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Inde : politique intérieure et internationale


Messages recommandés

Je recopie :

Le 03/06/2024 à 07:42, collectionneur a dit :

Canicule mortelle en Asie :

Au moins trente-trois agents électoraux indiens sont morts à cause de la chaleur le dernier jour des élections nationales, samedi 1er juin, dans le seul Etat d’Uttar Pradesh (Nord), a déclaré un responsable électoral alors qu’une partie de l’Inde subit une succession de vagues de chaleur exceptionnelle.

« Une compensation financière de 1,5 million de roupies [environ 16 550 euros] sera versée aux familles des personnes décédées », a précisé dimanche Navdeep Rinwa, directeur général des élections de l’Etat d’Uttar Pradesh aux journalistes. (+ De 224 d'habitants en 2017)

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Il y a 21 heures, Wallaby a dit :

https://edition.cnn.com/2024/06/02/india/india-heatwave-poll-worker-deaths-intl-hnk/index.html

La semaine dernière, le territoire de la capitale, Delhi, a connu une température record de 49,9 degrés Celsius (121,8 degrés Fahrenheit), la vague de chaleur oppressante ayant contraint les autorités à imposer un rationnement de l'eau.

Le nord-ouest et le centre de l'Inde ont connu des températures maximales supérieures à 42 degrés Celsius (107,6 degrés Fahrenheit), certaines villes ayant même franchi la barre des 50 degrés (122 degrés Fahrenheit), selon le département météorologique indien.

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Inde : Narendra Modi sur le chemin de la réélection, mais avec une majorité réduite

Selon les premiers chiffres officiels, le camp du Premier ministre devrait remporter les élections législatives. Mais la majorité au Parlement devrait être significativement réduite par rapport à 2019.

Rien n'est jamais écrit en politique. Les élections législatives en Inde viennent confirmer l'adage. Narendra Modi devrait être reconduit à la tête de l'Inde à l'issue des élections législatives, dont les résultats ont commencé à être publiés ce mardi matin par la Commission électorale indienne. Le symbole est fort, car Modi égale Nehru, le père de l'indépendance, seul autre Premier ministre à avoir été élu trois fois d'affilée.

Mais c'est une toute nouvelle configuration politique qui se dessine pour le chef du gouvernement du pays le plus peuplé du monde. Car si l'on en croit les premiers chiffres officiels, le BJP et ses alliés au sein de la coalition NDA (National Democratic Alliance), devraient remporter au moins 288 sièges sur les 553 que compte la Lok Sabha, la chambre basse du Parlement indien.

Des résultats très éloignés des objectifs

La surprise est totale. En effet, on est bien loin de la barre des 400 sièges que s'était fixée le Premier ministre avant les élections. C'est aussi très loin des 353 sièges obtenus par le BJP et ses alliés lors des dernières élections en 2019. Ces premiers résultats sont également en contradiction avec les premiers sondages de sorties des urnes publiés ce week-end, qui donnaient la NDA largement gagnante avec entre 353 et 401 sièges.

Modi a donc gagné, mais avec beaucoup moins de panache qu'en 2019 et 2014. Lors des deux dernières élections, la « Modimania » avait tout écrasé sur son passage. Peu après l'annonce des premiers résultats, la Bourse indienne a plongé, car la majorité réduite de Modi signifie qu'il aura plus de mal à faire passer ses réformes économiques.

Pas de majorité pour le BJP

Par ailleurs, les premiers chiffres indiquent que le BJP n'atteindra pas à lui tout seul la barre des 272 sièges au Parlement, soit le nombre de sièges nécessaire pour atteindre la majorité qualifiée à la Lok Sabha.

C'est une configuration nouvelle, car lors des deux dernières élections de 2014 et 2019, le BJP avait réussi à dépasser ce seuil, avec respectivement 282 et 303 sièges. « Le BJP a échoué à obtenir une large majorité à lui seul, a déclaré à la presse Rajeev Shukla, député du Congrès, le premier parti d'opposition. C'est une défaite morale pour eux. »

Le gouvernement fragilisé

Cela signifie que le BJP aura plus besoin que jamais des petits partis ayant intégré, aux côtés du BJP, la coalition des partis de droite NDA, pour maintenir sa majorité au Parlement. « C'est le retour de la politique des alliances qui a caractérisé l'Inde de 1989 à 2014 », a réagi le politologue Pratap Bhanu Mehta. Le Janata Dal United (Bihar) et le Telugu Desam Party (Andra Pradesh), deux partis régionaux alliés au BJP, devraient remporter 30 sièges à eux deux. Ils auront un poids important sur le gouvernement que Narendra Modi va former.

