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La France et ses programmes UAV/UCAV


Philippe Top-Force
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Pour une flotte de 60 drones de type HALE///MALE un programme Franco-Français vaudrait le coup d'autant qu'on est plus dans la déprime du Rafale invendable.

Une fois le projet lancé il y aura bien un ou deux raccros pour nous rejoindre vu l'empressement des un et des autres à se lancer seul.

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Ben ouais, Philou va être content ...  :-\

Pour ce qui est du Héron-TP, ça patine sec.

Une brève est parue dans A&C de fin Janvier sur l'inflation des coûts en négociation. L'ensemble du "package" se montrait à 650 M€ pour 7 systèmes et francisation Satcom (Thalès, à développer ...), pour une enveloppe initiale budgétée à 350 M€ par l'état (+150 pour Dassault + 150 pour Thales).

Ce qui explique, en partie le temps de négo qui s'étire et se conclura au-delà des futures élections.

Si c'est de moi dont tu parles Tactac, je n'ai jamais dis que j'étais content de l'éviction du Talarion. =) Même si ma préférence va sur l'achat en urgence opérationnelle et sur étagère du MQ-9 Reaper, offre rapidement opérationnelle, interalliés (USA/UK/It/...probablement d'autres) et moins onéreuse.L'aéronef avait aussi les faveurs des utilisateurs.Le Reaper pouvait être commandé vers 2008/2009.

Mais ni du côté de Madrid ni du côté de Berlin, les opérateurs ne font pas le forcing pour le Talarion et encore moins des crédits étatiques de ces 2 pays ne sortent.

Coût global 1,4 M€ (développement) Les rapporteurs parlementaires relèvent que le coût global du programme s’élèverait à 2,9 milliards d’euros.(A ce prix là, on a un beau PA2  :lol:) sources publiques de 2009.http://www.assemblee-nationale.fr/13/rap-info/i2127.asp#P909_103188

Prix par système: Inférieur à 100 M€ pour des systèmes d’une station sol et trois vecteurs, ainsi qu’un soutien initial

À ce jour, une étude de risque de 60 millions d’euros est achevée, avec des conclusions favorables. Elle a été financée à hauteur de 20 millions d’euros par chacun des États.

Toutefois, outre son coût élevé, les rapporteurs notent que la complexité du programme ne laisse espérer une livraison qu’entre 2018 et 2020 selon la DGA, dans l’hypothèse d’une commande passée en 2010. Il s’agit en effet de développer un système de drones de nouvelle génération. Selon l’industriel, il faudrait 380 millions d’euros d’ici à 2014 pour développer le programme (part française).

Surtout, des incertitudes pèsent sur son avenir, compte tenu du partenariat sur lequel il repose. Au cours de leur déplacement en Allemagne, les rapporteurs ont constaté que l’armée de l’air allemande n’avait pas encore arrêté ses choix, indiquant avoir besoin d’une année supplémentaire pour préciser son besoin opérationnel. Par ailleurs, la capacité d’emport d’armes, pourtant indispensable du point de vue des rapporteurs, reste taboue de l’autre côté du Rhin. Enfin, ce projet supposerait de développer en Allemagne des capacités industrielles nouvelles (avionique à réaction), ce qui ne relève pas nécessairement d’une politique cohérente au niveau européen, ces capacités existant déjà au Royaume-Uni et en France. On notera toutefois que le gouvernement espagnol a réaffirmé son attachement à ce programme, par une lettre au gouvernement allemand.

Enfin, l’industriel a tout récemment indiqué aux rapporteurs avoir transmis à ces gouvernements des propositions d’améliorations techniques et financières de son offre de mai 2009, ainsi que du calendrier des livraisons (les détails de cette nouvelle proposition restent à confirmer).

