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lui dit "simplement" que le viol ne justifie pas l'avortement.

Ca revient au meme non? s'il ne considere pas que le viol en lui meme est une exception a la normalité de tel sortes qu'il interdit l'interuption de grossesse c'est que pour lui un viol c'est pas bien grave et que c'est presque un moyen de conception comme un autre. D'autant que quelques jour plus tot on expliqua que de toute facon les fille violé ne tombé pas enceinte ... et donc c'est probablement des faux viol celle qui tombe enceinte donc qu'elle viennent pas nous faire chier avec leur acte manqué :lol:

Qu'est ce que les républicains en raconteraient pas comme connerie pour être élu ... c'est quand même impressionnant  :happy:

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Je crois que le premier piège est d'entrer dans ces distinctions, soit accepter la discussion et la concession; on accepte le principe du choix ou non. Dans tous les domaines, depuis les années 80, les USA voient les diverses tendances dures du parti républicain à l'offensive sur un nombre très réduit de sujets (et juste des sujets sociétaux) martelés en permanence, et des démocrates qui ont cédé en acceptant le débat sur ces sujets. Ils subissent le tempo républicain sur les trucs comme la prière à l'école, le créationisme, les flingues, le mariage gay, la came et l'avortement, sujets qui prennent une place démesurée dans le débat au point de monopoliser la majorité de l'attention (en termes de temps passé dans les médias et débats de grande audience) et de dramatiquement limiter le temps sur le reste qui se résume à des discussions superficielles, ce qui laisse les lobbyistes et milieux d'affaires nettement plus tranquilles pour faire ce qu'ils veulent sur des sujets fondamentaux où ils sont sûrs que dans la majorité des cas, le focus public ne sera pas aiguillé, ou au pire pas longtemps.

Cette stratégie républicaine est encore payante aujourd'hui quand on voit la place que prennent ces sujets là et ceux que cette surattention/surréactivité permet d'éviter ou de sérieusement sous-étudier. Et surtout quand on voit les démocrates ne toujours pas parvenir à dicter le cadre, l'orientation et le tempo du débat sur grand chose. L'art opératif de la scène publique est vraiment maîtrisé par les républicains.

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Mitt Romney promet plus de rigidité envers la Russie

Image IPB

WASHINGTON, 31 août

Le candidat républicain à la présidentielle américaine Mitt Romney a promis, s'il était élu, de mener une politique plus rigide envers la Russie que celle appliquée par le président sortant Barack Obama.

"Si je suis élu, nous serons plus loyaux envers nos alliés. Par contre, Vladimir Poutine verra moins de souplesse de notre part", a déclaré M.Romney lors de la convention républicaine à Tampa (Floride).

L'ancien gouverneur du Massachusetts, Mitt Romney a accepté jeudi d'être nommé candidat à la présidentielle américaine. S'il la remporte, Paul Ryan deviendra vice-président.

Le président sortant Barack Obama devrait être officiellement nommé candidat au poste présidentiel par le Parti démocrate lors de la convention qui se déroulera la semaine prochaine.

L'élection présidentielle aux Etats-Unis aura lieu le 6 novembre 2012.

http://fr.rian.ru/world/20120831/195836167.html

Une députée russe dénonce la rhétorique anti-russe de Mitt Romney

http://fr.rian.ru/world/20120831/195838682.html

Il est inadmissible de sacrifier les relations entre la Russie et les Etats-Unis aux intérêts électoraux, a déclaré vendredi aux journalistes le porte-parole du président russe, Dmitri Peskov.

http://fr.rian.ru/world/20120831/195841099.html

Ah ! Le vieux rêve des républicains, de remporter une guerre nucléaire avec la Russie en ne perdant pas plus de 75% de la population US, va t'il enfin se réaliser ? :oops:

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Mitt Romney et le miracle de la main invisible du marché.

