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  • The strategy backs the Air Force's new bomber program, which the service had lobbied for extensively during the last year.
  • In addition, the strategy notes the United States is "investing in a long-term strategic partnership with India."
  • The Pentagon will abandon its long-time ability to fight two major wars simultaneously but will still be able to deny an aggressor in a second region while already engaged in another.
  • In Europe, the U.S. military posture will "evolve," however, the strategy does not say how.
  • The military will reduce its nuclear weapons stockpile, but the strategy does not mention specific weapons programs.
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Curieux de voir ce que sera l'évolution en Europe. Ils vont renforcer le partenariat ou, au contraire, sa barrer de cette région plus réellement stratégique et sur le déclin.

PLus d'armes atomique en Belgique!

Au moins ça évitera à certains fanatiques de penetrer sur les bases (ils vont encore se rabatre sur les centrales Françaises )  ;)

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http://www.dsi-presse.com/?p=4028

Defense Strategy Guidance 2012 : quelles évolutions pour la défense américaine ?

C’est sans doute la première « Vision » (au sens américain du terme) post- »guerre contre le terrorisme » qu’a publié le 5 janvier 2012 l’exécutif américain. Le Priorities for 21st Century Defense donne en effet le sens global de l’évolution de la politique de défense mais aussi de la stratégie des moyens américaines. Sans surprise, le document place l’Asie – et en arrière-plan, la Chine – au cœur de ses préoccupations. Rien de plus logique : depuis la fin des années 1990, Pékin est de plus en plus fréquemment évoqué comme Peer competitor.

Corrélativement et tout aussi logiquement, la position de l’Europe sur la carte des intérêts stratégiques américains glisse vers la périphérie. Il y a sans doute là un signe supplémentaire de clochardisation stratégique européenne – pour reprendre un terme utilisé dans un article d’E. de Durand. Au-delà de la définition de la zone de préoccupation prioritaire, le document revient également sur les moyens permettant aux Etats-Unis de conserver leur supériorité militaire dans les prochaines années. Si les médias se sont attachés aux réductions d’effectifs – soit environ 40 000 hommes pour l’Army d’ici à 2015 – il convient de les relativiser à deux points de vue :

- D’une part, ces réductions sont comparables à celles subies par la Grande-Bretagne. Proportionnellement, elles sont donc loin de représenter un effondrement ;

- D’autre part, la déflation en effectifs au terme d’une période d’engagement opérationnel majeure est pratiquement systématique aux Etats-Unis et, en dépit de la crise économique, l’ampleur de cette déflation est loin de refléter celles qui avaient été observées au terme de la Première ou de la Deuxième Guerre mondiale, celle de Corée ou du Vietnam.

Le budget lui-même restera fondamentalement très supérieur à ce qu’il était avant l’arrivée au pouvoir de G.W. Bush : en 2013, il sera de 472 milliards de dollars, soit le même budget qu’en 2007…. Les Etats-Unis resteront donc, logiquement, la première puissance militaire mondiale, qualitativement comme quantitativement dans nombre de secteurs (appareils de combat et marine notamment).

Du point de vue des priorités affectées aux missions, la Priorities for 21st Century Defense retient en premier lieu la nécessité de contrer le terrorisme et la guerre irrégulière. Suivent, dans l’ordre :

- le fait de dissuader et de vaincre une agression classique (on notera que la doctrine des deux interventions reste d’application) ;

- la projection de puissance en dépit des stratégies d’interdiction d’accès ;

- le fait de contrer les armes de destruction massive (essentiellement par la prévention au sens diplomatique) ;

- le fait de pouvoir opérer librement dans l’espace et le cyber-espace ;

- le maintien d’une dissuasion nucléaire ;

- la sécurité intérieure et le soutien aux autorités civiles ;

- fournir une présence stabilisante outre-mer ;

- conduire des opérations de stabilisation et de contre-insurrection ;

- conduire des opérations humanitaires et de soutien après l’occurrence de catastrophes.