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http://saintcloudccfecgc.da.free.fr/Compte-rendus/2004/A_Actu%20-5.htm

REUNION D’INFORMATION SUR LES DRONES

Monsieur Charles Edelstenne a réuni, le 23 juin, les directeurs de la Société, le secrétaire du CCE et les représentants syndicaux au CCE pour les informer des accords passés dans le domaine des UAV (drones de surveillance) et des UCAV (drones de combats).

Il a rappelé les trois principaux axes de notre stratégie dans le domaine des UAV :

ü     Assurer une présence de Dassault Aviation sur tous les segments du domaine des UAV

ü     Assurer de manière efficace la maîtrise d’œuvre du démonstrateur d’UCAV

ü     Démontrer, au travers du programme UCAV, une approche innovante de la coopération européenne basée sur l’excellence de chacun.

Les différents programmes se présentent de la façon suivante :

LOGIDUC

ü     Le PETIT DUC a fait son premier vol en juillet 2000. Il a validé les options prises sur la furtivité et le pilotage sans dérive avec sa deuxième version.

ü     Le MOYEN DUC doit voler au troisième trimestre 2004. En coopération avec la SAGEM, il doit valider le concept multimission des UAV. Il servira de base à la proposition de drones tactiques SLOW-FAST développée par la société commune DSTU (Dassault SAGEM Tactical UAV)

ü     Le GRAND DUC s’appelle maintenant NEURON. Il s’agit d’un programme d’UAV de combat développé sous maîtrise d’œuvre Dassault lancé par la DGA en juin 2003. Le premier vol est prévu pour 2009. Des accords cadres ont été conclus avec la Suède et la Grèce ; EADS Espagne est aussi partie prenante. D’autres pays dont la Suisse sont en négociation.

EUROMALE

ü     Ce programme d’UAV de reconnaissance stratégique a amené Dassault à conclure un important accord avec EADS qui n’a et n’aura aucune conséquence sur la structure du capital de notre société. Le ministre de la Défense l’a qualifié de fondateur, d’autres l’ont qualifié d’historique. EADS assurera la maîtrise d’œuvre et Dassault Aviation sera responsable de la conception du segment vol, c'est-à-dire la définition de l’architecture du système embarqué et la fonction contrôle du véhicule aérien ; nous assurerons également la responsabilité des essais en vol et vol de « l’avion » EUROMALE. Ce programme de drone MALE ( Moyenne Altitude Longue Endurance) est basé sur l’Eagle 2 d’IAI (société israélienne)

UAV de surveillance maritime

ü     Ce troisième programme a été récemment retenu par la DGA, au profit de la Marine Nationale. Ce programme est appelé DELE (Drone Embarqué de Longue Distance). A partir d’une cellule d’aviation générale (petit avion ALTANIA développé par CR2A), la société propose une « dronisation » en coopération avec THALES et ELBIT Systems. Ce projet aura une capacité duale – piloté – téléopéré - avec décollage à partir de bâtiments à pont continu.

HALE (Haute Altitude Longue Endurance)

La Société propose, en collaboration avec EADS, de conduire une étude de faisabilité d’un système HALE.

Les différents programmes de drones sont résumés dans le tableau suivant :

Appareil

Mission

Maître d’oeuvre

Partenaires

Drone tactique

SLOW-FAST

(issu du MOYEN DUC)

Surveillance du champ de bataille + …

DSTU

(Dassault-SAGEM)

NEURON

(UCAV)

Combat air-sol

Dassault Aviation

SAAB, HAI, EADS-CASA …

EUROMALE

Reconnaissance moyenne altitude

EADS

Dassault Aviation,

THALES,

IAI (Israël)

DELE

Surveillance maritime

Dassault Aviation

CR2A

THALES

ELBIT (Israël)

La politique

Au-delà de tous ces programmes de drones en développement, il apparaît que la direction prise par la Société pour l’avenir est de capitaliser sur :

ü     Nos compétences acquises en tant qu’architecte de systèmes avions,

ü     Notre approche pragmatique de la coopération à coûts maîtrisés,

pour nous placer au carrefour des développements de futurs aéronefs de combat européens.