A la lecture du programme officiel du Parti républicain, adopté par la convention de Tampa, "Croire en l'Amérique", on décèle ce qui en constitue l'ossature. "Lorsque la lourde main de l'Etat remplace la main invisible du marché, la victime inévitable est la liberté économique", avait déclaré M. Romney en mars à Chicago. Ce programme se résume à voir l'Etat s'effacer partout où cela est possible derrière cette main miraculeuse.

M. Romney promet "dès le premier jour" de signer l'abolition du plan Obama de couverture santé, de réduire massivement et tous azimuts les subventions publiques - aux services sociaux, aux chaînes d'information publiques, au planning familial, à l'aide extérieure, à la protection de l'environnement, on en passe... Il entend aussi abolir la quasi-totalité des régulations de la finance adoptées sous son prédécesseur.

Ainsi va le Parti républicain, à deux semaines du quatrième anniversaire de l'effondrement de la banque Lehman Brothers, qui fut le prélude à la plus importante crise financière de l'après-guerre et ouvrit une période de "consensus" quasi général sur les ravages des dérives de l'économie financiarisée. "Croire en l'Amérique" ne reflète pas seulement un soutien au moins d'Etat, moins d'impôts, plus de sécurité et plus de respect des "valeurs" morales. L'homme qui, il y a dix ans, s'était fait élire gouverneur du Massachusetts sur un programme de conservatisme modéré et "ouvert" s'affiche aujourd'hui ultralibéral en économie à en faire frémir les mannes de Ronald Reagan, qui n'en était pas à honnir les transports publics comme l'incarnation du "socialisme".

Néoconservateur outrancier en politique étrangère, M. Romney est réactionnaire sur le plan sociétal - sur l'immigration, la contraception, l'écologie, le port d'armes, etc. - à un point que même le "born again christian" George W. Bush n'avait osé assumer.

http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2012/09/01/la-main-miraculeuse-de-mitt-romney_1754414_829254.html#xtor=AL-32280515

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Les journalistes du Monde, comme la plus part des journalistes français, seraient bien inspirés de prendre des cours sur les USA, les courants politiques et l'économie.

Ce texte mélange tout et n'importe quoi, ne comprends rien à la réalité américaine en projetant ce que nous connaissant en France. Le passage sur Lehman Brothers est ilarrant de connerie (il serait inspiré d'écouter Delamarche). Et je ne suis pas sûr que les fils de Reagan dénieraient Romney.

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Voici un texte autrement plus pertinent sur la campagne:

Obama et Romney tentent de se démarquer l’un de l’autre par la parole, puisque leurs positions ne sont pas si différentes que ça.

Par Ed Krayewski, depuis les États-Unis.

À ceux qui doutent des deux équipes, bleus et rouges, la gymnastique rhétorique qui a lieu dans les temps précédant une élection présidentielle peut être intimidante. Et pourtant, sous le ping-pong hyper-partisan se cache une vérité qui dérange : une bonne partie de ce que les deux côtés racontent lors de la campagne n’a aucun sens. Récemment, j’ai mis à nu quatre illusions que les partisans d’Obama se font sur lui. Certaines illusions politiques, toutefois, arrangent les partisans des deux camps, même si c’est pour des raisons différentes. Voici quatre mythes que Démocrates comme Républicains veulent garder en circulation jusqu’à l’élection de Novembre.

1. Paul Ryan veut agressivement couper dans le budget de l’État

En voyant Paul Ryan choisi pour être le colistier de Mitt Romney, nous avons pu être témoins de la création d’un mythe bipartisan à marche forcée. En l’occurrence, le mythe nous expliquait que Paul était très à droite en matière fiscale, libertarien ou même extrémiste.

Quiconque  a accordé un peu d’attention aux propositions budgétaires de Ryan sait que rien de tout cela n’est vrai. Nick Gillespie a noté un peu plus tôt dans l’année que le dernier budget public proposé par Ryan avait un déficit de 1.200 milliards de dollars, alors que le président en avait un de 1.300 milliards. Qu’est-ce que cent petits milliards, entre amis ? Pour 2022, le budget de Ryan prévoit que l’État fédéral dépensera 4.900 milliards de dollars. Comme le note Gillespie, même si le budget de Ryan ne nie pas le problème massif de dette auquel fait face l’Amérique, c’est un « thé léger » quand on voit qu’il ne fait rien pour réduire les déficits annuels, et qu’il n’essaie même pas d’équilibrer le budget d’ici les dix prochaines années.