Cette nouvelle donne politique fragilisera le BJP, car le parti safran est désormais exposé au risque de voir un parti de sa coalition quitter l'alliance, ce qui mettrait en péril sa majorité au Parlement. Nitish Kumar, le leader du Janata Dal United, est connu pour changer régulièrement d'allégeance : depuis 2015, il a changé cinq fois de camp et il faisait encore partie de l'opposition il y a six mois.

L'opposition crée la surprise

De son côté, le bloc INDIA (Indian National Developmental Inclusive Alliance), la coalition d'opposition emmenée par le Parti du Congrès et différents partis régionaux, a fait beaucoup mieux que prévu. Selon les dernières estimations, la coalition devrait remporter 230 sièges. C'est 100 de plus qu'en 2019. Le Parti du Congrès devrait remporter à lui seul 99 sièges, contre 52 cinq ans plus tôt.

Ces dernières semaines, l'opposition a affûté son discours pour séduire les laissés-pour-compte de l'Inde de Modi : les ruraux, les chômeurs, les familles qui souffrent de l'inflation. Ils ont aussi dépeint Modi comme le fossoyeur de la démocratie indienne. Dans certaines circonscriptions, les partis se sont entendus pour ne présenter qu'un seul candidat pour éviter l'éparpillement des voix qui aurait favorisé le BJP. Cette stratégie a été payante.

Débâcle dans le Nord

L'événement le plus marquant de ces élections est le recul important du BJP dans les Etats hindiphones du nord qui constituent pourtant ses bastions historiques. La débâcle du parti safran est particulièrement importante dans l'Etat d'Uttar Pradesh. Selon les derniers chiffres officiels, l'opposition est en passe de remporter 42 de sièges sur les 80 que compte l'Etat. Elle devrait même gagner la circonscription de Faizabad - un symbole fort, car c'est là que Modi a inauguré le temple de Ram au mois de janvier. Le retournement est considérable : en 2019, le BJP avait remporté à lui tout seul 62 sièges dans l'Etat - 64 avec ses alliés.

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Narendra Modi, 73 ans, est encore très populaire après deux mandats. Selon la commission électorale nationale, après dépouillement de 95 % des bulletins, son parti le Bharatiya Janata Party (BJP) et ses alliés obtiendraient au moins 292 sièges. Il en faut 272 pour avoir la majorité à la chambre basse de 543 sièges. Le BJP a lui seul mène avec 240 sièges, soit bien moins qu’en 2019 quand il avait remporté 303 sièges.

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Le 04/06/2024 à 16:06, Patrick a dit :

Et toujours pas de contrat Rafale...

Il a des dettes à payer. Des "goods" et emprunts venant de Chine, et de l'énergie venant de russie. Le monde a changé depuis l'an dernier, et avec l'Inde en particulier, tant que c'est pas payé et signé, ça vaut la 1ere minute de discussion au souk. Donc....rien.

Si Modhi veut de l'emprunt dans les trimestres à venir, il achètera chinois.

Si la préférence va a l'achat d'énergie pour se faire un peu de gratte et réduire la facture ( voir l'annuler en pratique ou presque ), sans la contrainte forte emprunt,  il achètera du Mig ou du Su.

Pour le dire autrement: l'achat d'un contrat avia de 8 Mds d'euro ( ou plus ou la moitié, peu importe ), à mettre en perspective avec un PIB supérieur à la France ( 3500 mds contre moins de 3 mds ). Ca me fait chier de parler de PIB et pas de budget propre, mais le monde pense sur le PIB. On mettra un budget dépense état à 1 000 Mds pour faire simple, chez nous c'est plus mais on ponctionne autrement plus que chez les indiens ). A la fin le budget flotte avia, il pèse moins de 1 %des dépenses à allouer, ce qui est beaucoup et très peu à la fois. La commande totale ( si payable en une fois ) est bien inférieur au cout de la dette ( pas les remboursement en annuité, juste le cout des intérêts ). 