Nous aurions ainsi vocation à être le fédérateur des compétences des industries de défense européennes de demain.

cela date de 2004 mais on y voyait une stratégie d' ensemble des drones avec notamment les programmes DELE pour les ponts plat et SlowFast comme petit drone tactique de remplacement des CL-289 , ce n'est que maintenant que DCNS fait bosser ses équipes sur l'accueil de drones à ailes fixes sur BPC et que MBDA propose une sorte d' hybride avec le FireShadow dans le registre du drone léger tactique contairisable , mais toutefois avec deux défauts : pas récupérable et pas très furtif comme pouvait l'être le projet slowfast...
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http://saintcloudccfecgc.da.free.fr/Compte-rendus/2004/A_Actu%20-5.htm cela date de 2004 mais on y voyait une stratégie d' ensemble des drones

EUROMALE

ü    Ce programme d’UAV de reconnaissance stratégique a amené Dassault à conclure un important accord avec EADS qui n’a et n’aura aucune conséquence sur la structure du capital de notre société. Le ministre de la Défense l’a qualifié de fondateur, d’autres l’ont qualifié d’historique. EADS assurera la maîtrise d’œuvre et Dassault Aviation sera responsable de la conception du segment vol, c'est-à-dire la définition de l’architecture du système embarqué et la fonction contrôle du véhicule aérien ; nous assurerons également la responsabilité des essais en vol et vol de « l’avion » EUROMALE. Ce programme de drone MALE ( Moyenne Altitude Longue Endurance) est basé sur l’Eagle 2 d’IAI (société israélienne)

:P

Le principe allemand est d'attendre les français (et peut-être leurs propres élections ...) pour relancer ce principe ...

ça fait donc 8-9 ans de retard sur le principe du projet ...  :P

On était apparemment pas assez en retard sur les drones MALE par rapport aux US/Israel/GB  :oops:  :oops:

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:P

Le principe allemand est d'attendre les français (et peut-être leurs propres élections ...) pour relancer ce principe ...

ça fait donc 8-9 ans de retard sur le principe du projet ...  :P

On était apparemment pas assez en retard sur les drones MALE par rapport aux US/Israel/GB  :oops:  :oops:

http://www.lefigaro.fr/international/2012/02/16/01003-20120216ARTFIG00703-londres-et-paris-relancent-leur-cooperation-militaire.php

Londres s'est aussi dressé contre la tentation française d'attirer l'Allemagne pacifiste, antinucléaire et rétive au combat sur le terrain, dans les projets de défense franco-britanniques. «Les Britanniques sont à des années-lumière d'envisager un rapprochement avec l'Allemagne, avec qui ils ont été enfermés dans un dialogue de sourds en Afghanistan», explique Alastair Cameron. Berlin a aussi refusé de participer aux opérations en Libye.

Vu de Londres, la seule relation trilatérale acceptable en matière de défense ne peut être formée que de la Grande-Bretagne, de la France et des États-Unis. «Nous sommes dans une situation digne d'Andromaque. X aime Y qui aime Z et ça ne marche pas bien. Politiquement et historiquement, la France aurait aimé s'entendre avec l'Allemagne sur les questions de défense. Mais cela n'est pas possible. Le mariage de raison se fait donc avec la Grande-Bretagne», résume le chercheur de l'Ifri Étienne de Durand.