Et pourtant Romney a choisi Ryan pour motiver la partie de sa base composée de militants du Tea Party et de libéraux ; et le président Obama a décidé de baser sa campagne sur l’idée que ses opposants étaient des extrémistes ; percevoir Paul Ryan comme fiscalement sérieux est donc politiquement avantageux pour les deux côtés.

2. Barack Obama veut régulariser les immigrés clandestins

Tandis que le DREAM Act (une proposition de loi bipartisane visant à régulariser des immigrés clandestins arrivés quand ils étaient mineurs et s’étant bien comporté depuis) s’éternisait à la Chambre, sous la majorité démocrate comme sous la suivante républicaine, s’éternisait aussi au Sénat aux mains des Démocrates, même après que ces Démocrates aient empêché des manœuvres d’obstruction parlementaire (en votant à 60 l’application de la Règle XXII du Sénat), le gouvernement Obama a atteint des records de reconduites à la frontière et a résisté à toute réforme des procédures de détention. Même depuis qu’Obama a annoncé une suspension temporaire des poursuites judiciaires pour certains jeunes menacés d’expulsion il y a quelques mois, sa base électorale latino, jusqu’ici désabusée, s’est trouvée remotivée. Cette action unilatérale du président n’a rendu le vote d’une réforme de l’immigration que plus difficile.

Mais vous ne croiriez pas que le passif du président était si trouble en vous basant sur la rhétorique qui l’entoure. Le président du comité judiciaire de la Chambre des Représentants, Lamar Smith (un Républicain du Texas) a appelé ce décret dérogatoire du président une « régularisation » [NdT : « amnesty », en anglais]. Une simple recherche avec Google vous révèlera que Smith n’est pas le seul à caractériser ainsi ce geste d’Obama.

De l’autre côté du spectre politique, la « Truth Team » de la campagne d’Obama, normalement affûtée quand il s’agit de faire passer toute opinion dissidente comme factuellement erronée, n’a démenti le mythe d’Obama comme partisan de la régularisation qu’une fois, neuf bons mois avant le décret présidentiel. En même temps, les « Latinos pour Obama » ont même créé une infographie affirmant que Mitt Romney « abolirait le DREAM Act », presque comme si le président et les Démocrates l’avaient réellement voté, renforçant leur bonne foi pro-immigration.

3. Mitt Romney est plus va-t-en guerre que Barack Obama

Le président Obama a remporté le Prix Nobel de la Paix dix petits mois après sa prise de fonctions. Étonnant, non ? Et pourquoi les Norvégiens ont-ils accordé ce prix à notre président ? « Pour ses efforts extraordinaires pour renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples ». En particulier, le comité a cité les efforts fraîchement annoncés de tendre la main au monde musulman. Le président a lui-même admis qu’il ne pensait pas mériter cette récompense, ajoutant « mais je sais aussi que cette récompense reflète le genre de monde… que tous les Américains rêvent de construire, un monde qui donne vie à la promesse de nos textes fondateurs ».

Qu’est-ce qu’Obama a fait depuis ? Avant la fin de 2009, il y avait déjà eu plus d’attaques de drones au Pakistan que sous les quatre dernières années du gouvernement Bush. Un exposé de la guerre des drones du président, par le New York Times, a révélé que le gouvernement Obama considérait des conversations entre membres de l’exécutif au sujet de la justification des ordres d’assassinats par drones comme suffisant pour atteindre les critères des normes constitutionnelles. Voilà pour la promesse de nos textes fondateurs. Obama a aussi envoyé les forces armées américaines pour aider au bombardement de la Libye durant sa guerre civile, violant les limites constitutionnelles relatives à la guerre. La guerre en Afghanistan, bien entendu, continue à faire des ravages, et bien que beaucoup croient que la guerre d’Irak a cessé, ce n’est pas complètement vrai non plus.