En 2022 + 2023, l'Inde a importé depuis la Russie 10 fois ( 10 fois !!! bordel de merde ) en valeur achat officielle ( hum....avec des marges de revente qui vont avec au marché gris ) la valeur contrat des Rafales en hydrocarbures. Pour le dire autrement, une marge intermédiaire de 10 % en achat revente ( ou une marge de 25 % sur un quart des volumes a ré export ) ça paie intégralement le contrat !!

 

Pour le dire encore autrement, au delà du symbole ( qui existe plus chez le vendeur que chez l'acheteur ) l'achat Raf' c'est le budget achat baguette de pain pour un foyer français. Je ne plaisante pas, un foyer 3 personnes avec 2 revenus actifs sera en valeur médiane de revenu  à peu prés çà en ordre de grandeur avec 2 baguettes par jour. Quand tu es assez indépendant de tout, et des dettes nulle part, tu achètes ou tu veux.  Inversement, quand le cout financier annuel des emprunts du ménage ( le cout financier, pas le cout du remboursement du principal ) est bien bien supérieur au cout d'achat des baguettes, le jugement peut changer ! Si tu as besoin d'un emprunt immo et que la banque te l'accorde à condition d'aller chez Paul pendant 25 ans, tu risques de le faire. Si Total fioul énergie te fait un contrat lisible et à priori pas dégueulasse à la condition d'aller chez la boulangerie Jacques pendant 20 ans, tu peux étudier aussi. Et à la fin, le boulanger indépendant qui a un produit super top pour un prix médian mais qui n'apporte rien à coté, c'est le dernier de la liste ( il est cependant trés utile pour faire courir les lièvres finaux gagnants à la fin de la course, mais ce sera pas lui ).

 

Pour être transparent, je ne suis pas ( du tout du tout ) dans la boucle des achats étatiques finaux finaux des indiens, des russes, des chinois, etc....Par contre l'achat industrie en milieu dit complexe, je situe un peu plus. Et sans doute c'est bcp moins complexe que les achats étatiques. L"état français est un acheteur absolument déplorable. La FR en vendeur armement, c'est sans doute moins nullissime ( en même temps c'est pas compliqué que faire mieux que nul ) Mais il n'y a pas de hasard si, quand ça marche, ça le fait sur d'autres rapports vulgairement qualité produit / prix produits. Et en Inde, sur les à coté du contrat, j'ai du mal à croire qu'on parte bien placé. C'est assez simple, il suffit de regarder les exports armes récents. En général quand ça va au bout, c'est que c'est solvable avec pas trop d'éléments disons...hum hors contrat rapport Q/P.

 

je rajouterai que la balance export armement Fr de 2019 /2020 à 2022 /2023 c'est un peak. Ca se prend, mais ce n'est pas immuable dans un monde fracturé en récession éco mondiale  ou stagflation. On peut surmonter le peak et rester haut, mais alors ça passera par des éléments étatiques et hors du produit. Un emprunt avantageux, une garantie réciproque de sécu, etc.....mais j'ai peu qu'on soit de moins en moins bien armés pour proposer des conditions "aucultes" avantageuses.

 

 

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https://legrandcontinent.eu/fr/2024/06/06/inde-la-fatigue-modi-10-points-sur-une-victoire-en-demi-teinte/

Nous analysons en 10 points cette mise en échec et les perspectives qu’elle ouvre pour la démocratie indienne.

1 — Une ère de domination du BJP, mais pas d’hégémonie pour autant

2 — Une campagne sans enjeu fort pour porter le BJP

3 — L’érosion de la force électorale du nationalisme hindou  ?

4 — La situation économique a fini par rattraper Narendra Modi

Le taux de chômage est même désormais plus important chez les jeunes diplômés que chez ceux n’ayant pas d’éducation supérieure15. L’enquête pré-électorale du CSDS confirmait ce désenchantement en montrant que pour 62 % des Indiens, le fait de trouver un emploi leur semblait être devenu plus difficile au cours des dernières années, un sentiment partagé par toutes les catégories de la population.