La stratégie des moyens nécessaire à l’atteinte ces différents objectifs ne diffère pas foncièrement de celle déjà observée : l’attention portée à l’Air Force et à la Navy restera importante. Mais les forces spéciales et les drones devraient également continuer d’être privilégiées – la dernière UAS Roadmap (voir nos précédentes éditions) ne devrait ainsi pas être remise en question. Reste qu’au-delà, plusieurs inconnues continuent de peser sur le développement des forces américaines. C’est en particulier le cas pour des programmes tels que celui du F-35 et du futur bombardier stratégique (Air Force) ; des porte-avions de la classe Ford, des porte-aéronefs de la classe America, voire même des destroyers de la classe Burke et des sous-marins de la classe Virginia (US Navy). Pour l’Army, la question de la poursuite du programme GCV se pose également, de même que celle du remplaçant des AAV-7 chez les Marines.

Plusieurs autres programmes semblent sanctuarisés. C’est d’abord le cas, au terme de l’abandon définitif, du YABL-1A des systèmes de missiles, de radars et de systèmes C2 développés par la Missile Defense Agency. C’est également le cas du nouveau SSBN destiné à la marine. Plus généralement, on ne connaît pas encore les répartitions des différentes coupes, si ce n’est que les forces plus particulièrement destinées à intervenir en Asie ne seront pas affectées par les coupes budgétaires. Dans le même temps, selon le président américain, « Oui, notre armée sera amaigrie, mais le monde entier doit le savoir : les Etats-Unis vont maintenir leur supériorité militaire avec des forces armées qui seront agiles, flexibles et prêtes à réagir à l’ensemble des circonstances et des menaces« . 

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- D’autre part, la déflation en effectifs au terme d’une période d’engagement opérationnel majeure est pratiquement systématique aux Etats-Unis et, en dépit de la crise économique, l’ampleur de cette déflation est loin de refléter celles qui avaient été observées au terme de la Première ou de la Deuxième Guerre mondiale, celle de Corée ou du Vietnam.

la petite différence reste quand même que les effectifs de ses époques étaient issu de la conscription en majorité .certes beaucoup d'engagés pour la durée de la guerre plus ou moins représenté dans chaque arme (les Marines en l'occurrence avait très peu d'appelé en comparaison de l'Army ) .

je sais pas si rentre en ligne de compte mais on est loin unités à fort effectif du passé ,et on s'aperçoit que pour les opérations en Afghanistan ,on a toujours vu que le manque en fantassin était source de PB pour assurer un contrôle malgré la sophistication des armes des fantassin .

maintenant ,sa peu tranché dans les unités de soutien ,personnels civils etc ...

j'ai un peu de mal avec les chiffres ,mais bon  :lol:

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Analyse un peu bancale je trouve et qui ne met pas en valeur la problématique de ces baisses de budget. J'ai l'impression qu'ils essaient de s'auto rassurer de la toute puissance des USA.

Pour rappel, pour pouvoir continuer de tourner la défense US nécessite un Budget en Hausse constante.

Avec un budget en Baisse, ça veut dire moins d'avions de navire et de Sous-marin.

On le voit bien avec l’étalement des livraisons du f-35, la réduction de CVN.

De l'autre coté la Chine produit en grande quantité des armements en tout genre avec une qualité qui s'améliore avec le temps.

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Diminution du budget de défense, révision des orientations, nouvelle stratégie militaire… l’évènement de la semaine aura été sans conteste l’annonce par le président américain en personne, Barack Obama, jeudi (5 janvier), de ses nouvelles orientations en matière de défense. Les Etats-Unis se trouvent en effet à un tournant stratégique. Ils mettent fin à des conflits engagés sous les précédentes législatures : retrait d’Irak, mort de Ben Laden, transfert entamé en Afghanistan, diminution des effectifs en Europe. La présence du président Obama le matin même de la présentation au Pentagone indique son implication dans ce processus de réforme ou, au minimum, qu’il en endosse toutes les implications au moment où s’amorce cette année électorale. « Cette stratégie est destinée à préserver le leadership mondial américain, à maintenir notre supériorité militaire et garder la foi dans nos troupes, les familles des militaires et les vétérans » a-t-il affirmé.