Pas vraiment un pacifiste, donc. Reason a expliqué plusieurs fois comment la politique étrangère d’Obama est la continuation de celle de George W Bush ; tandis que divers analystes politiques ont remarqué que les propositions de politique étrangère d'Obama et de Romney sont sensiblement les mêmes. Même sur le problème de l’Iran, la différence entre Obama et Romney a été décrite comme relevant davantage du style que du fond. Et pourtant les apôtres d’Obama et les fans de Romney affirmeront qu’il existe une différence substantielle en politique étrangère, les uns portraiturant Romney comme plus belliqueux et Obama comme « faible » en politique étrangère.

4. Mitt Romney refuse les interventions de l’État dans le système de santé, comme Obamacare !

Pour ce qui est de la réforme du système de soins, le mot d’ordre du Tea Party était « abolir Obamacare » ; mais pour Romney ce serait plutôt « abolir et remplacer ». Mais remplacer par quoi ? Romney a défendu sa propre intervention dans le système des soins quand il était gouverneur du Massachussetts, Romneycare, de la même manière dont Obama a défendu Obamacare.

Un professeur du MIT qui a aidé à mettre en forme Romneycare et a conseillé les Démocrates pour Obamacare a noté de nombreuses ressemblances entre les deux lois. Le président lui-même invoque l’exemple du Massachussetts comme l’esquisse de son propre programme (même si, comme le note Romney, ce dernier n’a jamais été consulté pour son expertise par l’équipe d’Obama).

Récemment, Romney a été la cible d’une violente publicité électorale qui essayait de le relier, à travers son travail pour Bain Capital, à une femme qui a perdu son assurance santé et est morte du cancer. La principale porte-parole de Romney, Andrea Saul, n’a pas repoussé l’attaque en soulignant les incohérences pourtant flagrantes du récit, mais a préféré noter que si cette femme avait vécu au Massachussetts quand Romneycare était en vigueur, elle n’aurait jamais perdu son assurance santé. Pas vraiment le genre de défense qu’on attendrait d’un candidat opposé à l’extension de l’État dans un marché médical déjà lourdement réglementé. Ce commentaire a même engendré quelques appels à démissionner adressés à Saul, mais elle est restée dans l’équipe de Mitt.

En même temps, la campagne d’Obama utilise la menace de l’abrogation d’Obamacare pour fédérer les soutiens au président. Rien que la semaine dernière, la première dame a évoqué le débat autour d’Obamacare comme une question de santé, demandant à une audience : « Voulons-nous que ces réformes soient révoquées ?… Ou voulons-nous que les gens que nous aimons aient les soins dont ils ont besoin ? Voilà le choix auquel nous faisons face. ».

Même si Romney peut capitaliser sur l’impopularité d’Obamacare, spécialement parmi la base conservatrice, il n’a jamais repoussé l’idée de l’emprise de l’État sur le marché des soins médicaux. Il est même allé jusqu’à montrer en exemple l’intervention du gouvernement israélien dans le système de santé. Et si Romney était sincère quant à l’abrogation d’Obamacare, et que la partie « remplacement » de son mantra n’était que sa manière à lui de tenter de jouer sur les deux tableaux, comme tout politicien est porté à le faire ? En Juin, The New Yorker a exposé ce qu’il faudrait pour révoquer Obamacare, et pour quoi un Romney président ne pourrait pas le faire. L’argument le plus convaincant ? Les Républicains ont fort peu de chance d’obtenir les 60 votes au Sénat qui seraient nécessaires pour abroger une loi.

Pour avoir une vision des motivations américaines, mieux vaut aller sur Contrepoints que dans Le Monde.