5 — L’opposition a habilement mis en avant l’enjeu de la justice sociale

6 — Des craintes dans l’électorat suscitées par l’assurance du BJP ?

7 — Un très net recul du BJP auprès des Dalits  ?

8 — De la « Modi’s Magic » à la « Modi’s fatigue »

9 — Une mandature qui s’annonce complexe pour Narendra Modi

Enfin, la question de la succession d’un Narendra Modi âgé de 73 ans et politiquement affaibli va commencer à se poser.

10 — Une démocratie vivante

Dans ce contexte où la mainmise du BJP ne semble plus si totale et où l’opposition ne paraît plus si affaiblie, les contre-pouvoirs de toutes natures — médias, grandes entreprises, justice… — pourraient être tenter de reprendre de l’air.

Ce n’est que si une alternance politique survient en 2029, après 15 ans de pouvoir du BJP, que nous saurons avec certitude si l’Inde reste, bel et bien, une grande démocratie. 

 

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https://www.eurotopics.net/fr/320971/legislatives-en-inde-quel-resultat-pour-modi

Gazeta Wyborcza, 6 juin 2024 :

C'est une gifle pour le leader de 73 ans, qui avait cédé à la mégalomanie au cours de la campagne, affirmant qu'il n'était pas de naissance humaine, mais 'envoyé' sur Terre par une divinité.»

https://www.visualiserlacorruption.fr/le-complexe-divin-du-premier-ministre-modi/ (30 mai 2024)

Le Premier ministre Narendra Modi a soudainement déclaré avec beaucoup de sérieux dans une interview télévisée il y a quinze jours, qu'il était convaincu d'avoir des origines divines et d'être un « messager de Dieu ».

« Après la mort de ma mère, après avoir assimilé toutes mes expériences, je suis convaincu que je ne suis pas biologique », a-t-il déclaré, affirmant que Dieu l'avait envoyé et l'avait béni de « la puissance divine ». En réponse à une question sur son « énergie indomptable », dans une interview télévisée successive, il a réitéré qu’il avait le « pouvoir divin » pour accomplir le travail pour lequel Dieu l’avait envoyé.

Il a enchaîné avec une autre affirmation il y a quelques jours, selon laquelle il est « indestructible ». Modi a déclaré qu'il représente la ville sainte de Varanasi et qu'il est donc «avinashi» (indestructible). De manière très neutre, il a déclaré qu’il remporterait trois, cinq et même sept élections. Ses victoires, dit-il, « continueront ».

Le candidat du BJP dans la ville orientale de Puri, Sambit Patra, a récemment provoqué une controverse nationale, lorsqu'il a affirmé que Lord Jagannath, la divinité qui préside l'ancien temple hindou de Puri, était un « dévot de Modi ». Il a ainsi conféré à Modi un statut de Dieu suprême.

S'adressant à un rassemblement électoral dans l'Uttar Pradesh, [Modi] a déclaré que ceux qui voteront pour lui le feront « Punya » ou de bonnes actions.

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https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/who-chinese-premier-li-qiang (17 juin 2024)

En avril, le ministère des affaires extérieures a invité une délégation d'influenceurs des médias sociaux du Sri Lanka et du Népal à visiter différentes régions de l'Inde. Les visites de familiarisation de ce type sont monnaie courante pour les journalistes et les groupes de réflexion du monde entier, mais la "diplomatie des influenceurs" marque un changement. Ces influenceurs ont rencontré des fonctionnaires, des membres des médias et du secteur privé, dans le but de promouvoir la collaboration et la compréhension transfrontalières.

L'opinion publique dans des pays comme le Népal et le Bangladesh n'a pas toujours été favorable à l'Inde. En réunissant les influenceurs indiens et ceux des pays voisins, New Delhi dispose d'un nouveau moyen de cultiver une opinion publique favorable à l'Inde.

Cela peut être interprété par certains comme une action de propagande, puisque cette stratégie vise à donner une image positive de New Delhi.

Dans le passé, nous avons vu la blogueuse chinoise Li Ziqi faire de même pour façonner l'image de Pékin dans le monde.