La question est désormais selon lui de savoir «comment faire pour isoler la relation de défense franco-britannique des aléas politiques», de la préserver des échéances électorales notamment. La chercheuse allemande Claudia Mayor de la SWP, avance une autre vision: «Outre-Rhin et outre-Manche sont les deux faces d'une même pièce. La France rêve d'un partenaire idéal qui aurait la culture stratégique de la Grande-Bretagne et l'approche politique de l'Allemagne. Mais un tel partenaire n'existe pas. Pour éviter de perdre notre capacité d'action militaire et notre influence politique, il faudra bien nous unir.»

http://www.opex360.com/2012/02/17/la-cooperation-franco-britannique-en-matiere-de-defense-avance/

Le contrat de risques techniques portant sur le développement du drone MALE (moyenne altitude longue endurance) Telemos, fruit d’un partenariat entre Dassault Aviation et BAE Systems devrait être prochainement signé. « Nous envisageons de prendre ensemble d’autres décisions en fonction des résultats de cette phase de réduction des risques, pour s’assurer que nos besoins de souveraineté respectifs seront satisfaits au meilleur coût » précise la déclaration finale.

En outre, la France a affirmé son intérêt pour le drone tactique « Watchkeeper », développé pour les besoins de la British Army par la filiale britannique de Thales. Une évaluation de cet appareil commencera en 2012. Une ligne de crédit a été ouverte à cette fin dans le projet de loi de finances concernant le ministère de la Défense.

Mais la coopération dans ce domaine ne s’arrête pas là puisqu’il est également question que Londres et Paris lancent un programme de démonstrateur technologique « du système futur de combat aérien » afin de « mettre en place une coopération d’importance stratégique pour l’avenir du secteur de l’aviation de combat en Europe ». En clair, il s’agit de mettre un point un drone de combat (UCAV) pour les opérations de haute intensité à l’horizon 2030. Là encore, BAE Systems et Dassault Aviation, qui travaillent déjà sur des projet de cette nature avec respectivement le Taranis et le nEUROn, seront de la partie.

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Philippe :

1 - Je sais lire (enfin à peu près  :lol:) et on a déjà posté l'article sur un autre fil.  ;)

2 - J'avais mis un smiley de type incrédule car la position allemande est/était débile.

3 - J'ai dis ce qu'il en était des projets côté GMBH suite à la décision de l'état allemand ou à la défaite en Inde.

DA 3 - 0 EADS.

Pour le MALE, on aura de toute façon un retard conséquent sur le plan de route que l'on aurait pu avoir dans un monde parfait et sur nos concurrents.

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Philippe :

1 - Je sais lire (enfin à peu près  :lol:) et on a déjà posté l'article sur un autre fil.  ;)

2 - J'avais mis un smiley de type incrédule car la position allemande est/était débile.

3 - J'ai dis ce qu'il en était des projets côté GMBH suite à la décision de l'état allemand ou à la défaite en Inde.

DA 3 - 0 EADS.

Pour le MALE, on aura de toute façon un retard conséquent sur le plan de route que l'on aurait pu avoir dans un monde parfait et sur nos concurrents.

Ce n'est pas une question de compter les points, la France est partie prenante dans EADS à hauteur de 15% et 7,5 % pour le Groupe français Lagardère et EADS France pas EADS Deutschland ou EADS Casa donc EADS France détient la moité des parts capitalistiques de Dassault Aviation.Le Groupe Industriel Marcel Dassault étant majoritaire.

La France a 2 fournisseurs droniques , Sagem défense sécurité (SAFRAN) pour les Sperwer et EADS pour les Harfang/DRAC (puisque Survey a été acheté par Cassidian), EADS étant le plus gros client DGA.

La France peut disposer rapidement de drones armés REAPER si celle-ci accepte les conditions américaines et que l'achat se fasse sur étagère et sur le lot Pentagone ou achat FMS.Mais là, si cette option avait les faveurs de beaucoup de monde et surtout l'ADA.

Paris tient à sa souveraineté d'emploi du drone quand il veut, quand il peut et à tout moment avec des liaisons SAT "claires et propre".

Donc on s'embarque pour une coopération franco-israélienne pour maintenir une capacité ISR, une autonomie et liberté d'emploi et une indépendance industrielle avec donc de l'acquisition d'expérience et de l'apprentissage à faire un drone.