Régime slim fast pour les forces armées

La défense devra économiser 487 milliards de $ dans les dix ans à venir, soit un peu moins de 50 milliards $ par an jusqu’à l’exercice fiscal 2022 (37 milliards € au taux de change de 1 € pour 1,30 $). Le budget pour l’exercice fiscal 2013 devrait être présenté dans les semaines à venir.

Menaces : vers le Pacifique toute

Le terrorisme, l’Iran, la Corée du Nord, la Chine et le Moyen-Orient sont parmi les premières préoccupations de l’armée américaine a précisé le ministre de la Défense Leon Panetta dans une interview à la chaine publique PBS. La région « Asie Pacifique » est naturellement l’objet de toutes les attentions américains qui comptent mettre le paquet sur leur façade « est ». Les Américains entendent « maintenir une force présence maritime dans le Pacifique, maintenir une présence militaire en Corée du Sud, poursuivre la rotation des déploiements de Marines en Australie », mais surtout « examiner d’autres opportunités similaires pour renforcer notre présence (là-bas) et montrer que nous sommes une puissance du Pacifique ».

Une force plus rapide, plus agile

L’armée de demain devra être « flexible, adaptable, agile qui devrait faire face à une myriade de défis » a précisé Léon Panetta. Cette force sera « différente de la force de la guerre froide, de celle des années 1990 postérieures à la guerre froide ou de la force de ces dix dernières années engagée dans des conflits terrestres d’envergure ».

Cela signifie ne plus pouvoir être présent partout. « Quand vous êtes plus petit et plus allégé, vous ne pouvez avoir une large présence à travers le monde » a-t-il détaillé. « Une force plus petite efficace a besoin d’être mobilisable rapidement, disposer d’une technologie avancée, et pouvoir compter sur des partenaires ». Etre mobilisable suppose d’avoir de forts soutiens logistiques et une composante robuste de réserve. « Avoir des équipements technologiques suppose d’investir dans la recherche et l’innovation, ce qui a un coût, et les partenariats requièrent des efforts des autres nations, qui sont aussi sous la contrainte financière ». Il a tenu cependant à rassurer : les « Etats-Unis ont toujours les moyens de faire face à un plus d’un ennemi (à la fois) et de gagner ». Ils ne vont pas être sur un seul front. En Amérique latine et en Afrique, le ministre veut « utiliser des méthodes innovantes pour assurer une présence américaine. (…) Autant que possible nous développerons des approches peu couteuses et peu consommatrices en hommes, approche dite « low-cost » et « small-footprint » », un peu à la manière de ce qui se pratique en Ouganda-Somalie ou au Sahel.

Une opportunité stratégique de rééquilibrer les relations en Europe

L’Europe occupe juste un paragraphe dans le document d’orientation (*). Ce n’est pas que les Etats-Unis s’en désintéressent. L’Europe reste le « partenaire principal » dans la recherche d’une sécurité mondiale. Mais ce n’est plus un sujet de préoccupation principale. Même s’il reste « des défis de sécurité et des conflits non résolus en Europe et en Eurasia », le document prône donc une évolution. « Plusieurs pays européens sont devenus producteurs de sécurité plutôt que consommateurs. Combiné avec le retrait en Irak et en Afghanistan, cela crée une « opportunité stratégique pour rééquilibrer l’investissement militaire US en Europe, en centrant son attention plutôt que les conflits actuels sur les capacités futures ». Certes l’article 5 (clause de solidarité) reste d’application, et les Etats Unis promettent de « soutenir une capacité et une interopérabilité renforcée pour les opérations en coalition », un peu à la manière dont les Etats-Unis ont participé à l’opération de l’OTAN en Libye. Mais ils travailleront aussi avec les « alliés de l’OTAN pour développer le « pooling and sharing » et la spécialisation dans des capacités dont on a besoin au XXIe siècle ».

http://www.bruxelles2.eu/defense-ue/defense-ue-droit-doctrine-politique/les-americains-revoient-leur-strategie-pacifique-toute.html

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WASHINGTON (Reuters) - Rick Perry, gouverneur du Texas et candidat à l'investiture républicaine pour la présidentielle de novembre, a jugé exagérée la réaction des autorités américaines après la diffusion d'une vidéo montrant quatre "marines" urinant sur les cadavres de taliban en Afghanistan.