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  • 2 weeks later...

https://www.rfi.fr/fr/asie-pacifique/20240702-inde-une-bousculade-lors-d-un-rassemblement-religieux-fait-plus-de-100-morts

Une bousculade lors d’un rassemblement religieux fait plus de 100 morts

Ce mardi, ce gourou avait entassé sous une tente ne foule de quelque 250 000 personnes, soit plus du triple des 80 000 personnes autorisées

https://www.thehindu.com/news/national/uttar-pradesh/who-is-bhole-baba-who-is-linked-to-hathras-stampede-tragedy/article68360419.ece (3 juillet 2024)

Selon des sources locales, M. Pal avait été agent de la police de l'Uttar Pradesh jusque dans les années 1990, au sein de l'unité locale de renseignement, lorsqu'il s'est tourné vers la spiritualité, a adopté un nouveau nom et a commencé à faire des sermons publics sur la façon de mener une vie pieuse. Il se décrivait comme un disciple de Narayan Sakar Hari et demandait à ses disciples de trouver le Tout-Puissant en eux.

Les habitants de la région ont déclaré qu'il n'y avait pas d'idoles dans l'ashram.

Âgé d'une soixantaine d'années, il est généralement vêtu d'un manteau et d'un pantalon blancs et porte des lunettes de soleil colorées. Ses disciples, dont la plupart sont des femmes, sont généralement vêtus de rose et le vénèrent sous le nom de "Bhole Baba". Sa femme, qui est souvent présente lors des rassemblements, est appelée "Matashri".

Alors que les partisans du Bharatiya Janata Party ont utilisé les médias sociaux pour souligner que le président du SP, Akhilesh Yadav [1], avait partagé la scène avec M. Pal en 2023, des sources du SP ont accusé les affiliés du BJP d'utiliser M. Pal pour tromper les Dalits en les tenant à l'écart du mouvement Ambedkarite [2].

[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Akhilesh_Yadav

Akhilesh Yadav (en hindi : अखिलेश यादव), né le 1er juillet 1973 à Saifai, dans le district d'Etawah, est un homme politique indien, membre du Samajwadi Party (Parti socialiste), dont il est président depuis 2017. Il est ministre en chef de l'Uttar Pradesh de 2012 à 2017.

[2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Bhimrao_Ramji_Ambedkar

Bhimrao Ramji Ambedkar (en marāṭhī :भीमराव रामजी आंबेडकर) (né le 14 avril 1891 à Mhow en Madhya Pradesh et décédé le 6 décembre 1956 à Delhi), surnommé Babasaheb Ambedkar, est un juriste et homme politique indien. Il est le principal rédacteur de la Constitution de l'Inde, un leader des intouchables, et un initiateur du renouveau du bouddhisme en Inde, cherchant à dépasser le système des castes.

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  • 2 weeks later...

@Paschi je ne suis pas sur que je vois de desaccords fondamentaux/potentiels entre la France et l'Inde dans l'Ocean Indien. 

la peche sur la cote de la Reunion?  :biggrin: 

je vois plutot des accords possible vis a vis de la Chine qui accroit son influence aux Maldives, Sri Lanka en Ocean Indien ainsi que les Iles du Myanmar dans la Mer Andaman (j'ai oublie le nom de l'ile ou la Chine veut construire une base militaire a portee du detroit de Malacca)

Modifié par Lordtemplar
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@Lordtemplar : je ne peux pas te répondre, je n'ai pas encore lu l'étude de l'IRFI (en septembre, quand je serai à la plage:laugh:) :wink:

Un des points dont il est question est la politique interne. Je suppose qu'il s'agit de l'intolérance religieuse qui ne fait que croître et la multiplication des exactions à l'encontre des musulmans et chrétiens qui sont de moins en moins réprimées, voir encouragées.

Modifié par Paschi
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Le film indien "Santosh", qui sort le 17 juillet au cinéma, met en lumière la pratique du "recrutement compassionnel", qui permet à l'épouse, au mari ou à la fille d’un fonctionnaire décédé d’hériter de son emploi. Une mesure de solidarité, qui peut conduire à de longues batailles judiciaires, voire même parfois à des drames.

https://www.france24.com/fr/asie-pacifique/20240717-en-inde-il-est-possible-d-hériter-d-un-travail-mais-à-quel-prix

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