Ce sont des choix, comme ce sont des choix dans la coopération avec un autre état.On le fait avec le drone Neuron en coopérant avec les suédois, grecs, suisses, espagnols, italiens.On le fait avec les israéliens sur le Harfang et Héron TP, on le fera avec les anglais sur les TARAMIS/NEURON/ et Télémos/Mantis.

Il est clair qu'il serait grand temps de se poser la question pourquoi 2 Capitales qui mettent en avant leur couple aux autres 25, ne font plus rien ensemble sur le plan coopération programmes militaires, rien dans les missiles, les drones, les aéronefs.Quid du HTL/HTH? Berlin a opté pour le EuroSpike alors qu'on était ensemble sur le MILAN ...On a pris du Hellfire pour armer les Tigre et les Allemands du PARS 3 EX TRIGAT pour armer le UHT Tiger , quels missiles air sol pour armer un vecteur dronique?

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"On a pris du Hellfire pour armer les Tigre et les Allemands du PARS 3 EX TRIGAT pour armer le UHT Tiger , quels missiles air sol pour armer un vecteur dronique?"

AMHA, en fonction de la taille du drone, ca semblerait logique de voir soit du hellfire, soit du LMM, non? =)

ça dépend de l'altitude opérationnelle de vol.

Pour les drones MALE, le meilleur candidat est le AASM.

@Philippe

Force est de constater que dans tous les nouveaux programmes de drone, EADS il n'y aura pas.

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Avis intéressant de la chercheuse Allemande. Manque à mon avis une notion de "taille" du partenaire, qui implique indirectement la politique c'est vrai.

Par contre, qui dit que la seule collaboration a trois pour les Anglais passe par les USA et la France? Ca me surprends un peu.

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ça dépend de l'altitude opérationnelle de vol.

Pour les drones MALE, le meilleur candidat est le AASM.

@Philippe

Force est de constater que dans tous les nouveaux programmes de drone, EADS il n'y aura pas.

EADS doit livrer 50 ATLAS A400M à Paris et 22 à Londres, Berlin entre 60 et 40.

EADS doit livrer 14 Voyager A330-200 MRTT à Londres, et 14 à Paris.

A cause du retard des A400M, Paris a payé 225M€ pour avoir 8 Casa 235-300, Paris a ou aura en parc 27 C235.Aucun des coopérants n'en a autant...

EADS/Eurocopter va livrer ou aura à livrer à Paris, 160 NH90 et 80 Tigre, pendant ce temps-là Berlin veut réduire 40 Tigre et 40 TTH90, X Eurofighter et 20 A400M en moins.

Force est de constater que Paris est quand même la capitale à investir le plus dans EADS et que EADS est la cliente n°1 DGA.

Si EADS avait le Talarion qui délivre des missiles AS et des roquettes guidées voire des GBU pour maintenant ou 2013>2016 et que les Harfang et les DRAC ne rencontreraient pas de souci (retard calendaire ou coût) alors Paris regarderait différemment EADS.Mais Berlin a fait un coup de pute sur les drones à Paris, donc Paris s’acoquine avec Londres sur les drones armés ISR, d'autant plus que Berlin n'est pas garante ou exemptée à nous faire un caveat lors d'un déploiement. Car après tout, Londres et Paris jugent cette capacité tactique importante, Berlin pas sûr. ;) 

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ça dépend de l'altitude opérationnelle de vol.

Pour les drones MALE, le meilleur candidat est l'AASM.

Si on coopère avec Londres sur un drone armé, les armements pouvant correspondre et plaire au moins à Londres sont AGM Hellfire LM UK ,Brimstone MBDA UK, LMM Thales UK, GBU Paveway et ANL /FSGW voire les roquettes guidées BAE Systems.

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Si on coopère avec Londres sur un drone armé, les armements pouvant correspondre et plaire au moins à Londres sont AGM Hellfire LM UK ,Brimstone MBDA UK, LMM Thales UK, GBU Paveway et ANL /FSGW voire les roquettes guidées BAE Systems.

