jamais contents qui sont les rois des claviers et qui n'apportent aucune solution pour contribuer à l'effort de guerre, des soldats présents à l'autre bout du monde.

Si General Atomics les propose sur le marché, c'est qu'il a eu les crédits de R&D et R&T, les ingénieurs et les compétences et l'idée de les concevoir en premier. Ils sont donc leaders sur ce créneau.

Si les grands comme l'USAF/DIA/CIA/USArmy/RAF/FAI en sont équipés, c'est que la famille de ces drones armés sont compétitifs, fiables et opérationnels. Pourquoi ne pas alors s'en priver?.

Que l'on continue de donner les crédits pour le démonstrateur technologique de drone furtif de combat type NeuroN. Et que l'on fasse le nécessaire pour que nos forces aériennes soient mieux équipées.

En quoi ce serait une honte, si l'armée de l'air française était dotée de 6 Globemaster III C17A + 50 A400M + 14 KC390. Le Livre Blanc préconise 70 aéronefs de transport. 204 Rafale Air + un escadron de drone armé MQ-9 Reaper + des M2000DR. Pourquoi l'ALAT n'aurait pas 92 TTH90+41 Chinook CH47F, contrat OTAN remplis puisqu'il faut 133 HM en parc pour en mettre 100 en ligne. Pourquoi l'aéronavale n'aurait pas 58/60+30 Rafale M en dotation AdA pour armer 2 portes-avions, PANCDG+PA2. On serait mieux équipé, plus crédible et on n'aurait pas perdu POUR AUTANT notre autonomie, notre BITD, nos industries.

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