"Ces gosses ont fait une erreur, cela ne fait aucun doute. Ils n'auraient pas dû le faire. C'est mal. Mais, qualifier cela d'acte criminel, franchement, c'est trop", a-t-il déclaré dimanche sur CNN.

Malmené lors des deux premières étapes de la primaire républicaine, Rick Perry pourrait devoir jeter l'éponge en cas de nouveau revers en Caroline du Sud, samedi prochain.

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Rick Perry pense que la Turquie est dirigé par des terroristes islamistes.

http://blog.lefigaro.fr/lettres-de-washington/2012/01/un-elephant-texan-dans-le-magasin-de-porcelaine-moyen-orientale.html

Mitt Romney n'a pas envie de rendre publique sa feuille d'impôts, d'expliquer l'origine de son immense fortune, ni de faire savoir qu'il bénéficie d'un taux d'imposition ultra-favorable.

http://www.lefigaro.fr/argent/2012/01/18/05010-20120118ARTFIG00491-la-fortune-embarrassante-de-mitt-romney.php

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Vidéo sur les prédiction de Ron Paul devant le congrès en 2002 !

From the floor of Congress in 2002, Ron Paul made some predictions. He asked Americans to look back on these predictions from 2012 to see if he was right or wrong . . .

http-~~-//www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=BFLd_H3AZCA

Tony Blair... the Cheerleader.  :lol:

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Mitt Romney n'a pas envie de rendre publique sa feuille d'impôts, d'expliquer l'origine de son immense fortune, ni de faire savoir qu'il bénéficie d'un taux d'imposition ultra-favorable.

http://www.lefigaro.fr/argent/2012/01/18/05010-20120118ARTFIG00491-la-fortune-embarrassante-de-mitt-romney.php

il y a un truc qui m'echappe quand meme.

Les republicains, ce sont bien ceux qui sont pour reduire les impots (surtout ceux des riches) et donc en quoi cela gene ?

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il y a un truc qui m'echappe quand meme.

Les republicains, ce sont bien ceux qui sont pour reduire les impots (surtout ceux des riches) et donc en quoi cela gene ?

s'est vrai ,je pensais qu'on était décomplexé au sujet de l'argent dans le monde anglo-saxon ?
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Plus ou moins mais on est surtout très hypocrite, très bon dans le "fait ce que je dis pas ce que je fais"  ;)

Du genre le politique qui lutte contre la pédophilie et a des rapports avec une stagiaire mineur, ou la femme politique qui lutte contre l'avortement et fait avorter ça fille après quelle se soit faite violer etc.

Toujours à défendre des dogmes tant que cela ne les concerne pas, mais une fois les pieds dans la merde c'est bien différent  :P

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il y a un truc qui m'echappe quand meme.

Les republicains, ce sont bien ceux qui sont pour reduire les impots (surtout ceux des riches) et donc en quoi cela gene ?

Cela ne semble pas gêner tant que cela car les chiffres restent encore très serrés ...

la femme politique qui lutte contre l'avortement et fait avorter ça fille après quelle se soit faite violer etc.

Généralement les personnalités politiques américaines qui sont opposées à l'avortement, le tolèrent aussi sous certaines conditions comme le viol et maladie incurable. Seul dans les franges les plus extrémistes ont retrouve une revendication d'une abolition totale de l'avortement.

Et puis, concernant les défenseurs de dogme plus j'y pense moins j'ai une opinion catégorique avec c'est choses là, un exemple: un coup ont est contre la peine de mort au nom du droit à la vie après on est favorable à l'avortement au nom du pro-choix, et inversement ...