On va collaborer avec Londres sur un drone armé mais il y aura au moins une version française et une version anglaise.

La question portait sur les vecteurs droniques et l'on est dans le topic des programmes français, donc la réponse est bel et bien que pour les MALE, le meilleur candidat est AASM. On ne va pas intégrer les armements anglais à nos drones pour leur faire plaisir.

Maintenant quand on tire du AASM, avoir la capacité à tirer de la Paveway ou du Brimstone ne représente pas un gros effort. La GBU sera de toute façon dans le besoin français.

La pertinence des autres armements est à analyser en fonction du domaine de vol du drone (MALE ou autre), le type de cibles à traiter et la probabilité que l'on veut mettre à leur destruction.

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On va collaborer avec Londres sur un drone armé mais il y aura au moins une version française et une version anglaise.

La question portait sur les vecteurs droniques et l'on est dans le topic des programmes français, donc la réponse est bel et bien que pour les MALE, le meilleur candidat est AASM. On ne va pas intégrer les armements anglais à nos drones pour leur faire plaisir.

Maintenant quand on tire du AASM, avoir la capacité à tirer de la Paveway ou du Brimstone ne représente pas un gros effort. La GBU sera de toute façon dans le besoin français.

La pertinence des autres armements est à analyser en fonction du domaine de vol du drone (MALE ou autre), le type de cibles à traiter et la probabilité que l'on veut mettre à leur destruction.

On va collaborer avec Londres sur un drone armé mais il y aura au moins une version française et une version anglaise.

on est dans le topic des programmes français, donc la réponse est bel et bien que pour les MALE, le meilleur candidat est AASM.

On est certes sur le fil de discussion des ensembles de système de drone et des programmes actuels et futurs français mais rien n'interdit d'en équiper ses drones de missiles Hellfire/ANL/Brimstone/Paveway.

On va certes collaborer avec Londres sur un MALE ISR armé mais maintenant, ils annoncent aussi une lettre d'intention sur les drones de combat furtifs.

On parle aussi maintenant d'essai du Watchkeeper par la STAT/DGA pour l'AT.3 possibilités de synergie et communalité sur les drones.

Mais attention, ce n'est pas parce que l'on collabore avec Londres sur le Télémos/Mantis que Londres s'engage à prendre le futur drone en commun, puisque Londres veut ensuite ouvrir l'appel d'offre à General Atomics.En gros, rien n'empêche que Londres commande des Avenger ou plus de Reaper.

Délivrer du A2SM, je le vois plus pour un drone de combat furtif pour remplacer nos Mirage 2000D...Mais si on opte pour des A2SM 125 kg ou 85 kg (Small medium Bomb) là notre drone armé de 6 AASM 125 ça déchire  :lol:

Mais pour l'instant, le Mantis qui sera la base du futur Télémos emporterait ceci.

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Il y a un moyen de désignation laser interne ou ça doit être fait par un autre chasseur / UAV ?

Pas de pod de désignation en emport..

La boule optro a un désignateur laser. (Cf ci-dessous à l'avant du drone)

Un moyen de désignation externe est toujours possible de toute façon : chasseur allié ou FS au sol éclairant une cible.

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Merci Tactac ;)

Il est semble-t-il question de tests par la France puis d'acquisition de Watchkeeper britanniques. Cela annulerait l'imbroglio Reaper / Héron TP où ce n'est absolument pas les même type de machine ?

http://forcesoperations.com/2012/02/17/nouvelle-impulsion-franco-britannique/

L’armée française testera le Watchkeeper de Thales (drone britannique en service en Afghanistan) jusqu’en 2013, et devrait logiquement en faire l’acquisition ensuite.

EDIT : je viens de voir que ce n'est pas vraiment la même classe d'engin.

Ce serait donc plutôt en remplacement des SDTI de l'ADT ?