Voici la source avec les nombreux liens du texte:

https://www.contrepoints.org/2012/09/01/95713-elections-americaines-4-mythes-qui-arrangent-republicains-et-democrates

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Obama est foutu : Chuck Norris appelle à voter contre lui pour éviter 1000 ans de ténèbres socialistes.

On pourrait croire à un "Chuck Norris Facts" mais non. Dans un spot de campagne anti-Obama, l'acteur des films "Delta Force" et sa femme Gena O'Kelley ont appelé les chrétiens évangélistes à aller voter contre la réélection du président démocrate afin d'éviter "1000 ans de ténèbres".

Chuck Norris, que l'on peut actuellement voir au cinéma dans le film "Expendables 2", et sa femme Gena O'Kelley ont fait part de leur inquiétude pour leur pays et ont donc pris la décision de réveiller les chrétiens évangélistes qui se sont abstenus en 2008 : "On estime que pendant les élections de 2008, 30 millions de chrétiens évangélistes sont restés chez eux le jour du vote et Obama a gagné par 10 millions de voix d'avance. Nous savons que vous aimez votre famille et votre liberté autant que Gena et moi, et c'est pourquoi nous ne pouvons plus rester silencieux ou rester sur le bas-côté à regarder notre pays prendre la route du socialisme ou pire encore."

Chuck Norris et sa femme sont sur la ligne politique du parti Républicain et défendent leur point de vue. Puis le couple a décidé de citer les paroles d'un ancien discours de Ronald Reagan, promettant ainsi à leurs concitoyens de protéger les enfants de l'Amérique ou de leur faire "faire un premier pas vers 1000 années de ténèbres" en cas d'échec, c'est-à-dire si Barack Obama est une nouvelle fois élu. Une métaphore disproportionnée, qui a été utilisée dans le cadre de la propagande anti-communiste des années 80, au moment l'Amérique faisait encore face à la puissante U.R.S.S (le risque d'une guerre atomique et d'un hiver nucléaire justifiant cette image).

On sait désormais que pour Chuck Norris, Barack Obama est donc l'héritier de Léonid Brejnev et Iouri Andropov, anciens présidents russes et adversaires de Ronald Reagan.

http://www.closermag.fr/content/71471/chuck-norris-contre-obama-et-les-1000-ans-de-tenebres

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Et Dieu dit "que la Lumière soit".... Et Chuck Norris dit "on dit s'il vous plaît bordel!"

C'est clair qu'Obama est dans la merde Si Norris s'en prend à lui: quand Chuck a chopé la grippe, elle a passé un sale quart d'heure.

Désolé, je vais me taire maintenant.... Comment fait-on pour résister à des blagues à base de Chuck Norris?

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Et Obama a Nathalie Portman, soit Padme Amidala, qui a un bien meilleur flingue que les 6 coups poussifs de Clint, une armada de chasseurs Naboo et un super jedi qu'il faut pas mettre en colère. Big guns, check :lol:!

OBAMA aura beau ramener tout les héros qu'il veut : Ben Affleck, Nathalie Portman, Matt Damon, George Clooney, Martin Sheen etc..

Tout cela restera vain face à la puissance de feu, de persuasion et d'impression irradiante du grand et illustre et ineffable CHUCK NORRIS! =)

Rien se résiste à Chuck Norris, toute tentative est perdue d'avance. C'est comme ça. Il va falloir l'accepter. >:(

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Soit dit en passant, le chasseur Naboo...  sous-armé, très coûteux à l'achat et à l'entretien et manquant de puissance. Il ne vaut pas un Z-95 Chasseur de Têtes. ^^

Quant à Chuck Norris... des clous ! Un coup de déambulateur dans le dentier et on n'en parle plus.  :lol:

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Rien se résiste à Chuck Norris, toute tentative est perdue d'avance. C'est comme ça. Il va falloir l'accepter