D'ailleurs, j'ai cru comprendre que l'avortement était moins accessible en France qu'aux USA.  :P

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Et puis, concernant les défenseurs de dogme plus j'y pense moins j'ai une opinion catégorique avec c'est choses là, un exemple: un coup ont est contre la peine de mort au nom du droit à la vie après on est contre l'avortement au nom du pro-choix, et inversement ... 

Ne te serais-tu pas emmellé les pinseaux?

Les "pro-choix" sont pour l'avortement, non pas contre.

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...

Généralement les personnalités politiques américaines qui sont opposées à l'avortement, le tolèrent aussi sous certaines conditions comme le viol et maladie incurable. Seul dans les franges les plus extrémistes ont retrouve une revendication d'une abolition totale de l'avortement.

Et puis, concernant les défenseurs de dogme plus j'y pense moins j'ai une opinion catégorique avec c'est choses là, un exemple: un coup ont est contre la peine de mort au nom du droit à la vie après on est favorable à l'avortement au nom du pro-choix, et inversement ...

D'ailleurs, j'ai cru comprendre que l'avortement était moins accessible en France qu'aux USA.  :P

En parlant de ça j'avais à l'esprit une affaire arrivé il y a quelques années mais impossible de me souvenir de quoique se soit autre que les faits eux mêmes.

Comme pour l'histoire du gars au congrès qui avait merdé avec une stagiaire alors qu'il se voulait bon père de famille républicain et chargé de la lutte contre la pédophilie  :P

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@ Drakene,

Franchement, il y a tellement d'affaires sexuelles aux USA que j'ai aucune idée de quoi vous faites mention?  ;)

Je signale qui fut un temps où Liberation laissait une tribune entière à un type qui faisait l'apologie de la pédophilie (accusé à l'époque pour proxénétisme sur mineurs), ou que Michel Foucault et autres de ses compagnons faisaient de même ...

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Navré je ne sais plus moi non plus seul les faits me restent en tête  =|

C'était un sénateur ou quelque chose comme ça et cela avait fait grand bruit à l'époque (sous bouche il me semble, ou c'était un secrétaire d'état), mais ce n'était qu'un exemple pour dénoncer l'hypocrisie qui souvent règne outre-atlantique, ou est ressentie comme telle bien souvent  ;)

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(Belga) Le républicain conservateur Newt Gingrich a reconnu vendredi devant des journalistes avoir parlé français "il y a fort longtemps", alors qu'une de ses publicités télévisées avait critiqué son rival modéré Mitt Romney parce qu'il pratique le français.

"J'ai parlé français il y a fort longtemps", a répondu avec le sourire, en anglais, Newt Gingrich, interrogé par une journaliste française à l'issue d'une réunion électorale à Orangeburg, en Caroline du Sud, à la veille d'une primaire-clé pour l'investiture républicaine pour la présidentielle américaine de novembre. Une vidéo récemment diffusée en Caroline du Sud et financée par un groupement d'intérêt soutenant Newt Gingrich, présentait Mitt Romney comme "le modéré du Massachusetts prêt à dire n'importe quoi pour être élu". En guise de conclusion, une voix off assénait: "Et, tout comme John Kerry, il parle français!". En 2004 déjà, le démocrate John Kerry, autre candidat francophile à la présidentielle américaine, avait été moqué pour son "look trop français". Comme Mitt Romney, parti prêcher --comme c'est la coutume pour les jeunes mormons-- en France dans les années 60, Newt Gingrich a lui aussi vécu adolescent en France, à Orléans, où son père militaire était en poste, quand la France accueillait encore des bases américaines. La "French connection" peut être mal perçue aux Etats-Unis, en particulier dans les milieux conservateurs, où certains n'ont toujours pas digéré l'opposition de la France à la guerre en Irak et où les Français sont souvent perçus comme des intellectuels de gauche. (NBA)

Une petite vidéo édifiante : http://www.youtube.com/watch?v=g-TFy_m8vUE&hl=en_US&feature=player_embedded&version=3

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