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Et pour revenir a qq chose de plus prosaique, les retex sur les DRAC deployes en afgha ca donne quoi? on est arrive a faire coller la bestiole avec la plaquette publicitaire ?

Même Retex que pour Harfang : Chaîne image à revoir + 2/3 bugs décelés.

Les rétex diront toujours la même chose d'ailleurs car les infos sur les plaquettes publicitaires ou même les spec de la DGA ne collent pas à l'attendu opérationnel de terrain, qui est aussi supérieur à ce qui est réalisable dans le budget alloué.

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Une communication du Sénat :

http://www.senat.fr/rap/a11-108-6/a11-108-69.html#toc137

(4) Le système de drone aérien pour la Marine - SDAM

Le stade d'initialisation du SDAM a été lancé de façon conjointe avec celui du SDT, lancé en 2006.

Si l'acquisition partielle de drones Watchkeeper se confirmait, il faudrait alors développer ou acheter sur étagères un système de drone naval distinct. Des études complémentaires sont donc nécessaires pour valider un choix.

Dans le cadre de l'AED, un projet équivalent achève son stade de préparation sous le nom de Future tactical Unmanned Aerial System (FUAS). Une fiche de caractéristiques militaires (common staff requirement) a été validée. L'analyse recommande le développement d'un nouveau vecteur de type VTOL (Vertical Take-off Or Landing). La participation de la France au stade suivant de ce programme, n'a semble-t-il pas encore été décidée.

Toutefois, des crédits d'études amont concernant le SDAM ont été inscrits dans le cadre du P 144 - sous action 4 Maîtrise des capacités technologiques et industrielles.

C'est peut être sur cette discussion là que s 'inscrit la remarque du chef de projet de la division navire de surface de DCNS de travailler au déploiement de drone à voilure fixe à partir des BPCs
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Sagem signe un contrat de MCO des systèmes de

drones Sperwer de l’armée de Terre française

Sagem (groupe Safran) a signé un contrat avec la SIMMAD (1) pour le Ministère de la Défense français portant sur le maintien en condition opérationnelle (MCO) des systèmes de drones tactiques Sperwer SDTI (2) de l’armée de Terre.

Ce marché couvre l’ensemble des activités de maintenance, de réparation et de support technique des systèmes en service dans l’Armée de Terre jusqu’en 2014.

Ce contrat est assorti d’une commande auprès de Robonic Oy, filiale finlandaise de Sagem, de deux catapultes pneumatiques tractées Kontio (type MC2555LLR). Plus légères et compactes que les catapultes de première génération, elles permettent de réduire l’empreinte au sol du système en opérations, de diminuer les coûts d’exploitation, de faciliter les catapultages, et d’accroître la charge embarquée en vue d’une autonomie accrue.

Ces catapultes additionnelles viennent renforcer les dispositifs mis en place par Sagem pour améliorer les capacités du système, en réponse aux besoins de l’Armée de Terre : intégration dans les stations sol de modems d’interopérabilité au standard OTAN 4609, amélioration des performances des véhicules aériens, et livraison de terminaux portables RVT de réception d’images.

Ce programme impliquera les établissements Sagem de Dijon et de Poitiers pour les modules optroniques, et de Montluçon pour les travaux sur le segment sol et les véhicules aériens.

Le système Sperwer est utilisé en Afghanistan depuis 2003 en soutien des forces aéroterrestres de l’OTAN. Dans l’Armée de Terre française, il est mis en oeuvre par le 61ème Régiment d’artillerie, déployé sur ce théâtre depuis novembre 2008.

A ce jour, Sagem a développé et produit plus de 25 systèmes de drones tactiques Sperwer et 140 véhicules aériens.

(1) Structure Intégrée du Maintien en conditions opérationnelles des Matériels Aéronautiques du ministère de la Défense. La SIMMAD est une structure interarmées de l’Etat-Major de l’Armée de l’air.

(2) Système de drones tactiques intérimaires.

140 Sperwer tout de meme...

Image IPB

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