Tout a un talon d'Achille, et je connais celui de Chuck: le délai de retour de son matos de muscu pourri vendu en télé achat.... Tu lui renvoies dans la gueule en signalant que c'est de la merde et qu'il est ridicule en collants, et il est mort. Non ce n'est pas du vécu :-X, j'utilise pas de matériel compliqué pour l'exercice.
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Désolé, c'est pas une vision très pertinente, et c'est surtout celle de quelqu'un qui n'écoute pas le discours républicain: il parle dans l'absolu, gardant les théories comme références uniques, prêtant des intentions et des discours aux "entrepreneurs" sans faire la moindre distinction entre eux et au sein de ce que cette "catégorie" de population serait selon ses dires, ce qui est complètement aberrant, et ce encore plus quand on regarde l'évolution d'une partie de ceux qui sont dits "entrepreneurs" sur les 20-30 dernières années et qui sont actifs en politique. Grosso modo, une explosion du marché immobilier (ces entrepreneurs là sont l'équivalent immobilier des traders, surtout sur le marché américain) avec une sur-représentation dans le lobbying de cette tranche de marché, une diminution drastique des petits industriels....

Et appeler "libéraux" les républicains, tout en utilisant le discours d'Obama pour en fait parler de la conception de l'Etat non pas en France mais dans le débat politique français, c'est une autre façon de souligner que cet article ne parle pas du tout des USA, utilisant juste quelques apparences, et ne parle que du débat français tel qu'il le voit en niant les réalités américaines. Par exemple, si, les candidats républicains, évidemment Tea party en tête, se sont largement prononcés pour un set de réforme qui amène grosso modo à terme à l'éradication de l'école publique, le vide créé étant "compensé" par un financement et une détaxation encore accrus des communautés religieuses et une extension du système des "vouchers" (grosso modo une subvention aux écoles privées pour prendre des élèves ne pouvant se les offrir, ce qui a une capacité très limitée d'accroissement). Il nie par ailleurs carrément la réalité du discours républicain sur la taxation et la régulation en n'en parlant qu'en théorie, dans l'abstrait: au niveau d'imposition actuel, au niveau de régulation actuel (et d'ailleurs vu l'état actuel des infrastructures, écoles et hôpitaux américains, sous-financés et mal orientés depuis un bail), les cris d'orfraies du GOP sur moins de taxes et de régulation sont des revendications de caste (en plus très minoritaires dans les faits) dominantes dans l'appareil financier et organisationnel du parti, pas des nécessités économiques, ce qu'on signalé des pools d'entrepreneurs, managers et financiers tels que Warren Buffet et Mark Cuban en disant que ceux qui se plaignent des régulations et taxes sont dans 9 cas sur 10 de mauvais managers/entrepreneurs/financiers, ou des gens tout simplement très avides et égoïstes à l'extrême (ce que plusieurs chefs d'entreprises m'ont par ailleurs aussi dit à divers moments et avec d'autres mots).

Quand à sa façon d'amener la question de la réalité de ce qui fait la réussite, c'est un tantinet idéologique: rayer d'un trait de plume l'admission du "rôle de l'Etat" dans le développement du secteur privé en disant que c'est un débat résolu, c'est tout simplement un mensonge et pire encore une négation du fait qu'il s'agit d'une question éminemment d'actualité dans une économie moderne/post industrielle où d'autres coûts et besoins communs sont à prendre en compte que les routes, écoles et hôpitaux si on veut créer les conditions de la croissance.

En résumé, c'est un Français, d'une certaine chapelle française, qui parle de la France en utilisant (très mal) le couvert des USA (qu'il fausse largement), et qui adresse le problème de façon purement théorique et abstraite pour éviter de parler de la réalité: typique des idéologues. C'est juste pour attaquer le principe de la conception de l'Etat en France, du principe de son rôle dans l'économie au lieu de parler du management de ce rôle économique. Un investissement public mal fait est soit le signe que l'Etat est par essence et de toute éternité inepte à agir dans l'économie, ou juste.... Un investissement public raté; c'est un débat dans une certaine mesure, mais c'est surtout l'occasion pour certaines chapelles d'être tout aussi idéologiques et absolutistes que les partisans du tout Etat.

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